Metro, boulot, sodo...

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Proposée le 19/05/2012 par LightAndMagic

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J'adore le métro. Etant parisien, c'est un avantage vu la quantité de trajet que je fais chaque jour.

Beaucoup dirons que le métro est une corvée, mais pour moi, c'est un plaisir unique. Combien de fois, debout, ai-je admiré le décolleté de femmes assises sur le strapontin à côté de moi. Combien de paires de fesses ai-je contemplé en montant les escaliers, essayant de deviner le contour d'un sous-vêtement sous un jean ou un pantalon un peu moulant. Sans compter les heures de pointe, ou parfois, par chance, je me retrouve serré contre une femmes, sentant alors ses rondeurs contre moi dans ce contact forcé.

Mon meilleur souvenir a commencé sur la ligne 13, dans une de ces nouvelles rames où des places assises ont été supprimées, obligeant plus de voyageurs à être debout. J'étais monté à Gaîté, vers 6 heures du matin. Encore un peu endormi, après un bref coup d'oeil aux autres passagers, je me suis appuyé aux portes à l'opposé du quai. A cette heure là, la rame était loin d'être pleine, et je comptais somnoler en attendant d'arriver à destination.

Alors que nous arrivions à Montparnasse, je pus apercevoir une foule tassée sur le quai. Boite de sardine en perspective. A peine les portes ouverte, la foule de voyageur a envahi le wagon, essayant d'avoir une place assise. Puis vint la scène classique de ceux qui essaye de rentrer en poussant ceux qui sont déjà dedans.

Serré entre deux hommes, je tentant de trouver une position confortable pour la suite du trajet, quand mon regard se posa sur une jeune fille, d'une vingtaine d'années. Elle portait un manteau rouge, ses cheveux roux tombaient sur ses épaules, encadrant un visage d'ange, quelques taches de rousseur sur le nez et les pommettes, un petit nez en trompette, une bouche fine.

Je restais quelques secondes à la regarder, incapable de quitter cette vision. C'est une autre chose que j'aime dans le métro. Presque chaque jour, je tombe amoureux d'une nouvelle femme, pour un regard, un visage... Et là encore, je suis tombé amoureux de cette jolie rousse. Se sentait elle observée, où était-ce le hasard ? Toujours est-il qu'au bout d'un moment, ses yeux verts se sont tournés vers moi. Contrairement à mon habitude, je n'ai pas détourné le regard, feignant un intérêt soudain pour le plan de la ligne, mais au contraire, j'ai esquissé un sourire. Elle n'a pas eu l'air de réagir et a simplement baissé les yeux. Dommage.

A la station Invalides, presque la moitié des voyageurs sont descendus, laissant place à autant de nouveaux usagers. Cependant, la rousse qui jusqu'alors se trouvait à deux mètres de moi était à présent juste devant moi. Elle me tournait le dos, mais fut bientôt collée contre moi. Elle devait faire une demi tête de moins que moi, et, le nez dans ses cheveux, je pouvais sentir l'odeur de son parfum aux fruits. Je pouvais aussi sentir ses fesses contre moi, et je me doutais qu'elle devait surement sentir mon érection à travers mon jean.

Je me doutais que d'ici peu elle allait essayer de se décaler pour rompre ce contact, mais à ma grande surprise, elle garda le contact. Soit elle n'avait rien remarqué, soit elle devait prendre cela pour un portable dans ma poche. Soudain, je sentis ses fesses se serrer encore plus contre moi, puis faire des mouvements de gauche et de droite, comme pour mieux sentir mon sexe. Je devais rêver. Ce devait surement être du aux mouvement de la rame. Pour m'en assurer, je profitais de l'arrêt suivant pour avancer mon bassin, frottant mon sexe contre elle.

Au lieu de s'offusquer ou de se détourner, j'eus l'impression qu'elle m'encourageait, ses fesses allant à la rencontre de mon bassin. Elle se frottait à moi, presque autant que je me frottais à elle. Et c'était trop régulier pour que ce ne soit que les secousses de la rame. Sentir ses fesses, fermes et rebondies à la fois, même à travers son pantalon, me procura un intense plaisir, et j'eus immédiatement envie de plus. Je me décidais alors à profiter de la situation. Retenant ma respiration, je posais mes deux mains sur ses hanches.

J'ai alors senti ses mains se poser sur les miennes, doucement, puis les diriger vers ses fesses. Répondant à son invitation, je pris ses fesses à pleine main, les caressant. Ses mains restèrent sur les miennes quelques instants, puis elle glissa l'une d'elle dans son dos pour la poser sur mon entre-jambes. Ses doigts glissèrent sur mon jean, sentant mon organe dur en dessous.

La rame se remit en branle. En jetant un regard alentours, je me rendis compte que personne ne se rendait compte de notre petit jeu, et je voulus passer à la vitesse supérieur. Je glissais une main sous son manteau, puis la glissais à l'intérieur de son pantalon, caressant à nouveau ses fesses. Je pouvais sentir les contours à dentelles d'une culotte, et me surpris à essayer d'en deviner la couleur.

Elle essaya tant bien que mal de défaire ma braguette, mais sa position ne l'aidait pas. Je ne me suis pas fait prier pour le faire à sa place. Elle enfila alors sa main dans mon jean, et caressa mes bourses à travers mon boxer. Pour ma part, je fis glisser le bord de sa culotte vers sa raie, et tentait de glisser mes doigts entre ses jambes pour caresser son sexe. Mais notre situation, même si elle était très excitante, n'avait rien de pratique.

C'est à ce moment la que, pour la première fois de ma vie, je fus content que le métro tombe en panne. Entre deux stations, la rame s'arrêta brusquement, et les lumières s'éteignirent. Presque aussitôt, sa main quitta mon boxer, puis je sentis son pantalon et sa culotte descendre juste sous ses fesses. Je délivrais alors mon sexe de mon boxer et commençait à le frotter contre ses fesses.

Elle se serra contre moi, mis la tête en arrière, la posant sur mon épaule, et de sa main, guida ma verge vers sa raie. Puis, écartant ses fesses de ses deux mains, elle se cambra en poussant vers moi. Je pris mon dard en main et le guidait vers sa rondelle et poussait. Elle devait être habituée, car je rentrais presque sans problème. Une fois à l'intérieur, j'attrapais ses hanches et entamais un lent va-et-vient.

J'aurais aimé aller plus vite, m'abandonner à la luxure, mais dans cette rame bondée, nous devions rester discret. Passant mon bras autour d'elle, je glissais ma main dans sa culotte pour caresser son clitoris. J'allais à chaque fois de plus en plus profond entre ses fesses, appréciant la chaleur et l'étreinte autour de mon membre qui n'en pouvait plus. Presque trop vite à mon goût, je sentis la sensation familière précédant la vague de plaisir, et sachant que je ne pourrais pas me retenir, je la tirai vers moi et m'enfonçais de toute mes forces pour jouir au plus profond d'elle.

Sentant mon orgasme, elle attendit quelques secondes, puis elle s'avança, laissant glisser mon sexe d'entre ses fesses, et remonta pantalon et culotte. De mon côté, je rentrais mon sexe dans mon boxer et fermait ma braguette. Sans se retourner, elle se serra à nouveau contre moi et d'une main me caressa la joue.

Le train finit par repartir après quelques minutes et elle descendit à la station suivante. Sur le quai, elle se retourna et me fit un sourire alors que la porte se fermait.

Je ne l'ai plus jamais revu sur cette ligne, ni sur une autre, et parfois je me demande si tout cela s'est bien passé...