Marie Caroline de Fabre-Riguier 2. La visite

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 6/12/2007 par Antonio

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Marie Caroline de Fabre-Riguier 2.La visite


Marie Caroline était sur la route par une chaude journée d'été, elle roulait à vive allure espérant ainsi raccourcir la distance entre sa résidence et celle de sa meilleure amie Marie Estelle à 200 kilomètres de là.

Elles avaient le même âge et toutes deux étaient blondes, elles avaient partagé leurs meilleurs moments de jeunesse, elles ne se sont pas perdues de vue après leurs mariages respectifs et continuaient à se voir et à se téléphoner régulièrement, elles se confiaient tous leurs secrets et étaient liées par de profonds sentiments d'amitié.

Pour rien au monde elles n'hésiteraient un seul instant à parcourir de grandes distances s'il le fallait pour être ensemble si jamais l'une ou l'autre avait un besoin d'aide.

C'est ainsi que ce jour là, Marie Caroline se trouvait sur la route au volant de sa voiture, son amie ayant subie une opération chirurgicale sans gravité avait sombrée dans une espèce de mélancolie dont personne n'avait réussi à l'en sortir, même pas les efforts fournis par son mari ou sa fille.

Malgré son peu de goût pour les déplacements qui ont tendance à la rendre malade, Marie Caroline en apprenant dans quel état se trouvait son amie avait, sans réfléchir un seul instant, prit son propre véhicule, le chauffeur étant absent.

C'était en début d'après midi et la chaleur était écrasante, la climatisation du véhicule formait une espèce de cocon dans lequel elle se sentait toute fraîche, comme une rose que l'on vient de couper.

Des champs s'étalaient à perte de vue à gauche et à droite, peu de voitures sur cette route presque déserte, un raccourci que Marie Caroline avait déjà pratiqué mais avec Kacim son chauffeur sénégalais.

Soudain un drôle de bruit provenant du moteur la fait sursauter et émerger de ses rêveries, elle ralentit aussitôt et s'immobilise sur le bas coté.
Elle descend du véhicule, une chaleur étouffante lui saute dessus et l'étreint, elle sent son corps ruisseler, elle porte une robe blanche légère à bretelles qui lui arrive en dessous des genoux, jamais elle ne portait de jupes ou de robes qui ne respectaient pas cette longueur, son éducation stricte était restée gravée en elle, et de fines mules talons, blanches aussi.

Elle se précipite pour se mettre à l'abris dans sa voiture en se disant que de toute manière elle ne comprends absolument rien à un moteur, elle se souvient tout à coup que sur cette route se trouve une halte garage essence, une grande battisse que l'on apercevait de loin, un panneau à moitié effacé indiquait le lieu.

Son moral remonte, aussitôt elle redémarre et continue à rouler malgré ce bruit inquiétant, arrive au panneau en question et bifurque sur une petite route bordée d'arbres, elle continue encore quelques mètres se retrouve devant un bâtiment aux murs blancs délavés, trois voitures sont garées le long du mur.

Elle immobilise le véhicule et coupe le contact enfin soulagée de ne plus être agressée par le bruit étrange provenant du moteur.

Elle ouvre la portière et aussitôt cette chaleur suffocante l'enlace à nouveau la rendant moite jusqu'au bout des orteils, elle s'approche du garage et entre, le silence règne à l'intérieur, parfois entrecoupé de mots inaudibles provenants d'une petite pièce au fond dont la grande fenêtre vitrée laisse apercevoir un homme en bleu de travail, quelques voitures désossées occupent ce grand local, des caisses à outils de couleur rouge sont disposés ça et là, une odeur de cambouis lui chatouille les narines.

Elle avance et le silence dans ce grand local au haut plafond est rompu par le claquement des talons de ses mules.

Soudain surgit de derrière une voiture au capot levé un homme, un nain à la peau brune, les cheveux crépus, vêtu d'un bleu de travail taché de noir, elle s'arrête net retenant un cri en posant sa main sur sa bouche, il la regarde amusé, ses gros sourcils noirs soudain se froncent et il lui demande avec un accent qu'elle connaît bien maintenant(Ali son jardinier nord africain a le même) ce qu'il peut faire.

Elle le regarde, obligée de baisser la tête pour lui parler car le visage du nain se trouve à hauteur de son ventre, cela la gène et elle rougit en détournant les yeux évitant de lui répondre.

La porte du local s'ouvre sur un homme moustachu, de type méditerranéen, mal rasé, de taille moyenne qui se dirige vers eux, vêtu aussi d'un bleu de travail à même le corps, qui laisse entrevoir une toison noire sur son torse et sur ses bras, très brun de peau, les cheveux crépus et rares, des petits yeux inquisiteurs.
Il arrive à sa hauteur et lui demande la cause de son problème mécanique,
Marie Caroline s'aperçoit d'abord que le nain, sans vergogne, est en train de balayer de son regard ses jambes de haut en bas jusqu'à ses pieds dont les orteils finement manucurés sont découverts, elle se tourne vers le nouvel arrivant pour lui répondre, mais son cœur s'emballe, elle s'empourpre et balbutie que son moteur fait un bruit bizarre, que son véhicule est garé devant l'entrée...et que...

L'homme la regarde avec un petit sourire et ordonne au nain de la conduire dans le bureau ou elle trouverait un semblant de fraîcheur, à l'extérieur le soleil pouvait être dangereux pour une jolie dame comme elle dit il, en la dévorant des yeux de la tête aux pieds.

Elle ne répond rien, incapable de trouver un seul mot, le nain lui demande de le suivre mais au lieu de passer devant elle pour lui indiquer le chemin, il lui fait signe de la main afin qu'elle le précède, elle le regarde et rougit à nouveau, elle détourne la tête et avance, les talons de ses mules résonnent sur le sol et l'écho se répercute dans ce lieu étrangement silencieux.

Elle sent le regard du nain collé à sa croupe dodue, sa robe fine, avec cette chaleur et la moiteur de son corps aidant, lui colle aux reins malgré que celle-ci soit ample, ce qui rends le roulement de ses fesses rebondies carrément provocateur, elle marche vers le bureau où elle entre.

Une grande table sur laquelle est posé un ordinateur trône au milieu, il y a deux chaises, elle en choisit une pour s'asseoir et échapper ainsi au regard lubrique du nain.

Il lui fait face, ses yeux noirs et brillants glissent sur son corps, s'attardent sur ses seins ronds que sa respiration saccadée fait bouger, glissent sur ses cuisses et finissent par se poser sur ses jolis pieds fins et cambrés dans ses mules talons, elle a l'impression d'être nue devant cet homme, elle en frissonne de dégoût.

Sans pouvoir se retenir elle regarde brièvement vers sa braguette et ses yeux s'agrandissent de stupeur, le devant est tendu et gonflé, elle rougit jusqu'aux oreilles soudainement consciente que le balancement de ses fesses joufflues et l'inspection de sons corps avaient donnés des idées au nain, son anus frémit en s'entrouvrant et se resserrant.

Assise sur la chaise, le cœur battant fort, elle n'ose plus le regarder le silence est lourd, elle sait bien quel genre de pensées sont en train de tourner dans la tête du nain, des pensées obscènes, sales.

Marie Caroline la mère de famille sent les lèvres gluantes de sa chatte se déplisser, s'ouvrir, et un liquide chaud tapisser le fond de sa fine culotte.

Le nain rit franchement en la regardant, lui dit quelques mots dont elle ne comprends pas le sens, mais qui la font rougir encore plus car elle se doute bien de quoi il s'agit, cela lui rappelle son après midi dans la petite pièce au fond de son jardin avec les deux ouvriers qui n'avaient cessés de l‘abreuver de mots semblables, puis il tourne les talons pour aller rejoindre son collègue à l'extérieur.

Juste le temps que la rougeur quitte ses joues et que les battements de son cœur s'apaisent, elle les voit par la grande vitre revenir en discutant entre eux, ils entrent, le regard grave, et l'homme à la moustache lui explique qu'il faudra changer une pièce importante du moteur et que hélas il n'en possède pas en magasin, qu'il doit en commander et qu'elle doit patienter si elle veut reprendre la route.

Marie Caroline est abasourdie, cet arrêt et cette réparation vont la retarder, à l'heure qu'il est elle ne serait plus qu'à quelques kilomètres à peine de la résidence de son amie, maudit moteur, pourquoi a-t-elle pris ce raccourci? La voila seule dans un garage perdu, en présence de ces deux hommes à l'air vulgaire, aux yeux brillants de convoitise.

De nouveau sans pouvoir se retenir, son regard va se coller à la braguette du nain, la bosse qui déforme le devant du bleu de travail a encore pris du volume, il s'en aperçoit et d'un geste vulgaire il saisit son gourdin à travers le tissus et le masse en la fixant, elle se mord la lèvre inférieure et ouvre de grands yeux ronds, elle détourne la tête et regarde l'homme à la moustache, ses yeux, comme s'ils était télécommandés glissent sur le haut du torse velu, le ventre rond, et se fixe sur sa braguette.

Un cri lui échappe « OH »!, elle sursaute en rougissant complètement scandalisée, un frisson immonde lui chatouille l'anus comme si une langue gluante venait de le laper, elle sent les pointes de ses seins se dresser.

Un gros paquet obscène gonfle et déforme la braguette, elle veut se lever et s'en aller mais ses jambes sont absentes, une chaleur soudaine parcours son corps moite, la gorge nouée, elle baisse la tête et attend, elle se sent molle et veule, n'est-elle pas une faible femme sans défense?

La bourgeoise fidèle épouse et mère de famille sent d'étranges frissons parcourir son corps, ils l'étourdissent, lui donnent chaud, ses orteils mignons, retenus par la bride de ses mules, gigotent, sa chatte baille et dégorge encore de la mouille dans sa fine culotte blanche en soie, sa rondelle s'ouvre et se resserre comme une petite bouche qui cherche de l'air.

L'homme à la moustache s'approche d'elle et la prend fermement par un bras pour la relever, le cœur cognant fort dans sa poitrine elle suit le mouvement sans résister en évitant de le regarder.

Sans qu'aucun mot ne soit prononcé, il la pousse légèrement dans le dos pour la faire avancer vers la porte, ils sortent du local et se dirigent vers le fond du garage suivis par le nain.

Les talons de ses mules résonnent à nouveau sur les dalles de ciment, son cœur bat très fort, elle est consciente de ce que vont lui faire ces deux ouvriers, ils vont la forcer à faire des choses obscènes, cette pensée accélère encore plus les battements de son cœur, sa gorge se noue, elle se sent veule et sans force incapable de réagir, elle veut se sauver mais ses jambes refusent d'obéir.

Ils arrivent devant une porte qu'il ouvre, il la fait passer devant en plaquant brusquement sa main droite entre ses fesses joufflues, une main rude d'ouvrier dont le majeur gros et dur lui tâte la rondelle à travers la robe, elle se cambre et son cri trouble le silence de ce garage « OOH ! »

Elle se retrouve dans une petite pièce éclairée par une ampoule au plafond, une table encombrée de tasses de tournevis et de paquets de cigarettes, et un matelas posé à même le sol sur une bâche dépliée meublent cet endroit.

Elle n'ose pas se retourner, ses joues sont cramoisies, elle les entend respirer fort, elle a chaud, sa gorge est nouée, ils se parlent mais elle ne comprend rien à leur langage.

Soudain, deux mains durs la prennent par les hanches, elle se retourne affolée, par-dessus son épaule elle voit le nain approcher son visage basané de son cul plantureux et l'enfouir dans la raie à travers le tissu de sa robe et de sa fine culotte de soie, elle gémit, veut se dégager mais la prise des mains de l'ouvrier sur ses hanches est trop forte, elle le sent farfouiller entre ses fesses en grognant comme un chien.

Rouge de honte elle gémit de plus belle, il la pousse vers le lit ou elle tombe en poussant un cri, à moitié allongée elle voit l'homme moustachu en slip, sans perdre de temps il s'était prestement débarrassé de sa combinaison sale, son torse et son ventre sont couverts de poils noirs, ses jambes aussi, ses yeux brillent de convoitise obscène

Ils n'ont droit à une aussi belle femme que dans leurs rêves se dit-elle, pour une fois, ce rêve se concrétise, ils ont à leur disposition une bonne bourgeoise à tringler, ils vont la souiller et l'humilier, mais elle mouille à cette idée, elle sait par avance qu'elle ressentira le même plaisir sale et immoral vécu dans la maison au fond du jardin avec Ali le jardinier et son compère.

Elle se rend compte que le nain la déchausse et palpe ses jolis pieds cambrés, l'autre s'approche de son visage et d'un seul coup baisse son slip, ses yeux s'arrondissent et sa bouche s'ouvre de stupeur devant cette matraque brune qui se cabre sous son nez.

Épaisse et noueuse, surmontée d'un gros gland violacé, il l'approche de sa bouche, elle veut se soustraire alors il la saisit par la nuque et l'oblige à gober le gland, elle sanglote et se laisse pénétrer la bouche, sa langue s'affole et le fouette en frétillant comme pour l'empêcher d'avancer, mais ce traitement ne fait qu'exciter l'ouvrier à la moustache qui commence ses va et vient comme s'il tringlait une chatte.

Ses cris et gémissements sont étouffés mais excitent les deux hommes, le nain lui arrache complètement sa robe l'obligeant à recracher un court instant la matraque qui profane sa bouche chaude, puis se débarrasse aussi de son bleu de travail.
Il se jette ensuite sur elle et la couvre de baisers sonores et humides, il commence par les plantes de ses pieds blancs et joliment cambrés, ensuite les mollets galbés, puis monte embrasser et palper les belles cuisses rondes à la peau douce et blanche, les mains rugueuses de l'ouvrier glissent partout sur son corps qui se couvre de chair de poule, elle laisse entendre une longue plainte étouffée par le gourdin qui occupe sa bouche.

Elle le sent tirer brusquement sur l'élastique de sa culotte en soie qui cède dans un craquement, elle cri, bâillonnée par le sexe qui n'en finit pas de lui fouiller le gosier et elle se retrouve le cul à l'air.

Aussitôt il attrape les deux fesses dodues à pleines mains, les écarte et fonce bouche en avant telle une ventouse sur la rondelle à laquelle il colle ses lèvres moites, sa langue frétille et tourne autour, La mère de famille frissonne violemment et le rouge lui monte aux joues.

Elle est scandalisée par cette caresse (qu'elle connaît maintenant), elle se met à gémir et à sangloter, la matraque dans sa bouche soudain enfle, se cabre, le gros gland dur claque contre son palais et une puissante et généreuse giclée de foutre lui éclabousse le fond de la gorge, d'autres giclées arrivent, les yeux écarquillés elle avale pour ne pas étouffer, le foutre lui tapisse la langue, une larme coule sur sa joue, elle continue à déglutir pendant que l'homme à la moustache grogne comme un chien en la tenant fermement par la nuque.

Il se retire encore tendu de la bouche souillée et s'essuie sur ses joues, elle se sent sale, et la langue du nain qui continue à lui laper l'anus, il sait s'y prendre le salaud, elle se sent étrangement molle.

Deux mains rudes et fermes l'attrapent par les hanches et l'obligent à se positionner à quatre pattes, elle se laisse faire sans aucune résistance.
La voila à nouveau dans la position d'une chienne, son cœur est affolé, les joues cramoisies, sa chatte dégorge de mouille, par dessus son épaule elle voit le nain nu, un zob brun et épais au gland gonflé et circoncis pointe vers ses fesses, il est à la bonne hauteur, le salaud, elle ouvre grand les yeux et naturellement cambre sa croupe plantureuse, elle sent le gros gland dur et chaud se caler entre les lèvres poisseuses et entrouvertes de sa chatte, il attrape les hanches rondes et pleines et donne un coup de rein vigoureux en grognant et marmonnant des mots en arabe.

Elle sent le manche raide lui remonter jusqu'au fond du ventre, complètement empalée elle pousse un cri suivi d'une longue plainte, le nain ne perd pas de temps et commence à la bourrer sans ménagement.

Elle est étonnée par autant de vigueur chez un si petit homme, elle est rudement secouée, elle sent le gland cogner au fond de sa chatte qui mouille sans retenue, le ventre du nain à chaque assaut claque contre les belles fesses joufflues, il libère une hanche et avance la main le majeur pointé en avant vers la raie, il trouve la rondelle encore humide de salive et l'enfile: « OH ! Non !! Je vous en prie »

Marie Caroline l'épouse fidèle se sent humiliée mais cambre encore plus le derrière, comme pour inviter le nain à plus d'obscénités, il l'encule avec le doigt sans cesser de défoncer la chatte blonde, elle ne peut se retenir d'avantage et couine sans aucune pudeur, elle sanglote en se répétant: « je suis une chienne, dorénavant je ne marcherai plus qu'a quatre pattes, toute nue, et que les mâles me reniflent et me montent comme je le mérite ».

Le nain accélère les coups de zob dans la chatte serrée, baignée de mouille, retire son doigt de la rondelle entrouverte, saisit les hanches à pleines mains, donne un dernier coup de rein et reste collé aux fesses dodues, elle sent des giclées copieuses lui arroser le fond de la chatte, le trop plein déborde entre les lèvres distendues, coule sur la toison blonde et entre les cuisses, plusieurs cris de femelle abusée franchissent ses lèvres encore humides de foutre.

Marie Caroline se déteste ainsi, souillée et humiliée, elle, la bourgeoise pétrie de principes, elle qui distribue les ordres aux employés de la maison, habituée à être crainte, mère de famille et épouse respectée, la voici réduite à l'état de femelle bonne pour satisfaire les mâles, et surtout les plus rustres, vulgaires, rudes, des ouvriers aux mains calleuses.

Le nain retire son zob pas tout à fait dégonflé, du foutre gicle de sa chatte maltraitée, il lui assène une claque sur le cul, elle pousse un « OUH! » Et il s'en va remettre son bleu de travail.

L'homme à la moustache qui se délectait du spectacle outrageant et bestial offert tout en se branlant, vient prendre la relève, il la retourne sans ménagements, la fait tomber sur le dos, saisit les chevilles et lui relève les cuisses, elle sent ses fesses joufflues se séparer et sa chatte encore entrouverte baver le trop plein semence.

Elle est rouge de honte et cache son visage sous son bras replié après avoir constaté d'un bref coup d'œil que la matraque de l'ouvrier était à nouveau raide et gonflée, elle sait que dans cette position elle lui offre une vue des plus obscènes.

Il crache dans sa main et enduit son gros gland violacé de salive, puis le cale en plein milieu de la rondelle légèrement entrouverte, comme une petite bouche qui fait la moue, il lui maintient les chevilles en l'air et pousse fermement du gland, l'anus tripoté et lapé par le nain cède et le happe, s'élargit et le laisse entrer, elle gémit, emmanchée par le gourdin noueux et raide.

Il marque un temps d'arrêt la laissant se détendre, des qu'elle devient molle, il commence à aller et venir entre les fesses blanches et plantureuses, elle couine et se cambre en ramenant ses genoux jusqu'à ce qu'ils reposent sur ses seins, il prend ça comme une invite et commence à l'enculer en grognant des mots qu'elle ne comprends pas, sans doute des obscénités, le gros zob est bien moulé par l'anus et coulisse en un va et vient vigoureux et bien huilé.

Il l'encule pendant un long moment, lentement mais fermement, puis elle le sent grossir en elle, durcir s'animer de soubresauts et cracher puissamment une première giclée chaude et copieuse, et trois ou quatre autres aussi puissantes et drues.

Elle couine en rougissant, elle se sent souillée, l'homme à la moustache se retire enfin après s'être bien vidé, la rondelle écartelée rejette de longues traînées de foutre gras en laissant échapper de l'air, émettant ainsi un bruit obscène.

L'homme à la moustache ricane en se rhabillant, Marie Caroline rougit jusqu'aux oreilles en s'écriant « OH! mon dieu!! Quelle honte! », Cette fois ci elle a vraiment atteint le fond, elle se traite intérieurement de truie, de chienne, elle se dégoûte, elle n'a jamais eu aussi honte.

Les joues cramoisies, elle se redresse, se lève et s'aperçoit que le nain n'est plus là, sans doute est-il allé réparer son véhicule ou peut être est il allé chercher un autre collègue, cette pensée la fait frissonner et la pousse à se rhabiller aussi vite qu'elle le peut.

Elle remet sa robe, chausse ses fines mules talons, ramasse sa culotte déchirée en évitant de regarder l'homme, remet en place son chignon, elle se sent sale et humiliée.

Elle se dirige vers la porte ouverte, la raie du cul poisseuse, elle n'a même pas pris le temps de s'essuyer, l'homme à la moustache la précède, elle se retrouve à l'extérieur du garage après avoir traversé l'atelier.
Le nain est devant sa voiture, portière ouverte, le moteur tourne, sans le bruit étrange qui l'avait tant inquiétée, il lui fait signe de monter, ce qu'elle s'empresse de faire.

Elle passe la première vitesse et démarre, une fois éloignée et avant de rejoindre la route, elle arrête le véhicule, relève sa robe, saisit dans la boite à gants des mouchoirs en papier qu'elle étale sous ses fesses dodues pour ne pas tacher le siège car elle se sent ruisselante, elle respire un grand coup se regarde dans le rétroviseur et redémarre.

Le véhicule rejoint enfin la route, elle se rend compte qu'elle ne connaît pas la nature de cette panne et qu'en plus elle n'a pas réglé les frais des réparations.

En arrivant à destination, comme elles n'ont pas de secrets l'une pour l'autre, elle confiera bien entendu toute son histoire à son amie, cela s'est passé la dernière fois lorsque Ali et son compatriote l'ont prise en main, Marie Estelle, les yeux grands ouverts et brillants, les joues rouges, l'avait écouté, effarée, le cœur battant très fort, de temps à autre elle passait sa langue humide sur ses lèvres pulpeuses, son imagination accompagnant chaque mots et chaque détail donné par Marie Caroline.