Surprenante annonce

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Proposée le 26/03/2012 par Coquinetimide

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Tout à commencé quand j'ai posté ce texte sur un site de petites annonces très connu : « Jf très coquine cherche h aimant s'amuser pour un plan à plusieurs avec moi. Joindre photos de tous les participants éventuels. Non vénale. », accompagné d'une photo de mon visage. Je m'attendais à quelques réponses, mais ce fut un véritable raz-de-marée d'emails auquel j'ai eu droit ! Certains fantaisistes, certains m'insultant, mais la plupart semblaient être sérieux, avec les photos fournies comme je l'avais demandé. Après un rapide tri, j'ai décidé de recontacter les personnes de la réponse la plus satisfaisante en terme de beauté générale et de distance par rapport à chez moi. Il s'agissait de 6 gars, la trentaine, celui à qui j'ai parlé au téléphone semblait très peu timide et assez sérieux. Rendez-vous fut donc pris en bas d'une barre d'immeuble dite « Les Magnolias ».
Le jour fixé, je m'habille en vraie petite gothique sexy (minijupe avec chaine, corset noir) et me pointe un peu en avance au point de rendez-vous fixé. Une fois arrivée, l'appréhension me gagne ; une jeune fille de 17 ans seule dans un endroit comme celui-ci, ça craint. Et s'il s'agissait d'un piège ? Je songe à partir mais, comme un signe, les six gars arrivent. Leur démarche est assurée, comme s'ils étaient les maitres du lieu, on dirait un vrai petit gang.
Ils m'aperçoivent, me reconnaissent. Ils s'avancent, l'un me siffle. Quand ils arrivent à côté de moi, un grand gaillard avec un bouc prend l'initiative de m'enlacer et de m'embrasser. Je sens ses mains glisser le long de mon dos et me caresser les fesses. Une fois fini, il me dit « Enchanté, mademoiselle » d'une voix grave, calme et posée. Je le devine être celui à qui j'ai parlé au téléphone, sans doute le « chef » naturel de la petite bande. Les autres s'approchent, me tâtent le corps comme de la marchandise en faisant des remarques : « putain, ses seins ont l'air bons », « un bon petit cul de coquine » , « pas mal pour un gothique » ; j'en passe et des meilleures. Être un objet ne me dérange pas, je me laisse faire sans rechigner, juste gênée car certains passants me regardent bizarrement.
Finalement, se rendant compte que la rue n'est sans doute pas le meilleur endroit pour faire ça, ils me demandent de les suivre. Nous marchons 500m, pendant lesquels je ne pipe mot tandis qu'eux parlent entre eux. Arrivé à un petit immeuble de 6-7 étages, on rentre et on descend. C'est la que je me dis que finalement, je vais me faire égorger dans une cave. En fait nous pénétrons dans un garage privé qui appartient à l'un des hommes du groupe et qui a été réaménagé de manière sommaire, une demi-douzaine de poufs sont disposés sur un petit tapis autour d'une table basse. Bon, l'ambiance est pas chaleureuse mais il y a eut quand même un effort de fait.
A peine rentrés, un mec m'ordonne de me mettre en sous-vêtements : j'obéis. Je dé-zippe mon corset dans le dos, puis me retourne, me penche en avant et fait glisser ma jupe lentement le long de mes jambes. Je vais pour enlever mes talons mais on me fait signe de les garder. Pendant ce temps, eux se sont mis totalement nus avec une rapidité que je n'aurai pas crue possible. Toutes ces queues sont en érection juste pour moi, cela me fait vibrer.
Je m'approche de celui qui m'avait embrassé tout à l'heure, me jette à genoux devant lui, lui agrippe les fesses et commence à lui donner une longue et profonde fellation. Mes lèvres vont de la base de sa bite à son gland, vite et goulûment, je retrouve mon élément et pratique ce que j'aime le plus. Les autres s'approchent de nous, m'encerclent en fait. Je passe d'un pénis à l'autre, mes mains s'activant sur les membres que ma bouche n'est pas en train d'avaler. Je lèche, je suce, j'aspire, avec avidité. Le goût salé délicieux me reste en bouche, je me sens chienne, j'adore ça.
Ils s'agitent, semblent vouloir passer à quelque chose d'autre. L'homme au bouc sort d'un sac un morceau de tissu et me bande les yeux avec : « Maintenant, ma chérie, tu vas juste te laisser faire ». J'acquiesce de la tête. Deux mains m'enlèvent mon soutien-gorge, puis ma culotte. Nue, les yeux bandés, je suis vulnérable et ça me plait.
Une première personne me plaque sur le sol froid et m'embrasse presque de force. Il demande un préservatif. Il ne se passe rien. D'un seul coup il s'enfonce dans mon petit sexe trop serré. J'ai mal et je crie. Il me colle une baffe, je me tais. Il commence les va-et-vient directement très rapidement tout en suçant et mordillant mes tétons pointés. Je commence à ressentir le plaisir, les yeux bandés et le fait d'imaginer tous les autres nous regardant aidant. Au bout d'une dizaine de minutes de missionnaire, il me demande de me mettre à genoux. Je reconnais sa voix, c'est le « chef ». Une fois à genoux, il prend mes deux seins et s'en sert pour se branler. Soudain, il vient. Un jet de sperme chaud coule sur le cou et sur ma poitrine.
« Allez, a quatre pattes. ». Il plaque ma tête et la colle contre le sol. « Les gars, je vous laisse vous faire plaisir avec cette pute ». La première queue me pénétrant ne se fait pas attendre. Puis la deuxième. Puis la troisième. Ils tournent vite, restant a peine une minute en moi, de manière à faire durer le plaisir. Quelqu'un prend l'initiative de me rentrer quelques doigts dans l'anus. Puis me sodomise. Puis un autre. Ils alternent. Ma chatte. Mon cul. Mon cul. Ma chatte. J'halète, je suis en sueur. Je crie de jouissance, tout l'immeuble doit m'entendre, mais cela ne semble pas les importuner. Je me prends quelques fessées au passage, on me tire les cheveux, la douleur se mêle au plaisir, c'est le bonheur.
D'un coup, tout s'arrête, plus rien. J'entends les gars se déplacer dans le garage et haleter. Quelqu'un me dit de venir. A quatre pattes, je marche en me guidant par le son de sa voix.
« Stop ». Une main appuie sur ma tête. « Lèche ». Le béton du sol est couvert de leur semence. Avec ma langue, appliquée, je lape tout le sperme. Des mains me caressent le corps. « C'est bien, bonne chienne. ». Une main me relève. On me remet mon corset, puis ma jupe. Je les soupçonne d'oublier volontairement mes sous vêtements. On me prend la main et me guide dans l'immeuble, refaisant le chemin inverse de celui parcouru précédemment. Une fois dehors, celui avec un bouc me chuchote « tu comptes jusqu'à cent et tu enlève ton bandeau. »
« 1, 2, 3, 4, 5... ». Arrivée à 100, j'enlève mon bandeau. Plus personnes, ils sont partis. Il fait nuit, j'ai froid, je ne porte pas de sous-vêtements et mon odeur doit être un mélange de sperme et de sueur, et pourtant c'est avec un sourire que je repars de cet après-midi mémorable.