Un tendre calin

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Proposée le 27/03/2012 par Yuna99

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Voilà deux ans que nous sommes installés ensemble Jérémy et moi... Mais la routine s'est installée... Comment faire pour qu'il voit en moi plus que la jeune fille qui lui prépare à manger ? Ou qui lui lave ses vêtements ?
J'étais désespérée, alors je me suis confiée :

- Allo Nadine ? C'est Anna !
- Salut ma belle ! Qu'est ce qui va pas ? c'est rare que tu m'appelles !
- Bah en fait c'est à propos de Jérémy... Y'a une routine qui s'est mise en place et j'ai peur que ça le fasse pas... surtout sexuellement parlant...
- Ah d'accord, je comprends, bah qu'est ce que tu veux que je te dise ?
- Bah je sais pas moi ! T'as pas des conseils ?
- Bon ok ma chérie, un truc pour casser la routine c'est de le surprendre, je sais pas moi, fais lui un petit diner romantique et tu passes sous la table pour une gâterie, enfin tu vois ce que je veux dire ?
- Euh ouai je crois... Ouai.. Oui c'est bon... Merci Nadine !

Et voilà comment mon petit stratagème commença pour raviver la flamme. Je me mis d'abord en quête d'une jolie tenue qui pourrait faire penser à Jérémy que j'étais LA fille qu'il trouvait sexy. Qu'il reste ébahi. Après plusieurs boutiques, je finis par opter pour quelque chose de très simple et très sexy, un simple tablier de soubrette sur ma tenue d'Eve. Bon d'accord, elle était très courte, très décolleté, et rose mais elle mettait bien en valeur mes courbes généreuses et mes longues jambes. Cependant, ma poitrine était assez serrée mais cela rendait l'apparence plus pulpeuse... Avec mon 95 C j'espérais que tout ça lui ferait de l'effet.

De retour à la maison, je commençais alors le repas que je voulais parfait. Je n'avais pas envie de faire languir la situation alors je sortis du frigo une bombe de chantilly et un pot de pâte à tartinet que je ferai fondre... Quoi de mieux pour éveiller son appétit qu'un jeu gustatif? Pas besoin de manger grand chose, il finira surement par me manger moi.

Les heures tournèrent lentement, j'avais l'impression que le moment où Jérémy rentrerait se prolongeait. J'avais enfin mis mon petit tablier rose et commençais à brosser ma longue chevelure brune, les boucles qui se formaient à la pointe de mes cheveux caressaient mes épaules et mes seins. J'imaginais alors ses mains caressant mon corps avec force, et ses lèvres passer sur ma poitrine.
Je mis un peu de mascara pour étoffer mes yeux de biche et me souvins alors qu'il m'avait dis que mes yeux verts l'avaient toujours fait flancher. Un peu de rouge sur mes lèvres et j'étais enfin prête.

Je m'étais assise, jambes croisées, attendant patiemment l'arrivée de mon cher et tendre. Les minutes s'écoulaient lentement. Le tic tac de la pendule me rendait nerveuse. Puis soudain, la poignet tourna et la porte s'ouvrit.

Jérémy entra d'un pas nonchalant dans l'appartement. Puis se retournant, resta fixe, comme arrêté de stupeur. Ses yeux fixés sur moi.
C'est lorsque ses lèvres rencontrèrent les miennes que je compris, que la chantilly et le nutella ne me serraient d'aucune utilité.

Comme dans mon fantasme précédent, il passa délicatement et avec force ses mains sur mon corps, ses baisers me brûlaient la peau et je sentais un feu alors inconnu qui montait en puissance à l'intérieur de moi.
Je ne pouvais plus attendre, non je ne le voulais plus. Je le repoussai alors sur le canapé pour y défaire son pantalon, prendre son sexe dans mes mains et commençai à le lécher. J'entendis ses gémissements qui résonnaient dans l'appartement. Il commençait à avoir du mal à se retenir.
Ses mains caressaient ma tête, soulevaient mes cheveux comme s'il voulait mieux me voir.
C'était vicieux et j'aimais ça. Sentir son regard sur moi, me dévorer.

Lorsque je me relevai, il ne tenait plus, il me fit m'allonger sur le dos, et après avoir passé ses mains sur mon sexe et mordu la pointe de mes seins, il se mit sur moi, se frotta contre moi. C'était tellement agréable, son corps nu contre le mien, la chaleur qui émanait de nos deux corps faisait comme un brasier ardant.
Et je sentis son sexe entrer en moi, il me pénétra avec force. S'en suivirent des va-et-vient d'une violence que je ne lui connaissais pas et qui me faisait jouir comme jamais. Puis il se retira doucement. Pourquoi ? Je ne comprenais pas. Quand soudain, il me retourna, je me retrouvais à genoux sur le canapé, me tenant à un des accoudoirs, et il continua de me prendre avec une brutalité nouvelle. Ce moment de délice qui me faisait jouir fut de courte durée, j'avais besoin de le voir, de savoir si son plaisir était aussi intense que le mien.
Alors dans un élan d'envie de le voir et de le dominer, je me suis retournée et l'ai pousser sur le canapé avec tendresse, pour qu'il s'allonge, de nouveau je sentis son sexe me prendre avec une voracité extrême. Continuant à bouger mes hanches pour lui faire ressentir ce même plaisir qui m'assaillait.

C'est dans un orgasme extraordinaire, après m'avoir prise brutalement et sans ménagement, qu'il éjacula en moi. Dans des gémissements mêlant plaisir et excitation, je me suis dit que ça en valait vraiment la peine.

Il était contre moi, sa tête posée sur mon sein, la main sur mon ventre. Nous étions tout deux épuisés.

- Anna, comment as-tu su ?
- Su quoi ?
- Que les tenues de soubrette était mon plus grand fantasme.

Je compris alors le désir soudain qui l'avait animé lorsqu'il avait poser les yeux sur moi.