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Proposée le 30/04/2012 par enkor e enkor

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Laissez moi vous conter comment tout ceci a commencé. Comment j'ai basculé de la douce condition d'hétéro grand teint à celle plus compliquée, mais aussi plus excitante encore, de bisexuel.

C'était il y a quelques années, l'année de mes 18 ans...
On avait pris l'habitude avec une bande de potes d'aller en vacances dans le grand sud, tout l'été. Mer, plage, camping, fêtes...
Ce soir là, on était tous allé dans une petite boîte sympa et pas chère où on avait nos habitudes. On avait passé la soirée à délirer, à danser, à boire, à draguer, à rigoler;
J'avais bien remarqué que Xavier n'était pas comme d'habitude, un peu absent, pas dedans quoi. Xavier c'est LE bogosse. Brun, frisé, très belle gueule, sportif, pas bête... tout quoi. J'ai oublié de vous dire que c'est mon meilleur ami. Bien sûr, beaucoup de succès auprès des filles et sûrement de l'envie de la part des garçons.
Vers trois heures, saoulés de bruits et de fatigue, on décide de rentrer avec Xavier. on revient par la plage, le long de l'eau. En cette fin août, il fait très chaud, même la nuit. Arrivés un peu avant le camping, Xavier me lance :
- Et si on prenait un bain de minuit ?
- Ça va être dur, vu qu'il est déjà trois heures...

Il a déjà envoyé ses fringues sur le sable et court, à poils, vers la mer. je le rejoins aussitôt. L'eau est douce, gorgée de la chaleur de l'été et nous rafraichit à peine. On commence à s'ébattre, à s'asperger, à s'empoigner, à se faire couler. Plusieurs fois, je sens son sexe se frotter contre moi dans nos empoignades. Après un bon moment de déconnade, Xavier décide de remonter. On sort de l'eau, tous les deux ruisselants sous la lune claire et, tout à coup, il me prend la main tout en marchant pour regagner le sable. Ça me surprend et ça me trouble d'autant plus qu'il me regarde bizarrement. Ce qui me trouble encore plus c'est que je vois bien sa bite qui commence à se gonfler de plus en plus et qui bientôt se retrouve à l'horizontale...
J'ai du mal à capter car je le croyais hétéro à 100%. Il ne dit rien et accentue la pression de sa main sur la mienne. Cette fois, sa bite est totalement bandée, dressée vers la lune. Je ne sais quoi penser. C'est vrai qu'il a un corps superbe, très affûté, avec déjà une belle toison sur le torse et sur le ventre.

On remonte vers la pinède et là, il sort une grande serviette de plage d'un des dériveurs posé sur le sable. Il l'étale à l'ombre de la coque. Ça sent le coup monté ! Je commence à comprendre pourquoi je le trouvais si bizarre, ce soir. Plus que troublé, je me laisse faire. C'est mon meilleur ami, quand-même.

Il me fait réenfiler mon boxer blanc qui se mouille aussitôt.

Puis il entreprend de me sécher du bout de ses doigts, du bout de sa langue. Doucement, je le sens se rapprocher de mon boxer qu'il effleure légèrement de son torse. Tout cela commence à me faire de l'effet et je sens mon boxer se tendre sous l'effet de ma bite qui se gonfle. Il continue à s'approcher tout doucement de mon slip qu'il effleure maintenant du bout de ses lèvres. Je sens son souffle chaud sur mon gland, à travers le tissu. J'ai le coeur qui bat la chamade. Je décide de m'abandonner complètement à lui, il est si doux, j'ai confiance. Je tends mon bassin vers son visage, lui offrant mon sexe tendu et lui montrant ainsi mon accord à tout ce qui va suivre. Il alterne, à travers le fin tissu du boxer, les caresses du bout de ses doigts, du bout de sa langue sur ma tige tendue comme un arc. Il a glissé sa main gauche sous mes fesses qu'il masse lentement. trop bon. Je lui ai empoigné les cheveux et presse sa tête sur mon ventre. Il glisse quelques doigts sous l'élastique du slip et vient fourrager dans ma toison, évitant soigneusement ma queue qui n'attend plus que ça..

Il entrebâille un peu plus et je sens sa langue pointue sur mon gland. Ça me fait un effet terrible. Du bout de sa langue, il me caresse le dessous du gland, sur le frein du prépuce. Je me cambre encore plus sous la caresse. du bout de ses lèvres, assez serrées, il pousse sur mon gland luisant de mouille comme s'il voulait que je force le passage de sa bouche. Ce n'est pas la première fois qu'on me suce mais c'est la première fois par un mec. C'est presque mieux qu'avec une fille car il connait forcément ce qu'il y a de plus jouissif.

Je donne quelques petite secousses du bas ventre et soudain, je me retrouve dans la chaleur de sa bouche. C'est chaud, c'est doux. Je sens ses lèvres qui coulissent le long de ma tige. Encore ! Il a glissé un genou sous mes fesses, ce qui fait que je suis totalement arc bouté bvers sa bouche, offert à sa fellation. Ses mains en coquille, me caressent doucement les couilles, sous le périnée. Il alterne ainsi sa fellation avec des caresses de sa langue sur ma bite ou des mordillements de ses dents. Ouuuiiiiii !
Je lui malaxe carrément la tête tant ses caresses sont bonnes. Je voudrais que ça ne s'arrête jamais. De temps à autres, je vois ses yeux brillants qui me regardent dans la nuit, pour jauger mon plaisir sans doute. Je lui souris de toutes mes dents pour le remercier. Il s'est maintenant déplacé sur mon côté droit, me prend la main et me la pose sur sa bite. tendue. Il a une toison brune très fournie d'où émerge une superbe bite. Je la lui caresse le plus doucement que je peux de mes doigts tremblants. Je m'attarde sur sa touffe mouillée, sur ses couilles noyées dans les polis, je glisse un doigt dans sa raie.

Je remonte, du bout de mes doigts, le long de sa bite vibrante. J'arrive au gland ruisselant de désir. Je lui titille du bout des doigts. je le sens frémir.

Puis, du bout de trois doigts, j'amorce un léger mouvement de branle. C'est la caresse que je préfère pour moi, alors je pense que ça doit être pareil pour lui. Puis j'empoigne sa bite et je la serre très fort dans ma main, sans bouger. Je la sens trembler de désir. Son excitation a rendu ses mouvements de bouche plus précipités. Il a empoigné le bas de ma bite de ses deux mains, me branle puissamment et me pompe frénétiquement en même temps. Je sens qu'à ce rythme, je ne vais pas pouvoir tenir très longtemps sans jouir. On a du avoir la même pensée en même temps car il se relève et me dit :

- Tu veux bien jouir dans ma bouche ?

Puis il reprend ses allées et venues de plus en plus vite. Excité comme un fou, je branle sa bite de plus en plus vite aussi. Je commence à haleter et à gémir de plus en plus fort. Ça le fait redoubler de vitesse. Je sens venir le moment de la jouissance. Dans un soubresaut et une vague de chaleur qui me submerge complètement, j'inonde sa bouche de mon sperme chaud. Pendant quelques secondes, je n'arrive plus à le branler, tant mon plaisir est grand. Dès que je reprends conscience, je me remets à le branler frénétiquement. Lui aussi sent on plaisir venir. Il s'est agenouillé, les bras en arrière dans le sable, sa tête renversée en arrière balance de droite à gauche. J'accélère encore. Je le sens se tendre et il décharge de violents jets de sperme qui viennent m'éclabousser délicieusement. Il se détend complètement et vient s'allonger contre moi.

Et nous voilà étendus là, tous les deux, nus sous la lune, serrés l'un contre l'autre, offerts à la nuit claire. On comate légèrement pendant un certain temps.
Xavier me demande doucement :

- Ça va, tu es bien ?
- Oui, trop bien.
- Tu n'as pas été surpris...?
- Si quand-même,. Je m'y attendais pas du tout. Bogosse comme tu es, avec toutes les filles...
- Tu sais, t'es pas mal non plus... Je te trouve même très beau. Tu t'es jamais rendu compte que tu attirais autant les regards des garçons que des filles ?
- Euh... non.
- Ben, j'peux te le dire.
- Et ça t'as pas gêné d'avaler mon sperme ?
- Au contraire, c'est délicieux !
- Tu l'avais déjà fait ?
- Oui
- Je les connais ?
- ... Non.
- Eh ben moi, c'était la première fois que je me faisais sucer par un mec.

Tout en parlant, il continue à me caresser du bout de ses doigts, à étaler son sperme qui m'a éclaboussé sur mon ventre, sur mes joues. il me fait respirer son odeur. Je suis entrain de découvrir qu'il a une certaine expérience dans le domaine...

- Si je comprends bien, tu aimes autant les filles que les garçons ?
- Autant, je sais pas... J'aime bien les deux.
- Tu es bi, alors ?
- Oui, et toi, tu as aimé ?
- J'ai adoré ! C'était super bon et super doux quand tu me suçais...
- Alors, bienvenue au club !

Et on rigole.

L'aube qui commençait à se lever sur la mer, nous trouve là, tous les deux à la contempler. On alla se relaver à la mer. déjà, on rebandait fièrement tous les deux. c'est là qu'il m'a embrassé pour la première fois, dans l'eau. un long baiser doux qui me donna le goût de mon sperme dans la bouche. La Méditerranée, totalement calme, rosissait. C'était magnifique. On est resté très longtemps dans l'eau, serrés l'un contre l'autre à se broyer, ventre contre ventre, sexe contre sexe.

Je sentais bien que ça ne serait pas qu'une simple histoire de sexe. Déjà que c'était mon meilleur ami. On verrait.

La fin de l'été se passa ainsi. On multiplia les occasions de s'isoler. Il m'initia complètement, dans la douceur. Le plus difficile fut d'essayer de rester discret avec la bande. on ne voulait pas se couper d'eux. Ce fut encore plus dur de résister à l'envie de se toucher, de se caresser tout le temps. C'était dur, mais, en même temps, ça augmentait le désir et le plaisir des étreintes.

je crois quand-même, qu'avant la fin des vacances, certains avaient deviné.