Simple aventure avec deux Africaines

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Proposée le 11/06/2012 par intellectuel

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Si vous êtes observateur, sans doute vous êtes-vous rendu compte du grand nombre de jeunes filles qui se promènent en ville l'après-midi, sans garçon qui les accompagne. Elles sont parfois seules mais le plus souvent à deux ou trois. Elles marchent lentement, elles ne portent pas de sacs de commissions. Si vous les regardez, elles vous fixent quelques instants, puis pouffent entre elles, un peu bêtement. En fait, elles cherchent l'aventure. Mais comme elles ne sont pas très aguerries, question drague, elles préfèrent se balader en groupe.

J'avise deux petites noires, genre africaines, à l'arrêt des bus. Manifestement, elles n'ont pas l'intention de voyager. Elles matent les mecs en douce. Il y en a une très foncée de peau, plutôt maigrichonne mais avec une sacrée paire de nibards. L'autre est plus claire, plus ronde, avec un cul rebondi parfaitement appétissant. Elles sont toutes deux en jean taille basse. On leur voit le nombril et même l'élastique de la petite culotte. Elles portent des bustiers qui laissent apparaître les bretelles de leur soutien-gorge. Elles ne sont pas hyper-élégantes mais leur simplicité m'attire. Et puis, elles semblent sympathiques.

Je décide de leur parler. Après les politesses d'usage, je leur propose de les prendre en stop, au lieu qu'elles attendent le bus. Comme je le pensais, elles ne vont pas vraiment quelque part. Elles se jettent des regards en coin. Elles hésitent. J'insiste pour qu'elles me suivent quand même. Je dis qu'on pourrait faire un tour sympa en voiture, tous les trois. Elles finissent par se faire à l'idée. Elles me demandent si je les ramènerai plus tard au même endroit. Elles se chuchotent des trucs à l'oreille que je ne comprends pas et enfin, elles acceptent !

Je ne suis pas garé loin. Sur le chemin du parking, je détaille les deux filles, pas mal du tout. Elles se tiennent à distance, me lançant des regards à la dérobée, encore méfiantes. Quand on est installés dans la voiture, la plus foncée explique en rougissant qu'elle et sa copine ne sont pas des putes... Avec une candeur surprenante, elle ajoute que ce qui les motive, c'est qu'elles n'ont jamais fréquenté un blanc. Elles sont du Sénégal et n'ont connu que des sénégalais. Et comme elles ont une petite heure de libre, pourquoi pas ? Je rigole, parce que moi, je ne suis jamais sorti avec une black. Et là, bingo ! Deux d'un coup. Ma femme est sortie avec des amies, j'ai un peu de temps... Alors, on le fait ? que je dis. Elles sont d'accord.

Je conduis jusqu'à une forêt, à la sortie de la ville. Je stationne dans une petite allée tranquille. Les deux africaines rient mais elles sont toujours soucieuses. Elles me demandent s'il n'y a pas de rôdeurs. Je les rassure. La plus foncée dit qu'elle s'appelle Issatou et l'autre, Lissa. Leurs prénoms semblent les amuser. Elle explique que Lissa s'appelle comme ça parce qu'elle est lisse, tandis qu'elle, elle a tout... tous mes poils, précise-t-elle. Ce sont des pseudos, leurs vrais noms ne leur plaisent pas.

- Il y en a une qui me montre ses seins ? que je demande, en guise de préliminaire.

Issatou qui paraît la plus dégourdie invite Lissa à le faire. La fille ne se fait pas prier. Elle retire le bustier par la tête. Elle se retrouve en soutien-gorge rose. Ça fait bizarre un soutien rose sur sa peau de couleur, pas tellement "chair". Elle a une petite poitrine qu'elle regarde avec satisfaction. Puis elle se met à dégrafer le soutien, dans le dos, avec un plaisir évident. Bientôt, deux jolis abricots surgissent, avec des tétons bien durs. Elle est fière de les montrer.

- Les miens sont plus gros, dit Issatou.
- Tu me les montres ?

Et voilà Issatou qui se désape comme sa copine. Il suffit de demander ! Effectivement, sa poitrine est magnifique. Des seins en poire, bien lourds, avec de belles aréoles... Putain, je ne suis pas déçu !

- Et moi, qu'est-ce que je vous montre ? Que je les interroge.

Les filles éclatent de rire.

- Comme on t'a dit, on n'a jamais vu la bite d'un Blanc, confirme Issatou, du moins "en vrai"...
- OK, c'est vous qui l'aurez voulu...

Je dégrafe ma ceinture et baisse mon pantalon. Je porte un slip que je baisse aussi, en me tortillant sur le siège. Les deux filles me regardent faire, tout en jetant un oeil à l'extérieur, pour s'assurer que personne ne vient. Il ne me faut que deux minutes à peine pour exhiber ma queue, qui est en pleine érection, comme vous pouvez le penser. Lissa est assise près de moi, sur le siège passager tandis qu'Issatou est à l'arrière, accoudée sur mon dossier, qui regarde par-dessus mon épaule.

- Vous voulez la toucher ? que je fais.

Lissa se lance. Elle me la saisit et commence à me branler doucement. Elle a la main pleine de bagues. La sensation sur la verge n'est pas désagréable. Soudain, elle ramène ses cheveux vers l'arrière et se penche vers l'avant. La voilà qui me prend le sexe dans la bouche ! Je ne m'y attendais pas ! Pas si vite ! Elle me suce mais souvent, elle laisse sortir le gland. Alors, elle m'embrasse la verge et les couilles et reprend ses suçons. C'est une fille de la catégorie "fausse débutante". Un peu maladroite, mais pleine de bonne volonté. J'adore ça ! Issatou apprécie le spectacle. Elle tient relevés d'une main les tresses de Lissa qui ont tendance à tomber et à lui gâcher la vue...

Tout ça m'excite terriblement ! A un moment, ma queue devient très dure et Lissa la lâche, visiblement embarrassée. La coquine ne semble pas encore prête pour avaler ! Moi, je me lève dans l'habitacle et je me branle carrément en direction de son visage. Lissa fait des mimiques, des grimaces, mais elle ne se dérobe pas ! Une première giclée l'atteint sur le front et d'autres lui aspergent la figure. Le sperme lui coule dessus, jusqu'à sa petite poitrine...

Issatou prend du sperme d'un doigt sur la peau de sa copine. Elle le porte à son nez, pour renifler. Puis elle goûte, en se marrant. Voyant cela, Lissa passe la langue sur ses lèvres pour y prendre un peu de sperme aussi. Elle part dans la rigolade... Ces deux filles sont marrantes !

- Ça sent fort ! dit Lissa.
- Tu me montres ta chatte, maintenant ? que je lui demande.

Sans surprise, je vois Lissa qui ôte son jean. Ces jeunes dévergondées n'attendent que ça. Il faut simplement les mettre en confiance. Lissa porte une petite culotte rose comme le soutien. Quand elle la retire, je constate en effet que son pubis est lisse, soigneusement rasé. Mais en fait, je surestime mes forces. Après avoir éjaculé tout ça de foutre, je bande mou. Mais ce n'est pas grave... Lissa écarte les cuisses et me prenant la main, me montre comment la branler. Puis elle s'abandonne à mes caresses, tout en se pinçant les tétons. Vite, des sécrétions coulent du vagin...

- Elle mouille énormément quand on la masturbe, dit Issatou. Elle va tacher ta banquette !

C'est vrai, jamais je n'ai vu une fille mouiller comme ça ! Au bout d'un petit moment, j'entends Lissa :

- Plus fort ! Vas-y à fond ! C'est bon'

J'en suis à trois doigts que j'enfonce profond, me demandant si je dois y mettre le poing ! Finalement, Lissa jouit dans des convulsions très démonstratives. Le siège en est trempé, incontestablement ! Il faudra que je le nettoie, pour que Nicole, ma femme, ne se doute de rien.

- J'ai envie de faire pipi ! dit Lissa.
- Moi aussi, ajoute Issatou.

Les deux filles descendent du véhicule. Lissa est toute nue. Issatou porte encore son jean, qu'elle baisse aux chevilles. Accroupies, elles pissent sans se cacher de moi. Elles sont tout sourire ! Ca paraît leur plaire, nos gentils tripotages. Elles me demandent si j'ai des kleenex pour s'essuyer. J'en prends dans la boîte à gants. Une fois relevée, Issatou remarque que mon excitation remonte. Il faut dire que voir des filles pisser, ça m'a toujours excité...

- Tu me prends sur le capot ? lance Issatou.
- T'es folle, et si quelqu'un vient ? objecte Lissa.

Sur ce coup-là, Issatou se fout clairement de la venue éventuelle d'un rôdeur. Elle a la chatte poilue : une épaisse toison de poils noirs crépus. Elle s'appuie des fesses sur la voiture, jambes écartées. Je tombe à genoux à ses pieds. Je la lèche. Ça me fait bizarre avec les poils. Sa moule est sucrée. Sous mes coups de langue, elle se met vite à gémir. Je me relève, on s'embrasse avec la langue dans la bouche. Puis je me fourre la bite entre ses gros nibards. Je me masturbe comme ça, en serrant les nichons contre.

- T'es vicieux, toi ? commente Lissa.
- Tourne-toi ! que je réponds.
- Ça va ? demande Lissa.
- Putain, oui ! éructe Issatou, au moment où je la prends en levrette sur le capot, d'un coup sec, bien ajusté.

Le cul de la petite africaine est si bon que je ne suis pas long à éjaculer de nouveau. Le préservatif en déborde presque ! Les filles auraient voulu se nettoyer mais elles doivent se débrouiller avec les kleenex. Elles n'ont plus le temps. Le temps a passé, il leur faut rentrer chez elles. Je les raccompagne à l'arrêt des bus, comme convenu. On se fait la bise, c'est bien le moins ! Moi, je dois encore nettoyer le siège avant, à cause de Nicole.