J'ai tellement envie d'elle...

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Proposée le 28/05/2012 par Kwey

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On doit dire que parfois, l'imaginaire peut nous jouer des tours. On ne contrôle pas nos pulsions, nos désirs, ni les images peut-être parfois répétées qui nous viennes à l'esprit' J'ai 22 ans et j'ai l'impression que ça ne fais qu'augmenter avec le temps. Jeune fille prude, qui n'a pas beaucoup d'expérience côté sexualité, étant avec le même copain depuis l'âge de mes 15 ans et ayant tout vécu de mes expériences avec lui, j'ai tendance à m'égarer dans mes pensées. Je n'ai pas l'intention de le tromper, l'amour est quand-même important, bien présent, et je suis bien. Mais est-ce qu'imaginer, rêver, fantasmer sur quelque chose est inclus dans l'infidélité ?

Depuis quelques années, mes fantasmes diffèrent, passant d'une chose à une autre, au fur et à mesure que mon répertoire et ma gêne vis-à-vis le sexe s'étanchent. Mais il y a quelque chose qui m'a toujours agacé l'esprit, ce sont les femmes' étant femme moi-même, j'ai toujours été attirée par les hommes durant mon adolescence, souvent ceux de quelques années plus âgés que moi, mais on ne peut se cacher qu'un corps de femme donne quand-même envie? Ça m'a toujours titillé un peu, ressentant certains effets dans mon ventre, m'imaginant parcourir le corps d'une femme, apprendre à le découvrir, l'apprécier, l'aimer. Et ce désir se fait de plus en plus ardent. J'en ai parlé une fois à mon copain, lui disant que si je n'étais pas avec lui, sans doute que je tenterais l'expérience, que cela me donnais envie, et que peu importe, fille ou garçon, je serais bien dans mes choix. Mais voyant sa réaction désapprobatrice, alors qu'il est un homophobe né, j'ai décidé de garder le reste pour moi. Seulement' ça reste bien encré et je ne peux retenir l'irrépressible envie qui me démange l'entre-jambes en pensant, m'imaginant le vivre? encore plus depuis quelques mois.

J'ai une amie beaucoup plus ouverte sur ce genre de chose que quiconque de mon entourage, qui a vécu plusieurs expériences, homme, femme, et qui profite de la vie. Parfois, parler avec elle, me donne certaines envies d'en faire autant, mais je suis trop fidèle à mon copain. J'ai appris à apprécier cette fille, à former une amitié avec elle, de plus en plus puissante? et malgré moi, à ressentir pour elle quelque chose de plus qu'une simple amitié. Et pendant nos trois mois de cohabitation lorsqu'elle est venue vivre chez moi, les sentiments ont également fait place à un désir, une envie, une pulsion' Nombre de fois les images ont déferlé dans ma tête, me demandant quel goût pouvaient bien avec ses lèvres, sa peau, voulant découvrir sa douceur, sa chaleur? l'étreinte d'une femme, une fois dans ma vie. Je suis passée près de le lui dire à quelques reprises, de lui en faire part, après tout elle ne me jugerait pas, ça je le savais' mais je me sentais quelque part coupable de le faire? donc je me contentais d'imaginer? plus encore depuis qu'elle est repartie dans son pays, comptant les jours où elle reviendra à la maison' Mais pendant ce temps, mon esprit lui, fabule, est de plus en plus imaginatif?

***


Elle est là, à côté de moi, assise sur le canapé à papoter tranquillement avec moi, avec se sourire si particulier qui malgré moi me fait fondre de jours en jours. Elle n'est pas un top modèle, moi non plus d'ailleurs, mais elle a une beauté que je ne peux expliquer. Un regard rempli de vie, de malice, une peau qui semble si douce qu'elle m'en fait rêver? Bref ! Nous sommes là, assises chacune de notre côté du canapé, notre portable sur les genoux et discutant, alors que je lui jette quelques regards de temps à autres, me mordant la lèvre de façon, je le veux, discrète, pour tenter de calmer mes envies. Seulement, elle l'a remarqué, posant son regard sur moi, m'arrachant à se simple contact visuel un frisson de désir.

- Qu'est-ce qu'il y a? tout va bien ?
- Oui oui?
- Tu semble préoccupée ma chérie.

Ce petit surnom donné affectueusement me fit légèrement sourire, elle n'avait aucune idée de ce qu'il pouvait provoquer en moi. Je finis par relever mon regard bleuté sur elle, la regardant un court moment avant de finalement inspirer doucement pour me donner un peu de courage, ou un coup de pied au derrière, voir pour tenter de parler franchement avec elle.

- Disons simplement que? Non laisse, c'est rien, ne t'en fais pas.

Elle me sourit doucement venant poser négligemment une main sur la mienne, la chaleur de sa peau me fit frissonner doucement, comme si j'étais totalement frigorifiée.

- Tu sais que tu peux tout me dire? Aller, ne soit pas timide.

Je mordis l'intérieur de ma joue, me disant qu'avoir fait ça plus tôt, ça aurait été plus discret. Mais bon, maintenant que le sujet était lancé, je n'allais quand-même pas reculer maintenant. Déglutissant légèrement, incapable malheureusement de garder mon regard dans le sien, je repris d'une voix plus légère, faible mais déterminée.

- J'ai plusieurs envies qui me rongent de l'intérieur, je ne sais pas comment t'expliquer?

Mais me disant que le plus simple, c'était la façon crue, la façon drastique, arracher le collant d'un coup comme on dit, je finis par relever mes yeux sur elle.

- J'ai envie de toi?

Elle garda le silence un moment, pendant que mon c'ur battait si fort que j'avais l'impression qu'il allait me rendre sourde à me taper dans les oreilles comme ça. C'était dit, voilà. Et maintenant, tout ce qu'il restait à faire, c'était d'attendre? soit cela créerait un malaise, elle me dirait que ce n'était pas une bonne idée, ou pire, que ce n'était pas quelque chose de réciproque, ou' au contraire, mais je doutais beaucoup de cette option. Nous étions que toutes les deux à l'appartement, en début d'après-midi, alors que mon copain lui était au boulot jusqu'à 17h30 au minimum. Dans un silence qui me parut des heures, trop long à mon goût, je m'apprêtais à lui dire d'oublier ça et de se concentrer sur l'écran de mon ordinateur, mais j'entendis alors un déclic, alors qu'elle, de son côté, avait refermé le sien et l'avait posé sur la petite table du salon. Et elle me sourit' avant de s'approcher doucement de moi, qui étais littéralement figée. Elle prit doucement mon portable pour en faire de même, avant de plonger son regard caramel dans le mien. Elle était si près, que je sentais son souffle se mêler au mien qui s'était accéléré légèrement. Et elle souriait toujours, ce qui me rassura légèrement. Elle vint reposer sa main sur la mienne, ne disant toujours pas un mot, nous fixant un long moment, avant qu'elle ne rapproche son visage du mien. J'ai eu l'impression de sentir un effleurement, une simple petite douceur sur mes lèvres, comme si elle était assez proche pour frôler mes lèvres des siennes, mais je crus alors rêver, ce n'était qu'une image, encore? puis dans un dernier sourire, elle ferma les yeux, coupant le contact visuel, et je m'attendis alors à la retrouver toujours à sa place avec son ordi, mais c'est la douceur de ses lèvres pour de bon posées sur les miennes qui me permit de comprendre que sa se passait pour vrai. J'avais beau l'avoir imaginé tant de fois, rien n'avait été si doux, si délicieux dans mon esprit. Je soupirais longuement avant de fermer les yeux à mon tour, retrouvant ma capacité à bouger, et répondis à son baiser langoureusement, n'osant pas la toucher pour le moment, mais savourant plutôt ce baiser qui j'en avais peur, ne se termine trop vite à mon goût. Elle sembla lire dans mes pensées, alors le baiser se fit légèrement plus passionné, me montrant ainsi qu'elle avait aussi ce désir en elle, et je finis par lever une main qui se glissa dans son cou, bougeant un peu sur le canapé pour prolonger ce baiser, me collant un peu contre elle, allant timidement à la recherche de sa langue avec la mienne. C'était si bon, si doux, rien de comparable avec un baiser masculin, et j'avais l'impression que je pourrais perdre la tête à ce simple contact.

Je sentis alors sa main venir prendre la mienne, la serrant doucement pour finalement, à mon plus grand regret, sentir ses lèvres se détacher des miennes. Elle allait sans doute me dire qu'on ne pouvait pas faire ça et elle aurait raison de le faire? mais je ne pouvais ignorer la chaleur qui avait pris place dans mon bas-ventre. Mais la suite des choses me surpris.

- Viens'

Elle se leva finalement du canapé, tirant sur ma main qu'elle avait toujours gardé, pour m'entrainer avec elle, et lentement, nous quittions le salon pour se rendre dans le corridor qui mène aux chambres. Elle pose son autre main sur la poignée de la porte de sa chambre, se tourne vers moi pour y entrer de reculons avec ce sourire qui, même si j'avais eu une once de culpabilité pour ce que je faisais alors, aurait complètement fait envoler mes doutes. J'entrai donc avec elle, refermant la porte par pur réflexe derrière moi, puis m'approchai d'un pas pour coller enfin mon corps au sien dans un soupire de bien-être, allant en même temps chercher à nouveau ses lèvres pour un baiser passionné, fougueux, nos lèvres, nos langues se cherchant avec avidité. J'allai mordiller avec envie sa lèvre inférieure en plongeant mon regard dans le sien, un regard embué par le désir, pour enfin poser mes mains sur son corps qui me faisait tant rêver la nuit. Glissant mes mains à la lisière de son chandail, j'allai directement me frayer un chemin pour glisser le bout de mes doigts sur sa peau, que je découvris douce sans aucune surprise. J'ai le c'ur qui battait la chamade, et cette chaleur dans le bas-ventre qui ne faisait qu'augmenter à chacun des gestes que j'ai eu le courage de faire. Elle se fit entreprenante également, j'avais envie de la suivre, qu'elle me guide, qu'elle me dise quoi faire, comment faire? ses doigts agrippèrent le tissu de mon haut et le relevèrent lentement, pour finalement me le retirer, me retrouvant en soutien-gorge noir. Je sentis son regard glisser sur ma peau pâle avant de reprendre mes lèvres, tandis que j'entrepris de faire la même chose avec elle, lâchant ses lèvres qu'un court instant laissant son chandail passer pour le jeter je ne sait où dans la pièce.

Elle m'entoura alors la taille, me collant contre elle, ma peau fut parcourue de frisson incontrôlable, alors que j'allai perdre mes mains dans ses cheveux, la respiration courte contre ses lèvres. Je la sentit me faire doucement tourner pour finalement me pousser vers le lit et j'y pris place sans discussion, lui faisant totalement confiance. Ce fut elle la première qui partit à la découverte de mon corps de ses lèvres, s'étendant à demi sur moi, embrassant, léchant ma peau, partant de mon cou, pour glisser vers ma poitrine qu'elle laissa tout de même prisonnière des bonnets de mon soutif, allant embrasser mon ventre qui se contracta de plaisir, m'arrachant un gémissement. Je sentis alors ses doigts s'attarder sur le bouton de mon jeans, pour finalement l'ouvrir, et me retirer mon pantalon, alors que je relevai les hanches pour l'aider dans ses démarches, ne me retrouvant qu'en sous-vêtement assortis devant elle. Je sentis le rouge prendre possession de mes joues. Je n'avais jamais vraiment eu confiance en moi, me retrouver comme ça, devant elle, sous les rayons du soleil qui traversaient sa fenêtre, me mit légèrement mal à l'aise. Mais son regard rencontra le mien, et elle avait du voir le rouge sur mes joues, alors qu'elle vint se coller contre moi en murmurant.

- Tu es belle?

Puis ses simples mots, dans un souffle, un murmure, me donnèrent l'énergie et le courage nécessaire pour prendre le contrôle, allant chercher ses lèvres fougueusement, avant de la faire s'étendre sur le dos à son tour. Empruntant également le trajet de son cou de mes lèvres et ma langue, je m'attardai sur le haut de sa poitrine, avide d'en découvrir d'avantage. J'allai donc glisser mes mains dans son dos pour dégrafer son soutif et elle m'aida en se redressant un peu, pour libérer ses seins dressés par le désir. Et enfin, mes lèvres rencontrèrent sa peau pour de bon, c'était chaud, doux, indescriptible. Elle rejeta la tête vers l'arrière, se cambrant un peu sous moi, comme pour m'offrir sa poitrine dont je me délectai un moment avec gourmandise. J'en demandais d'avantage, je voulais en voir d'avantage, mais j'étais légèrement bloqué par mon manque d'expérience et elle le sentit. Elle nous refit donc basculer pour se retrouver sur moi.

- Laisse toi faire?

Je compris alors qu'elle souhaitait agir, me montrer la marche à suivre, pour mieux me guider. Elle vint dégrafer mon soutien-gorge pour ensuite me le retirer, plongeant également sa bouche sur ma peau pour la gouter avec délice, m'arrachant quelques gémissements, ayant toujours été très sensible de cette zone érogène. Puis elle glissa à nouveau sur mon ventre, traçant un sillon de sa langue, pour ensuite venir taquiner ma culotte, un moment, et voyant que je ne m'opposais pas, entreprit de lentement me la retirer. Étant finalement nue devant elle, la gêne qui m'avait d'abord animée faisait maintenant place à un désir plus grand. J'ai tellement imaginé ce moment, j'avais du mal à croire que cela arrivait enfin ! Je sentis ses lèvres venir se poser à l'intérieur d'une de mes cuisses, alors que ses mains elles vinrent m'écarter doucement les jambes. Je posai la tête sur l'oreiller, fermant les yeux, et je ne pue me retenir de venir lentement poser mes mains sur mes seins pour caresser ma poitrine, la position présente ne me permettant pas d'aller la caresser elle. Je crus deviner un sourire sur ses lèvres contre ma peau, alors que je sentais son regard sur moi. Je n'avais pas l'habitude de me laisser aller à se point, mais c'était tellement fort, puissant, tellement bon' Mon bassin ondula alors doucement, à la quête d'en avoir plus encore. Et elle ne me fit pas languir?

Je sentis son souffle chaud se percuter contre les lèvres de mon intimité déjà humide depuis un bon moment. C'était chaud, accueillant, mais je sentis aussi le contraste de froid, alors qu'elle jouait elle-même de son souffle, me faisant soupirer de plaisir. J'en voulais tellement plus, mais en même temps, je ne voulais pas que tout ça se finisse? et alors, ce fut sa langue, la pointe de celle-ci, qui vint s'insinuer entre mes lèvres, un long gémissement de satisfaction traversant mes lèvres alors que je me cambrai contre mon gré à la rencontre de cette langue taquine. Elle la glissa de haut en bas et de bas en haut dans une lente torture qui me fit perdre la tête. J'haletai, allant serrer le drap sous moi, alors que je posai mes pieds à plat sur le matelas en écartant les cuisses d'avantage. Sa langue se fit alors plus taquine, allant plus rapidement sur mon intimité, allant découvrir ma perle gonflée comme jamais pour la taquiner, l'aspirer entre ses lèvres, la frôler de ses dents. Je gémissais de plus en plus, ne pouvant retenir ses plaintes de plaisir qu'elle créait. Je sentis alors un contraste de température, alors qu'elle vint agacer l'entrer de mon intimité du bout de deux doigts frais, et j'ai cru que mon intimité pourrait les aspirer d'un coup tellement l'envie était grande. Et c'est là que je murmurai son prénom pour la première fois, dans une demande, presque une supplication. Et c'est alors que je sentis ses doigts venir s'engouffrer dans mon antre chaud et humide, ma cyprine l'aidant à pénétrer sans mal, m'arrachant un cri alors que je me cambrai d'avantage. Sa langue allant toujours sur mon clitoris avec une gourmandise que je ne croyais pas possible, ses doigts s'activèrent en moi dans des va-et-vient délicieux, tournant sur eux-même, me fouillant, atteignant même cet endroit qui me fit râler. Je n'en pouvais plus, mes cris se firent plus forts, plus puissants, j'écartai d'avantage les cuisses et elle en profita alors pour insinuer un troisième doigt en moi, aspirant à nouveau ma perle. J'avais chaud, j'étais en sueur, et dans gémissement de plaisir alors que je criai son nom, l'orgasme me prit de plein fouet avec une puissance que j'avais rarement connu. Mes muscles se crispèrent et je tremblai violemment de tout mon corps alors qu'elle continuait le traitement pour pousser ma jouissance à bout, jusqu'à ce qu'à bout de souffle, je retombe complètement sur le matelas, haletante, les yeux clos, frémissant toujours par secousses. Elle retira alors lentement ses doigts, dans une lenteur ravageuse, qui m'arracha un nouveau gémissement, puis d'un dernier baiser sur mes lèvres intimes, entreprit sa remontée sur mon corps parcouru de frissons incontrôlables. Et j'accueillis ses lèvres dans un baiser doux, chose que je détestais faire généralement après ce genre de pratique, mais qui m'émoustilla plus que je ne l'aurais cru cette fois, jouant avec sa langue de la mienne. J'étais incapable de dire quoi que se soit, complètement vidée par cet orgasme violent, et elle me caressa doucement du bout des doigts, chaque parcelle de peau qu'elle atteignait. Et elle me sourit' ce sourire?

Elle ne quitte plus mes pensées depuis se fantasme éveillé, pour en connaitre d'autres, commentez ! C'est mon tout premier récit, laissez vous aller dans vos commentaires.