Confidences sur l'oreiller

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Proposée le 22/05/2012 par enkor e enkor

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Jeudi, 23 heures.
Il fait incroyablement doux. On dirait que le printemps s'est enfin décidé à montrer le bout de son nez. Je me balade dans cette grande ville étudiante.

Quelques terrasses sont encore bien garnies de jeunes étudiants, en bandes, surtout.
Soudain, je LE vois. On ne peut pas ne pas le remarquer. Il est seul à une table de la première rangée, face à un café. A lui seul, il semble un reproche vivant à toute cette joyeuse ambiance qui l'entoure. Lui, le maghrébin, à qui personne ne parle. C'est ce que j'ai pensé tout de suite. Mais, j'ai aussi tout de suite remarqué son incroyable beauté et son côté farouche.

Etait-ce le premier regard qui se posait sur lui de toute la soirée ? Ce regard était-il un peu trop appuyé, un peu trop long ? S'est-on compris en un quart de seconde ?

Je continue mon chemin, je me retourne légèrement. Il est là à vingt mètres, il me suit. Un peu plus loin, je m'arrête pour faire mine de regarder une vitrine de fringues violemment éclairée. Il me dépasse et vient admirer celle juste à côté. Du coin de l'oeil, je peux le détailler beaucoup mieux. Jean, polo blanc, grand, sec, incroyablement beau, la peau assez foncée, dans les 25 ans. Je penche pour un Algérien du sud. A nouveau un regard. On s'est compris sans se parler. Je continue à marcher vers ma voiture. Pas besoin de me retourner, je sais qu'il me suit. Je suis déjà tout excité par cette rencontre qui n'en est pas encore une. J'imagine déjà tout ce qui peut arriver. Je suis à ma voiture. Il arrive à la porte passager et attend que je lui ouvre. Toujours son air buté et farouche. Je lui ouvre. On commence à rouler. Je n'arrive pas à lui parler, tant il m'impressionne. Presque aussitôt, il pose sa main gauche sur l'intérieur de ma cuisse, juste près du sexe, sans le toucher, sans bouger. Sa main est fermement appuyée, comme si je lui appartenais déjà. Il peut ainsi sentir ma bosse qui se gonfle légèrement.

Je décide de l'emmener dans un de ces hôtels où une simple carte bancaire évite bien des regards pleins de sous-entendus. Tout y est automatique, après une certaine heure. On arrive dans la chambre. J'allume. Il éteint et me pousse doucement sur le lit. Je me laisse faire. Lentement, il commence à me caresser les cheveux, le visage, puis il passe ses mains sous mon polo et me caresse le torse, m'agace les tétons. Il m'enlève le polo. Toujours aussi lentement il entreprend de me déboutonner la braguette et me fait glisser le jean très très doucement. C'est dix fois plus excitant que s'il me l'arrachait. Me voilà en mini boxer blanc, les pieds hors du lit, totalement offert. Complètement excité mais aussi totalement confiant. On ne s'est toujours pas dit un mot. Je le distingue à peine dans le noir complet de la chambre. je l'entends se déshabiller rapidement. J'aurais bien voulu le faire moi-même ! Maintenant, je distingue un peu la tache blanche de son boxer qu'il a gardé. C'est marrant, il a l'air d'avoir à peu près le même que le mien. Il s'agenouille à côté du lit et commence à me caresser l'intérieur des cuisses en remontant. Je bande déjà comme un fou, le boxer tendu et mouillé. J'attends ses caresses. Il passe ses mains sous mes fesses et commence à me les malaxer. Puis il glisse sa main sous le tissu du slip et me tire le bas ventre vers son visage qu'il pose sur mon slip.. Trop bien, trop doux ! Il frotte sa bouche sur le fin tissu de mousseline. Je sens son souffle chaud sur ma bite. Il appuie sa tête de plus en plus fort, comme s'il voulait s'y noyer. J'appuie mes mains sur sa tête pour l'encourager à continuer. Puis, toujours sous le tissu du slip, il passe ses mains sur mon bas-ventre, vers ma bite. Il s'arrête quelques secondes, peut-être surpris de ne pas trouver de poils. Je me suis complètement rasé il y a quelques jours. Je sens ainsi beaucoup mieux le contact de ses douces mains sur mes couilles. Il remonte le long de ma queue, vers mon gland dégoulinant de mouille. De l'intérieur, il dégage le haut de mon boxer et approche ses lèvres de ma tige. Il me gobe le gland d'un coup et commence à me sucer lentement. Trop trop cool. Je sens la chaleur de sa bouche, sa langue qui me caresse le prépuce. J'incruste mes ongles dans ses cheveux pour accentuer la pression. Il descend le long de ma bite, m'engloutissant de plus en plus. J'ai envie de le caresser comme un fou mais je ne peux que labourer ses épaules. J'accompagne sa fellation de mouvements de mon ventre. Encore !

Après un bon moment, il me fait glisser le slip. Me voilà entièrement nu. Il s'enduit le majeur de mouille sur mon gland et commence à me titiller la rosette. Assez vite, il passe un doigt et commence à me caresser l'intérieur pour me dilater. Je voudrais tant lui rendre ses caresses. Bientôt, il passe deux doigts et continue à me dilater. Puis, il me retourne en levrette, les genoux sur la moquette le visage enfoui dans les draps du lit. Je suis prêt, je l'attends, je le désire de tout mon corps. J'ai envie de le sentir aller et venir en moi. Je l'entends enlever son slip et déchirer un préservatif. En attendant, il promène sa bite raide et chaude dans ma raie.

- Viens !!!

Va-t-il me défoncer d'un coup ou y aller tout en douceur ? A la façon dont je sens son gland pousser lentement sur ma rondelle, je sais qu'il a opté pour la douceur. Ce gars est un incroyable mélange de douceur démentie par son côté farouche, inaccessible. Je le sens pousser lentement pour forcer le passage. Je m'offre à lui du mieux que je peux en cambrant les reins au maximum. J'en profite pour tâter un peu sa bite et jauger de sa grosseur et de sa longueur avec mes mains. Elle me parait très fine mais très longue. J'adore. De la main, je la guide vers ma rondelle et l'aide à pousser. Lui, de son côté me laboure le dos, le torse, le ventre, l'intérieur des cuisses de caresses appuyées. Il me caresse les couilles et me branle lentement, attentif à mon plaisir aussi. Par petits coups, il progresse et je le sens s'enfoncer en moi doucement. Je sens la chaleur de sa bite qui me laboure doucement. Ça y est. je le sens complètement en moi. Il est là, immobile, et il me remplit de son membre chaud. Comme c'est bon de se faire ainsi envahir au plus profond de soi. Je sens sa bite vibrer du désir et du plaisir à venir. C'est chaud, doux, vivant.. Il me recouvre complètement le dos de son torse, appuyant de ses deux mains en coquille sur ma bite comme s'il voulait s'engloutir totalement en moi.. Il reste ainsi un bon moment. Je me contracte plusieurs fois pour enserrer sa bite et le ressentir encore mieux. Je sens ses mains se crisper sur moi, preuve qu'il apprécie.. Très très lentement, il se met à bouger. Il commence à me limer tout doucement.. Je sens parfaitement sa queue aller et venir doucement dans mes entrailles. J'enfonce mes ongles dans ses fesses super dures. Son va-et-vient se fait un peu plus rapide et plus aisé. C'est encore meilleur. Il va ainsi me pistonner pendant un très long moment. de plus en plus vite, de plus fougueusement, de plus en plus rageusement. C'est à ce moment là que je découvrirai sa sauvagerie enfouie. Il va me labourer, me pilonner, m'exciter la prostate au maximum avec sa tige en feu. Pendant tout ce temps, pas une seule seconde, il ne me lâchera la bite, attentif à me faire jouir, moi aussi. Plus il se déchaine, plus il me branle vigoureusement. Bien avant qu'il jouisse, je vais gicler de longs jets chauds dans sa main. Il m'enduit la bite et les couilles avec ma semence. Comme il n'a pas encore joui, il continue son pilonnage de plus en plus frénétiquement. il m'a agrippé les épaules et je sens ses coups de butoir qui me défoncent. Je l'entends haleter à perdre haleine. C'est pour bientôt. Soudain, je le sens vibrer de partout. Ça y est. il jouit dans de longues décharges nerveuses de tout son corps. Il a crié. C'est la première fois que j'entends le son de sa voix. Il retombe sur mon dos, pantelant, en sueur, hors d'haleine. Après un petit moment, il se retire, m'allonge sur le lit et vient se coller à moi.

- Moi, c'est Abdel... Me chuchote-t-il à l'oreille.

On a du s'endormir quelque peu pour récupérer, ainsi collés l'un à l'autre. C'est moi qui ait émergé le premier. Sans le réveiller, je me mets à le caresser doucement du bout des doigts, tant j'ai envie de toucher et découvrir son corps.. Sous mes doigts, je sens de beaux abdos bien dessinés, un ventre plat incroyablement ferme. Je ne résiste pas à l'envie de fourrager doucement dans sa touffe, de parcourir du bout des doigts sa bite encore gluante de son foutre. Soudain, je la sens doucement frémir sous mes doigts comme si elle se réveillait déjà. Il a l'air de dormir encore mais je le soupçonne de faire un peu semblant pour en profiter au maximum. Je cherche ses couilles dans sa toison et les titille légèrement du bout des doigts. Je sens sa bite qui commence à regonfler doucement. La mienne aussi d'ailleurs, qui s'appuie contre son cul. Doucement, il émerge de son léger sommeil, se laisse caresser, puis me glisse à l'oreille :

- Viens, on va se laver !

On réenfile nos boxers et nous voilà partis à la douche qui est sur le palier. Son corps est magnifique. Sa peau foncée tranche avec le blanc immaculé du slip. il a l'air parfaitement à l'aise à déambuler ainsi presque à poils dans les couloirs. Il faut dire qu'il n'y a personne non plus à cette heure tardive.

Il a l'air d'avoir perdu un peu de sa dureté après sa jouissance. On entre dans la douche, on ôte nos slips, je le vois qui regarde ma bite rasée, intrigué, intéressé.... On se glisse sous le jet chaud. J'ai terriblement envie de l'embrasser. A voir l'état de sa bite et de la mienne, je sens bien qu'on ne va pas que se laver... On se colle l'un à l'autre, sous le jet chaud. Je cherche ses lèvres mais c'est lui qui engloutit sa langue dans ma bouche le premier. J'ouvre grand mes yeux pour le découvrir enfin complètement. Lui, a fermé les siens. J'ai envie de le sucer à mon tour. Je glisse mes lèvres sur son torse, descendant vers sa toison d'où ressort sa bite dressée et ruisselante d'eau.. Il s'est adossé à la cabine et arcboute son corps pour s'offrir à ma caresse..

Je lui savonne copieusement la touffe, ce qui me permet de le caresser à qui mieux mieux. Puis, je commence à lui agacer le gland avec la pointe de ma langue.

Électrisé, il a agrippé mes cheveux. Je le pompe lentement, mes mains en coquille sur sa tige. Trop bon, avec l'eau chaude qui ruisselle. je vois son ventre qui ondule sous ma caresse et qui se tend de plus en plus vers moi. La caresse de l'eau chaude sur nos corps rajoute de l'excitation et de la sensualité.

J'avale sa tige au maximum de ce que je peux.

Mais, ce n'est pas ainsi que j'ai envie de la faire jouir. cette fois, il se laisse faire et me laisse prendre les initiatives. Je me redresse et vient coller ma bite à la sienne. Je croise nos doigts et je lui fais empoigner nos deux tiges. On commence à branler doucement nos deux bites collées. Il a l'air d'aimer. Je le branle, il me branle, il se branle tout à la fois. On s'excite ainsi un bon moment. Puis je passe derrière lui, colle ma bite dans sa raie, empoigne sa bite et commence à l'astiquer sérieusement tout en lui mordillant la nuque. Commence alors une longue, très longue et très sensuelle séance de branle. C'est vrai qu'il est incroyablement endurant, comme s'il se refusait à la jouissance. Plusieurs fois, il se raidit de tout son corps, enserrant ma bite dans la raie de ses fesses. Je le sens prêt à jouir. Mais, comme il vient de jouir il n'y a pas si longtemps, je me doute bien que cette fois, ce sera plus long. Tant mieux ! De ma main gauche, je lui caresse les abdos, le visage, les cheveux. je le presse contre moi. De la main droite, je le branle régulièrement, alternant les va et vients du bout des doigts ou de toute la main serrée, jouant avec son gland ou ses couilles. Sa bite est longue et fine; très très belle, dépassant largement ma main fermée. Progressivement, j'accentue la cadence, bien décidé à le faire jouir à nouveau. Parfois, il me prend la main pour m'indiquer la cadence qu'il aimerait. Il a basculé sa tête en arrière, les yeux fermés, la bouche légèrement ouverte. Il vient se nicher tout contre ma joue. J'accélère encore, je le sens se raidir de plus en plus. Et, une fois encore, il vient juter dans ma main gauche deux jets chauds, d'une secousse de tout son corps. Il me prend la main avec son sperme et la porte à son visage, à sa bouche. Je l'enduis sous le jet chaud qui nettoie tout. Il se décontracte, se retourne vers moi et m'embrasse à nouveau pour me remercier. Ses yeux sont chavirés. Maintenant, il veut s'occuper de mon cas qui n'est pas totalement réglé vu l'état cramoisi de ma bite.

Alors, doucement, je lui glisse à l'oreille :

- Si tu veux bien, j'aimerais plutôt te prendre dans la chambre...

Il acquiesce de la tête. On se savonne mutuellement en se caressant, on se rince longuement. On se décide à sortir de la douche. Et, bien sûr, c'est juste à ce moment là qu'on croise un jeune qui va vers les WC tout proches. En nous voyant sortir à deux, en slips de la douche, il a vite compris et esquisse un sourire compréhensif... Surtout qu'il a bien vu l'état, plus que tendu, de mon boxer.

On regagne la chambre. Je lui demande si je peux laisser allumé, il est d'accord. Je veux voir son plaisir progresser sur son si joli visage. J'essaie de ne pas me jeter sauvagement sur son corps magnifique. Alors, je me mets à le caresser. Il a gardé les yeux ouverts et a planté son regard qui s'adoucit dans le mien. Je le caresse partout. De mes mains, de ma bouche, de mon corps. Il apprécie. Je lui fais glisser son slip en le tirant avec mes dents. Il aime encore plus. Il m'enlève, lui aussi, mon fin boxer. Je pose ses mains sur sa bite légèrement gonflée. J'enfile une capote que je lubrifie avec sa mouille. Je lui passe un doigt dans la raie et lui titille la rondelle qu'il a incroyablement serrée. Je vais prendre le temps de bien lui dilater. J'y vais doucement. Du coup, je le remets en levrette et je commence à lui caresser la rondelle avec la pointe de ma langue. A le voir se cambrer, je vois qu'il en redemande.

J'amplifie ma caresse buccale. Il se tortille. Je mouille un doigt et j'essaie de le pénétrer en douceur. Maintenant qu'il est passé, je le tourne pour mieux le dilater encore...

- Détends-toi, profites, abandonnes toi...

Petit à petit, je le sens se relâcher. Je le remets sur le dos, j'approche ma bite et je commence à pousser. Il a posé ses mollets sur mes épaules pour mieux faciliter la pénétration. Je continue ma douce poussée. Il se branle doucement. J'ai empoigné ses deux globes et je les écarte du plus que je peux. Je veux le prendre de face, mes yeux plantés dans les siens. Je pousse encore. Ça y est, j'ai passé le gland. Ma bite est comme prise dans un étau. Je vais y aller doucement. Il m'encourage à poursuivre en me caressant la bite par dessous. Je ne demande que ça. Doucement je pousse puis recule un peu et progresse un peu plus à nouveau. Au fur et à mesure, je sens bien que c'est plus facile. A voir son visage rayonnant, je vois bien qu'il ne souffre pas et qu'il apprécie de plus en plus. Après un bon moment, je peux aller et venir aisément dans son ventre. Il a empoigné mes deux fesses et m'encourage par des pressions de ses mains à le labourer de plus en plus. Je ne me fais pas prier. Au fur et à mesure de mes va-et-vient, je vois son plaisir monter pour la troisième fois. Il agrippe les draps et serre les poings, son visage rayonne de plus en plus. Il ondule du ventre dans le même tempo, accompagnant mes coups de boutoir. Maintenant, je le pilonne à fond, venant claquer contre son périnée à chaque poussée. Il commence à battre l'air de ses bras dans des mouvements incontrôlés. Il a fermé les yeux. Je me déchaine à le voir ainsi prendre du plaisir. Encore plus vite ! A fond maintenant. J'ai la bite en feu. Tout à coup, je sens une vague de chaleur m'inonder totalement et je jouis. Il l'a senti et a rouvert les yeux pour voir ma jouissance sur mon visage aussi. Je continue à le labourer moins vite et je retombe, totalement déconnecté sur lui. Je me retire et reste collé à lui, longtemps. Il me caresse doucement les cheveux.
Puis, on décide de récupérer un peu. On se met en chien de fusil, imbriqués l'un contre l'autre, lui derrière moi. Totalement détendus et exténués.


Je crois qu'il va s'endormir et c'est alors qu'il me déverse un flot de paroles, en me chuchotant à l'oreille, totalement en confiance. Tout y passe. Ses parents algériens du sud, leur venue en France, le racisme, ses études supérieures longues, la difficulté à trouver des stages, du boulot. Le fait qu'il soit homo et qu'il soit obligé de le cacher à ses parents, à son quartier.

Je suis bouleversé. Je ne sais quoi lui dire. Lui, il veut juste parler, pour une fois, pour se libérer.