Laurent. Troisième époque

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 27/05/2012 par laure95

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Le lendemain, j'arrive à l'hôtel de la place dès 19 heures 30. A la réception, je demande la clé de la chambre, rouge de confusion. Et deviens plus cramoisi encore lorsque j'avoue n'avoir pas de bagage, et refuse le petit-déjeuner.
J'indique par SMS le numéro de la chambre à Jean, sans réponse de sa part. Je prends une douche, eau de toilette, et attends sur le lit, vêtu de mon seul boxer transparent. Je bande à l'idée des douces caresses à venir, de ses mains parcourant mon corps, de son sexe courant partout sur moi, de ses mains ôtant le boxer et de sa bouche me goutant' J'ai même très envie de me caresser un peu en attendant, lorsque la porte s'ouvre. Je me lève, tremblant de désir, bouche offerte pour un premier baiser. Sa langue me fouille, je me presse contre lui, nos sexes sont dressés l'un contre l'autre.
- Déshabille moi vite.
Je dégrafe sa chemise, lutte contre sa ceinture, défais lentement les boutons de son jean qu'il finit d'ôter. Je le caresse au travers de son slip rouge, et je vois qu'il apprécie. Je cherche à nouveau sa bouche mais il me repousse fermement.
- Le slip aussi, et tu n'as plus le droit d'employer tes mains dès maintenant.
Je m'agenouille, et fais glisser le slip avec mes dents. Son sexe dressé, tendu, gonflé, prend son essor, et j'accompagne le slip jusqu'au sol. Il s'assied dans un fauteuil, jambe écartée, et m'invite à le rejoindre, toujours à genoux.
- Donne moi ta bouche.
Ça n'est pas le romantisme échevelé que j'avais imaginé, mais c'est mieux encore. Je perds toute inhibition et je m'excite à l'idée de ces interdits qui tombent tout naturellement à la demande. Mon sexe est dressé dans son filet transparent, réclame des caresses qui viendront sans doute lorsque j'aurai satisfait Jean. Les mains sur ses cuisses, je commence à lui lécher la hampe, les boules ; il semble aimer, la tête renversée? Je me risque à prendre son gland en bouche, le presser un peu, puis le quitte pour de nouveaux coups de langue. Il prend ma tête à deux mains, me guide vers son sexe, et m'invite à le gouter, me force à le prendre de plus en plus profond, accélère et ralentit mes va-et-vient à sa guise. Mon sexe me fait mal tant je bande ; ma main s'invite dans mon boxer pour quelques caresses, mais un coup sur le bras m'interrompt. Je repose mes mains sur les cuisses et continue mon ouvrage? Jean gémit par moment, mais mes caresses ne semblent pas l'amener très vite à perdre les sens' J'accélère mon mouvement sans plus de succès, quand on toque à la porte.
- Ne t'arrête pas en si bon chemin me dit Jean, et ses mains me forcent à reprendre la caresse.
- Qu'est ce que c'est ?
- Le service d'étage, Monsieur; j'apporte la bouteille demandée.
- Bien, entrez.
Je le regarde effaré; je cherche à me retirer mais ses mains sont un étau. Le garçon referme la porte derrière lui, et semble pas vraiment choqué par le spectacle?
- Où dois-je poser cela Monsieur ?
- Sur la table, merci dit Jean en lui tendant un billet de 10 euros.
Le garçon s'approche pour prendre le billet. Il me dévore des yeux; ma gêne cède la place à ma folie, et je lèche le sexe, le suce, le dévore, ignorant toute pudeur. Le pantalon noir, moulant, du garçon d'étage ne cache rien de l'érection provoquée par le spectacle
- Rendez-moi un service, voulez-vous ? dis Jean en tendant son iPhone; j'adore avoir des souvenirs de mes amours; pouvez-vous prendre quelques photos pour moi ?
Le garçon saisit l'appareil, se penche, et me prend en train de lécher, de sucer, sous toutes les positions. Je ne sais quelle folie m'habite, je me soumets à toutes les poses, fier de mes capacités nouvelles' Le garçon rend l'appareil ; son sexe dardé ne tient plus dans son pantalon
- Je conçois que la demande puisse paraître incongrue Monsieur, dit-il, mais' Je ne peux reprendre mon service dans cet état d'excitation. Ce serait inconvenant vis-à-vis des autres clients. Me permettrez-vous de me caresser, rapidement, en vous regardant ?
La demande m'offusque, Jean s'en amuse.
- Certainement pas; mais mon camarade a les mains libres, et va se faire une joie de vous donner ce petit plaisir.
Le garçon dégrafe son pantalon séance tenante, s'agenouille et propose à ma main son sexe dressé ; les yeux de Jean m'ordonnent de m'exécuter, et je prends le membre en main, tout en reprenant mes va-et-vient sur le sexe dressé de mon ami. J'entreprends de branler l'un, de sucer l'autre. L'un m'invite à accélérer la cadence, l'autre me force à le sucer de plus en plus rapidement, de plus en plus loin, et ils ne tardent pas à exploser tous deux, l'un dans ma bouche, l'autre en un jet puissant qui m'asperge le visage.
Mon sexe est dardé, je suis tout fier du plaisir que j'ai su donner à mes hommes. D'une main ferme, Jean m'empoigne au travers du tissu, et ce seul toucher suffit à me faire exploser à mon tour.