Chroniques d'un étudiant (chap. 1): l'allumeuse

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Proposée le 25/05/2012 par Thomas

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Je me présente : je m'appelle Mathieu. Plutôt extraverti, je suis à l'aise dans les relations humaines. Pas particulièrement sportif, j'aime quand-même prendre soin de mon corps en allant courir au moins une fois par semaine. Physiquement, je mesure un mètre soixante-quinze, j'ai les cheveux châtains, les yeux bleus, un visage plutôt agréable à regarder (d'après les filles bien sûr). Je ne me considère ni trop musclé, ni pas assez, mais juste comme il faut. Bref, je vais oser le dire : je suis plutôt mignon.
A 23 ans, je viens d'entrer dans la vie active, comme ingénieur. C'est une nouvelle page de ma vie qui s'ouvre, celle d'adulte responsable. Mais pendant 5 ans, j'ai vécu les meilleures années de ma vie, celles où l'insouciance de la jeunesse se mêlait à la liberté nouvelle de la majorité. Bref, j'étais étudiant. Et c'est justement de cela que je voudrais vous parler. Je vais vous raconter mes premiers pas dans la vie adulte.

A l'époque, je venais d'avoir dix-huit ans. Le bac en poche, j'avais (enfin) quitté le domicile familial pour prendre ma liberté, et j'avais fait mon entrée à la fac. Plutôt bon élève, je ne m'inquiétais pas de ma réussite scolaire. Ce qui m'importait, c'était de profiter pleinement de ces quelques années où l'on est, en quelques sortes, un adulte sans les responsabilités. Plutôt à l'aise avec les gens, je n'avais pas tardé à me faire de nouveaux amis. J'avais d'abord rencontré Marion. Comme moi, elle venait de débarquer et ne connaissait personne. C'était une jeune fille plutôt timide, mais très sympathique et très agréable à regarder, avec des yeux bleus, des cheveux châtains et une silhouette très bien dessinée. Rapidement, elle et moi étions devenus très proches. Nous avions ensuite fait la connaissance de trois autres personnes : Pierre, un grand gaillard d'un mètre quatre-vingt-cinq, Christophe, son ami d'enfance, plus petit mais plutôt beau gosse (d'après Marion), et enfin Sarah, la petite amie de Christophe. C'est avec ces quatre personnes que j'ai traversé mes cinq années d'études supérieures. Les moments passés avec eux furent de merveilleux moments de détente, de franche rigolade et d'amitié sincères. Et c'est justement d'une soirée passée en leur compagnie que mon histoire commence.

Il était près de deux heures du matin lorsque Marion et moi sortîmes dans la rue. Il faisait encore très doux, malgré l'arrivée imminente du mois d'octobre. Il faut dire que ce mois de septembre était particulièrement chaud. Le thermomètre n'était jamais descendu en-dessous de 25°C en journée, ce qui était assez exceptionnel pour la saison. En grand gentleman, j'avais fait un détour pour raccompagner Marion jusqu'à chez elle. Puis j'avais pris la direction de mon appartement, situé à une vingtaine de minutes à pied.
En arrivant chez moi, je n'avais qu'une seule envie : me coucher. Lorsque je me glissai sous ses draps, le réveil indiquait 2h40. Je soupirai en pensant que le réveil serait difficile, étant donné que j'avais cours à 8h. Quelle idée de faire les soirées étudiantes du jeudi? le jeudi !

Je me redressai d'un bond dans mon lit. Le réveil indiquait 7h50. Misère ! Je m'étais rendormi? J'avais cours dans dix minutes, en sachant que j'en avais pour au moins un quart d'heure de bus. Je me précipitai dans ma salle de bain, me préparai en quatrième vitesse, attrapai mon sac de cours et sortis dans la rue, direction l'arrêt de bus le plus proche.
Lorsque j'arrivai devant l'amphi, il était près de 9h. J'entrouvris doucement la porte, pour éviter de me faire remarquer (ce qui ne fut pas un grand succès) et me glissai furtivement au dernier rang. L'amphi était plein au trois-quarts, et je me retrouvai relativement isolé, au-dessus de tous. En contrebas, j'aperçus Christophe, Pierre, Sarah et Marion. Cette dernière m'envoya un texto : « ben alors, le réveil était difficile ? ». J'allais encore me faire chambrer, je le savais. Préférant ne pas y penser, j'essayai de me concentrer sur le cours.
Quelques minutes après moi, un petit groupe de trois étudiants arriva à son tour dans l'amphi. Les deux premiers descendirent quelques marches pour s'assoir en contre-bas, mais la troisième, alors qu'il y avait plein de places, vint s'installer juste à côté de moi.
J'avais déjà remarqué cette fille. Elle arrivait toujours en retard, et pas toujours discrètement. Elle avait un visage assez sévère, encadré par des cheveux bruns qui lui arrivait juste au-dessus des épaules. Elle portait toujours des vêtements très courts, qui laissait apparaître de superbes jambes, et qui suggérait une poitrine généreuse. Bref, je la trouvais franchement canon. Pendant les minutes qui suivirent, j'essayai tant bien que mal de rester concentré sur le cours de la prof, refusant de prêter attention à ma voisine, au risque de révéler le trouble que son arrivée avait provoqué.

Vers 10h, la prof annonça la pause, « l'occasion pour les fêtards du jeudi soir de rattraper le début du cours ». Je sortis du bâtiment, et attendis mes amis. Le premier à apparaître fut Pierre :
- Ben alors, on se la joue grasse-mat' ?!
- Surtout que tu t'es couché tôt, toi, non ? Nous on n'a dormi que 3 heures ! Renchérit-Sarah.
- Je préfère ne pas savoir la raison de ce peu de sommeil, mais oui, j'ai raté le réveil, ça arrive ! Répondis-je pour couper court.
Je demandai ensuite à Marion de me résumer le début du cours, ce qui me permit de raccrocher les wagons. A priori, je n'avais pas raté grand-chose.
- En tout cas, tu vas devoir rester tout seul là-haut, il n'y a plus de places près de nous, dit Sarah.
- Mais qu'est-ce que tu crois ? Il est bien là-haut, il est à côté de « l'allumeuse » ! Répondit Pierre.
- L'allumeuse ?
- Ben oui, tu sais, la fille qui est toujours habillée avec des fringues super courtes, genre j'allume-tous-les-mecs-en-faisant-comme-si-de-rien-n'était.
Je détournais le regard, pour ne pas me trahir. Je ne voulais pas le leur avouer, mais j'étais en effet très content de pouvoir être assis à côté d'elle. Il faut dire qu'elle attisait les fantasmes de beaucoup de garçons, dont moi.
Quand l'heure de rentrer arriva, je laissai le groupe descendre dans l'amphi et me réinstallai en-haut. Comme à son habitude, "l'allumeuse" Revint en retard. Quand elle s'assit, je ne pus m'empêcher de jeter un regard dans son décolleté. Ben oui, à dix-huit ans, on se contente parfois de peu !

Tandis que le cours avaient repris depuis déjà de longues minutes, "l'allumeuse" laissa échapper son stylo, qui roula sous mon siège. Je n'eus pas le temps d'être galant et de me baisser pour le ramasser, car elle réagit plus vite que moi. Elle s'agenouilla et se baissa sous mon siège. Je me décalai légèrement pour lui laisser de la place, mais a priori pas assez, car en se relevant elle perdit l'équilibre. Elle posa sa main sur ma cuisse pour se rattraper, et me soufflant un discret « désolée ». Je lui souris, pour lui signifier que ce n'était pas grave. Et tandis qu'elle se relevait, sa main effleura exagérément mon entre-jambes. Je me crispais d'un coup, mais ne laissais rien paraitre.
Pendant les minutes qui suivirent, je fus incapable de me concentrer sur le cours. Une seule et même question m'obnubilait : avait-elle fait exprès ? En effet, j'avais la très nette impression que "l'allumeuse" m'allumait. D'abord, j'avais la certitude qu'elle s'était rapprochée de moi. Ensuite, j'avais le sentiment qu'elle avait remonté sa jupe (déjà courte), et qu'elle exagérait ses mouvements de jambes. Et enfin, j'avais l'impression qu'elle jetait des coups d'oeil au niveau de mon pantalon, comme si elle cherchait à savoir si elle avait obtenu l'effet escompté. Hors, c'était immanquable. Mon sexe commençait à sentir vraiment à l'étroit dans mon jean, et ça se voyait.

J'essayai tant bien que mal de me reconcentrer sur les propos de la prof, en essayant de me persuader (difficilement) que cette main flirtant avec mon intimité était involontaire. Mais soudain, comme pour me prouver le contraire, "l'allumeuse" posa carrément sa main sur ma cuisse. Je retins mon souffle, et restai immobile. Ma voisine n'avait rien laissé paraître, et continuait de suivre le cours comme si de rien n'était. Pourtant, sous la table, bien à l'abri des regards, sa main remontait lentement vers mon entre-jambes. A travers le tissu, elle tâtonna, comme pour évaluer la taille et la dureté de ce qui se cachait dessous. Puis ses doigts déboutonnèrent délicatement mon pantalon, et se glissèrent à l'intérieur. Ils attrapèrent délicatement ma queue durcie, et commencèrent à la caresser, dans un mouvement de va-et-vient très lent. J'avais définitivement perdu le fil du cours. J'étais à présent concentré uniquement sur les douces sensations procurées par cette main étrangère sur mon sexe.
Pour ne pas être vu des autres étudiants, "l'allumeuse" faisait des mouvements faibles et lents, et je commençais à m'impatienter. J'avais envie qu'elle accélère franchement son geste. Alors, pour faire passer cette frustration, je décidai de passer moi aussi à l'action. Je glissai une main sous la table, et la déposai délicatement sur la cuisse de ma voisine. Je pris son absence de réaction comme un feu vert, et je fis remonter ma main lentement, jusque sous sa jupe. Pour me faciliter les choses, la demoiselle écarta légèrement les jambes. J'en profitai pour glisser directement ma main dans son string. Mes doigts découvrirent une chatte épilée de près. Je décidai de l'explorer lentement, passant mes doigts entre ses lèvres, titillant son bouton. Comme pour elle, l'amplitude de mes mouvements était limitée par les conditions, et j'agissais lentement pour ne pas être découvert. Je vis ma voisine se crisper, tandis que sa main accéléra légèrement sur mon sexe. Elle se mordillait les lèvres, et tentait de contenir l'accélération de son souffle.

- Merci de votre attention, bon week-end et à la semaine prochaine.
La voix de la prof nous ramena soudain à la dure réalité. Dans l'amphithéâtre, une main se retira d'un pantalon, une autre de sous une jupe. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, "l'allumeuse" avait ramassé ses affaires et s'était levée. Sans même me jeter un coup d'oeil, elle quitta l'immense salle. Moi, je n'avais pas bougé. J'étais comme ébloui par une lumière vive après de longues minutes passées dans le noir. Soudain, je pris conscience que mon pantalon était toujours débraillé. Je me réarrangeai rapidement, mais surtout discrètement, rangeai à mon tour mes affaires, et suivis machinalement les autres étudiants qui sortaient de l'amphi dans un vacarme étourdissant. Je n'avais pas encore vraiment réalisé ce qui venait de se passer. Ce que je savais en revanche, c'est que ça c'était arrêter trop brutalement. Je ravalai ma frustration, et rejoignis les autres qui m'attendait dehors.
- J'adore être en week-end le vendredi midi, s'exclama Pierre.
- C'est clair, c'est génial, pas de cours cet après-midi, répondit Christophe.
En effet, pour une fois, nous n'avions pas d'autre cours. Nous étions donc en week-end. Tandis que les garçons s'en réjouissaient, Marion fut la seule à remarquer quelque chose.
- Ça va toi ? S'inquiéta-t-elle. Tu as l'air bizarre.
- Oui oui, ça va, je suis juste très fatigué. Bredouillai-je. Tu peux me passer ton cours, j'ai pas réussi à tout bien suivre.
Je récupérai ses note, lui promis de tout lui rendre le lundi suivant, puis m'éclipsai rapidement, malgré les protestations des autres. J'avais besoin d'être seul et de réfléchir.

Ce qui venait de m'arriver me semblait irréel. Ce n'était pas la première fois qu'une fille et moi nous caressions mutuellement, puisque j'avais déjà des relations sexuelles avec mes deux ex-copines. Mais là, c'était différent. Je ne savais même pas comment elle s'appelait. Ni pourquoi elle m'avait choisi moi. Ni pourquoi elle était partie aussi vite, comme si elle refusait le contact humain autre que sexuel. Ce dont j'étais sûr en revanche, c'est que je n'arrivais pas à penser à autre chose.
J'étais tellement obnubilé par cette fille que j'avais l'impression de la croiser partout. Mais mon c'ur s'accéléra soudain quand je réalisai que c'était bien elle que je voyais appuyé conte l'abri bus que j'atteignais enfin. Et elle semblait m'attendre. Je m'approchai d'elle, mal assuré (ce qui ne me ressemblais pas), et voulus dire quelque chose. Mais elle me fit signe de me taire, me regarda dans les yeux et me dit simplement :
- Si ça t'intéresse, suis-moi.
Elle tourna alors les talons et pris la direction de la cité universitaire située juste à côté. Cette fille était décidément bien mystérieuse. Trop heureux de l'avoir recroisé aussi vite, je lui emboitai le pas. Elle m'entraina vers l'un des bâtiments-dortoir, puis me mena jusqu'à une chambre du deuxième étage. Elle ouvrit la porte, et m'invita d'un simple geste de la tête à entrer chez elle. Elle jeta un rapide coup d'oeil dans le couloir, comme pour vérifier qu'elle n'avait pas été suivie, et referma la porte.

Je me retrouvai au milieu d'une chambre d'étudiante très classique : un lit simple, un bureau, un placard, et dans un recoin, un petit lavabo, le tout dans une petite dizaine de mètres carrés. Je déposai mon sac à dos, et attendis au milieu de la pièce, tandis que "l'allumeuse" fermait la porte à clé. Elle se tourna ensuite vers moi et j'en profitais pour l'observer plus en détails. Elle avait les yeux noisette, accentués par un maquillage simple. Son visage me semblait être? parfait. Aucune imperfection sur sa peau lisse légèrement bronzé. Elle semblait sortir directement des revues de mannequina, l'anorexie en moins. Car de ce côté-là, elle avait de belles formes. De son côté, elle sembla aussi m'observer et je me dis qu'elle faisait sûrement la même chose que moi. Elle plongea son regard dans le mien, et me dis le plus naturellement du monde :
- On a quelque chose à terminer, non ?
- A condition que tu me dises au moins ton prénom, répondis-je.
- Laura, répondit-elle simplement.
- Moi c'est Mathieu.
Je ne savais même pas si elle avait écouté mon prénom. Elle était déjà en train de retirer son débardeur, puis sa jupe, pour se retrouver en sous-vêtements. Elle portait un ensemble string-soutif blanc et noir, plutôt sexy, qui mettait parfaitement en valeur sa poitrine généreuse. Elle s'approcha de moi, s'agenouilla et déboutonna à nouveau mon jean. Elle fit glisser mon boxer et libéra mon sexe. Il n'était pas encore en érection, mais était déjà de bonne taille. Elle passa lentement son doigt dessus, et l'observa se gonfler. Je n'avais toujours pas bougé. Elle approcha alors sa bouche et happa goulument ma queue. Elle semblait aimer ça et je constatai avec plaisir qu'elle savait s'y prendre.

Nous restâmes ainsi quelques minutes, moi debout au milieu de la pièce, elle à genou devant moi. Je savourai cette délicieuse fellation, et je sentais l'excitation monter, pour moi comme pour elle. Mais je décidai soudain de prendre les choses en main. J'invitai Laura à se relever et dégrafai énergiquement son soutif. Je découvris deux magnifiques seins et je ne résistai pas à l'envie de les embrasser, de les caresser. Mais la position debout devenant inconfortable, je la poussai vers le lit. Quand elle fut allongée, je lui retirai son string et me jetai sur cette chatte offerte. Ma langue en explora chaque recoin, de son bouton à ses lèvres. J'introduisis ensuite un doigt dans son orifice. Son vagin était déjà tout humide et bien chaud. Mon index explora son intimité quelques secondes, avant que mon majeur ne le rejoigne. Laura en gémissait de plaisir, se tortillant de plus en plus, haletant. Je devinais qu'un orgasme commençait à pointer le bout de son nez. Aussi accélérai-je encore mes coups de langue et les mouvements de mes doigts. Soudain, Laura poussa un long et grand cri de plaisir, contractant violemment tous ses muscles. Elle avait attrapé ma tête qu'elle plaquait avec force contre sa vulve, au point de me faire presque mal.
Je m'attendais à quelques secondes de répits, le temps qu'elle reprenne son souffle, mais elle se redressa aussitôt et me fit m'allonger. Elle reprit ma queue en bouche, pour en réassurer sa raideur, attrapa un préservatif de je ne sais où (sûrement de sa table de chevet) qu'elle déroula sur ma queue avec une dextérité déconcertante. Elle me chevaucha alors et s'empala sur mon chibre dans un gémissement de bonheur. C'était à nouveau elle qui menait la danse, gérant la vitesse de ses mouvements pour assurer son propre plaisir. Elle imprimait des va-et-vient relativement soutenu, que je savourai. Elle avait rejeté sa tête en arrière, et gémissait bruyamment. De mon côté, j'avais attrapé ces fesses, et l'aidait dans ses mouvements. J'étais hypnotisé par ses deux seins qui ondulaient au rythme de ses mouvements.

C'est alors que je sentis l'orgasme venir. Je n'avais pas encore acquis une très grande endurance, et il m'en fallait encore peu avant de venir. Pour prolonger nos ébats, je décidai donc de reprendre à nouveau les choses en main. Je repoussai Laura, l'attrapai par les hanches et la força, sans grande difficultés avouons-le, à se mettre à quatre pattes. Je me plaçai derrière elle, et plaquai de nouveau sa bouche sur sa vulve pour quelques coups de langues, le temps de faire redescendre la pression qui s'était emparé de ma queue. Quand je sentis que j'étais prêt à repartir, je me plaçai à genou derrière elle, et la pénétrai d'un coup, en levrette. J'admirai son magnifique postérieur, sur lequel j'avais une vue imprenable, tout en la pénétrant avec ardeur. Entraîné par ses gémissements, j'accélérai mes mouvements de va-et-vient, lui arrachant des cris plus forts les uns que les autres, du genre : « Oh oui, vas-y, encore? ». Soudain, je la vis se cambrer en poussant un cri impressionnant. Elle s'effondra sur le lit, incapable de se maintenir sur ses bras. Ce deuxième orgasme semblait encore plus puissant que le premier. Il provoqua des contractions dans son vagin, ce qui m'amena à mon tour à la jouissance ultime. Dans un râle, je déversais mon foutre dans le préservatif, bien au chaud dans son corps.

Je m'effondrais à mon tour à côté d'elle, épuisé mais rassasié. Nous restâmes quelques minutes, sans rien dire. Puis Laura se leva, et commença à se rhabiller. J'en fis de même. Tout en remettant en place sa jupe, elle me dit :
- Je suis pas du genre à m'engager. Ce que j'aime, c'est le sexe sans lendemain, sans condition, sans contrainte. Pouvoir prendre mon pied, aller voir qui je veux, quand je veux, sans rendre de comptes à personne.
Je compris aussitôt le message. La proposition m'allait parfaitement. Mes précédentes histoires de couples s'étaient mal terminées, et j'avais décidé de profiter de la vie pendant quelques temps.
- C'est d'accord, répondis-je simplement.
Lorsque j'eus fini de me préparer, j'attrapai mon sac, lui souhaitai un bon week-end, et m'en allai sans me retourner. J'avais bien compris que Laura jouait beaucoup sur son image de femme mystérieuse, et j'avais décidé de rentrer dans son jeu. Je ne lui dévoilerai rien de moi tant qu'elle ne dévoilerai rien d'elle-même.

Je quittai son immeuble, attrapai un bus et rentrai chez moi. Je passai mon week-end à travailler pour préparer les premiers contrôles continus de l'année.
J'avais stocké bien au chaud, dans un coin de ma tête, les souvenirs de cette aventure, attendant avec impatience d'en ajouter d'autres.

A suivre?