Dans le vestiaire...

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Proposée le 1/06/2012 par Minousdamour

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Il faut d'abord que je me présente avant de vous raconter l'aventure qui m'est arrivée il y a quelque temps. Je m'appelle Loïse, j'ai 19 ans et je suis des études de droit. Je sors avec un des beaux gosses de mon collège, Pierre. J'ai vraiment de la chance avec lui. Il est attentionné, doux, pas trop collant et en plus, il sait s'y prendre avec les femmes. Cela fait maintenant deux ans que je suis avec lui et je suis très heureuse.
Le jour de mon aventure, j'étais allée voir Pierre à un de ses matchs de foot. Il faisait beau et j'avais envie de voir les regards des hommes sur moi ; j'avais donc enfilé une petite robe assez courte qui dévoilait mes longues jambes bronzées et j'avais opté pour une paire de talons compensés. Avec mes longs cheveux bruns bouclés lâchés sur mes épaules et mes yeux maquillés soulignés d'un trait d'eye-liner, je peux dire sans me vanter que j'étais vraiment sublime.
J'avais hurlé pendant tout le match, mais ça n'avait pas empêché l'équipe de Pierre de perdre. Il était pourtant de bonne humeur après cette défaite et je le soupçonnais d'avoir une idée me concernant vu la petite lueur dans ses yeux qui s'allumait quand il me regardait. Il me prit la main, me conduit jusque vers son vestiaire, m'embrassa doucement et me dit d'attendre devant la porte.
Ce que je fis. Je consultai mes messages pour passer le temps mais Pierre revint rapidement. Il se colla contre moi et me regarda droit dans les yeux puis il m'embrassa et glissa sa main sous ma robe, remontant lentement le long de ma cuisse. Je sentis mon string se mouiller.
- Ici, maintenant ? Lui soufflais-je à l'oreille.
- Attends, me dit-il, tu ne seras pas déçue ! Laisse-toi faire.
Sur ces mots, il me noua un bandeau noir autour des yeux et me conduisit dans le vestiaire. Là, il me demanda de m'asseoir sur le banc. J'entendis des voix étouffées, ce qui me conduit à penser que nous n'étions pas seuls dans le vestiaire. Pierre me laissa pour prendre une douche après avoir laissé vagabonder sa main le long de mes lèvres intimes. Je venais de comprendre que je n'allais pas me taper seulement Pierre mais plusieurs autres mecs de son équipe. J'étais très excitée et ma main descendit d'elle-même en direction de mon minou dégoulinant. Je commençai à titiller mon clitoris. Je sentais le plaisir monter et même si je savais que d'autres pouvaient m'entendre, je ne pus retenir mes gémissements. J'enfonçais doucement un premier doigt dans mon vagin bien lubrifié. Soudain, j'entendis une voix :
- Putain Pierre, elle est bandante ta copine !
Au lieu de m'arrêter, je continuais de plus en plus fort, encore plus excitée par le fait que quelqu'un me voyait. Mais des lèvres se plaquèrent contre les miennes et je reconnus l'haleine brûlante de Pierre. Il sentait bon, vu qu'il venait de se doucher.
- Alors bébé, tu ne pouvais pas nous attendre ? dit-il avec amusement.
- T'inquiète pas, on va bien s'occuper de toi, hurla un autre mec.
De nouveau, ils éclatèrent de rire. Je ressortis mon doigt de mon vagin pour mieux profiter du baiser. Il me caressait la nuque avec passion et il descendit ses mains vers les bretelles de ma robe, qu'il baissa pour laisser apparaître le haut de mon soutien-gorge jaune fluo. Soudain, un autre homme se colla dans mon dos et je sentis sa verge en érection dans le bas de mon dos. Je sentis qu'il retira ma robe, qui tomba en sol. Il ne restait plus que mon soutif et mon string, en dentelle jaune fluo. Plusieurs sifflèrent mon corps de bombe. L'homme derrière moi dégrafa mon soutif en frottant sa queue contre mon cul puis il commença à me caresser les seins. Il les tripota dans tout les sens, les pinça, les malaxa et puis il souffla dans mon cou en murmurant :
- T'aimes ça hein, cochonne ?
Brusquement, les caresses cessèrent et on me tira jusqu'au banc où ils m'aidèrent à m'asseoir car je ne voyais rien. Soudain, on m'engouffra une bite dans la bouche et un des mecs cria :
- Suce moi, chérie et suce moi bien !
Je commençai à lui suçoter le gland. J'aimais faire des fellations car je me sentais soumise et ça m'excitait. Je remontai lentement le long de son sexe veineux et épais, ce qui le fit hurler de plaisir. J'avais de l'expérience dans ce domaine et il ne tarda pas à crier qu'il allait jouir. Il se retira de ma bouche et je sentis son sperme ruisseler sur mes seins. Quelqu'un commença à me nettoyer à grand coup de langue et je gémis de plaisir. Quelqu'un me fit me lever et baissa brutalement mon string.
- Oh la petite coquine, elle est déjà toute mouillée.
Ils rirent tous ensemble puis m'ordonnèrent de me mettre à genoux. Une autre queue, plus longue et plus étroite, vint dans ma bouche. Celui-là ne me laissa pas faire. Il donna des grands coups de reins et me baisa la bouche, essayant de s'enfoncer le plus loin possible. J'avais les larmes aux yeux. Je sentis soudain une langue sur mon clitoris. Je criai de plaisir et hurlai :
- Prenez-moi comme une chienne !! Je peux plus attendre !
Je criai comme une folle et l'autre ne cessait pas. Il introduisait sa langue dans mon vagin et j'eus un premier orgasme pendant que l'autre me baisait toujours la bouche. Soudain, je sentis un gland à l'entrée de mon vagin. L'homme, je ne savais pas qui c'était, enfonça doucement sa longue queue en moi. Il allait trop lentement alors je hurlai « encore plus fort ! » et il commence à me ramoner la chatte. Ils crient en même temps puis il remplit mes entrailles avec son sperme.
- C'est une bonne salope ta copine, Pierre !
L'autre s'est retiré de ma bouche sans jouir entre temps. Je sentis une nouvelle queue dans mon vagin. Elle était bien plus grosse et je me dis que c'était ce grand black de l'équipe.
- Alors tu l'aimes ma queue ?
- Oh oui elle est parfaite, continue !
J'atteins un deuxième orgasme qui me laissa en sueur. Il se retira mais n'avait toujours pas joui alors je me dis qu'il y avait un problème. Soudain, lorsqu'il m'enfonça deux doigts dans la chatte pour les lubrifier, je compris. Il les introduisit dans mon anus puis il les remplaça par sa grosse queue. Cela me fit un peu mal mais ce fut vite remplacé par le plaisir. Il me pénétrait violemment et criait fort. J'adorais sentir sa bite taper dans mon cul et il me donnait des petites tapes sur la fesse.
- Attention, j'arrive, hurla un autre, qui s'introduisit violemment dans ma chatte.
Que c'était bon d'avoir deux bites dans le corps. Je les sentais se taper l'une contre l'autre et je gémissais de plaisir. Soudain, j'eus un orgasme tellement puissant que je m'évanouis en hurlant :

- Oh oui, baisez moi fort, je suis votre salope !!
Quand je me réveillai, j'étais allongée nue sur le sol et Pierre était assis devant moi. Il avait retiré mon bandeau. Il me sourit :
- Tu as été parfaite.
Lorsque je vis son sexe toujours en érection, je lui souris à mon tour :
- Tu n'as pas eu ta part on dirait, alors laisse-moi m'occuper de toi.
Je me relevai et prit son sexe en bouche. Je commençai doucement à faire des va-et-vient et je prenais son sexe au plus profond de ma gorge. Il m'éjacula dans la bouche et j'avalais tout puis je repris sa bite pour la nettoyer. Ensuite, nous nous sommes rhabillés et nous sommes allés manger une glace.
- Merci de m'avoir prêtée à tes amis, recommence quand tu veux ! Lui dis-je le soir même.