Elodie : Une femme naturiste. Chapitre 30 : Le Gîte

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Proposée le 3/06/2012 par CAVAL

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Résumé : Elodie et Hervé, fervents adeptes du naturisme forment un couple très amoureux, avec deux enfants.
Ils pratiquent avec Bénédicte et son compagnon François le mélangisme, l'échangisme et toutes les turpitudes qui s'y attachent. Les hommes comme les femmes ne rechignent pas devant des étreintes homosexuelles. Parfois, ils partagent leurs jeux sexuels avec des hommes, des femmes ou d'autres couples libertins.



CHAPITRE XXX

Le gîte




Au début de l'année 2010, nous avions tout mis en ?uvre pour réaliser le projet que nous avions eu lors de l'achat de notre maison à l'écart du village, sans vis-à-vis, dans la région du Sud-ouest. Créer des chambres d'hôtes naturistes. Pourquoi développer des chambres d'hôtes naturistes, tout simplement parce que nous aimons vivre nus, notamment l'été ou quand il fait beau, et avoir des chambres d'hôtes « textiles » nous aurait imposé de nombreuses contraintes personnelles : nous habiller. Et le naturisme ayant pour principe de vivre en commun sa nudité, c'était la possibilité pour Hervé et pour moi de côtoyer des gens partageant ce mode de vie.
Nous avons une maison avec un grand terrain clos, et des chemins déserts où l'on peut se promener sans risquer de rencontrer grand monde. On peut donc choisir la farniente au soleil et l'agréable piscine hors-sol ou la marche dans le plus simple appareil dans les environs. Côté confort, les résidents disposent de deux petits appartements avec douches et WC privatifs. Un chalet en bois est équipé d'un sauna et des douches. Il y a aussi une salle de remise en forme avec abdos, vélo...
Une table d'hôtes est proposée sur réservation, (ce qui m'amena à faire de la cuisine et à y prendre goût) pour le plaisir des de nos visiteurs avec la découverte d'une cuisine authentique (produits frais locaux) et de la gastronomie du Sud Ouest : de quoi se ressourcer en toute tranquillité dans une ambiance chaleureuse et conviviale.

Nos premiers clients arrivèrent au mois de mai, la belle saison s'étant installée dans notre région.
Il s'agissait d'un jeune couple, Sophie et Olivier. Sophie était une petite blondinette aux belles formes rebondies, elle était tout en vivacité et très nature. Olivier était un beau et grand noir au sourire éclatant, dépassant de plus d'une tête sa compagne. Je les accueillis topless, ne mettant qu'un paréo autour de la taille : nous étions dans un lieu naturiste, donc pourquoi aurais-je du m'encombrer d'autres habits.

Ils posèrent leurs valises, et moins d'une minute après, ils sortirent de leur logement à poil pour venir profiter de la piscine et du soleil. Je me fis la réflexion qu'il y avait peu de naturistes de couleur sur les plages ou dans les centres. Les femmes comme les hommes noirs semblent plus pudiques que les blancs, alors même qu'en Afrique, les peuples dont ils sont originaires, vivent la plupart du temps, nus. Rares sont les peuplades où les femmes portent un habit couvrant leur poitrine, laissant leurs seins à la vue de tous, sans pudeur, car elle n'existe pas pour elle. Jeunes, elles arborent deux beaux siens hauts perchés et aux sublimes formes. Avec l'âge, les grossesses et les allaitements, leurs seins sans soutien on tendance à tomber.Pour eux les seins sont plus nourriciers qu'attributs sexuels.

Les hommes portent pour tout habit un étui pénien sans lequel ils ne sauraient se montrer. Chez les Karamajongs qui vivent dans les savanes du Nord de l'Ouganda, les enfants mâles jusqu'à l'âge adultes, vivent totalement nus. Dès la puberté, ils commencent le processus rituel long et ardu d'étirement du pénis. Le garçon aura, suspendu depuis la pointe de son pénis, des pierres de plus en plus lourdes. A l'adolescence, son pénis pourra supporter une charge allant jusqu'à 10 kilos, l'opération ayant allongé son sexe pouvant mesurer jusqu'à 45 cm. Arrivé à l'âge adulte, ils portent une ceinture à la taille, une cape posée sur les épaules ou un pagne si court, qu'il ne cache que partiellement le sexe (et qui n'est pas là pour tenter de le faire). Il s'agit d'une protection ou parfois d'une parure. Ces exercices pour allonger le sexe et la nudité quasi totale est un art de séduction, les femmes faisant un choix sexuels entre les différents hommes de la tribu selon la taille de leur pénis. Les mâles exhibent donc fièrement leur sexe, comme un signe de noblesse et de puissance.

Dans certains peuples africains, le corps a une grande importance. Les normes religieuses, loin de nos croyances qui bannissent la chaire, influencent la construction des maisons d'habitations. Chez les Dogons (au sud de la boucle du Niger) leurs plans sont sexualisés : elles prennent des formes humaines. De même le village, par la disposition des maisons, accède aussi à l'anthropomorphisme. L'autel phallique situé au milieu du village incarne le principe mâle. Dans le diagramme du village dogon, les maisons des femmes évoquent les seins et la tête étant le lieu de réunion des hommes. Les ustensiles d'usage courant symbolisent eux aussi le corps humain : la pierre utilisée pour écraser les fruits à huiles, par exemple, correspond à celle de l'organe génital féminin.

Sophie, qui était très blanche de peau et blonde comme les blés, avait réellement de beaux seins ronds et bien faits, mais rien à voir ni avec ceux des playmates qui sont la plupart du temps refaits, ni avec ceux des mannequins quasiment inexistants. Elle avait la chatte totalement glabre laissant voir distinctement sa fente. Elle portait des petits bijoux intimes : au bout de chaque nichons des petits anneaux, au nombril une belle décoration bleue et au sexe un autre piercing au niveau des lèvres vaginale.
Je trouve cela ravissant, même si l'idée de la douleur que doit provoquer la pose de ces breloques me fait frémir.
Olivier lui ne portait pas ce genre de parures et il faut bien dire qu'il n'en avait pas besoin pour attirer le regard : son sexe, bien qu'au repos, me parut surdimensionné. Je n'en avais jamais vu un si gros et si long à la fois. Je ne suis pas une grande adepte des films X (trop de violence, l'avilissement de la femme, des scènes dénuées d'amour?), mais je n'ai rien contre en regarder un de temps en temps (surtout lovée dans les bras de mon homme). Eh bien, dans tous ceux que j'ai visionnés, jamais je n'ai vu un acteur avec un tel engin. Pourtant les acteurs sont choisis principalement en fonction de la dimension de leur sexe.
Seule peut-être certaines photos de peuplades africaines m'avaient donné l'occasion de voir de si beaux sexes masculins. Les masaïs, par exemple, portent bien des pagnes, mais bien trop courts pour voiler entièrement des pénis énormes.
Le gland au bout de sa longue tige était totalement décalotté et avait la même couleur d'ébène que l'ensemble de son corps.
Sans mentir, son membre faisait la moitié de sa cuisse, c'est-à-dire entre 15 et 20 centimètres au repos. Je n'osais imaginer ce qu'il pouvait donner en érection.

Je les rejoignais près de la piscine me mettant moi aussi nue. Sophie engagea aussitôt la conversation avec moi. Alors que nous parlions, je ne pouvais m'empêcher de lorgner sur le sexe de son mec qui m'impressionnait véritablement. Nous sommes allées nous baigner toutes les deux. Après quelques brasses, nous reposions dans l'eau, sur le bord de la margelle et elle me dit :
- Il a une belle queue, n'est-ce pas ?
Je restais interdite face à cette question à laquelle je ne m'attendais pas. Et je répondis comme malgré moi :
- Impressionnant !
- Et encore là il est au repos. Je peux te dire que lorsqu'il bande, c'est absolument phénoménale : une bite qui ressemble à une matraque et dur comme du bois.
Sophie avait dans la voix une sorte de gouaille et surtout elle employait, non sans plaisir, des mots très crus.
- Mais, lorsqu'il' enfin pour s'introduire en toi, il ne te fait pas mal, c'est si gros, si long
- Bah, pour m'enculer, je n'en parle pas, c'est impossible. Pourtant, j'étais loin de détester qu'on me prenne par là. Avec mon premier copain, je ne voulais pas qu'il brise mon hymen, une appréhension un peu conne, puis le second m'a prise des deux côtés et même, avec un copain à lui, une double. Mais avec Olivier, je ne veux pas qu'il essaie et d'ailleurs il ne m'a jamais demandé ni essayé. Autrement par les autres orifices ça passe. Avec la bouche je peux mettre le gland, pour le reste j'utilise la langue. Dans mon con, s'il est bien lubrifié, ça passe bien.
- Quelque soit la position ?
- Lorsque c'est lui qui est sur moi, il sait y faire pour ne pas me faire mal et stopper son introduction jusqu'aux limites de mon vagin. Lorsque c'est moi qui suis sur lui, je gère, je m'enfonce de plus en plus profondément.
- Mais tu ne pas aller jusqu'au bout tout de même, ça doit faire mal ?
- Le plus souvent j'y vais jusqu'à ce que ça me fasse mal, mais quelle jouissance de me sentir pleine, complètement remplie par sa magnifique queue. Avec les autres copains que j'ai eus, je n'ai jamais ressenti cela.

Lorsque mon mari fut là, il me fit remarquer lui aussi que le sexe d'Olivier semblait beaucoup m'impressionner.
- Bah ! Il faut dire qu'il n'a pas des dimensions très catholiques. Il est hors norme. J'ai déjà baisé avec des hommes bien membrés, avant que nous nous connaissions mon amour, mais à ce point, aucun ne pourrait rivaliser.

Le troisième jour, un lundi, j'avais travaillé toute la journée devant l'ordinateur pour mon activité professionnelle d'infographiste.
La fin d'après-midi, j'ai préparé le diner, puis je rejoignis le couple dans le jardin. Nous étions allongés autour de la piscine l'air de rien, profitant seulement des derniers rayons du soleil. Lorsque mon regard se portait sur la verge tendue, je ne pouvais que la contempler sans me lasser, comme on le ferait avec un tableau sublime ou un paysage unique.
A un moment, relevant la tête, je vis que Sophie s'employait à mettre en forme le sexe de son copain. Et celui-ci commençait à prendre une belle vigueur en s'érigeant en l'air et en se déployant brillamment. Le gland pointait au bout du membre noir comme l'ébène, ce dernier prenant un peu en grosseur mais surtout s'allongeant en taille. Il ne fallut pas attendre longtemps pour que le mat de cocagne soit dressé dans le ciel. Je ne pouvais détourner le regard de ce monstre qui se déployait ainsi.
Je croisai le regard coquin de Sophie qui me sourit et qui sans aucune gêne, vint lécher la tige qui s'offrait à elle. Elle faisait aller sa langue de la base de la tige dressée, jusqu'au frein. Elle s'attardait ensuite sur le gland léchant ses moindres recoins, tout en branlant cette belle pine. Puis elle redescendait jusqu'aux testicules qu'elle prenait en bouche. Olivier semblait beaucoup apprécier les attentions de sa copine tout en lui titillant la vulve avec une de ses mains. Je voyais ses doigts ouvrir délicatement les muqueuses roses et délicates, et y introduire un, puis deux doigts, s'attaquer au clitoris qu'il sentit frémir et s'ériger hors de sa coque. Il allait aussi visiter d'un doigt inquisiteur l'anus de sa maîtresse qui recevait toutes ses caresses avec délectation, bien qu'elle ne quitta pas le membre dressé.
Pour ma part, je ne pus m'empêcher de porter ma main sur mon entre-jambes pour me masturber. Je laissais aller mon autre main sur mes seins que je pelotais, triturais, pinçais voulant me procurer du plaisir.
L'exhibition du jeune couple devant moi, augmentait mon excitation, moi qui étais en position de voyeuse.
Dans un râle à peine retenu, Olivier éjacula abondamment sur le visage et dans la bouche de sa compagne. Elle avala une bonne partie du sperme de son amant. Elle s'employa ensuite à nettoyer avec la langue la semence qui couvrait encore la verge.
Puis, c'est lui qui enfouit sa tête dans la chaude intimité du sexe féminin ruisselant. Il ne fallut que quelques instants pour que Sophie soit envahie d'une vague de plaisir, alors qu'il n'avait pas eu besoin de la pénétrer. Elle était magnifique dans cet instant de jouissance, abandonnée aux caresses de son époux et à mon regard émerveillé.
Puis, comme si rien n'était, ils se sont levés et on regagnés leur logement pour prendre une douche salvatrice.

Cette séance m'avait bien échaudée et j'ai demandé à Hervé, lui qui n'avait malheureusement rien vu, de me faire l'amour dès que nous fûmes dans notre chambre.
Voyant mon degré d'excitation, il prit un malin plaisir à me prendre dans des positions assez violentes et sans ménagement, mais cela ne fit que décupler mon envie et m'apporta une grande jouissance. Se plaçant debout et mettant mon corps en chandelle, la tête en bas, apportant mon sexe à la hauteur du sien. Il me pénétra ainsi en fléchissant les jambes, puis retira sa verge, remonta mon bassin, puis revint en moi avec des coups rapides. La vu qu'Hervé avait sur mon sexe ouvert devait l'exciter violemment. Malheureusement, c'est une position qu'on ne peut tenir bien longtemps, car si la stimulation pour moi était excellente, le risque du torticolis n'est pas impossible.
Alors, il me coucha sur le flanc. Il plaqua une de mes jambes au niveau du lit, l'autre au-dessus de son épaule. Lorsqu'il introduisit sa queue bien tendue dans mon vagin, il maîtrisa les mouvements en immobilisant le bas de mon corps avec ses deux mains. C'était divin, sa verge explorant les moindres recoins de mon orifice en allant bien au fond de moi. Tantôt il la sortait de mon ventre pour y rentrer encore plus fort, plus profondément. J'accentuais le plaisir en me caressant le clitoris. Hervé s'y prenait très bien, alternant les coups profonds, lents, rapides, superficiels, appuyés, visitant mon antre en changeant d'angle. J'étais certes prisonnière, dans l'impossibilité de me mouvoir, mais le plaisir était tellement puissant que je jouis une première fois.
Mais Hervé n'en avait pas fini avec moi. Alors, il me prit dans une position qu'on dit slave : j'étais étendue sur le dos, les cuisses repliées contre ma poitrine. Mon homme était debout au bord du lit et me pénétra d'un seul coup profondément, puis pratiqua un va-et-vient endiablés, avec des coups rythmés profonds et vigoureux. Ses mains serraient mes chevilles. Là encore, je savais que j'offrais complaisamment ma vulve épanouie à mon magnifique amant. Je lui étais totalement soumise et heureuse de l'être. Une nouvelle vague de plaisir m'envahit.
Un peu plus tard dans une autre position encore, un troisième orgasme. C'est à ce moment qu'Hervé déversa son sperme en moi.
J'étais comblée.

Nos clients étaient là pour une semaine. Ils devaient partir samedi matin. Le vendredi dans l'après-midi, alors que je ne pouvais me lasser de contempler le sexe d'Olivier (ce que je faisais sans gêne le couple semblant apprécié s'exhiber, exposant leur belle nudité sans honte et avec fierté) Sophie me dit :
- Tu sais, je suis très jalouse et possessive. Je n'accepterais pas qu'Olivier décide de sauter une autre fille que moi.
- Je te comprends, moi-même, si Hervé me trompait, je ne pourrais le supporter.
- Tu le regardes pourtant beaucoup.
- C'est pour le plaisir des yeux, elle est si? volumineuse?
- Pourtant j'ai une technique pour qu'il me reste fidèle le plus longtemps possible.
- Laquelle ?
La encore, je savais que j'offrais complaisamment ma vulve épanouie à mon magnifique amant. Je lui étais totalement soumise et heureuse de l'être. Une nouvelle vague de plaisir m'envahie et un peu plus tard dans une autre position encore, un troisième orgasme. C'est à ce moment qu'Hervé déversa son sperme en moi.
J'étais comblée.
- Je l'offre à certaines de mes copines. Tu vois, si tu en as envie, je peux lui demander qu'il te baise. Il y prendra beaucoup de plaisir, et comme c'est moi qui décide et qui propose, il ne me trompe pas tout en goutant à un autre sexe que le mien. Je trouve que je serais bien égoïste de le garder rien que pour moi avec le sexe qu'il a. Cela me fait plaisir de le prêter pour que d'autres filles puissent goûter à un tel plaisir. Après, j'aime bien partager avec elles ce qu'elles ont ressenti. Certaines se sentent déchirées, d'autres avouent avoir éprouvé une jouissance énorme avec ce sexe énorme qui les a rempli totalement. C'est très divers en fin de compte.
L'idée n'était pas pour me déplaire, bien au contraire. Mais je voulais tout d'abord en parler à mon mari sans l'accord duquel je ne me sentais pas capable de tenter l'expérience : je l'aime trop pour avoir l'idée de le tromper.
- Si tu en as envie, me dit Hervé, je suis d'accord.
- Tu voudras être présent.
- Pourquoi pas ma chérie, si tu le veux bien.

Je donnai donc ma réponse à Sophie et nous décidâmes que cette dernière soirée en leur compagnie serait celle de ma première expérience avec un black bien monté. Je n'avais jamais fait l'amour avec un noir car l'opportunité ne s'était jamais présentée. Par contre, deux de mes copines avaient déjà baisé avec des noirs. La première m'avait dit que ça avait été divin et que son partenaire était particulièrement bien monte et résistant. La seconde me dit simplement que le sexe d'ébène qu'elle avait connu, certes, était volumineux, mais que sa rigidité laissait à désirer.
Donc pour cette expérience, mon mari allait être présent, ainsi que Sophie. Ils nous regarderaient faire l'amour, mais entre eux, pas de pénétration, ils pourront seulement se branler mutuellement. C'était le souhait de Sophie. Elle ne voulait pas que d'autres sexes que celui d'Olivier entre en elle.


Je décidais de ne pas être nue ce soir-là, mais de m'habiller très sexy, avec une petite robe transparente très moulante, bas et porte-jarretelles, mais sans culotte. Par la transparence du tissu on apercevait nettement les aréoles brunes de mes seins et le buisson brun de ma chatte.
Quand nos invités arrivèrent, ils furent très surpris de me trouver habillée, tandis qu'eux comme à l'accoutumée se trouvaient nus. Nous nous installâmes autour de la table basse du salon pour commencer à prendre l'apéro. Je remarquais qu'Olivier me mâtait bien plus que si j'avais été totalement nue.
Sans gêne, j'écartais les jambes pour qu'il puisse voir ma fente à travers le tissu clair. Pourtant, il gardait une certaine retenue, sa queue ne montrant aucun frémissement d'excitation. Soudain, Hervé se mit à faire l'article comme si j'étais une jument à vendre ou une vulgaire pute à prendre et dans la situation où je me trouvais, cela ne me déplaisait pas vraiment :
- Olivier, voilà ma chère et adorée petite salope qui a envie de gouter à ton énorme queue. Avec un bel étalon comme toi elle va se régaler.
- Merci de l'offrir ainsi Hervé, dit Sophie. Es-tu consentante Elodie ?
- Oui, dis-je, je le suis.
- Tu ne le regretteras pas, tu vas découvrir autre chose, tu vas être transportée dans une autre dimension. Et toi, Olivier, qu'en penses-tu ?
- Je suis certain de passer un très bon moment, répondit-il en riant. Ne t'inquiète pas Elodie, c'est gros, c'est long, mais j'irai avec douceur ; je veux te donner du plaisir, certainement pas faire mal ou te faire souffrir.
- Vois, ses deux nichons dont les pointes sont déjà dressées, poursuivit Hervé. Elle adore qu'on lui malaxe ses mamelles. Elle a allaité nos deux enfants tout en me faisant goûter à son lait, mais ils sont restés très fermes, très doux. Ils sont un attribut magnifique chez elle.
- Je m'emploierai à lui donner tout d'abord du plaisir en caressant ses beaux nichons.
- Et là, tu aperçois son entre-jambe? Ouvre un peu plus les jambes, chérie. Tu vois cette vulve, elle est déjà ouverte pour t'accueillir.
-Elle a quelques poils sur la chatte, mais qui ne masque nullement son sexe.
- Oui, j'aime bien sa pilosité. Tu trouveras bien des trésors à la lisière de cette fente, un clitoris réceptif, des lèvres frétillantes, un point G extraordinairement délicat. Oh mais, son sexe est tout humide, il est temps de te mettre au travail Olivier.
Le beau noir me posa une main sur la cuisse et remonta le long de ma jambe tout en m'embrassant. Il me fit mettre debout, fit choir à terre ma fine et transparente robe. Je ne portais plus que mon porte-jarretelles et mes bas. Je me sentais extrêmement salope dans cette tenue, mais pour une séance de sexe comme celle-ci, c'est une allure qui m'allait très bien.
Il m'admira un instant, parcourant mon corps de son regard de braise, une chair qu'il connait pourtant, mais qu'il semble découvrir soudainement. Pendant cette pause, j'en profitais pour prendre sa belle queue en main : elle grossissait déjà. Il me caressait les bras puis les seins délicatement, sans précipitation et avec douceur.
Je jetai un regard de côté et constatai que mon mari présentait une belle érection et tenait la base de sa queue dans sa main. Sophie était prête à s'occuper de sa tige pour venir la sucer et la lécher.
J'ai eu très envie de sucer ce magnifique étalon : je descendis vers son merveilleux membre en demi-érection. Je m'occupai de son gland tout noir comme le reste de sa peau, avant de m'attaquer à la colonne de chair palpitante. Pendant que je la léchais (car le prendre en bouche me paraissait impossible, sinon à me décrocher la mâchoire) il me caressait le dos, les fesses, il introduisit un doigt dans mon cul. J'acceptai avec plaisir cette caresse anale. Sa grosse bite bandait bien à présent tandis qu'il poursuivait son exploration en atteignant ma chatte. Je mouillais déjà et nous n'en étions qu'aux préliminaires. Je ne m'occupais plus du tout des deux spectateurs, mon attention n'étant retenue que pas ce beau membre dressé qui m'était offert.
Olivier se dégagea de mon emprise et m'allongea sur le canapé. Il plaqua sa bouche sur mon sexe tout en me laissant le loisir de m'occuper de sa belle queue. Avec ce beau 69, il fouillait ma chatte dont la mouille devait lui couler sur le visage et dans la bouche. Avec sa langue, il virevoltait entre mes lèvres intimes, les muqueuses de l'entrée de mon vagin et le clitoris qu'il agaçait à tel point que j'étais déjà à l'orée de la jouissance.
Il me fit une nouvelle fois lâcher prise, enfila un préservatif XXL et je me retrouvais le sexe au-dessus du sein. Ainsi, c'est moi qui allais diriger les opérations, c'est moi qui aurais la liberté de stopper la pénétration au stade que je souhaiterais.
Je m'empalais sur son énorme sexe dur et tendu. Je n'avais aucune difficulté à le faire à entrer en moi tellement j'étais lubrifiée, mais je le sentais passer, c'était presque douloureux, mais tellement bon. Je le fis aller profondément en moi, je fis une pause, je le ressortis un peu, pour le faire aller un peu plus loin. Je pratiquais de la sorte quatre ou cinq fois afin que mon vagin se dilate naturellement. Jusqu'au moment où le bout de son gland atteignit l'entrée de mon utérus.
Il était extraordinairement planté en moi et j'eus un premier orgasme. Pendant que je gueulais de plaisir, il prit l'initiative et opéra un va-et-vient en moi. Je n'eus pas le temps de récupérer de ma première jouissance que je fus envahie d'une seconde. Il me prit alors en levrette, faisant tout de même attention à ne pas me faire mal en allant trop loin en moi. Car tout son sexe ne pouvait entrer en moi.
Je prenais un pied énorme à me sentir investi de la sorte, d'avoir toutes les parois de mon vagin ainsi sollicités. Même si la douleur n'était pas absente, la jouissance était plus forte que tout et j'en voulais encore, je ne voulais pas qu'il s'arrête.
- Tu aimes ma grosse queue, me dit-il, tu la sens bien ma salope, oh oui je vais te la bourrer ta chatte avec ma grosse queue de black.
Alors que je n'aime pas particulièrement ces paroles insultantes, voire avilissantes, j'étais incapable de réagir. D'ailleurs, l'aurais-je fait ? Non j'étais tout à mon plaisir, et c'est un troisième orgasme encore plus fulgurant et dévastateur que les deux précédents qui me traversa et un quatrième?
Après ?
Je ne sais plus, je n'avais plus conscience de ce qui se passait, mon esprit et mon corps faisaient deux et le beau black qui me prenait pouvait faire ce qu'il voulait de moi.
Il sortit de mon sexe (du moins c'est ce qui me sembla car je n'étais vraiment plus en l'état de comprendre ce qui se passait) et éjacula sur mon ventre et mes seins. Lorsque je repris conscience, je vis Sophie qui recueillait précieusement le sperme de son copain en me léchant le corps. A n'en pas douter elle était en train de me baiser, mais je ne la repoussai pas, car d'une part je n'en ai pas la force et d'autre part, elle me procurait beaucoup de plaisir.

- C'était magique, dis-je un peu plus tard dans la soirée.
Une fois dans notre chambre je dis à Hervé :
- C'était une expérience extraordinaire, j'ai pris un pied énorme et je me sens totalement défoncée.
- Je ne vais pas te baiser ce soir, tu ne sentirais pas ma queue.
- C'est vrai mon amour, je suis totalement distendue.
- Mais au moins, accepteras-tu mon petit sexe à l'avenir. As-tu définitivement prix goût à des gros calibres comme celui d'Olivier ?
- J'aime bien mieux un beau sexe comme le tien qui me fait un bien fou mon chéri. Avec un engin comme celui d'Olivier, je ne pourrais pas tenir la route bien longtemps. Je me demande même comment fait Sophie pour tenir le coup.
- Tu sais elle branle et suce très bien, peut être ne se fait-elle pas prendre toutes les nuits tout en donnant à son homme beaucoup de plaisir. C'est peut-être aussi la raison pour laquelle elle n'hésite pas à l'offrir à ses copines.
- Tu veux dire qu'ainsi cela lui permet de se « reposer » ?
- Pourquoi pas ?
C'était une possibilité.

Nos clients suivants furent beaucoup plus calmes sexuellement parlant. Ils se comportèrent comme de véritable naturiste, vivant leur nudité sainement et sans aucune sexualité apparente. Je ne savais pas ce qui se déroulait dans leur chambre, la nuit venue ; cependant jamais nous n'en parlâmes ni de participâmes.




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