Une séance photo...

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Proposée le 11/05/2012 par Rayondesoleil11

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Il est photographe. Il a 19 ans. Il est brun, les cheveux bouclés. De beaux yeux noisette, une bouche gourmande. Il porte un tee-shirt noir avec un col en V plutôt serré qui laisse deviner ses bras musclés son torse et ses abdos. Je tairais son nom. Il ne sort pas de mon imagination'

Ce matin je suis venue dans son studio pour une séance de photos. On s'est rencontré grâce à une amie commune. Il m'a proposée de poser pour lui. J'ai accepté. Je suis intimidée. Mais je rentre dans son studio.

Il est là, derrière son appareil posé sur un pied, en train de faire des réglages. Le studio est assez petit, il y a un écran blanc en face de l'appareil photo. Il y a un lit à côté, une chaise, un parapluie, une coiffeuse, une malle de vêtements.

Il me dit Bonjour avec son plus beau sourire. Je le lui rends avec délicatesse. Il me met à l'aise tout de suite en plaisantant sur lui, me demandant si j'ai déjà posé. Je lui réponds que non. Il se moque gentiment de moi en me voyant un peu timide (ce n'est pourtant pas mon genre). Nous rigolons tout les deux et je me détends.

Je porte un short en jean plutôt court. Avec un tee-shirt bouffant qui met en valeur ma poitrine. J'ai 18 ans depuis peu. Je suis danseuse et étudiante.

Il me demande de me mettre devant l'objectif qu'il puisse finir les réglages. Je me place, attends qu'il ait fini. Je lui pose des questions sur lui, sa vie, on discute de moi, de la photographie, de tout de rien. Puis il me montre la malle de vêtements et nous nous y dirigeons pour choisir quoi me mettre. Il choisit une robe déchirée, trouée, et sale. Il se retourne et je la mets. J'enlève d'abord mon short. Je me dis qu'il doit entendre ma braguette s'ouvrir, le bouton se détacher, le jean glisser sur mes jambes. Puis le froufrou de mon tee-shirt que j'enlève. Je suis en sous-vêtements. Il ne dit rien. J'espère intérieurement qu'il se retourne et qu'il' Il ne se retourne pas. J'ai enfilé la robe. C'est bon dis-je. Il se retourne et me regarde. Je rêve ou il y a une bosse sous son pantalon ? Non je me fais des idées' Il a regard approbateur envers ma tenue. Il s'approche doucement et porte ses mains à mes cheveux avec une douceur terrible. Il défait doucement l'élastique qui retient mes cheveux prisonniers. Mes cheveux se libèrent et tombent en cascade sur mes épaules presque dénudées par cette robe de souillon. Je plante mon regard dans le sien. Il ne dit rien. Il a pris un air de professionnel, très sérieux et soudain très attirant. Je sens un désir sourd s'emparer de moi? Il passe ses mains dans mes cheveux et me décoiffe dynamiquement. Il frotte mes cheveux, fait des n'uds, met du volume, rajoute de la laque un peu. Je me laisse faire bien que je n'aime pas qu'on touche trop à mes cheveux. Mais lui c'est différent. C'est excitant. Il est proche de moi. Parfois nos corps se touchent.

Il prend du maquillage noir et m'en étale sur les joues, le nez, le front' Je me regarde dans la glace, je ressemble à une évadée, une réfugiée ou une fille du voyage. Il s'éloigne, me regarde. Puis il revient vers moi et toujours avec son air sérieux me dit « Le soutient gorge se voit trop ça ne va pas. Tu pourrais l'enlever ? ». Quelque peu surprise je m'exécute en ne le quittant pas des yeux. L'ambiance se chauffe d'un cran. Je tire le soutient gorge de dessous la robe et le jette avec mes affaires. Puis il enlève son écran blanc. Et derrière le studio n'est pas refait sur les murs. Il me demande d'aller contre le mur. Je m'appuie contre le mur, il approche son appareil photo et je commence à prendre des poses. Il donne des directives. Le regard plus bas, FLASH, ouvre un peu la bouche, FLASH, baisse toi, dénude ton épaule, FLASH, regarde moi, relève un peu ta robe, FLASH, montre tes dents, FLASH, sois sauvage, FLASH, renverse la tête en arrière, FLASH ! Le désir monte et je me sens féline. Mes pauses deviennent de plus en plus osées. L'ambiance se chauffe encore d'un cran.

On va changer d'habit. Il prend une veste en jean, la sienne ! et il me la tend en me demandant d'enlever la robe, de remettre mon short et de ne mettre que la veste sur moi, rien en dessous. Je le regarde, un regard interrogateur. Il affirme ses paroles. Il se tourne. J'enlève la robe, je suis en culotte, j'attrape mon short, je ne le regarde pas, je me suis mis dos à lui. Soudain je sens ses mains sur mes épaules nues. Je pousse un cri et par réflexe je me cache les seins. Il me maintient dos à lui et dépose un baiser dans mon cou, ma nuque. Il se colle à moi et je sens son sexe dur contre mes fesses. Je garde les bras serrés sur mes seins mais une vague version tsunami de désir déferle sur moi. Je me mords les lèvres pour n'en rien laisser paraitre. Il glisse ses mains sur mes hanches qu'il caresse doucement. Je frémi sous cette caresse. Il ramasse se veste en jean et me la pose sur les épaules. Je l'enfile. J'enlève le noir que j'ai sur le visage, je me regarde dans le miroir, j'ai les joues rouges de désir. Il est retourné à son appareil, je n'ose pas le regarder.
Je reviens devant lui et son objectif et je reprends des poses lascives ou sauvages, félines ou innocentes. Il continue à me donner des directives, qui ressemblent à des ordres. Parfois je lève les bras et la veste en jean s'ouvre, découvrant la quasi-totalité de mes seins. Le studio est sombre, hormis la lumière qu'il a posé sur moi, l'ambiance est propice aux aléas du désir. Je vois son pantalon s'orner d'une belle bosse qui me plait terriblement. Je m'amuse à planter mon regard dans le sien en le provoquant, je semble lui dire « ose venir me toucher », ou a détourner les yeux comme timide et rougissante. Je me sens humide et bouillante.

Il porte le coup fatal en sortant une chemise blanche qu'il me demande de mettre, ouverte avec seulement une culotte blanche. Puis il prend un seau, le rempli d'eau et me le jette dessus, puis il mouille mes cheveux. La chemise s'imbibe d'eau et bien sur deviens transparente en me collant à la peau, il en va de même pour la culotte. Je me vois dans le miroir, on devine mes seins aux mamelons foncés et aux tétons pointés et mon sexe dont on voit le rectangle noir de ma toison. J'ai froid et mon corps réagit par une chair de poule. Il me regarde, le sexe tendu à bloc. Sa respiration s'est accélérée, la mienne aussi. Je me sens fatale, désirable, belle? !

Cette fois il remet le fond blanc, il tire le lit devant. Je m'y allonge. Il ne dit plus rien, il me regarde et prend des photos. Moi je pose, j'ouvre la bouche, je le regarde, je prends mes seins dans mes mains, je me mets de dos et je baisse ma culotte, la chemise étant grande elle me couvre les fesses mais sa transparence les dévoile quand même en partie, je lève mes cheveux, les secoue, m'approche de lui. Il ne parle plus et si ma culotte n'était pas déjà mouillée il y aurait une tache humide au niveau de mes lèvres intimes. Je n'en peux plus de le voir derrière son objectif sans venir vers moi. Je ne sais plus quoi faire?
Il ne daigne pas bouger. J'enlève la chemise. Je me dirige vers mes affaires. J'enlève ma culotte. Il me regarde sans rien dire, sans bouger, il ne prend plus de photos. Je ne le quitte pas des yeux, et sans parler je lui dits « si tu ne bouge pas plus je me rhabille et je sors ». Il ne bouge pas. Je prends ma culotte sèche. Je l'enfile. Je remets mon short. Il ne bouge toujours pas. Il ne dit rien. Je pose mon soutient gorge sur mes seins, l'attache, avec des gestes lents. Il a le regard dur, déterminé « je ne bougerais pas ». Son sexe toujours tendu. J'ai le regard dur. J'enfile mon tee-shirt. Le rentre dans mon short. Je me démaquille. Je cherche mes chaussures. Je ne les trouve pas. Je ballade mon regard dans tout le studio, me tourne. Je le regarde. Il tient mes chaussures dans sa main et semble me dire « viens les chercher ». Je m'approche de lui. Doucement.

Je plante mon regard dans le sien et lui arrache les chaussures. Puis je me colle à lui. Je glisse ma main sur son sexe dur, si dur? je le caresse doucement. Je sens son pouls et sa respiration s'accélérer. J'ouvre lentement son pantalon, d'abord le bouton, puis la braguette. Je le descend à ses pieds, je remonte vers son caleçon. Je me suis accroupie. Je tire sur caleçon, toujours très doucement. Je libère son sexe, sa hampe droite se dresse devant mon visage. Je pose une main dessus. Il me regarde. Je le regarde. Et j'approche mes lèvres de son gland turgescent. Je dépose un baiser dessus, sors la langue. D'un coup j'aspire sa bite en entière. Il pousse un cri de surprise, de plaisir? Il m'agrippe les cheveux des deux mains et tend son bassin vers moi. Je me retire et lèche soigneusement sa hampe de haut en bas, m'attardant sur le frein et lui massant les couilles en même temps. Il soupire, m'encourage. Tire mes cheveux. Puis je remonte vers lui. Il m'attrape la tête et m'embrasse fougueusement. Nos langues se mélanges, nos dents mordent nos lèvres happent. C'est si bon. Je laisse s'échapper un gémissement. Je vais jouir sans qu'il m'ait touché. Il arrache presque mon short et ma culotte avec. Il enlève mon haut et arrache mon soutient gorge. Puis il me porte et m'assoit sur la coiffeuse dos au miroir. Il se met à sucer un de mes seins, le droit, avec passion et un désir fou. Il le mord sans ménagement, ça fait mal et c'est bon en même temps. Je pousse des cris de plaisir. Il a descendu une main vers mon sexe trempé. Il écarte mes lèvres et masse mon clitoris gonflé et hypra sensible. Il m'arrache des cris de plaisir intense. C'est trop bon je me sens mourir, jouir, je ne sais plus. D'un coup, sans prévenir il me pénètre avec deux doigts, violemment. Je lâche un long râle de jouissance. Je me crispe autour de lui, je plante mes ongles dans son dos.

Il se retire et enlève son tee-shirt. Nous sommes tous les deux nus, collés l'un l'autre, en nous embrassant. Le baiser s'adoucit. Il écarte mes jambes et descend vers mon sexe. Il maintient mes jambes bien écartées et écartant mes lèvres intimes de ses mains, il lèche doucement ma fente de haut en bas. Je gémi de plaisir. Il recommence, me pénètre de sa langue puis remonte vers mon clitoris. Il me lèche avec expérience et savoir faire. Je sens le plaisir me submerger au fur et à mesure qu'il augmente le rythme de sa caresse buccale. Je gémis, me tortille, me cambre, on a dépassé le seuil de non retour. Je vais bientôt jouir sous sa langue. Je cris de plus en plus fort, l'encourage. Il continue, endurant. Je lui tire les cheveux, je ne maitrise plus. L'orgasme m'emporte, je joui avec force, je tombe presque. C'est si bon. Je met du temps à m'en remettre. Il me prend dans ses bras et me porte jusqu'au lit. Il m'y allonge et m'embrasse avec une tendresse infinie. Je me serre contre lui.
Puis il me pénètre doucement en missionnaire. Je gémi de plaisir, mon sexe est étroit, je n'ai pas fait l'amour depuis un moment. Il soupire de plaisir. Nos soupirs se mèlent, nos corps s'enchainent, et la chaleur augmente de plus en plus' Je me sens ailleurs, dans un autre monde. Cet homme me rend folle je joui encore. Il me prend en levrette avec énergie. Je cri. Je monte sur lui, il me pétrit les fesses et se laisse aller au plaisir pendant que je déchaine sur lui. Il se lève, me tire du lit sans douceur et me plaque contre le mur. Je tends les fesses vers lui et il me pénètre presque violemment, je gémis fort. Il me tiens serré entre lui et le mur et son bas ventre claque sur mes fesses. L'orgasme est proche. Je l'entends s'essouffler, gémir et pousser un râle de délivrance quand d'un coup il sort de moi et éjacule en de long jets sur mon dos et mes fesses.

Nous nous laissons tomber sur le lit, vidé. Il me prend dans ses bras et je me love contre lui. Nous nous endormons, heureux?

Par la suite, nos « séances de photos » se sont multipliées'



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