Ma grosse voisine paye en nature.

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Proposée le 22/09/2011 par Lycanthrope

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Cette histoire se passe il y a quelques années, alors âgé de 17 ans, il m'arrivait souvent de faire des petits boulots par-ci par-là dans mon village de campagne pour gagner de l'argent pendant les vacances scolaires.

Ce matin-là, après un réveil difficile typique de l'adolescence, je retrouvais ma mère dans la cuisine pour petit-déjeuner. Celle-ci m'annonça que la voisine lui avait demandé si je pouvais venir faire un petit travail chez elle, "Payé bien-sûr !", avait-elle ajouté. La voisine en question était une femme très ronde d'une trentaine d'année, avec de longs cheveux noirs, et un beau visage aux joues rosées et aux magnifiques yeux bleus. Mais sa corpulence ne la rendait en rien désagréable à regarder, j'avoue au contraire qu'avec son gros cul et ses seins énormes qu'elle n'hésitait pas à exhiber par de larges décolletés, elle m'avait souvent fait fantasmer. Et à la simple idée de me retrouver seule avec elle cette après-midi là, j'étais excité.
J'étais moi-même plutôt séduisant du haut de mes 1m80, avec un beau visage, des cheveux bruns et un corps svelte et musclé, sculpté par des années de sport. Mais je restais pourtant toujours puceau, sans doute à cause de ma timidité qui m'empêchait d'aborder des filles.

En début d'après-midi, juste après avoir mangé, je me rendis devant chez elle et sonnai à sa porte. Lorsqu'elle ouvrit, je ne pus me retenir de la parcourir de haut en bas d'un regard rempli de désir et d'envie. Elle portait une robe bordeaux sexy, incroyablement courte et légère qui laissait transparaître ses sous-vêtements et exposait ses seins au regard par un large décolleté. Elle avait surement dû s'en rendre compte, car elle esquissa un sourire coquin et satisfait, ce qui provoqua immédiatement une réaction plutôt agréable dans mon boxer.
- Entre, me dit-elle.
Je la suivis jusqu'à la cuisine où elle me proposa de m'asseoir sur une chaise autour de la table.
- Tu boiras bien quelque chose !
- Une bière, s'il vous plaît.
- Voilà ! Ça va te faire du bien avec la chaleur qu'il fait, dit elle en se penchant pour poser le verre devant moi sur la table, ce qui me donna une vue directe sur ses deux gros nibards qui me mettaient l'eau à la bouche.
En effet, nous étions en plein mois d'aout, et les températures étaient hautes.
- Merci beaucoup d'être venu, j'ai besoin de toi pour débroussailler le jardin, il est grand temps de le faire, c'est une vraie jungle ! Tu sais bien que je n'ai pas d'homme à la maison, et il y a certaines choses comme cela que je ne sais pas faire seule !
- Ce n'est rien, répondis-je, en pensant au fait qu'il y avait surement d'autres choses qu'elle ne pouvait pas faire sans homme à sa disposition.

Quelques instants plus tard, nous allions dans le jardin, elle me montrait la débroussailleuse et je me mettais sans attendre au travail. Le jardin était en plein soleil, et je retirai mon tee-shirt pour être plus à l'aise par cette chaleur. Dix minutes après que j'aie commencé, elle sortit de la maison et je sentis mon sexe durcir. Elle s'était changée, elle était à présent vêtue d'un maillot de bain rouge éclatant une pièce et un peu trop petit qui peinait à contenir ses seins volumineux et en laissait apparaître une grande partie.
- Je vais bronzer un peu ! Me dit-elle en s'allongeant sur un transat, au milieu de la petite terrasse qui bordait le jardin.
Elle avait mis des lunettes de soleil aux verres teintés, mais j'étais persuadé que derrière celles-ci ses yeux bleus fixaient mon torse musclé et bronzé avec envie. De mon côté, je ne pouvais m'empêcher de lui jeter des regards de temps en temps, en espérant que mon érection ne se voyait pas trop à travers mon jean.

Lorsque j'eus enfin fini mon travail, elle nous servit deux bières que nous bûmes assis sur son transat. Je n'arrêtai pas de la mater. Tout comme moi, elle dégoulinait de sueur, et elle était extrêmement sensuelle, avec son visage rougi par le soleil et sa bouche légèrement entrouverte.
- Dis-moi, tu m'as l'air plutôt costaud ! Dit elle en regardant mon torse nu.
- Merci, répondis-je en rougissant, je fais beaucoup de sport et de musculation.
- Ta petite-amie doit être ravie !
- En fait, je n'en ai pas... Je suis assez timide.
- Ah ! Donna-t'elle pour unique réponse.
Il s'ensuivit un silence de quelques minutes pendant lequel nous finîmes de boire nos verres, tout en continuant à nous jeter des regards. Après avoir posé nos verres sur une petite table d'extérieur, elle commença à me caresser les abdos et les pectoraux en me fixant dans les yeux, et dit d'une voix très chaude :
- Parlons un peu de ta paye à présent... Tu sais cela fait très longtemps que je me suis faite baiser... Et la masturbation ne suffit plus à une grosse cochonne comme moi, alors si tu pouvais me dérouiller un peu la chatte...
En entendant ces mots crus, je fus pris d'une érection incontrôlable, et une bosse déforma mon jean. Sa main descendit plus bas et caressa mon membre à travers le tissu, tandis que sa deuxième main poussait ma tête vers la sienne et qu'elle m'embrassait très langoureusement, en enfonçant sa langue au fond de ma bouche. Elle défit ma braguette et passa sa main dans mon boxer, puis commença à me branler. J'avais l'impression que mon sexe allait exploser tellement je bandais. Elle me retira complètement mon jean et se mis à me lécher le torse en gémissant, tandis que je baissais les bretelles de son maillot, faisait sortir ses énormes globes de chair de celui-ci et les malaxait de mes deux mains. Je pinçai ses tétons tout durs et les faisait rouler sous mes doigts, augmentant ses gémissements. Puis nos bouches se séparèrent et je me mis à téter ses gros mamelons, les suçant et les aspirant.
Nous interrompîmes notre occupation pour nous déshabiller complètement. Je retirai mon boxer, et elle son maillot, laissant apparaître une belle chatte rasée aux lèvres bien ouvertes. Je me levai tandis qu'elle s'accroupissait devant moi en lorgnant avec envie mon gros et long sexe gonflé par le désir. Elle approcha sa bouche et commença une pipe divine, pompant comme une folle, faisant des va-et-vient rapides sur ma hampe dure. Par moment elle stoppait pour me lécher les couilles et les gober, ce qui me faisait une bien fou. Au bout de quelques minutes je ne pouvais plus me retenir et je baisais littéralement sa bouche, entrant mon sexe entier qui butait contre le fond de se gorge et finis par décharger de longues gorgées de foutre qu'elle avala avec plaisir.
- Désolé, je ne pouvais plus me retenir...
- Ce n'est pas grave, me rassura-t'elle, à ton âge on repart vite !
En effet quelques caresses buccales plus tard, mon sexe retrouvait de sa vigueur, et elle me fit une superbe branlette espagnole. Mon sexe lubrifié par la salive glissait rapidement entre ses deux gros nichons.
Après un moment elle s'arrêta et me supplia :
- Baise-moi je t'en prie, je n'en peux plus, j'ai la chatte en feu !
Elle se mit à quatre pattes sur le sol et je pénétrai sa grosse chatte pleine de mouille. Quelle sensation extraordinaire ! C'était à la fois doux, chaud et humide. Mes mains étaient posées sur ses grosses fesses et j'accélérais de plus en plus, donnant des coups de butoir contre le fond de son vagin et lui arrachant des hurlements de plaisir. Sa cyprine dégoulinait le long de ses grosses cuisses et se mêlait à la sueur.
- OH OUI ! BAISE MOI BIEN COMME UNE CHIENNE ! C'EST CA !
J'attrapai ses seins et les pressait en continuant encore à accélérer mes va-et-vient.
- HAAAAN ! REMPLIS MOI BIEN ! J'AIME TA GROSSE BITE !
Soudain, enhardi par ses cris de bonheur et envieux de tester quelque chose d'autre, je commençai à mater son anus avec envie. Je me retirai, et sans la prévenir, enfonçai d'un seul coup mon gros chibre seulement lubrifié par sa mouille en entier dans son gros cul. Elle poussa un long cri où se mêlaient douleur et plaisir. Mon sexe était tout serré, c'était fabuleusement bon ! Je débutai mes va-et-vient dans son trou interdit.
- N... Non... Pas par... Par là, essayait elle de murmurer entre ses gémissements de douleur, je n'ai... N'ai jamais...
Mais petit à petit sa douleur se transformait en plaisir, et elle me supplia en hurlant :
- DEMONTE MOI LE CUL ! VAS-Y DECHIRE MOI, JE SUIS UNE GROSSE SALOPE !
Mon plaisir s'intensifiait de plus en plus, et je continuai à lui limer le cul jusqu'à ce que j'explose et que je remplisse son cul avec des litres de foutre, pendant que de son côté elle atteignait aussi l'orgasme et poussait des cris de jouissance si puissants qu'ils devaient être entendus dans tous les jardins du voisinage. Après cela nous nous écroulâmes tous les deux sur le sol de la terrasse, épuisés et totalement vidés de toute énergie.

Depuis, lorsque j'ai une envie, je sais que je peux toujours aller rendre visite à ma chère chienne de voisine, et je n'ai même plus besoin de lui rendre service pour qu'elle m'offre ses trois trous.