Dans mon école

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Proposée le 6/06/2012 par Joel Elen

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Mon école n'est qu'un long couloir qui comporte, au deuxième étage, une fenêtre découpant le mur du fond après les escaliers. La cloche a sonné, je suis donc en dehors de ma classe, à l'opposé de la fenêtre. Les silhouettes des élèves sortant fumer une cigarette disparaissent rapidement dans les escaliers. Ne reste que les étudiants ne fumant pas, dont moi.
Je suis songeur car en sortant de la classe Sara m'a adressé un sourire d'une rare intensité que je ne pourrais décrire, un sourire tout simple mais comme chargé de désir. Elle m'en avait déjà adressé auparavant mais pas de cette façon. Puis elle a disparu dans le contrejour de la fenêtre du fond du couloir, j'en ai encore chaud au bas du ventre.
Je suis songeur car dans quatre minutes elle repassera devant moi pour s'assoir à sa place sur la dernière ligne tout comme moi, loin du professeur mais elle, du côté de la fenêtre. Je ne sais pas encore ce que je dois faire, lui rendre son sourire ? Lui dire quelque chose ?
Le temps de réflexion est trop court et déjà je reconnais sa silhouette parmi toutes les autres, plus grande que la plupart des filles, ses cheveux lui font une belle crinière et la rende presque imposante, sa démarche est plus posée que les autres personnes accédant à leurs classes, ses épaules roulent langoureusement faisant balancer ces bras dans un rythme a présent gravé dans ma tête. Ses hanches sont la partie la plus impressionnante de sa physionomie ; dessinées comme un vase à fleur d'une grande élégance, le soleil en dessine magnifiquement les contours comme si il voulait les caresser aussi.
Le mouvement de ses fesses est incroyablement beau, elle ne les fait pas trop bouger ni trop peu, elle pratique l'art de se mouvoir comme une déesse, ses hanches donnent le mouvement et son postérieur suit la cadence en amplifiant légèrement les courbes des deux côtés.
Mes yeux les suivent un moment puis finissent leur course vers ses longues jambes fines et fermes alors que son visage commence à apparaitre dans la lumière du plafond et m'attire irrémédiablement, car ses cheveux noirs et longs encadrent une tête ravissante et éblouissante de beauté, ses yeux noirs sont d'une attirante obscurité.
Elle me sourit à nouveau et moi aussi, sans avoir pu y réfléchir, un large sourire s'est imprimé sur ma tête. Avant que je puisse m'en vouloir d'avoir pris cet air Béa, elle allonge le sien comme réponse et semble amusée. Je sens mon c'ur battre dans ma poitrine. Elle passe devant moi et entre dans la classe m'affichant ses deux belles fesses rebondies et serrées dans un petit short, les balançant lentement de gauche à droite. La cloche sonne, elle se retourne et son amusement semble grandir sur son visage quand je l'aperçois. Elle a dû me surprendre à la contempler.
Une fois assis je n'arrive pas à me concentrer sur le cours, le prof fait un long monologue de biologie et mes autres camarades semblent être passionnés, max habituellement à côté de moi n'est pas là, je pose donc ma tête sur la paume de ma main pour pouvoir regarder Sara tout en ayant l'air de somnoler et comme le rang du milieu est un peu avancé je peux contempler son corps de haut en bas. Ses pieds sont croisés en dessous de sa chaise et balancent d'ennui, tapant de chaque côté un pied de la chaise. Il me semble qu'elle sourit, le même sourire que tout à l'heure, amusé. Sait-elle encore que je la regarde ?
Tout à coup elle pose son dos contre le dossier et tend les jambes sous son bureau dans une position apparemment plus confortable. Je crois qu'elle me jette encore un regard et sa main droite se pose sur sa cuisse. Sans m'en rendre compte j'ai adopté la même position qu'elle, à moins que je ne sois déjà ainsi positionné, je n'arrive pas à m'en rappeler car je suis trop obnubilé par sa main.
Elle commence à faire des allées-retours sur sa cuisse, le long du tissu fin et moulant. Ses doigts se plient et se déplient, grattant indirectement sa peau. Je vois sa poitrine s'élever et se rabaisser plus nettement maintenant. Je suis stupéfait par son soudain manège et je n'arrive plus à en dégager mon regard.
Ses seins se découpent dans le paysage de dehors, pas très gros et étonnements ronds, il doivent chacun tenir parfaitement dans le creux d'une main. Sara s'étend encore plus et elle est maintenant presque cachée de la vue du professeur. Cachée derrière ses camarades, elle passe une deuxième main en dessous de son top noir et je la vois former une bosse massant son bas ventre. Personne n'a l'air d'avoir remarqué ses mouvements qui m'obnubilent et qui me sont, je pense, forcément destinés.
Elle a imperceptiblement penché la tête en arrière et ses mouvements respiratoires ont encore augmentés. J'aime regarder le spectacle de ses seins s'élever et s'abaisser, comme s'ils gonflaient toujours un peu plus avant de redescendre.
La bosse de son top à soudain disparu et je crois l'apercevoir plus bas, dans son short, elle a enfilé sa main dessous et se masse l'entrejambe, ceci me procure une sensation de chaleur instantanée, je tremble comme une feuille, tiraillé entre le désir de la rejoindre mais aussi la peur qu'elle arrête son manège. Elle tourne une fois encore la tête vers moi, et me regarde d'un air langoureux et excité.
Elle a toujours la main dans le pantalon quand j'entends je ne sais comment le prof nous demander de faire des groupes de deux. Je n'arrive pas à y croire ni à réfléchir, tout le monde se lève et change de place comme au ralenti. Il faut que j'aille vers Sara je tourne la tête vers elle mais je ne croise pas son regard. Elle semble métamorphosée mais elle s'est juste penchée pour lire la feuille distribuée par le professeur. Je traverse la classe espérant que mon érection n'est pas trop visible. Je m'assied rapidement à ses cotés mais n'ose la regarder.
Son aura m'envahit tout à coup, elle sent l'excitation à pleins nez, je n'arrive donc pas à calmer mon propre désir. Je tourne la tête vers elle et pose une main sur la sienne. Elle me regarde et prend à nouveau son air amusé en m'offrant un petit sourire comme celui qu'elle m'avait adressé en sortant de la classe. Une envie irrésistible de l'embrasser me prend mais je me contrôle car le prof à une vue directe sur nos deux têtes Comme j'hésite Sara inverse l'ordre de nos mains en retirant la sienne et posant la mienne sur sa jambe, cette belle cuisse qui me faisait fantasmer il y a quelques minutes se trouve maintenant sous ma main, ferme comme je l'imaginais mais également très chaude et une vague de désir monte en moi. Sara l'aperçoit car elle me sert les doigts de la main à leurs jointure et ce fut comme si elle m'avait embrassé fougueusement. Les yeux plantés dans les siens je débute des aller-retour sur son collant qui frissonne à mon passage. Sara respire fort et je ne suis plus concentré que par elle, je ne me pose même plus la question de savoir si le maître va s'en apercevoir, Sara m'entoure toujours la main comme si elle ne me lâcherait jamais.
Son pied s'est collé au mien, son mollet aussi puis sa cuisse, nous ne formons plus qu'une seule jambe disproportionnée mais qui est stimulante à elle toute seule, remuant de gauche à droite elle nous procure des sensations plus qu'euphorisantes.
Tout à coup je ne sens plus sa main sur la mienne qui continue ses caresses, puis je sens un poids entre les jambes. Sara est venue directement poser sa main sur mes parties génitales, étonnement elle ne fait aucun mouvement. Elle tient dans sa paume mes testicules et une partie de ma verge qu'elle sert doucement puis dessert et recommence en variant la force. Je n'aurais jamais pensé que ceci me ferait autant d'effet. Je me sent presque au comble de la jouissance mon pénis au chaud dans cette main tellement accueillante. Je commence tout de même à ressentir le besoin de bouger, de mettre ma verge en pleine action mais je sais que je ne pourrais pas faire cela ici. Si seulement tout le monde disparaissait je la prendrait par la taille la poserait sur le bureau et en la tenant d'une main je lui arracherait ses collants d'impatience et lui enfoncerait ma bite sans ménagement dans son vagin qui devait être plus que prêt maintenant. A cette pensée mon pénis s'est tendu durant quelques secondes comme s'il allait exploser. Sara l'a sentit et m'a lancé un regard au bord de la défaillance, je compris très vite, voyant ses grands yeux noirs aux pupilles dilatées comme s'ils n'avaient jamais aperçu la lumière, qu'elle avait aussi extrêmement besoin que je la prenne et de suite. Mais je me trouvais dans l'incapacité de bouger maintenant, même pour demander au prof d'aller aux toilettes. J'optai pour une option plus discrète : sans rompre le contact avec son corps je glisse ma main jusqu'à son bas ventre d'où je sens de la chaleur humide monter, je reste un moment ici, caressant et préparant mon entrée un peu plus bas. Je sens alors qu'elle suit mon initiative et je remarque que je mène la danse pour la première fois depuis qu'elle m'a lancé son regard. Ceci ne m'étonne même pas mais me donne de la confiance pour continuer le chemin aventureux de ma main novice. La chaleur continue de s'élever de son entre-jambes, ma main y est attirée et continue à descendre. Je sens sa culotte qui est trempée ce qui me dessine inconsciemment un grand sourire sur le visage, Sara l'imite avec un petit regard coupable car elle a compris sa source. Je passe mon pousse sous cette culotte et le glisse de gauche à droite la décollant, en passant, de la peau humide de Sara. Je passe ensuite les autres doigts mais laisse la paume de ma main sur son bas ventre. Je peux sentir ses poils taillés en V et me désole de ne pouvoir les contempler de mes propres yeux, même en tentant discrètement de jeter un oeil par-dessus sa culotte je n'aperçois qu'une ombre. Je relève ma tête et Sara me regarde avec interrogation je lui adresse un franc sourire pour lui signifier que j'aime cette coupe. Elle semble avoir compris et passe ses doigts dans mes poils pubiens non taillés et imite mon sourire avec une pointe d'ironie mais je vois que ma virilité ne la dérange pas, au contraire elle semble l'apprécier.
La cloche sonne et je me sens comme tomber de très haut. Il me semble que l'heure vient de commencer que nous nous touchons que depuis quelques minutes mais déjà nos camarades se lèvent et rangent leurs affaires. Je suis interloqué et presque frustré car je sais que c'est fini pour aujourd'hui. La main de Sara a disparu de ma culotte et je fais de même avec regret. Après avoir rangé mes affaires je m'adosse contre ma chaise au lieu de me lever et tourne la tête vers ma récente compagne. Elle ne me regarde pas, prend apparemment une dernière note sur un bout de papier puis se lève pour enfiler sa veste. Je redresse la tête pour suivre son visage que j'ai envie de prendre dans mes mains pour qu'elle s'arrête de bouger, qu'elle reste à mes côtés.
Sara me regarde enfin et, à mon grand soulagement, semble déçue elle aussi. Elle passe derrière ma chaise, je sens une caresse dans la nuque comme on caresse un enfant pour lui donner confiance et elle laisse tomber un papier devant moi, roulé en boule et plein de promesses. Je la regarde s'éloigner vers la porte en admirant une fois de plus ses formes angéliques et avant de franchir la porte elle tourne la tête avec un visage étonnamment inexpressif, affichant l'air qu'elle porte habituellement dans l'école et me lance, comme si elle m'apercevait pour la première fois de la journée, son fameux petit sourire pas plus grand que tout à l'heure et en tout cas pas moins chargé d'émotions. Elle franchit la porte et je suis déjà en manque, le mot dit : « A demain ».