Une culotte culottée

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Proposée le 22/04/2012 par blandoux

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Une grève des trains' Une grève des trains' elle a facile cette prof de bio d'annuler son cours pour une grève. En attendant moi je me suis levée à 8h pour venir pour rien à son cours !
Christine pestait tout en retournant vers son logement d'étudiante qu'elle partageait avec Caroline.
21 ans depuis une semaine, Christine se savait « agréable à regarder » comme on dit dans les petites annonces et les yeux des étudiants qu'elle croisait en ce matin de printemps le lui démontraient.
1m72, mince, une peau naturellement bronzée, elle savait quelque fois jouer de ses atouts pour assouvir une libido parfois débordante.
D'ailleurs en fin de compte ces deux heures de liberté, elle se dit qu'elle en profiterait bien pour s'oublier dans des bras d'un beau mâle ou peut être d'une des deux trois plus jolies étudiantes du campus'
Elle n'avait jamais essayé de faire l'amour avec une femme mais il est vrai que certaines du cours la faisait frémir et pas seulement dans le dos. Rien qu'à cette pensée elle se sentit toute guillerette et ne put s'empêcher de tirer sur le haut de son jeans pour que celui-ci appuie fortement sur son entre-jambes et lui apporte une lueur de bien-être.
Arrivé à la porte de sa chambre elle se souvint que Caroline n'avait pas de cours ce matin et dormait sans doute encore? la veinarde.
Elle ouvrit donc doucement la porte pour ne pas la réveiller.
A peine entrouverte elle arrêta son mouvement en voyant là sur son lit Caroline qui ne dormait plus vraiment même si ces yeux étaient fermés.
Couchée sur son lit, les couvertures rabattues, elle ne portait qu'un slip blanc de coton caché en partie par une main dont les doigts se glissaient entre ses cuisses. Son autre main quant à elle pinçait son sein gauche en tirant sur son téton.
Sa respiration rapide ne laissait aucun doute quant au fait qu'elle se donnait le 7eme ciel auquel Christine rêvait il y a quelques minutes.
Tout en laissant la porte à peine entrouverte Christine attrapa son iPhone, le mit en mode caméra et visa la belle pour capter ce moment si torride.
Caroline gémissait maintenant, son dos s'arquait et sa main se faisait de plus en plus rapide entre ses jambes.
Un petit zoom ? oui pourquoi pas' et voilà l'image qui s'agrandit à l'écran du téléphone au point que, stupeur, Christine ne découvre que le slip porté par Caroline portait l'inscription bleue LOVE sur la hanche.
Mais c'est un de mes slip ! La salope se branle dans mes slips'. En voyant cela Christine avait du mal à garder le cadrage de son téléphone pourtant ce n'était plus un souvenir qu'elle voulait maintenant mais une preuve.
Et cette preuve elle l'avait là dans son Iphone.
Les grognement de Caroline augmentaient et se muaient maintenant en petit cris' elle allait jouir la salope et dans un slip de Christine.
Alors brusquement Christine ouvrit la porte sans se préoccuper du bruit qu'elle fit en cognant le petit meuble qui était derrière.
Les yeux de Caroline s'ouvrirent tout aussi brusquement et son visage vira au rouge.
- Et alors ma salope tu te branles de si bon matin ?
- Ben heu je croyais que tu étais à ton cours'
- Comme tu peux le voir je n'y suis pas et cela fait deux bonnes minutes que je te regarde te tripoter le clito et mouiller une de MES slips !
- Je je je?.
- En plus tu m'as pris un slip dans le panier à linge car je l'ai mis hier et donc tu voulais mélanger ta mouille à mon odeur? c'est ça ?
- Ecoute, je sais pas ce qu'il m'a pris mais je le trouvais si beau si doux que j'ai voulu l'essayer. S'il te plait oublions cela et n'en parlons plus.
- Tu n'as vraiment pas de chance petite dévergondée car moi j'ai sauvegardé tes frémissements dans mon téléphone? et, crois moi, tout y est, ton visage, tes mains, MON slip, même les lèvres de ton vagin dans lequel tu introduisais tes doigts pleins de mouille.
- Efface cela s'il te plait.
- Oh que non, je suis sûre que cela devrait en faire jouir plus d'un lorsqu'il découvrira cette vidéo sur le réseau du campus !
- Tu es folle, tu vas pas me faire cela, tu ne peux pas, je t'en prie !
- Et pourquoi je ne le ferais pas ?
- Je ferai tout ce que tu veux mais ne rend pas cela public.
- Tout ce que je veux ? vraiment ? Alors commence par me rendre mon slip.
- Mais il est trempé.
- Donne le moi maintenant !
Caroline s'assit sur le lit pour libérer l'épais slip blanc de Christine et le lui tendit.
Nue sur le bord du lit, Caroline était toujours aussi rouge? quoique que la pâleur avait doucement tendance à prendre le dessus.
Et maintenant ma belle, lui dit Christine, tu vas te démerder pour m'en retrouver un slip, aussi beau, juste sale comme était le mien'. Je ne veux pas d'un nouveau. Si tu veux le silence sur cette affaire, tu devras convaincre une jolie pouffiasse de te filer son slip et tu me le rapporteras.
- Comment veux tu que je puisse faire cela ?
- C'est ton problème? je te laisse jusque 20 heure pour réussir et si tu n'y arrive pas ce sera le scoop du printemps sur tout le réseau.
- Habille toi et tire toi? n'oublie pas' 20 heure.
Les larmes aux yeux Caroline se leva pour se diriger vers la salle de bain cherchant déjà une idée pour satisfaire sa colocataire.
Elle choisit de s'habiller plutôt provocante. Une mini portefeuille, un tee shirt blanc court, un boxer de coton (mais un des siens !) et pas de soutien'
Elle sortit alors de la chambre en claquant la porte.
A peine seule Christine repris son slip qui trainait sur le lit et ne pu s'empêcher de le porter à ses narines pour sentir l'odeur toute fraîche laissée par Caroline.
Mais c'est vrai qu'elle mouillait bien cette salope, elle a du en profiter un max. Du nez à la bouche le slip glissa et tout en déboutonnant son jeans, Christine ne pu s'empêcher de lécher cette mouille encore bien humide. Pas mal se dit elle tout en enfonçant sa main dans l'ouverture de son pantalon pour y retrouver la chaleur de son sexe à elle qui menaçait de se noyer.

Caroline marchait dans les allées du campus en cherchant une idée? elle ne pouvait quand-même pas demander à la première venue de lui donner sa culotte !
Déjà 11h, Dieu que le temps passait vite, il fallait trouver !
Tout en marchant elle arriva devant le « Double signe »? un bistrot comme les autres quoique? avec sa lumière tamisée, ses banquettes confortables, ce boui-boui attirait beaucoup de couple amateur de flirt et de caresses furtives.
Elle y entra en se disant qu'une petite vodka l'aiderait sans doute dans sa recherche.
Il n'y avait pas grand monde à cette heure et elle choisit de s'assoir sur un haut tabouret en bout de bar.
Elle commanda sa vodka puis, ses yeux s'habituant à l'obscurité elle regarda autour d'elle.
Elle repéra dans un coin de banquette un couple qui se regardait droit dans les yeux et certainement pas pour réviser le cours de bio mais qui aimerait sans doute réviser l'anatomie.
Alors'. Oui? peut-tre? on peut essayer? de toute façon il me faut trouver !
Tout en tenant son verre au-dessus du bar elle fit pivoter son siège pour tourner ses longues jambes vers son couple cible. Elle plaça un de ses pieds sur le sol étirant ainsi sa longue jambe.
Sa jupe portefeuille suivit le mouvement et glissa sur le côté.
Sans se regarder, Caroline savait que ce mouvement découvrait son boxer en tous cas pour les deux du coin. J'espère que personne d'autre ne le voit se dit-elle. Tournant rapidement la tête dans le bar elle fut rassurée? ou presque.
Le couple continuait à se regarder dans les yeux mais la main de l'homme venait de se poser sur la cuisse de la fille et assez haut pour que le doute quant à ses envies n'existe plus.
Caroline revint vers son verre tout en laissant son pied droit au sol et en balançant son genou pour attirer l'attention.
Quelques minutes plus tard, elle risqua à nouveau un oeil vers le couple. Cette fois deux paires d'yeux la regardaient ou plutôt regardait sous sa jupe. Cette fois la femme avait mis sa main sur la braguette de son homme? plus aucun doute n'était permis, ils en crevaient d'envie ces deux là.
Caroline leur sourit et, sans changer la position de ses jambes, elle repoussa un peu plus loin le pan de sa jupe portefeuille. Rien qu'à l'idée du spectacle qu'elle offrait elle sentit son sexe s'humidifier à nouveau.
Si maintenant ils n'ont pas compris, je sais plus quoi faire se dit-elle.
Quelques instants plus tard elle perçut du coin de l'oeil un mouvement dans le coin du couple.
Elle tourna la tête pour les voir se lever. La bosse dans le pantalon de l'homme ne laissait planer aucun doute quant à ses envies' Eh merde se dit-elle ils se tirent pour tirer leur coup.
L'homme passa derrière elle puis la femme et à ce moment elle entendit à son oreille :
- Tu nous suis ?
Elle n'eut pas le temps de répondre. Le couple arrivait déjà à la porte.
Elle attrapa un billet de 10 euros dans son sac, le posa sur le bar et se précipita à leur suite.
Dans la rue, envahie de soleil, elle les repéra à quelques mètres et décida de les suivre. La femme se retourna, vit Caroline et lui sourit. L'invite était claire.
Un tournant à droite, un à gauche puis une porte ou le couple s'engouffra.
Devant le porte, Caroline hésita? elle se dit qu'elle était folle de les suivre puis pensant à l'enregistrement de Christine, elle se dit qu'elle devait y aller.
Elle rejoignit le couple qui montait dans l'ascenseur.
- On peut vous offrir un verre ? demanda l'homme.
- Pourquoi pas répondit Caroline.
- Moi c'est Pierre dit l'homme.
- Et moi Sylvie.
- Moi c'est Caroline.
- Voila on arrive, entrez.
A peine dans l'appartement Pierre embrassa goulûment Sylvie comme si Caroline n'existait pas. Leurs langues se mêlaient puis la main de Pierre rejoignit le téton de Sylvie par-dessus son chemisier bleu marine.
Sylvie repoussa la main se tourna vers Caroline et lui dit.
- Met toi à l'aise, installe toi, on t'a promis un verre non ?
- Euh oui, avec plaisir.
- Que veux-tu ?
- Je viens de boire une vodka alors si vous en avez?
- Pas de problème dit Pierre en se dirigeant vers un meuble bar.
- Il y a longtemps que Pierre rêvait d'une partie à trois' cela te tente dit Sylvie comme si c'était une évidence simple.
- Euh je ne sais pas' je n'ai jamais essayé, cela m'effraie un peu.
- Relax dit Pierre, tu nous as bien chauffé au bar alors tu le mérites. D'ailleurs ce boxer, j'aimerais bien le revoir.
- Oh oui ajouta Sylvie, il a l'air génial.
Cette fois Caroline était au pied du mur, ce n'était plus de l'exhibitionnisme camouflé maintenant !
- D'accord, dit-elle, mais pas seule.
Sylvie n'hésita qu'une seconde, passa la main dans son dos et défit le zip qui fermait sa jupe qui tomba au sol montrant ainsi un string bleu assorti à son chemisier.
Pierre suivit en déboutonnant son pantalon pour se présenter en slip blanc, épais avec une petite ligne rouge aux bords.
Caroline n'avait plus le choix elle se leva et imita ses hôtes. Son teeshirt court laissait voir son nombril. Son boxer était cette fois totalement livré aux yeux qui la regardaient.
- Tu es bien foutue et c'est vrai que ton boxer est craquant'. Je peux le sentir ?
- Bien-sûr? tu peux même l'essayer si tu veux, dit Caroline regrettant aussitôt ses paroles.
- Oui j'aimerais dit Sylvie en retirant son string et le jetant sur le canapé.
Caroline ne pouvait plus reculer et retira son boxer laissant Pierre admirer son pubis complétement rasé. Son slip à lui était maintenant complétement déformé par une érection d'un membre que l'on devinait imposant.
Sylvie attrapa le boxer que lui tendait Caroline et regardant l'entre-jambes du vêtement dit :
- En ben, on dirait qu'on te fait de l'effet nous aussi ! Ce n'est pas pour me déplaire. Laisse moi l'essayer.
Elle glissa la culotte qui lui allait à ravir. Puis se tournant vers Pierre :
- Viens donc nous sentir ensemble lui dit Sylvie en désignant son entre-jambes.
Pierre n'hésita pas et approcha son nez de ce tissu si doux. Il inspira fort cette odeur mélangeant les liquides de Caroline et Sylvie. Sa langue vint bientôt humidifier encore un peu plus le petit vêtement.
Caroline se sentait de plus en plus excitée et déjà sentait la cyprine quitter sa grotte pour couler sur sa cuisse.
- Oh je n'en peut plus, que c'est bon, dit Pierre. S'il te plait Caroline branle moi.
Caroline hésitait et pourtant ce membre encore caché l'attirait comme un aimant.
Elle se pencha passa sa main sous la hanche de Pierre et appuya sur ce membre emballé par le coton blanc. Elle commença à le caresser mais n'arrivait pas à le prendre. Elle écarta le tissu et put enfin le prendre tout entier dans sa main.
Pierre avait lui aussi écarté l'entre-jambes du boxer de Caroline (ou de Sylvie) et poussait la langue entre ses lèvres.
Caroline décida de baisser le slip de Pierre pour mieux sentir son membre. Puis, ne résistant plus elle baissa la tête jusqu'à la rencontre de ce gland tendu vers elle. Ce faisant elle se retrouvait à quatre pattes sur le tapis du salon et sentit la main de Sylvie se poser sur son dos puis descendre vers ses fesses.
Pendant qu'elle engloutissait l'objet de son désir, Caroline sentit la main s'insinuer entre ses fesses et l'index venir caresser son petit trou. Cela la rendit folle et elle accéléra son mouvement.
C'était un vrai triangle, Pierre avait maintenant deux doigts dans le vagin de Sylvie qui avait sa main entre les fesses de Caroline qui suçait Pierre.
Sylvie ahanait de plus en plus vite de plus en plus fort. Pierre se retenait en criant des oh et des ha de plaisir. Caroline ne se contrôlait plus.
Au moment où elle sentit les première contraction du membre dans sa bouche, Caroline voulut se retirer mais entendant le hurlement de Sylvie elle choisit de rester et de sentir les pulsions du liquide de Pierre dans le fond de sa gorge. Cela l'emporta comme dans un tourbillon.
Elle avala le sperme récolté et s'écroula sur la moquette, repue, contente, satisfaite.
Sylvie était sur le canapé et tentait de reprendre son souffle.
Pierre avait l'air en pâmoison digérant son bonheur.
- Je pensais pas vraiment à cela ce matin encore, dit Caroline.
- Nous non plus crois moi, dit Sylvie.
- Mais c'était génial, dit Pierre.
- On se reverra, demanda Sylvie en regardant Caroline.
- Je sais pas dit-elle? qui sait ? Mais en attendant pour me faire plaisir laisse moi ton string en souvenir.
- Si tu veux tu peux le prendre? et moi je garde le tien.
Sylvie s'empara du vêtement et l'enfourna dans son sac. Mais si elle ne le mettait pas elle n'aurait rien sous sa jupe?.
Tant pis se dit elle je ne suis pas loin de mon logement et puis de l'air frais me fera le plus grand bien.
Reprenant sa jupe, elle la passa directement sur sa peau, elle prit son précieux sac et laissa un baiser sur les lèvres de Sylvie et un autre sur celles de Pierre. Elle sortit de l'appartement.


Rentrée à sa chambre elle vit que Christine était revenue elle aussi.
Fière elle pris le string trempé de son sac et le donna à Christine en lui disant :
- Tiens prend et maintenant tu effaces la video devant moi.
Prenant le vêtement, Christine le tendit entre ses mains et dit :
- Ben c'est quoi cela ?
- Une culotte usagée comme tu me l'as demandée. J'ai respecté ma part du contrat à toi maintenant.
- Quoi ? tu me pique une superbe culotte de coton blanc pour la saloper et tout ce que tu trouves à me rapporter c'est un string bleu ? D'accord il sent bon mais ce n'est pas cela qui remplacera mon slip blanc que je ne pourrai remettre tellement tu l'as sali. Il va falloir faire mieux que cela si tu ne veux pas être la risée du campus !!!!


A SUIVRE ??????? à vous de me le dire?