Gamin

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Proposée le 20/09/2011 par charline88

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Attention, présence d'inceste, d'uro et BDSM très hard.


C'est les vacances. Le ciel est bleu et la couleur déteint sur le lac qui courre devant le chalet.
Sur les pentes vertes des montagnes arborées qui nous entourent, un grand calme, un silence grandiose. Les sapins ont la tête qui file vers le firmament et sur l'herbe verte du gazon de notre maison, on distingue de-ci, de-là les derniers vestiges des pieds de jonquilles du printemps.
Sur l'eau limpide, flotte dans le loin une frêle embarcation et de la fenêtre de notre cuisine, je vois Michel sur sa barque.
La pêche, c'est sa seconde passion comme il le dit lui-même. Il prétend aussi en riant que la première c'est toujours moi.
Je suis debout de bon matin, aujourd'hui ma s'ur et son fils viennent nous rendre visite. J'aime quand ils montent comme on dit ici, quand ils montent nous voir. Ils ne sont pas souvent disponibles et cette fois encore, Lydie, ma s'ur doit repartir après être restée ce samedi et demain avec nous.
Michel veut prendre un brochet frais et c'est pour cela qu'il est parti sur le lac ce matin très tôt, au lever du jour.
Lydie, c'est une grande et belle femme, veuve depuis quelques dix ans déjà et elle a un fils qui avait tout juste neuf ans à la mort de son père.
Mes contacts avec eux deux sont chaleureux mais trop peu nombreux à mon goût. Elle vient en moyenne une fois par an et mon neveu est toujours un peu effacé, timide.
Mais il aime être avec Michel et c'est souvent qu'ils vont sur le lac ensemble, moi j'ai un peu la phobie de l'eau alors j'évite de les suivre.
Allan et Michel sont comme deux complices quand le petit vient chez nous. Je sens dans le regard de mon mari ce manque de n'avoir pas d'enfant.
Malheureusement, c'est la vie qui est ainsi. Ni lui ni moi, n'y pourrons jamais rien.
Vers dix heures du matin la voiture arrive et c'est mon neveu qui conduit. Il est devenu un beau et grand jeune homme et je me dis que je ne l'ai pas vu grandir. Lydie et moi nous nous embrassons comme il est d'usage et Allan me prend lui aussi dans ses bras. Il a désormais la même taille que Michel et c'est un homme que je sers contre ma poitrine.
Ma s'ur et moi entrons dans le chalet pendant que mon neveu se charge des bagages. Il connait la maison et sait exactement où lui et sa maman sont placés pour les deux nuits à venir.
C'est toujours avec une émotion toute particulière que nous nous retrouvons et encore cette fois, une petite larme coule au fond de nos regards.
Lydie prend un café et alors que je veux en proposer aussi à mon neveu, je ne l'entends pas dans la maison.
Un rapide coup d'oeil par la fenêtre du salon et j'aperçois sa silhouette là-bas, sur le ponton où Michel, d'ordinaire range son bateau. Je ne peux m'empêcher de penser qu'il est devenu un magnifique jeune homme, que l'adolescent de l'année dernière s'est énormément transformé.
Une heure plus tard, des rires et des bribes de conversations nous parviennent de l'extérieur, signe du retour du maître de céans.
Depuis le balcon, nous observons Lydie et moi ces deux hommes vigoureux, qui semblent tellement complices, si heureux de se retrouver.
Depuis son arrivée, elle n'a fait que remonter à la surface les souvenirs de notre enfance, rite auquel nous nous livrons à chacune de nos retrouvailles.
L'arrivée des deux mâles nous stoppe dans nos souvenirs et comme l'heure est celle de l'apéritif, nous sacrifions au rituel du Pastis et autre Suze.
Autour d'un verre, notre conversation va tout naturellement sur l'année universitaire d'Allan qui se destine à la profession d'avocat depuis des années maintenant qu'il l'a décidé et il s'y tient.
Je regarde les deux hommes et dans les attitudes de l'un, je retrouve l'autre. Passionné par ce que dit Allan, Michel est heureux de la venue de ma s'ur mais plus encore par celle de mon neveu.
Entre olives et biscuits salés, nous sommes enchantés d'apprendre que celui-ci voudrait bien passer la semaine entière avec nous, puisque sa mère a encore à faire par ailleurs.
La nouvelle nous ravit et bien entendu, c'est avec une joie non dissimulée que nous allons le garder.
Dans les yeux de ma s'ur, je sens que passe le voile de la tristesse, mais elle sait qu'ici, il aura tout ce qu'il désire. J'imagine les soirées de solitude qu'elle va traverser sans son fils et je comprends.
Le samedi et le dimanche filent à la vitesse de nos souvenirs à elle et moi. Nous passons en revue les moments qui ont marqué nos jeunes années et ce ne sont pas forcément les mêmes images qui refont surface.
Il est vingt heures, c'est déjà l'heure du départ de Lydie. Michel a placé dans le coffre de sa voiture ses bagages. Embrassades et petites larmes, elle nous serre un à un contre elle, puis elle prend la route, une poussière au coin de l'oeil.
Il ne reste rien des deux points rouges de la voiture quand Michel qui a posé ses bras autour de mes épaules me pousse vers l'intérieur.
Allan nous suit et je sens que l'atmosphère s'est quelque peu tendue. Nous allons faire une soirée télé.
Nous avons pris place sur le canapé et Allan s'est installé dans le fauteuil qui se trouve légèrement à ma gauche.
Michel a un peu les mains baladeuses, mais je repousse ses avances, le regard de mon neveu étant constamment sur moi.
Dehors, les grillons s'en donnent à c'ur joie, l'été vit et la nuit tarde toujours à descendre. Le lac est rouge, conjugaison du soleil couchant et de l'eau qui reflète ses derniers rayons.
Michel a réussi à me communiquer son envie de faire l'amour, mais je ne peux rien faire avec mon neveu près de nous.
Le film se termine heureusement et je regarde les deux hommes qui prennent un dernier verre ensemble.
Dans la salle de bains de notre chambre, je me pomponne un peu pour mon mari. Une douche pour me rafraîchir, un nuage de parfum et je me glisse dans un déshabillé transparent qui réveillerait un mort.
Les draps de soie noire du lit m'accueillent avec délice et je suis toute attente. Dans le couloir, j'entends les deux hommes qui parlent doucement avant que la porte de notre chambre s'ouvre sur l'imposante silhouette de Michel.
Toutes les lumières sont éteintes et après avoir pris une douche, mon mari vient enfin me rejoindre.
Ses mains ne sont pas longues à investir mon corps. Elles commencent par me caresser les joues, les cheveux, pour ensuite continuer leur migration bienfaisante vers la naissance de mon cou. Les doigts de celles-ci dans le noir, montent à l'assaut de mes seins et leurs caresses m'arrachent des soupirs de bien-être.
Mes mains à moi aussi sont allées en expédition du torse imberbe de Michel. Pendant qu'il me malaxe les globes de chair ferme, je cherche en coulant doucement, je cherche l'endroit qu'il affectionne tout particulièrement me voir câliner.
Commence pour nous une autre nuit, douce, tendre, remplie de nos soupirs puis de mes cris à moi lorsqu'il me prend.
Dans le calme de notre chalet montent vers le ciel mes cris de jouissance, mes hurlements de plaisir. Michel me baise et c'est toujours si bon que j'en oublie la présence toute proche de mon neveu, j'en oublie ? Non, puisque c'est toujours ainsi quand nous faisons l'amour.
Je ne saurais dire combien de temps dure nos ébats, mais c'est long, c'est bon. Repue, je me laisse ensuite partir dans un sommeil qui m'embrasse de ses ailes réparatrices.
Le soleil entre dans la chambre qu'il noie sous ses lumières vives.
Je m'étire, me lève et après une douche rapide me dirige vers la cuisine. Ça sent bon le pain grillé et le café frais. A la table, je retrouve un Allan en tee-shirt et short blanc. C'est lui qui a fait le café et grillé les toasts.
Michel est parti depuis au moins une heure à son bureau, il travaille encore cette semaine complète avant de pouvoir se consacrer à nos vacances.
Je sens peser sur moi les regards de mon neveu.
- Que veux-tu faire aujourd'hui ?
- J'irai me baigner, le lac me donne envie !! Me dit-il C'est bref, mais ces regards sont toujours aussi perçants, et je réalise que cette nuit, il a du nous entendre. Je suis un peu gênée puis je me dis que c'est aussi la vie.
Après le petit-déjeuner que nous prenons ensemble, Allan et moi, je repars pour remettre de l'ordre dans notre chambre. En sortant de celle-ci, je frappe tranquillement à la porte de mon neveu et n'obtenant pas de réponse, j'entre doucement dans cette dernière.
Le lit est sagement remis en état et par la porte de la douche restée entrebâillée, j'aperçois mon neveu qui se frictionne vigoureusement le corps avec un gel douche. Entre ses doigts, il tient son sexe et je le regarde qui se masturbe un peu. Je suis saisie par cette scène, un peu honteuse de m'être ainsi introduite dans l'intimité de mon neveu.
Le spectacle auquel j'assiste me chauffe le bas du ventre et j'en suis plus encore confuse. Je n'arrive pas à détacher mon regard de ce corps souple, de cette bite qui est érigée comme un pic, vers l'offrande suprême, et comme il ne me fait pas face, Allan ne s'est pas aperçu de ma présence. Il continue donc ses va-et-vient lents, comme pour faire durer le plaisir. Moi, je sens que je mouille devant cette scène et je fais un effort pour quitter la pièce.
Ce gamin de dix neuf ans m'a donnée envie de faire l'amour. Je vais moi aussi dans ma chambre et dans la salle de bains.
L'eau coule sur ma peau, elle m'asperge du cou jusqu'aux pieds et c'est bon. Mes mains ne peuvent s'empêcher de venir chercher le bouton rose qui se cache dans le haut de mon sexe. Mes doigts écartent les grandes lèvres et viennent tourner sur ce petit phallus miniature, mon plaisir explose encore, violent, fort ; je me mords les lèvres pour ne pas crier tant c'est bon.
Peignée, parfumée, je reviens vers ma cuisine. Allan s'y trouve lui aussi et il me regarde avancer.
- Je vais en courses, tu veux m'accompagner ?
Sa réponse est négative ; il m'indique par celle-ci qu'il préfère faire quelques brasses dans le lac.
Je suis partie et en chemin, je me dis que je suis une belle idiote de m'être ainsi émue devant la douche d'Allan, je ne peux cependant enlever ces images de mon esprit. Je revois sa belle bite qui se décalottait au rythme de sa main qui balançait d'avant en arrière et je me surprends à en avoir envie de cette queue.
Je dois penser absolument à autre chose et c'est sur le déjeuner que je focalise le plus possible, juste pour chasser cette vision du sexe gonflé qui m'a donne envie.
La boulangerie, la boucherie font diversion dans mon esprit, puis le super marché pour divers produits d'entretien, indispensables au bon fonctionnement de la maison font raison de mon esprit tortueux.
Le retour vers le chalet est plus calme.
Je m'affaire dans la cuisine et celle-ci est remplie du bruit des casseroles, du grésillement des aliments dans la graisse, l'odeur appétissante du repas embaume toute la maisonnée. Dehors, les oiseaux gazouillent, les cricris se font enchanteurs, c'est l'été dans toute sa splendeur.
Sur le pont, Allan est assis, juste vêtu de son maillot de bain. Ses épaules musclées sont tournées vers moi et je vois ses pieds qui trempent dans l'eau bleue.
C'est le bruit du moteur de la voiture de Michel qui me rappelle qu'il est l'heure du déjeuner.
Michel et Allan prennent l'apéro sur la terrasse pendant que je dresse la table. L'avancée du toit protège encore pour une bonne heure la place du repas, des rayons brûlants du soleil d'août.
Voilà au menu, salade de tomates du potager, filet mignon de porc sauce kiwi et plateau fromages. Le tout arrosé d'un petit rosé de Provence sur lequel personne ne crache puis pour clore ce déjeuner, café et tarte aux fraises confectionnée de mes mains.
Je laisse mes hommes à leur discussion pendant que je dessers la table. Le temps file vite et c'est déjà l'heure pour mon mari de repartir pour son bureau mais il m'assure qu'il essaiera de nous retrouver de bonne heure.
Je file dans ma chambre pour me changer et me voila recouverte juste d'un maillot de bain deux pièces et d'un immense chapeau de paille. Au bord du lac, entre deux sapins, mon mari a installé un hamac dans lequel je viens m'étendre. Il fait bon se poser mais le soleil est brûlant. Je tire du petit sac que j'ai préparé un tube de crème solaire et j'entreprends de m'en passer sur les bras et le cou.
Sur le transat qui se trouve à proximité, Allan est confortablement installé. Gentiment, il me propose de me passer l'écran solaire sur le dos et bêtement j'acquiesce.
Je me sens horriblement gênée par ces doigts qui montent et descendent sur mon dos, je sens revenir à nouveau cette petite lance au fond de mon ventre. J'ai comme l'impression que ma foufoune coule et que mon slip de bain est mouillé. Je n'ose plus bouger, j'ai honte d'être émue par ce jeune homme qui en plus est mon neveu.
Je suis presque soulagée qu'il ait fini de me masser pour faire entrer l'ambre solaire et je m'étends sur le hamac avec presque du déplaisir.
Allan est sur son transat et je ferme les yeux mais pas complètement et je l'observe. Lui me reluque sans vergogne, comme s'il soupesait chaque morceau de moi et je sens bien que ce n'est pas des regards de gamin qui sont sur moi. Il sait jauger du degré de mes formes et à la bosse que montre son short, je vois bien qu'il pense à bien autre chose qu'à des images bucoliques et à d'autres paysages que ceux que lui offre notre belle région.
Sa main s'est juste posée sur la proéminente excroissance, comme pour la camoufler, mais il a fort à faire pour y parvenir.
Alors je le vois qui se lève puis se dirige, non sans avoir pris sa serviette vers le ponton.
Quelques instants plus tard, j'entends le bruit du plongeon qu'il vient de faire et tournant légèrement la tête, j'aperçois la gerbe d'eau qui monte et sous les cercles concentriques ainsi formés, je l'imagine rafraîchi et moins bouillant.
Je me laisse gagnée peu à peu par la somnolence.
Quand j'émerge de ma douce torpeur, c'est pour chercher des yeux mon neveu. Il se trouve assis sur le ponton, son dos est rougi par le soleil, ses pieds battent l'eau en mesure comme s'il écoutait une musique que lui seul perçoit.
Un rapide coup d'oeil à ma montre posée sur mon petit sac et je sais qu'il est l'heure de la sortie de ton bureau. Je crois me souvenir que tu veux aller ce soir au restaurant et je vais téléphoner « au chinois » mais auparavant, je tiens à m'assurer qu'Allan aime les mets exotiques.
Je me rends doucement vers le ponton où le jeune homme se tient toujours de la même manière. J'avance sans trop faire de bruit et je ne sais pour quelle obscure raison, je pousse assez fortement mon neveu qui, déséquilibré, bascule dans l'onde bleue.
Surpris, il se débat un peu puis d'une brasse énergique, il revient vers l'échelle qui lui permet de remonter sur la terre ferme.
Je vois dans ses yeux un air d'incompréhension et sitôt sorti de l'eau, il me dit « tu vas voir si je t'attrape ». Bien entendu, je me sauve en riant aux éclats, poursuivi par Allan qui va bien plus vite que moi. Je suis au milieu de la pelouse quand il me pose la main sur le poignet et me tire vers lui.
Je me laisse tomber dans l'herbe fraîchement tondue, alors qu'il me prend dans ses bras et je comprends qu'il est devenu un homme, un homme fort.
Celui-ci me soulève comme un fétu de paille, je me retrouve en travers de ses genoux et soudain, alors que je vais pour ruer avec les pieds, une première claque me fouette les fesses, sur mon slip de bain. Puis une autre et encore une autre. Une vraie fessée et ce n'est pas possible, je suis immédiatement en émoi. Je ne peux que lui balbutier de s'arrêter. Bien entendu, il n'en fait rien et sa main soudain tire sur l'élastique du maillot, baisse la culotte et me voila fessée, nue, sans plus rien pour masquer mon derrière. Les claques sont plus lourdes aussi et je sais qu'il me voit à poils, quelle honte, mais comme c'est aussi étrange que celle-ci soit transformée en envie. J'aimerais presque qu'il continue.
Maintenant ses mains sont plus douces, moins lourdes sur les lobes de mes fesses. C'est une vraie caresse qu'il me prodigue, ses doigts se perdent juste à la limite de ma chatte. Il n'y touche pas, mais il doit bien voir que je mouille fortement.
Le bruit de la voiture de Michel le fait me lâcher et je file sans le regarder directement vers la salle de bains.
L'eau sur mon corps me fait du bien mais mes mains ont de nouveau pris le chemin de mes reins. La porte de la douche est ouverte sur mon mari qui vient m'embrasser. Je me tourne vivement vers le mur afin qu'il ne s'aperçoive pas de la rougeur de mes fesses. Il m'embrasse à pleine bouche et me demande comment s'est déroulée notre journée. Tout en lui savonnant le dos, je lui raconte l'essentiel mais je me garde bien de lui expliquer la fessée. Bien sûr, son privilège d'époux l'autorise lui, à me toucher, il ne s'en prive pas le bougre et je dois dire que je suis d'accord, alors comme ça et bien cela va très vite. C'est debout qu'il me prend alors que je m'accroche à ses longues jambes puissantes et je suis enfilée sous l'eau qui ruisselle. Je jouis très vite et lui se vide les couilles sur mon ventre, mais comme c'est bon, fort. Voila nos deux corps sont apaisés.
Vêtus légers, nous allons rejoindre mon neveu qui est toujours au bord du lac. Depuis mon portable, j'appelle le restaurant puisqu'il aime les nems et bien nous allons dîner chinois.
Michel a servi les apéritifs sur la terrasse et nous sirotons lentement nos breuvages alcoolisés.
Ensuite Allan s'éclipse un long moment pour enfin réapparaître. Il a passé une chemise de lin grise sur un pantalon de même matière, peigné ses cheveux courts, et il s'est parfumé. Je sens depuis ma place que c'est « Opium » d'Yves Saint Laurent qui embaume la terrasse.
Michel a un sifflement admiratif devant tant d'élégance et je vois le jeune homme rougir un peu.
A la dérobée, alors que nous finissons tranquillement nos verres, je sens son regard qui se pose sur moi à plusieurs reprises et je me sens encore un peu honteuse de cette envie qu'il fait naître en moi.
Le fait qu'il soit mon neveu, est ou devrait être, un handicap et pourtant je mouille en pensant à sa queue ou aux claques qu'il m'a données. Suis-je bien dans ma tête ?
Il est vingt et une heures et nous partons tous pour le restaurant. Michel a donné les clefs au fils de ma s'ur et il nous conduit vers notre lieu du dîner. Mon mari à ses cotés lui donne les indications et nous arrivons à bon port.
Le dîner est un pur délice. Le porc au miel et gingembre, les rouleaux de printemps sont d'une excellente facture.
Après le rituel du saké dans des verres coquins puis celui des serviettes bouillantes, nous reprenons la route. Je sens Michel fatigué par sa longue journée et notre nuit qui a laissé des traces.
A la maison, je jette un coup d'oeil sur le lac dans lequel se mire la lune, pleine cette nuit.
Michel et Allan sont assis sur la terrasse et la bouteille de champagne est débouchée lorsque je me joins à eux. Ils sont gais, ils sont heureux d'être ensemble et leurs éclats de rire fusent dans toute la maison.
Je les regarde tour à tour et dans leurs façons d'être, je lis cette étrange complicité des mâles qui sont entre eux.
Mon mari est beau, je le vois avec des yeux émerveillés et dans les traits de mon neveu, je retrouve des mimiques, des gestes qui sont aussi chez Michel.
Le mimétisme est parfait et je revois dans le fils de ma s'ur, le jeune homme qui a su faire chavirer mon c'ur bien des années plus tôt.
La bouteille est très vite vide et une autre la remplace, j'en bois une coupe puis une seconde et je suis quelque peu saoulée par l'alcool qui coule dans mes veines, alors que je sais que je ne le supporte pas bien.
Les hommes eux sont un peu plus loquaces, plus volubiles, leurs gestes s'ils sont encore souples me semblent moins parfaits et je vois que Michel a cet air que je lui connais si bien lorsqu'il me désire.
Les langues se délient et j'entends Allan qui narre avec force détails l'intermède de l'après-midi, mais il omet toutefois de raconter le moment où il m'a baissé la culotte.
Il parle cependant de la fessée qu'il m'a donnée après que je l'ai poussé dans l'eau, et tous les deux partent d'un immense fou rire.
Nous sommes maintenant rentrés dans le salon tous les trois et une petite lumière tamisée est notre seule compagne pour le moment. La nuit est douce, et il fait bon.
Je ne sais pourquoi mais j'ai les jambes un peu en coton et assise contre Michel, j'ai bien chaud. Trop peut-être. Aux creux de mes reins, vient de naître cette petite pointe d'envie que je connais si bien.
Mon mari est un peu entreprenant et ses mains courent sur mes jambes que je cherche à éloigner de celles-ci un maximum. Il revient cependant sans cesse à la charge pourtant et il dit à mon neveu « Elle est belle ta tante n'est ce pas ? »
Bien sur, celui-ci copain comme ce n'est pas permis se laisse aller à répondre que oui et que je suis son modèle.
Les mains de Michel finissent par arriver sur une de mes cuisses et je tente tant bien que mal de les repousser, mais c'est sans succès franc.
Puis le mâle en rut me prend par les poignets et avec sa force tranquille il m'attire contre lui, alors que je me débats un peu, pressentant ce qui va arriver.
Je me retrouve soudain sans vraiment avoir pu l'empêcher, couchée sur les genoux de mon mari qui d'un geste brusque me remonte la jupe sur le haut du dos. Je hurle « Arrête !! ». Les deux hommes rient aux éclats et je tente vainement de lui faire lâcher prise.
Je l'entends dire à mon neveu, « Viens, viens lui donner une autre fessée ». D'une main décidée, Michel fait glisser ma culotte sur mes cuisses et mon cul est à leur vue. De sa main libre, il me claque les fesses fortement et je me tortille comme je peux.
Alors il me tient les deux poignets avec ses mains et il demande à Allan de me donner la fessée. Celui-ci, bien-sur ne se fait pas prier plus longtemps et me voila de nouveau avec ses doigts qui me giflent le derrière.
Comme cet après-midi, je sens la pointe de mon désir qui fait perler la rosée de mon envie aux lèvres de ma chatte et je me laisse faire.
La punition dure une bonne dizaine de minutes et quand c'est fini mon mari dit à Allan :
- Passe ta main, regarde comme elle a aimé tes claques, regarde comme elle est mouillée.
Je suis rouge de honte mais Michel maintenant vient de faire descendre ma culotte jusqu'à mes chevilles et il la retire complètement, alors que de sa seconde main, il enfonce un doigt dans ma chatte humide et luisante.
Je tente encore de me défendre contre cette agression caractérisée mais c'est peine perdue puisque mon neveu trop heureux de l'aubaine, aide Michel à me déshabiller. Ma jupe est la seconde partie de mes vêtements à être jetée en boule au sol, puis mon chemisier ainsi que mon soutien gorge subissent le même sort. Je suis nue, tenue par mon mari sous les yeux du fils de ma s'ur et ils sont chauds comme de la braise, je sais bien que je ne vais pas avoir le dessus sur ces deux mâles en rut.
Je commence à me dire que si ça continue, ils vont me violer. Ils rient à en perdre haleine de me voir ainsi dévêtue, et mon mari continue de me caresser l'entrejambe sans se soucier le moins du monde de la présence du jeune homme.
Du reste, il en est à ce point de non retour qu'il lui demande de se déshabiller aussi, ce que fait Allan sans se poser de question.
J'ai beau leur répéter qu'ils sont fous, qu'ils ne doivent pas faire cela, mon mari insiste encore plus lourdement.
- Regarde ma chérie la belle bite qu'il a ton neveu, il a bien grandi, hein !! Depuis l'année dernière, tu vois l'effet que tu lui fais, regarde comme il bande bien. Imagine comme il va bien te ramoner, pendant que je te caresserai.
Je ne sais plus que faire d'autant que ces paroles là me font un drôle d'effet et que je sens le feu au fond de mon ventre qui commence à s'allumer.
Michel m'a posée sur le divan et ses mains écartent d'autorité mes cuisses, alors que j'essaie vainement de les tenir serrer. Je ne suis pas de taille à lutter contre lui. La bouche de mon mari est maintenant plaquée sur ma fente et il me lèche avec ardeur, ce qui n'arrange pas mon envie. Je sens que ma mouille me coule sur les fesses, alors je ne résiste plus. Par ailleurs, j'ai maintenant ce feu qui couve en moi, ce plaisir rentré qui n'attend que l'étincelle pour exploser.
« Prends ma place », dit mon mari à Allan qui ne se fait pas prier. La bouche en avant, il plonge sa langue sur ma chatte et cherche, puis trouve mon clitoris. Il est à genoux devant le canapé et mes mains viennent plaquer sa tête sur mon minou, comme pour l'inviter à aller plus profondément dans mes entrailles.
Vaincue, je suis vaincue et maintenant c'est moi qui réclame les caresses de ce jeune mâle alors que dans un brouillard, je vois Michel qui se dévêt totalement.
Ils sont deux à me caresser, et c'est trop bon, c'est incroyable comme situation. J'ai des mains partout en même temps, sur mes seins, sur mon sexe, des doigts qui fouillent tous ce qu'ils trouvent comme chemins accessibles.
Mes cuisses sont désormais largement ouvertes et mes pieds relevés, offrant un libre passage à la langue qui m'arrache des soupirs en se mouvant sur mon clitoris en érection.
Les deux hommes aussi bandent et j'ai presque plaisir à songer qu'ils le font pour moi, pour mes jolies formes.
Michel m'attire sur lui et me voila en soixante neuf. Je sens qu'il écarte mon con avec ses doigts, puis que la pointe de sa langue s'enfonce le plus loin possible dans ma foufoune. J'exulte sous la caresse et alors que je vais prendre en bouche son sexe bien dur qui flirte avec mes lèvres, la queue raide d'Allan se joint à celle de Michel.
J'ouvre grandes les mâchoires et ils me pénètrent les deux dans la douche. Ils viennent cogner contre mon palais, contre mes joues, et cela me fait couler plus encore. Michel se délecte de cette mouille qui s'échappe de moi par jets continus et je l'entends qui râle doucement sous la caresse buccale que je lui prodigue.
Allan quand à lui n'est pas en reste et il me tient par les oreilles, massant mon front en donnant des coups de reins qui enfonce sa bite plus profondément dans ma gorge.
Allan quitte mes lèvres et c'est maintenant ma vulve qui subit ses assauts. Pendant que Michel continue de me sucer le clitoris, il investit ma chatte et d'un grand coup de ventre, je suis totalement pénétrée. Il murmure que c'est bon et commence à me limer.
Michel lui insiste encore et encore sur le bouton ; il l'agace de ses dents, l'aspire, le lèche le suce. Il laisse sa langue monter et descendre et ce faisant bien sûr, il lèche aussi la hampe du sexe qui entre et ressort de mon con.
Je les entends qui halètent de concert et soudain, comme j'ai gardé la bite de Michel en bouche, je la sens qui se raidi puis c'est un flot de sperme qui m'arrive dans la bouche et je n'ai pas d'autre choix que de déglutir la semence chaude qui me coule dans la gorge.
Derrière moi, c'est aussi un baroud d'honneur pour Allan qui, à force de me prendre aussi rapidement, sort précipitamment et un jet de son foutre m'asperge le cul, montant même jusqu'au milieu du dos.
Là c'est la goutte qui fait déborder le vase et je pars dans une jouissance sans nom, je hurle, je crie, je me débats avec ce plaisir qui me submerge littéralement.
Je sens que je me pisse dessus et sur Michel, je n'arrive plus à maîtriser cela, ça dégouline de partout et dans ce spasme merveilleux qui m'étreint, j'entends Allan qui dit :
- Merde une femme fontaine, j'ai jamais vu ça.
Nous sommes tous repus et une sorte de gêne s'est installée entre nous trois. Sur le canapé, je suis jambes ouvertes et la main de Michel est posée en travers de mes seins. Mon neveu a pris un peu de recul et il s'est posé sur le fauteuil.
J'ai les yeux clos et je ne sais trop quoi dire. Pour Allan, je dois être une sacrée salope et pour Michel, que suis-je en quelques minutes devenue ?
Je me lève et les deux hommes en font autant. Je me dirige vers la douche, ils me suivent et c'est tous ensemble que nous nous savonnons mutuellement.
Les mains me touchent partout encore une fois. Cela dure un long moment, comme si l'eau chaude pouvait effacer ce qui vient d'arriver.
Quand j'ai fini, je me coule dans une serviette éponge et après m'être séchée, j'enfile une nuisette et me glisse dans la soie du lit.
Michel vient me rejoindre et il se cale contre moi. Je sens que sa queue est encore tendue. Mon neveu passe lentement devant le lit comme pour ne pas que nous le voyons. Alors j'ouvre grand le drap et lui dit, « Viens il reste une place ».
Dans le noir de la chambre, je passe une main de chaque coté de mon corps bien à plat dans le lit et celles-ci rencontrent les sexes bien durcis de mes deux amants. Je masturbe l'un et l'autre et comme aucun d'entre eux ne fait le geste de me toucher, je laisse échapper dans la nuit, « Et moi alors ? ».
Alors ils se déchaînent encore et mon corps devient l'objet de toutes leurs attentions. Ils vont et viennent à tour de rôles, m'arrachant mille et un soupirs de bonheur, me faisant jouir doublement.
Des lèvres se mêlent aux miennes, sans que je ne cherche à savoir à qui elles appartiennent, leurs bites me forcent autant devant que derrière et j'aime cela. La nuit est trop courte pour mes deux amants qui me mettent dans toutes les positions dont ils ont envie. Je me plie à tous leurs caprices et je ne refuse rien, c'est la nuit des bacchanales, la nuit du sexe magique.
Puisque Michel a fait de moi une salope alors autant que je le sois jusqu'au bout. J'avale leurs queues, je goûte aux deux spermes et j'en prends plein les fesses, mais c'est vraiment quand ils me prennent les deux ensemble que l'extase est la plus violente, que je jouis a être entendue jusqu'au village qui pourtant est à bonne distance du chalet.
Quand finissent les assauts réitérés des hommes devenus sauvages, nous partons pour les bras de Morphée sans que personne ne dise mot'
C'est les rayons du soleil au travers des persiennes qui me réveillent. Si j'ai pu penser que j'avais fait un rêve, la présence dans le lit de Michel et Allan me détrompe immédiatement.
Les gestes que j'ai fais en m'étirant ont aussi sorti mon neveu du sommeil.
Comme je suis tournée, la face vers mon mari, je sens contre mes fesses un instrument qui ne demande qu'à servir encore. Je me frotte contre la bête qui n'est plus endormie. Le gland est contre mes grandes lèvres et je pousse un peu mon corps contre l'objet qui d'instinct, trouve son chemin. Un léger va-et-vient commence et je gémis doucement en me laissant pénétrer plus profondément.
Michel quand à lui ne bouge pas d'un millimètre. Mais à ses paupières qui clignent un peu, je sais qu'il est aussi réveillé et je tends la main pour prendre ses couilles entre mes doigts.
La hampe est tellement gonflée qu'il ne peut pas masquer sa bandaison. Je commence alors à l'astiquer de bas en haut.
Il ne peut plus faire semblant de dormir, et je sens que son souffle est plus court. Ma caresse lui plait. J'y suis moins attentive parce que dans mon dos, Allan continue ses allers et retours et sa respiration aussi est plus courte. Je me colle plus à lui, interrompant de cette manière la montée de son plaisir. Je veux d'abord prendre mon pied, je veux qu'ils soient l'un et l'autre mes sextoys du matin. Ils me le doivent bien après s'être approprié mon corps de la façon dont ils l'ont fait hier soir, je pense avoir certains droits.
Michel laisse aller la musique de ma main et mes doigts sont doux. Puis je lâche sa bite et lui demande gentiment de me la mettre à portée de bouche. Là encore, je suis le chef d'orchestre de la fellation que je lui prodigue.
Mon neveu a mis ses mains sur mes hanches et il recommence à me limer, me bourrant de petits coups de reins et je ne veux pas qu'il jouisse tout de suite. Je me prends au jeu de la sucette et mon plaisir monte lentement mais sûrement. Soudain comme un ouragan, il me secoue de toutes parts et je crie laissant de coté la bite que je suçais.
Je suis si bien ramonée que ma mouille coule le long de mes fesses et la main de Michel est venue chercher mon clitoris au moment même ou je commençais à jouir.
C'est mille fois plus violent que ce que j'aurais cru et la queue qui est fourrée dans ma chatte en est sortie rudement mais je ne peux plus rester en place, c'est trop exquis, c'est trop bon.
J'ai le regard qui chavire, je prononce des mots insensés, je ne suis plus complètement moi et je leur crie « Baisez-moi, baisez moi, oh oui allez-y !! Enculez-moi, mettez-moi de partout !! Donnez-moi vos queues ! ».
Il est onze heures du matin maintenant et j'ai pris tant de coups de queue que j'en ai mal dans les reins. Les deux hommes sont sous la douche mais plus ensemble. J'attends que Michel finisse pour prendre la mienne et c'est bizarre, mais j'ai toujours le sentiment que j'ai encore envie de faire l'amour.
Les draps s'en souviendront longtemps de cette nuit et de la matinée qui se termine. Du reste, sur la soie noire, les traces blanchâtres des spermes et de ma mouille mélangés font des auréoles.
Nous ne sommes qu'au premier jour des vacances de mon neveu et j'ai bien l'intention que celles-ci soient bien employées.
Et comme Michel m'a fait découvrir le bonheur d'avoir deux sexes à disposition et bien !! Tant pis pour lui cela aussi sera une bonne leçon, j'ai là aussi la ferme intention d'en user, d'en abuser?
Nous déjeunons donc ce midi ensemble et nos mines sont lasses mais réjouies. Pendant que les hommes s'occupent du barbecue, je prépare les salades de riz, maïs et autres crudités.
L'après-midi se déroule calmement, Michel au bureau, Allan et moi au repos sur le transat pour lui, le hamac pour moi.
Vers seize heures, je sors du sommeil qui m'a emportée et mon neveu est dans le lac à quelques dizaines de brasses du rivage. Il m'aperçoit et me fait de grands signes, je suppose qu'il aimerait que je le rejoigne. L'eau n'est pas mon élément de prédilection et je décline l'invitation d'un geste du doigt qui signifie « non ».
Ensuite, je rentre dans la maison et je prends une douche pour laver l'ambre solaire qui me protégeait des rayons du soleil.
J'ai fermé la porte, besoin d'un peu de solitude, besoin de faire le point, les événements m'ont largement dépassé et je me demande ce que ma s'ur dira de cette situation.
Comment prendra-t-elle le fait que nous ayons mis son fils dans notre lit ? Je n'ai plus vraiment envie de penser à cela.
C'est étrange, je sens comme une présence et je n'ai pas le temps de réagir. Allan est déjà tout contre moi, je ne l'ai pas entendu arriver, le bruit de l'eau sans doute.
Il s'est littéralement collé contre mes fesses, ses mains se sont saisies de mes seins, son sexe et tendu, horizontal et il bute contre mon derrière.
Il se baisse un peu, remonte lentement et sa queue tout naturellement vient frotter sur les deux lèvres qui s'écartent sous son passage. Je ne cherche pas à me défendre, l'effet de surprise est total, mais c'est doux. Il réitère son manège tout tranquillement, sur de sa force d'homme jeune, ses mains malaxent ma poitrine, empaumant cette dernière, m'empêchant de me dérober à ses caresses.
La bite glisse le long de mon sexe entrouvert, ne le pénètre pas, le gland venant juste cogner à la commissure des lèvres. Ce faisant, c'est le clitoris qui se trouve sollicité à chaque remontée de la queue. L'impression est fabuleuse, à tel point que ma main vient presser sur le bout dès qu'il prend contact avec mon bouton rose.
Je recommence à avoir l'envie chevillée au corps et c'est encore plus chaud. L'eau nous coule sur les épaules et il continue ses glissades le long de ma féminité avec aisance, juste ne restant un peu fléchi en arrière.
Ce qui doit arriver est rapidement là. Je pars vite, j'ai le clitoris tellement mis à contribution que j'en tremble sur mes jambes et la vague du plaisir déferle, ma peau en a la chair de poule et je crie, crie comme une chienne en chaleur. Mais n'est ce pas ce que je suis finalement ? Une salope qui se fait baiser par son propre neveu.
C'est si violent que j'en tombe à genoux et Allan accompagne le mouvement. Il ne lâche pas mes hanches, nous sommes imbriqués l'un dans l'autre mais il ne me pénètre pas encore.
Il coupe l'eau en me lâchant d'une main, recule un peu et laisse descendre sa bouche sur mon dos. Le contact de sa langue qui me chatouille les reins me fait frissonner, je n'arrête plus de gémir d'envie.
Il m'entraîne sur la serviette qui d'ordinaire sert à poser nos pieds ruisselant d'eau, quand nous sortons de la douche.
De ses bras musclés, il me retourne, m'écarte les cuisses et plonge sa figure vers mon sexe. Immédiatement il me lèche la vulve, sa langue ouvrant celle-ci d'un seul élan et il me la plante dans la fente baveuse, remonte doucement vers le clitoris. Mes jambes sont passées je ne sais comment sur les épaules de mon neveu et il entre encore plus profondément dans ma chatte qui coule littéralement.
Je suis en transe, transportée d'aise et je jouis sans discontinuer, sans rien faire pour que cela s'arrête.
Il change de position et ses cuisses passent au dessus de ma tête, laissant son vit tendu venir flirter avec ma bouche.
J'ouvre le bec et j'enfourne la queue qui m'emplit la cavité buccale complètement. Quand il sent que je commence à la sucer, il se met en m'entraînant avec lui sur le coté et ses doigts maintenant sont dans ma foufoune, la limant le plus profondément possible.
Je suffoque sous les à coups donnés à la bite par son propriétaire.
Nous sommes tout à ce plaisir partagé, quand je sens sur mes fesses une autre pression, un doigt entre dans mon anus et se met à tourner tout en le forçant au maximum.
Un souffle sur mon cou me fait tourner la tête et je vois que mon mari est couché contre moi. C'est lui qui a planté son doigt dans mon cul. Je ne me possède plus sous les assauts de mes deux amants.
Pris par notre déchaînement de passion, ni mon neveu ni moi ne l'avons entendu rentrer.
Il me dit quelque chose à l'oreille, un murmure que je ne comprends pas. Trop prise par ma jouissance, je n'ai pas l'attention nécessaire et comme il m'a semblé qu'il posait une question, j'ai répondu « Oui » sans trop savoir ce qu'il veut.
Je l'entends qui s'adresse aussi à Allan et il dit, « Oui » lui aussi.
Je suis maintenant assise sur mon neveu, la queue bien calée au fond de mon ventre, mes pieds sur le sol. Les mains de Michel sous mes fesses me font monter et descendre sur la bite qui est à son maximum de tension. Je suis mouillée, mais ce n'est plus l'eau de la douche, c'est mon jus qui coule dans les doigts de Michel.
Les bras d'Allan sont passés sous mes aisselles et ses mains continuent le mouvement commencé par mon mari.
Lui s'est relevé et debout il enjambe le corps de mon amant actuel. Son sexe à la main, il le dirige vers ma bouche, l'introduit dans celle-ci et je suis à nouveau en train de sucer une queue.
Michel me tient la tête par les joues, je suis forcée par ce membre qui me frotte les dents, appuie sur ma luette et revient vers les lèvres, puis recommence à s'enfoncer dans mon palais.
Quelle bouchée à la reine, je suis femme heureuse d'être ainsi aimée, ainsi traitée, et je ne refuse plus rien, ni à l'un, ni à l'autre.
Dans mon ventre, je sens l'objet raide qui se cabre, qui rue encore plus fort pour venir buter bien au fond et Allan pousse un soupir de bien-être, et hurle « Je viens, je viens oh !! Oui, c'est trop bon ».
Je sens le jet qui envahit mon vagin, je sens que la semence coule et dans ma bouche aussi la bête se cabre, Michel se tient les bourses, et lance son engin en avant dans un ultime baroud d'honneur.
Là encore, le sperme afflue dans ma bouche et je le déglutis avec plaisir, j'ai toujours aimé te boire.
Pour moi c'est maintenant que tout arrive, la déferlante qui me surprend, qui m'emporte, lame de fond qui m'asphyxie, me rejette pantelante dans les bras des deux hommes qui viennent de me faire un bien immense.
Un long break, j'en ai besoin. Je passe sous la douche, levant la tête bouche béante, l'eau nettoie les traces de votre plaisir. Le mien est plus ancré en moi et c'est la toilette intime que je me prodigue avec le jet, qui efface les traces d'Allan.
Pendant qu'ils passent ensemble pour leurs ablutions, je vais me remettre dans le hamac pour un repos bien mérité.
Les yeux mi-clos, je les entends rire, chahuter, comme deux enfants qui viennent de faire une bonne blague.
L'un et l'autre ont pris place sur un fauteuil sur la terrasse, ils ont à nouveau ouvert du champagne. Chacun a son verre dans la main et un troisième m'est sans doute destiné. Pour le moment il est vide.
Je reprends contact avec le sol pour les rejoindre et Michel sert la coupe et me la tend.
Il a un curieux sourire et il me regarde, avec envie. Encore !!
- Alors on me trompe pendant que je travaille ?
Je deviens rouge et je vois bien que mon neveu aussi baisse les yeux. Je ne trouve rien à dire à cela, juste un peu crispée au fond de moi.
« Nous en reparlerons tout à l'heure !! », me dit-il. Je ne sais pas trop s'il est ou non sérieux, il repart dans sa conversation avec mon neveu.
Il lui désigne les bons coins pour prendre des vifs pour aller pêcher le carnassier sur le lac.
Je me sens à mille lieues de cette conversation, je garde, là en moi, la petite phrase de Michel. Il ne semble pas avoir apprécié mes galipettes avec Allan. Pourtant c'est lui qui m'a poussé littéralement dans les bras du jeune homme.
Je me précipite à la cuisine pour y préparer des salades qui vont constituer le repas du soir.
J'ai les yeux embués par la remarque de mon mari et je me sens vide.
Le dîner sur la terrasse prend des allures de veillée, mais je n'ai guère le c'ur à sourire. Les deux hommes ont l'air heureux, satisfaits et ils avalent de bon appétit les laitues et autres blancs de poulet frais.
- Tu ne dis rien ma Chérie, me déclare Michel tout à trac. Perdue dans mes pensées, je lève la tête vers lui et je vois les regards inquiets de mes deux amants. La main de mon mari vient à la rencontre de la mienne. Ses doigts se referment sur mon poignet. Ceux-ci exercent une légère pression, je le sens tendre, se voulant rassurant et câlin tout à la fois.
Le vin rosé est dans les verres et nous en profitons tout comme de ce merveilleux coucher de soleil qui embrase le lac de ses mille reflets allant du rouge vif au rose dégradé.
Michel est maintenant assis près de moi et sous la lumière du jour qui se meurt, il me tient contre lui, il a senti que j'avais un coup de blues.
En face, Allan suit du regard notre couple qui se montre plutôt tendre. Il ne nous quitte pas des yeux, espérant sans doute que nous allons encore l'inviter au festin de mon corps.
Michel me susurre des mots gentils au creux de l'oreille et il me demande si je veux bien le laisser réaliser un de ses fantasmes, un des plus vieux qu'il puisse avoir.
Je lui murmure que je veux savoir de quoi il s'agit, mais il ne veut pas me le dire. Il revient à la charge avec ses mains baladeuses et il en pose une sur mon genou. Elle remonte lentement sur ma cuisse, franchie le dernier rempart formé par ma petite culotte et il insinue un doigt le long de ma fente qui s'entrouvre sous l'action de celui là.
Je commence à avoir chaud et mon bassin ondule sous la caresse ciblée. En face de moi, j'ai le regard de mon neveu, insistant, lourd, qui me plonge dans les yeux.
Michel me redemande si je veux bien lui faire ce plaisir, et sa voix est comme enrouée... Il me mordille le lobe de l'oreille tout en continuant sa lente inspection de ma fleur.
Je n'entends pas tout ce qu'il me dit et à un moment il me dit quelque chose et comme je comprends « C'est bon ? », je lui réponds que oui.
Il fait signe à Allan de venir près de nous. Bien-sûr que celui-ci n'attendait que cela et il est déjà contre moi en une enjambée.
La nuit commence, la belle nuit d'été.
Mon neveu prend le relais et sa main rencontre celle de mon mari à la fourche de mes cuisses qui sont largement ouvertes.Le slip est mis à rude épreuve et il se trouve maintenant à la moitié de mes cuisses, autant dire qu'il ne sert plus à rien.
Michel se lève et il se dirige sans un mot vers l'appentis qui lui sert d'atelier. C'est son domaine et il y va sans se retourner.
Allan ne reste pas inactif pendant ce temps là. Il me prend dans ses bras et me soulève comme un fétu de paille. Je me trouve immédiatement couchée sur la table en bois de la terrasse et les lèvres de mon neveu viennent chercher les miennes.
Je laisse aller, ouvrant la bouche, répondant au baiser plein de fougue du jeune homme. Sa langue vient s'enrouler autour de la mienne et il embrasse bien ce gamin là.
Une de ses mains est revenue me fouiller, tandis que l'autre achève de me retirer ma culotte. Je suis encore cul nu sur cette table.
Les doigts se font caresses et ils montent et descendent sur le mont de vénus, pareil à des tentacules qui vont et viennent sur mon intimité. Puis c'est dans celle-ci qu'ils s'introduisent, me tirant des soupirs que la nuit amplifie encore plus. Je mouille encore plus que d'ordinaire, je sens comme le ruissellement dans la raie de mes fesses.
Allan se penche, le contact de sa bouche sur ma chatte me donne des frissons. J'ai la chair de poule et j'ondule doucement cherchant encore à être plus profondément remplie par les doigts qui me possèdent.
J'ai fermé les yeux pour apprécier davantage les caresses, le massage savant me prodigue un tel bien-être que je n'ai plus envie de me retenir.
Je laisse mon esprit librement penser et les images douces me montent à la tête, je cherche la meilleure position pour que les doigts qui me fouillent aillent le plus loin possible.
Je râle de plaisir et c'est là que je sens que l'on me prend les mains, délicatement.
Sans même que je m'en rende compte, mes bras sont attirés au dessus de ma tête, dans le prolongement de mon corps.
Je ne comprends pas immédiatement pourquoi j'ai ces étranges chatouillis sur les poignets et quand je réalise que ce ne peut pas être Allan qui me tient les bras, il est trop tard.
Je sens une traction sur chacun de mes poignets et ils sont joints, je ne peux plus les dissocier. J'ouvre les yeux, mais la caresse dans la foufoune continue à me faire gémir.
Je n'arrive pas à y croire, je vois Michel debout au dessus de mon visage qui me sourit. Il se penche sur mon oreille et me dit :
- Je t'aime ma belle salope, je t'aime, tu ne peux pas savoir comme je t'aime.
Je suis entravée, et je le réalise soudain, je prends un peu peur, que vas-tu me faire ? Michel a ramené mes bras devant moi et les deux hommes me font asseoir.
Je me demande ce qui se passe, et mon mari me fait ouvrir la bouche, je le fais par réflexe plus que par envie. Dans celle-ci, il enfile une boule qui se trouve reliée à deux lanières de cuir. Les deux morceaux de cuir de cet engin sont noués derrière ma tête et je suis bâillonnée. De ma gorge, il ne sort plus que des sons inintelligibles, d'étranges grognements inaudibles.
Sur un signe de mon mari, Allan me tire par les poignets et je suis obligée de le suivre, direction les arbres de la pelouse.
Sous le chêne qui nous abrite du soleil diurne, je vois que mon mari lance par-dessus une branche qui se trouve être horizontale, un des brins de la cordelette qui me maintient les mains entravées.
Il le rattrape alors qu'il a franchi l'obstacle et je comprends que je vais avoir les bras emportés vers le dessus, ce qu'il fait avec une rapidité incroyable.
Je suis en extension, bras tendus et sur la pointe des pieds tellement il tire fort. Allan quand à lui s'attaque à la fermeture de ma jupette et il s'acharne à me la retirer. Elle tombe autour de mes chevilles, chiffon dérisoire de ma féminité déchue. Je suis donc nue, à l'exception de mes chaussures. Éphémère rempart pour mes petons, mais elles sortent de mes talons par la position dans laquelle les deux hommes m'ont mise.
Maintenant, la faible lueur de la lampe posée sur la terrasse ne nous donne plus tous les contours des choses qui nous entourent.
Les deux mâles sont de chaque coté de moi et je tourne la tête sans arrêt, à m'en rompre le cou pour tenter de deviner ce qu'ils vont faire ou me faire.
Michel a placé ses mains sur ma croupe et il me flatte comme si j'étais un animal, Allan lui s'est emparé de mes seins et il les touche, les triture, pince les tétons entre pouce et index.
Dans la raie de mes fesses, mon mari laisse couler ses doigts, écarte les globes pour mieux trouver le sillon qui se perd entre les deux.
L'un des cinq aventuriers, indiscipliné rencontre l'oeillet brun qu'il tente de forcer sans violence. Je balance ma croupe d'avant en arrière et je manque de m'étouffer sous le bâillon qui me coupe la respiration.
Le doigt a eu raison de l'entrée de mon corps que je ne donne presque jamais. Il navigue dans celui-ci en effectuant des rotations qui me font presque mal.
La bouche d'Allan est sur mes seins et je sens ses dents qui raclent les bouts, les mordillent, sans aucune retenue. Je voudrais hurler qu'ils me font mal, mais il ne sort qu'un son incompréhensible de ma bouche muselée.
Alors que Michel me laisse pour prendre un peu de recul mon neveu me mord plus fort.
- Viens ici, lui demande mon mari. Ouf ! Il laisse enfin mes pointes de seins et j'en éprouve du soulagement.
- Prend la baguette.
C'est presque un ordre que Michel donne à Allan. Je ne vois rien, ne comprends pas plus non plus.
Dans la nuit, ma peau vient d'être heurtée par je ne sais quoi. C'est cuisant, c'est brûlant, et le pire c'est que cela revient encore. Une fois, dix fois sur mon dos, sur le bas de mes reins, je prends des coups de flagelle et je ne peux même pas crier.
Mes larmes perlent à mes yeux et je tente encore de me débattre mais comment faire sur la pointe des pieds pour éviter cette badine qui me trouve chaque fois à des endroits différents.
Maintenant les deux hommes sont face à moi et c'est Allan qui a une fine baguette entre les mains. Il prend un peu d'élan, soulève son bras et il l'abat avec force dans ma direction. Les quinze premiers centimètres de la badine viennent de me toucher sous le sein gauche et la main recommence.C'est des coups qui pleuvent maintenant sur ma poitrine offerte. Michel s'est mis dans mon dos et il m'empêche de bouger, ce qui accentue chacun des touchers de la verge qui me crucifie.
Puis ce sont mes cuisses qui sont flagellées sans retenues, je sens la brûlure des coups, indistinctement donnés sur l'une ou l'autre de mes jambes et mon mari qui fait tout pour que je ne sois pas en mesure d'esquiver aucune des rencontres de mon épiderme et de la baguette.
Ils se sont arrêtés, estimant sans doute que j'en ai eu assez. Ils me touchent à nouveau et curieusement cette séance de dressage, je ne trouve pas d'autre mot cette séance m'a donné chaud au bas du ventre ? Je suis mouillée et Michel le fait remarquer crûment à mon neveu.
- Regarde comme elle aime ça, elle mouille tellement que c'est comme un petit ruisseau qui lui coule sur les cuisses. Quelle salope, comme elle va être bonne à tirer.
Allan est revenu sur ma poitrine, il fait une fixation ma parole sur mes seins. Dans sa main, je sens une chose inhabituelle et après avoir mordu mes tétons, les avoir fait bander, il lie à chacun d'eux, une espèce de ficelle ressemblant à celle qui sert à attacher les rôtis pour les faire mijoter.
Au bout de mes seins, j'ai une ficelle qui se trouve nouée sur le téton. Un petit crochet pend dans le vide et Allan s'amuse à les tirer vers lui ce qui me déforme la poitrine, sans vraiment me faire mal.
Michel sort de je ne sais où, les poids de la vielle balance qui décore notre entrée. Ces reliques d'un autre âge sont équipées d'un anneau central et il en agrafe un au petit crochet de la ficelle.
Puis lentement, il le laisse descendre ce qui pour effet de tendre la ficelle et mon sein est étiré vers le bas. Je trépigne sous la douleur que me donne ce harnachement et c'est le deuxième sein qui subit le sort de son jumeau.
Chaque mouvement me tire des larmes, je n'en peux plus, après la raclée que je viens de prendre, ce supplice là maintenant.
Michel a mis ses doigts sur le bas de mon ventre et il joue avec ma toison bien entretenue. Il enroule un doigt dans les longs poils et il tourne doucement puis il tire d'un grand coup sec. Là encore, les larmes sont montées.
Il me fait sans doute payer le moment de tendresse que j'ai eu avec mon neveu, sous la douche cet après-midi. Mais ne l'avait-il pas désiré autant que moi, ne l'avait-il pas mis dans notre lit et dans nos jeux amoureux, lui-même ? Alors pourquoi me punir de la sorte ?
Ils me font vraiment mal et je bouge encore un peu mais j'ai bien saisi que chacun de mes mouvements fait bouger aussi les poids au bout de ma poitrine, que les douleurs sont plus stridentes. J'économise les gestes, je deviens prudente. Une claque sur mes fesses me fait faire un écart et le balancement des poids devient insupportable. Je hurle malgré mon bâillon, je supplie qu'ils m'épargnent.
Ils sont justes devant moi, aucun des deux ne me touche, quand j'ai un orage qui m'arrive au fond du ventre. Je ne comprends pas bien mais je sens que j'ai une de ces chaleur et chaque tiraillement d'un sein qui m'électrise m'envoie aussi une décharge au fond du ventre et je jouis ? J'ai un, plusieurs orgasmes successifs, sous les yeux des deux hommes qui sont émerveillés par le déhanchement que j'adopte.
C'est terrible cette situation où rien n'indique que cela doit arriver. Et mon corps s'ouvre sur un plaisir infini, un plaisir qui est hors norme, puisque c'est un mélange subtil de douleur et d'envie.
Je ne peux plus maîtriser les orgasmes qui me crispent et qui par là même, me font crier sous la douleur des poids qui tirent mes seins vers le bas.
C'est un cercle vicieux, le chat qui se mord la queue et je dégouline littéralement de cyprine, par jets, par saccades elle s'écoule de ce ventre en fusion et je me tords comme un ver, je gémis sous mon bâillon, je hurle des sons qui ne franchissent pas ma gorge. Prisonnière silencieuse de votre monde de fantasme, c'est moi qui suis le pantin de vos désirs de mâles en rut.
Une main est passée prendre comme dans une pince mes lèvres vaginales et son propriétaire est derrière moi, je suis tirée par là aussi.
Une véritable pince, une pince à rideaux bien crantée est venue serrer la première grande lèvre puis c'est une autre pince qui est ainsi posée.
Ces engins de torture sont aussi munis d'anneaux et deux poids sont arrimés à ceux-ci. Les lèvres sont distendues, ouvertes vers le bas, comme deux oreilles de lapin. Michel en profite pour tourner en rond avec le plat de sa main sur le clitoris qui est mis à nu par la position du reste de la vulve.
Allan a fait passer ses mains en formes de louche sur chacun de mes seins et il les remonte. Quand il estime qu'ils sont assez relevés, il les écarte vivement de ma poitrine et le grammage attaché retombe avec pour moi une incroyable douleur.
Paradoxalement, plus j'ai mal et plus je jouis. C'est sans arrêt désormais que mon ventre se contracte sous les orgasmes impossibles à juguler.
Quand enfin ils me retirent pinces et autres objets de vice, je suis pantelante, vidée de tout. Le bâillon est enlevé également par je ne sais lequel, et mes bras courbatus pendent le long de mon corps bouillant.
Les deux hommes me portent pour m'étendre sur la table de la terrasse, la lumière du lampadaire me fait mal aux yeux.
Je suis couchée depuis un long moment et mes deux bourreaux boivent un verre en riant, à mes cotés.
Au bout d'un temps infini, je me remets sur pieds et je vais prendre une douche. L'eau tiède coule sur mon corps, elle me tire aussi des larmes sur les traces laissées par la baguette. Je suis striée de rose, et de rouge, alors je frotte comme si le fait de me laver allait faire disparaître les zébrures qu'ils m'ont infligées.
La serviette aussi me torture en passant sur les endroits douillets. Alors, je ne remets rien sur moi, j'ouvre les draps de soie noire et me glisse dans le lit. Je me tourne sur mon coté favori et j'espère le sommeil réparateur.
Il est difficile à trouver, les images de cette folle soirée défilent dans mon esprit et je me dis que finalement j'ai aimé cela, que j'ai joui comme jamais, comme une salope.
J'entends dans la nuit les pas de Michel qui vient se lover contre mon dos, et son bras passe en travers de mon buste, sa main appréhendant mon sein. Contre mes fesses, je perçois la présence dure du mat qui est en érection et je ne bronche surtout pas.
Je laisse faire, le vit qui coulisse entre mes fesses, et puis d'une bourrée il trouve l'ouverture de ma féminité et s'engouffre dedans. Il entre, sort dans ce garage qui est le sien, s'enfonce davantage pour mieux en repartir et je replonge encore dans des spasmes indescriptibles.
J'aime cette façon de me baiser, couchés comme deux cuillers, imbriqués l'un dans l'autre.
Les draps s'ouvrent encore une fois et la place est prise par Allan qui a lui aussi la bite raide.
Alors en bonne épouse, je suce, je lèche des couilles, je m'attarde sur des prépuces, je câline des raies qui en rêvent, je me fais monter, par les deux étalons qui sont pleins de vigueur et dans la nuit chaude de l'été, je hurle de plaisir, je crie au monde entier que j'ai envie de baiser.
Le matin nous découvre enchevêtrés les uns dans les autres et les persiennes laissent entrevoir un soleil qui me fait du bien.
Pendant que des mains me caressent une fois de plus, Allan me demande si moi aussi j'ai des fantasmes inassouvis.
Je me penche vers leurs deux têtes et je dis simplement :
- J'aimerais que l'un de vous fasse l'amour à l'autre devant moi.
Je sens un instant de gêne, une tension qui monte, je pense que je ne verrai pas, moi, mes envies se concrétiser.
Les deux hommes me font encore plusieurs fois l'amour avant que nous passions au petit déjeuner.
Michel est au travail. Allan à la pêche et je change les draps, fais un peu de ménage, avant que de prendre un livre et je me couche sur mon hamac.
Je ne me souviens pas d'avoir lu une seule page, je me suis assoupie et c'est la voiture de mon mari qui me réveille.
J'ai dormi de onze heures du matin jusqu'à seize heures sans le moindre sursaut. La barque raye la surface calme du lac et son étrave prend la direction du ponton.
Michel et mon neveu sont à nouveau ensemble. En attendant le dîner, ils jouent au badminton. Leurs rires et leur joie font plaisir à entendre et à voir.
On dirait deux gosses qui sont joyeux de se retrouver.
Ils discutent, boivent de la bière et le temps s'écoule agréablement.
Je mets la dernière touche au dîner, escalopes à la crème, purée, fromage et pour finir tarte aux pommes que je viens de finir de cuire.Dans la maison, l'odeur de la cuisine agresse leur odorat et ils n'arrêtent pas de me presser pour que j'accélère. La faim fait sortir les loups du bois.
Ils sont beaux, le temps est bon, alors que demander de plus, si ce n'est de l'amour et de la tendresse.
Les hommes mangent avec un appétit féroce et nous blaguons tous, sans trop parler de ce qui s'est passé jusque là.
La tarte s'évanouit rapidement avec un café « expresso » fumant. Pas un nuage à l'horizon, ciel bleu azur qui vire lentement à la couleur sang là-bas, sur les montagnes entourant l'étendue d'eau frissonnant sous la brise légère.
Je regarde ces grands enfants qui sont assis et terminent béatement ce dîner. Je ne sais pourquoi mais dans mon bas ventre, c'est encore la révolution. Une douce chaleur humide m'étreint les tripes et je crois qu'ils s'en aperçoivent, à moins que ce ne soit mon esprit enfiévré qui divague. C'est bien possible aussi çà.
Sous la jupe fendue que je porte, c'est déjà l'ébullition, le flux de mes envies. Michel a son regard plongé dans le mien.
Je sens que je vais encore replonger dans mes envies et je me lève pour desservir. Là mon mari me pose la main sur le bras et me demande de rester assise. Surpris, je le regarde et il demande gentiment à mon neveu :
- Tu veux bien débarrasser la table, Allan, je dois parler à Claude.
Bien entendu, c'est immédiatement que le jeune homme remballe la vaisselle et les couverts pendant que Michel et moi nous nous éloignons de quelques pas.
- Je t'aime Claude et tu es merveilleuse depuis que le Gamin est arrivé, je suis un homme comblé, j'aimerais juste savoir si tu étais sérieuse quand tu voulais que l'un ou l'autre nous fassions l'amour ensemble avec Allan ?
Ma réponse est aussi catégorique :
- Rien ne me ferait plus plaisir et je te donnerai ce que tu veux si tu fais cela pour moi, m'entends je répondre.
Avec son plus beau sourire, il me dit « tape là » en me tendant sa main droite.
Alors je claque la mienne dans la paume ouverte et tout est dit. Maintenant, je sais qu'il est trop tard pour reculer, peut-être que je me suis avancée un peu vite en lui disant que je ferais ce qu'il voudrait mais je ne regrette pas vraiment.
Le plaisir que j'ai avec cet homme qui est mon mari est unique et il grandit d'année en année. Cet intermède terminé, nous retrouvons Allan qui lui a fini aussi de desservir. Tout est net, la terrasse est libre pour nous recevoir.
Michel est maintenant rentré et parti dans son bureau, je n'ai posé aucune question, je laisse faire, comme toujours.
Quand mon mari revient auprès de nous, la nuit dévore le reste de la lumière du soir, et il me dit que nous allons avoir un invité de dernière minute.
Je ne saisis pas trop qui pourrait venir à une pareille heure, mais je me garde bien de poser une seule question.
Michel est devant moi, et il me dit :
- Retire tes vêtements, mets toi complètement nue.
J'hésite une fraction de seconde et je me souviens de ce que j'ai dit tout à l'heure. D'une main, je descends la fermeture-éclair de ma jupe, je la laisse tomber sur mes chevilles. Je descends également la culotte et les deux sont posés sur un bac jouxtant la table de la terrasse.
Mon chemisier est remonté sur mes épaules, puis passé sur ma tête et il va rejoindre les autres habits. Il ne me reste que mon soutien gorge qui lui aussi disparaît sur le tas de fringues.
Je suis à poils totalement dans la nuit qui tombe et je me sens un peu gênée de voir les deux gaillards qui eux, sont toujours couverts.
La lumière du jour est automatiquement remplacée par celle plus blafarde du lampadaire qui s'allume quand la cellule détecte l'absence de luminosité.
C'est Allan qui me demande le premier de me caresser. Ma main vient dons se poser sur la corolle nue de mon sexe et j'ouvre grand le coquillage qui n'attendait que cela.
Ma poitrine se soulève de façon accélérée et mes doigts commencent à me faire ce bien que j'espère depuis un moment.
Mon neveu s'est mis derrière moi et il me masse les épaules. Michel suit la scène sans s'approcher, il demande simplement au jeune homme d'accentuer sur certains points ses attouchements.
Mes épaules sont rapidement délaissées pour ma poitrine et mes deux seins sont emprisonnés dans le creux des mains d'Allan. « Pince-les doucement » lui demande mon mari, ordres qui sont immédiatement suivis d'effets. Les pointes roulent sous les doigts et je sens qu'elles enflent, qu'elles gonflent, qu'elles se gorgent de sang sous la pression.
Nous en sommes là de notre soirée quand les phares d'une voiture balayent le chemin d'accès à notre propriété et je devine que l'invité surprise arrive.
Michel actionne la télécommande qui permet de ne pas se déplacer pour dégager l'entrée de notre portail.
C'est le silence, le moteur du véhicule s'est tu.
J'ai un mouvement de panique et mes mains font le geste de plonger vers mes vêtements.
- Non pas ça ma belle, une parole est une parole, dixit Michel.
Je me sens honteuse qu'un étranger puisse me voir dans cette tenue, mais je n'ai guère d'alternative. Du reste, Allan m'avait déjà retenu les poignets et je n'aurais pas pu me saisir de quoi que ce soit.
Je baisse la tête autant penaude d'avoir essayé de me cacher que de n'avoir pas eu le cran d'obéir jusqu'au bout.
Je ne connais pas le visiteur et Michel me demande de servir le champagne qu'il a déposé tout à l'heure sur la table, au frais dans le seau emplis de glace.
Allan et Michel sont près de l'arrivant et je sens son regard qui me détaille des pieds à la tête.
- Jolie pouliche, se contente de dire l'inconnu.
Mon mari lui rétorque :
- Vous pouvez en faire ce que bon vous semble pour le temps qu'il vous plaira, mais sans blessure ni méchanceté.
La réponse est sans ambiguïté, elle aussi.
- Mais naturellement, je peux donc user et abuser de l'objet à ma guise ?
J'entends ce « oui » qui me terrifie et je ne fais rien pour contredire mon mari.
L'inconnu est devant moi, « Lève les yeux chienne !! », ce sont les premières paroles qu'il m'adresse et je suis déjà insultée. Il passe derrière moi, sa main touche mes fesses. Comme la mienne fait mine de venir me protéger, j'ai immédiatement l'ordre de les mettre toutes les deux sur la tête.
J'obéis, et ma poitrine monte et descend de manière rapide et la peur me gagne. Je tremble un peu et je les regarde, mes deux amants qui sont attentifs à ce que l'autre fait.
Mes fesses sont pelotées l'une après l'autre et soudain, la main s'abat sur l'une d'elle. Je me cabre comme un cabri et j'ai droit à une seconde tournée.
L'homme est arrivé avec une petite mallette que Michel vient d'ouvrir sur la table.
Je vois une cravache à l'intérieur et d'autres objets que je ne reconnais pas vraiment.
- Peut-on aller sur le ponton ? Demande l'homme aux deux compères qui acquiescent sans un mot.
Le nouveau qui s'appelle Rémi apparemment me tire par le bras. Je suis entraînée vers le bord du lac et sur les planches du ponton, je suis obligée de me coucher. A chacun de mes membres, une chaîne est fixée, les quatre sont reliées aux poutres qui le maintiennent.
Je suis de la sorte crucifiée, le ventre vers le ciel.
L'homme qui vient de me mettre en croix tourne autour de moi comme un rapace sur sa proie. Dans sa main, il tient un fouet muni de plusieurs lanières de cuir et je suis la bête à dresser.
L'engin diabolique siffle dans l'air et vient s'abattre en travers de mon corps, il m'arrache des cris de douleur immédiatement. Puis, c'est un autre coup qui lui atteint mon pubis découvert et pas moyen d'échapper de quelques manières aux zébrures douloureuses. Combien de fois le bras lance-t-il ses éclairs sur mon ventre, ma peau est toute rouge, marquée de boursouflures qui sont autant de brûlures ?
Dans la nuit, je hurle, je supplie qu'il arrête mais il me dit juste :
- Gueule ma toute belle, cela ne fait que commencer, tu es à moi pour notre plaisir, tu vas devenir aussi douce qu'une jeune chienne, tu vas être bien obéissante, tu peux bien supplier, tu ne fais que renforcer nos désirs et nos envies, gueule belle salope, crie sous le fouet, vas-y, hurle pour nous faire bander.
Au bout de quelques minutes, je n'en peux plus, je suis prête à faire n'importe quoi, à tout mais il faut que cela cesse.
Alors, le bras reste en suspension et l'inconnu s'adresse à l'un des deux. Il lui demande de me mettre à genoux et je suis détachée ; immédiatement sans demander mon reste, j'adopte la position que l'on m'ordonne.
Et çà continue, « Bras sur la tête bien droite, bouche ouverte » !!! Je fais exactement ce que l'on veut de moi, je tremble de peur. Le visiteur s'approche de moi et dit à Allan :
« Ouvre ma braguette toi !! ». C'est aussitôt fait dans un silence religieux. Le sexe qui sort du pantalon est énorme et encore ne bande-t-il même pas. La bite monstrueuse s'approche de mes lèvres et un jet puissant d'urine me gicle sur le visage autant que dans la bouche. « Bois et ne recrache rien, sinon gare à tes cotes ». La pisse m'arrive par jets saccadés dans le gosier et je ferme les yeux pour oublier que je bois cette horrible mixture. Alors vaincue, je déglutis, j'avale le liquide jaune, acre avec le c'ur qui se soulève, avec la peur au ventre d'être à nouveau punie.
La vessie est vide, j'ai bien bu un demi-litre d'urine et mon envie de vomir est tenace, mais je cherche par tous les moyens à l'éviter pour ne pas prendre une autre correction avec cet engin qui me fait si mal.
Un signe vers Michel de Rémi et le voila qui va chercher deux longues tiges de bois longues d'environ deux mètres cinquante et de la ficelle.
La première de ces pièces de bois est placée derrière ma nuque, la seconde sous mon cou et les deux morceaux sont solidement liés de chaque coté de mon visage. Ma tête est retenue entre les deux tiges, puis c'est au tour de chacune de mes mains d'être elles aussi pincées entre les rames à environs quarante centimètres de mon cou.
Encore un signe et Allan et Michel prennent un bout chacun de cet étrange attirail et je suis obligée de me remettre sur mes pieds.
Me voici sous la branche qui m'a déjà vue pendue par les poignets et là encore je suis maintenue par une cordelette qui est reliée à l'arbre aux extrémités du carcan improvisé.
Je suis proprement terrorisée, d'autant que les bois sont fortement serrés et qu'ils entravent ma respiration.
Mes larmes commencent à couler. Une petite boite métallique vient d'arriver dans les mains de mon bourreau et dans sa main il tient une aiguille ou quelque chose qui y ressemble.
Quand il s'approche de moi, je ne peux que bredouiller, « Non, non, s'il vous plait pas ça ».
Rien n'y fait et l'instrument piquant est planté dans mon téton gauche, la douleur me vrille les tempes et je suffoque littéralement. Alors comble de l'horreur, une autre aiguille se fiche dans l'autre téton.
Puis c'est plusieurs piqûres qui me sont infligées, au gré de la fantaisie de l'inconnu. Dans le sein lui-même ou juste en dessous, elles percent la peau et restent en place, droites, je deviens le coussin d'une petite main, je suis hérissée de pointes d'où perle une goutte rouge de sang.
L'homme se recule un peu et demande à Michel si cela lui plait. Il ne répond pas mais je vois bien que dans ses yeux, il y a cette lueur d'envie.
Rémi recule, reprend son fouet et l'air est coupé par le sifflement aigu des lanières qui filent vers ma peau. Chaque aiguille est retirée par un coup de fouet et bien sur, mes seins sont touchés à chaque fois.
Le supplice prend fin quand la dernière épingle est partie mais le Maître me gratifie encore d'un bon cinglement sur les fesses.
Sa main est venue sur mon minou et il glisse un doigt dans celui-ci. Je suis trempée.
- Regardez comme elle vient de jouir cette salope, touchez, rendez-vous compte par vous-même, elle est faite pour cela, c'est une esclave née.
Ils viennent à tour de rôle plonger leur index dans la mouille de mon con et je suis honteuse de n'avoir pu résister à cette formidable jouissance, malgré la douleur, j'ai pris beaucoup de plaisir.
Devant moi qui suis toujours retenue prisonnière les trois hommes entreprennent de se déshabiller entièrement. Je vois leurs mentules gonflés qui dardent vers moi leurs bouts turgescents. Je me dis que cette fois-ci, je ne vais pas y couper.
Quand je vois le truc de Rémi, je suis saisie d'effroi. Il a un cylindre d'au moins vingt cinq centimètres avec un diamètre de six, voir plus, pourvu qu'il ne lui prenne pas l'envie de m'enculer, sinon je vais la sentir passer.
Je suis toujours accrochée à mon arbre et je suis fatiguée, par les coups, par la position qui est éreintante.
Ils s'approchent tous de moi et leurs mains sont sur ma peau. Allan caresse les seins et leurs blessures, Michel me triture le postérieur et l'autre me fait ouvrir la bouche. Dans celle là, il place une boule de caoutchouc et il serre derrière ma tête les lanières de la balle.
Ça recommence comme l'autre soir. Le cou serré, la bouche pleine, je ne peux pratiquement plus respirer et la peur panique me gagne.
Je voudrais hurler de terreur?
Les cordes qui me retiennent debout sont légèrement détendues et Rémi m'ordonne de me mettre à genoux. Les planches du ponton battues par les pluies depuis des années sont rudes et me tallent la peau là ou je m'appuie. Je vis un cauchemar et les trois mecs qui n'en finissent pas de tourner autour de moi.
Ils viennent l'un après l'autre et leur queue termine par venir dans ma bouche béante. Michel se fait sucer, Allan se contente d'un ou deux va-et-vient, alors que l'inconnu met son gland sur le bord de mes lèvres. Il me demande sèchement de sortir ma langue, ce que je fais. Il passe et repasse le bout de son n'ud sur celle-ci et je dois l'enduire de salive. J'y parviens tant bien que mal. Le petit jeu cesse après une bonne heure de ces tourments renouvelés. Je suis remise debout et Rémi revient de sa mallette avec, à la main, un collier comme ceux que l'on met au cou des gros chiens. Je suis délivrée du carcan pour qu'aussitôt ce truc me soit posé et verrouillé avec un cadenas. Finalement je préfère çà, je peux au moins respirer et tourner la tête presque normalement.
Une chaîne est accrochée par un mousqueton à un anneau de mon collier, je dois suivre le mouvement des hommes qui m'entraînent vers la terrasse.
Je suis enchaînée au pied du lampadaire, nue, bâillonnée et je n'ai guère de marge de man'uvre, la chaîne est courte. Je peux m'asseoir, me mettre à genoux ou encore m'étendre en posant mon visage très près du pied du réverbère.
Ils sont les trois, bien calés dans des transats confortables et ils boivent un verre. Résignée, je me suis couchée, attendant un je ne sais quoi qui se décide sans moi, là à quelques pas. Ils parlent de ce qu'ils vont faire avec moi, je n'ai pas mon mot à dire.
Je suis attachée comme une chèvre à un piquet et je ne peux pas m'en dépêtrer.
Le conciliabule prend fin, Rémi se dirige vers moi. Il me pousse du pied et me lance :
- A genoux chienne, montre ton cul.
Je ne vais pas assez vite à son goût sans doute et je me vois gratifiée d'une superbe claque sur les fesses, plus sonnante que douloureuse.
Je prends vite la position requise avant d'autres sévices.
Je suis le cul en l'air et l'inconnu, est derrière moi. Ma tête est contre un pilier de la lampe, mon mari et Allan doivent avoir une vue très nette de toute mon anatomie arrière.
Il s'est baissé, m'a craché sur l'oeillet que ses mains ont découvert totalement, en écartant mes fesses. J'ai beau serré les dents, je suis forcée par ce tube monstrueux qui vient de butter à l'entrée de mon rectum, qui commence à s'introduire alors que son propriétaire me tient par les hanches.
Il se trouve debout, jambes fléchies et son dard pénètre sans modération dans l'antre qui n'en a jamais vu d'aussi gros. Mes larmes coulent sous la rudesse de l'intromission et je gueule sous mon bâillon. Je suis dilatée par l'engin qui me donne l'impression de m'éclater l'anus en deux. Les couilles sous le manche me touchent le postérieur et d'un coup de rein la bite recule, s'est pour mieux revenir. Je sanglote alors que maintenant je suis enculée en cadence. Au fur et à mesure, la douleur s'estompe pour laisser la place à une sorte de bien-être que je ponctue de petits râles, preuves de mon début de plaisir.
Rémi aussi commence à souffler et me lime moins vite, pour ne pas éjaculer trop rapidement ?
Il me donne de petites gifles sur mes rondeurs et le raz de marée le surprend tout autant que moi. Mes muscles se tendent, je me mets à trembler de partout, plus rien ne saurait stopper la déferlante qui arrive du fond de moi. Elle balaie mes dernières retenues et alors que je crie comme une damnée, le visiteur dégrafe les lanières de la boule qui m'obstrue la bouche.
Dans le silence de la nuit mon cri de femme salope, de traînée, d'enculée, de soumise, éclate et rebondit d'arbre en arbre, avertissant tous les alentours qu'une « pute » vient d'éclore.
C'est moi qui vais au contact de la bite, c'est mon cul qui recule au même rythme que la bite, juste pour qu'elle revienne dans la caverne, juste pour qu'elle ne me quitte plus. Dans mes déhanchements insensés, j'ai du faire un demi-tour car quand je relève le front, j'aperçois mes deux amants qui sont l'un près de l'autre. Ils sont tête-bêche et ils se font un pompier magistral, ce qui me fait repartir pour un second tour, tout devient éblouissant encore une fois.
La bite qui me possède va comme un doigt dans un gant à mon trou qui s'est élargi, elle coulisse parfaitement. Je n'y crois pas et je regarde encore ! Ils sont bien dans la position où je les ai vu, pas de doute, ils se lèchent la queue l'un l'autre.
Alors que je suis totalement soumise au sexe qui prend toute la place dans mon derrière, eux se font une pipe. Cette scène me fait vibrer plus encore et ma chatte vide coule d'envie, je donne de grands coups de rein pour que Rémi jouisse. Il est endurant, je me secoue et il continue à me cramponner par les hanches.
Mes hurlements de plaisir, mes gémissements montent vers le ciel d'été et me reviennent en échos de la montagne.
L'inconnu sort brutalement de moi, me prend par les cheveux en revenant devant moi. Ma tête est relevée, la bite m'arrive sur les lèvres avec l'ordre de la prendre. Elle entre en distendant mes mâchoires, s'enfonce d'une seule poussée et Rémi la laisse enfoncée, ces couilles calées contre mon menton. En me tenant par les cheveux et la nuque, il se secoue quelques minutes. J'ai le souffle coupé, il se vide en moi, bien au fond de ma gorge et c'est un vrai flot de foutre que je dois boire.
La bite s'amollit lentement et les dernières gouttes débordent au coin de mes lèvres. Le gland passe et repasse sur mes joues, barbouille des vestiges de l'éjaculation.
Le visiteur me décroche de mon lampadaire et gentiment il me dit que je peux m'étendre sur un transat.
Il s'est rapproché de mes deux hommes. Michel s'est arrêté de sucer dès mes premiers cris et les deux ont assisté à ma formidable jouissance.
C'est à Allan que Rémi s'adresse maintenant en l'invitant à approcher de lui. Le jeune homme s'exécute. Il se retrouve à genoux aux pieds du Maître et la queue de ce dernier change de bouche.
- Michel !! Encule le ce petit con, il doit connaître la douceur de se faire mettre.
Allan tente alors de se relever mais Rémi lui plaque sa main sur sa nuque et je vois le sexe raide de mon mari qui cogne à l'unique entrée de mon neveu.
Ensuite, tout va très vite et Michel pousse alors qu'Allan se tortille comme un ver. Rien n'y fait et il est empalé par le pieu qui cherche sa voie. L'autre aussi a repris de la vigueur entre les lèvres et elle repart dans sa course folle au plaisir.
- Ah ! Ah ! Ah ! Gémis mon neveu qui ne peut que subir.
Je suis émerveillée par ce que je vois et tout naturellement ma main retrouve le chemin de ma chatte. Mes doigts me câlinent pendant qu'Allan est branché par deux belles bites.
C'est pratiquement ensemble que les trois hommes laissent éclater leur jouissance et pour deux d'entre eux, leur sperme s'écoule qui, dans la bouche, qui dans le rectum, lequel s'habituait à l'intromission.
Un dernier verre que nous prenons tous ensemble, puis je suis à la douche la première.
Ensuite Rémi vient également se laver, puis se sont les deux mâles qui font la même chose.
Glissée dans les draps de soie, je n'entendrai pas la voiture du visiteur quitter les lieux, pas plus que les deux hommes se coucher autour de moi.
Une main sur mon ventre m'éveille, je la repousse sans rudesse, fermement cependant. Ensuite, je replonge dans le noir de l'oubli, une fin de nuit sans rêve.
Quand enfin, j'émerge totalement, je suis seule et la pendule affiche dix heures trente du matin.
Michel est déjà parti pour son bureau et là-bas, sur le lac, je vois comme un petit point noir. C'est mon neveu qui nage dans l'eau calme. A la cuisine, le pain est grillé, le café prêt à couler de la « Senseo » dans ma tasse. Je le fais passer, beurre gentiment mes tartines et le petit déjeuner est englouti calmement.
Ensuite, je fais couler un bain bien chaud dans lequel je me love avec délectation. Parfumée, pomponnée, maquillée, il me prend l'envie d'aller faire un peu de shopping. M'occuper de moi, soudaine envie, alors je n'y résiste pas.
Je passe une jolie robe légère, des escarpins à talons hauts, pas de dessous, je me dis que j'en achèterai en ville. Je vais voir Allan qui est revenu vers le ponton.
Du bord, je lui fais un petit signe de la main, il approche de la rive. Il revient en deux brasses sur le bord, mais reste dans l'eau, sous moi. Je lui dis qu'il y a de quoi déjeuner dans le réfrigérateur, que je vais faire quelques emplettes, que je ne sais pas à quelle heure je rentrerai. D'où il se trouve, je suis certaine qu'il a une belle vue sur mon entrejambe, il sait donc que je ne porte pas de culotte. Son regard est rivé sur l'endroit de la réunion de mes cuisses et je l'entends presque soupirer. D'un signe de la main, il me fait savoir qu'il a compris et je m'éloigne vers le garage ; derrière moi, je perçois le bruit du nageur qui repart vers le large.
Je suis très rapidement en ville où je flâne un peu, me vidant la tête des événements qui viennent de se produire dans ma vie.
Je me dis que finalement le fait de me faire diriger ainsi m'est assez agréable, que d'être fessée ou battue et bien m'ouvre à un plaisir jusque là inconnu et que j'aime cela plus que tout.
J'ai juste peur de l'escalade ou de la dérive qui pourrait en découler. Ensuite, je suis un peu plus indisposée d'avoir été amenée à faire l'amour avec mon neveu.
Je pense que je ferai le point sur tout ceci avec Michel dès que nous serons à nouveau seuls.
J'en suis là de mes réflexions alors que je traverse la rue de notre petit chef lieu pour me rendre dans une boutique de lingerie fine : « Christy sexy ».
La vendeuse me salue dès mon entrée et son sourire radieux me plait de suite.
Je me retrouve dans un monde magique, un monde de frou-frou, je suis émerveillée. Des nuisettes, des culottes, des strings, des body que je touche avec tellement d'envie.
Je ne peux pas tout acheter bien sur, j'écarte d'emblée les strings que je n'apprécie guère et je prends plusieurs soutien-gorge et culottes assortis, cherchant des yeux une cabine d'essayage.
J'en trouve une dans ce magasin où il n'y a que moi et la vendeuse. Je m'y rends en passant devant elle. Nos sourires réciproques sont pareils à de la complicité tacite.
- Vous avez besoin d'aide Madame, me demande-t'elle affable.
Je ne sais pas trop et je hoche juste la tête sans que ma réponse soit explicite vraiment.
Le rideau de la cabine tiré, je retire ma robe « bain de soleil », et j'essaie un premier soutien-gorge pigeonnant qui me va bien. Je me regarde dans la glace et mon reflet me plait énormément. J'en suis au désagrafage quand la vendeuse derrière le rideau m'interpelle.
- Ça va Madame ? J'ai là un petit modèle qui devrait vous aller comme un gant, c'est la nouvelle collection, je viens juste de la recevoir.
Au moment où je me retourne, elle ouvre d'autorité le tissu qui la sépare de moi. Les bonnets qui me couvrent à peine les seins, pas de culotte, voici le spectacle que j'offre à cette belle blonde plantureuse d'une bonne trentaine d'année. Surprise, je n'esquisse aucun geste pour couvrir ma nudité, juste un mouvement de recul.
- N'ayez aucune crainte, nous ne serons pas dérangées, c'est l'heure de ma pause.
Elle me tend une parure ravissante toute en satin mauve.
- Essayez donc ceci.
Je prends la culotte que je passe sous les yeux de la dame. Le soutien-gorge est aussi posé sur ma poitrine. Le tout est fait pour moi et me donne une silhouette de rêve. A coté de moi, la vendeuse à une mimique d'admiration.
- Vous êtes très belle, Madame, ça vous va à ravir.
Sa main caresse la matière des bonnets et je crois bien que ses doigts frôlent ma peau plus que de raison. J'ai cru ou est-ce la réalité ? J'ai la réponse une fraction de seconde plus tard quand d'une voie enrouée elle me dit :
- Votre peau est si douce.
Nous sommes très proches l'une de l'autre que je sens son souffle qui courre sur mon épaule.
Je me retourne pour la regarder dans les yeux, juste au moment où elle vient de faire un mouvement léger vers moi. Nos têtes entrent en contact et je ne sais pourquoi, j'éprouve une irrésistible envie de l'embrasser.
Voila, c'est fait je suis en train de rouler un pâlot à une femme, je n'y crois pas !! Mais qu'est ce qui m'arrive depuis quelques jours ?
Sa bouche a un goût de menthe et notre baiser est long, plus doux que celui d'un homme.
Nos langues se trouvent, s'apprivoisent, nos lèvres se soudent et j'en chavire de plaisir.
Elle me dit s'appeler Louise et sa main a rapidement dégrafé le soutien-gorge que j'essaie. De ma bouche, sa langue trouve la pointe de mes seins. Ma poitrine se soulève, s'accélère avec ma respiration mais je laisse faire. J'ai chaud, je sens monter ma température, j'ai envie de faire l'amour, de me sentir femme jusqu'au bout des ongles. J'ai envie d'être câlinée, d'être choyée, j'ai besoin que l'on s'occupe avec tendresse de mon corps, de moi.
La vendeuse s'aventure plus encore que de raison sur ma peau qui la réclame presque. Je gémis sous les savantes caresses de cette femme. Je n'y tiens plus, je tire sur son corsage qui est fait de petits boutons, je n'arrive pas à les ouvrir, je les arrache presque et de la main, elle me calme en me la passant sur le front.
- Tout doux, belle sauvageonne, me dit-elle.
Et elle retire elle-même les vêtements qui laissent apparaître une poitrine superbe. Je n'ai jamais touché une femme et j'ai du mal à comprendre ce désir soudain, brutal pour ce magnifique corps, je ne m'imaginais pas bisexuelle ou lesbienne. Je sens frémir ces pointes brunes, j'embrasse les aréoles qui me tentent.
Nous roulons par terre, enfin sur la moquette, dans les portants d'habits et pour la première fois de ma vie, j'ai sous la langue un sexe de femme. Ma langue écarte les deux grandes lèvres puis les petites, pour enfin dénicher, dans la jointure de celles-ci le petit pic rose. Il s'érige immédiatement sous ma caresse et il monte vers ma langue comme un mini pénis.
Sous moi, le corps de la jeune femme frémit, se cabre, ses mains se plaquent sur ma nuque, comme pour me faire savoir qu'elle désire que je continue.
Je n'ai pas l'intention de m'interrompre de toutes façons, j'ai trop envie de cette douceur, de cette chatte qui me colle à la bouche.
Elle râle sous mes coups de langue, elle hurle :
- Oui, c'est bon, continue, continue, c'est trop bon, oh ! Oh ! Continue, je vais venir, je vais jouir. ! Vas-y, oui !!!! Encore, encore ! Vas-y !!!
Je n'ai pas le temps de retirer ma bouche que je sens un liquide qui arrive, un long jet que je prends dans celle?ci, dont je découvre la saveur.
Un peu douceâtre, un peu sucré-salé, je me rends enfin compte de ce que Michel aime chez moi, je découvre ce qu'est l'éjaculation féminine, là sur une moquette d'un magasin de fripes et j'adore cela.
Elle a serré ses cuisses autour de mon cou et les spasmes qu'elle a, l'a font les presser davantage, brutalement, j'en ai presque mal. Son ventre monte et descend à toute allure, son souffle est très court et elle crie un « oui !!! » qui remplit son échoppe toute entière.
Dire que derrière, à quelques pas les passants vont et viennent, sans se douter du plaisir que nous prenons, juste à coté d'eux.
Puis, c'est à mon tour d'avoir les hommages de la vendeuse et je jouis de la même manière, sans aucune retenue, mon plaisir aussi fuse dans le petit commerce.
C'est déjà l'heure de nous quitter, elle m'embrasse sur la bouche, un merveilleux baiser, je rentre à la maison avec dans la mémoire les moments intenses que je viens de vivre.
Sur le siège arrière de ma voiture, le sachet qui contient le petit ensemble de dentelle que je me suis offert est là pour me rappeler les instants magiques dont je viens d'être l'actrice involontaire.
Je commence le repas du soir, sous la lumière des rayons brûlants du soleil. Salade de tomates, omelette aux champignons, fromage et mousse au chocolat, voila de quoi rassasier mes deux hommes.
Ils sont les deux sur la terrasse et j'ai eu droit à un petit signe de la main de Michel lors de mon retour. Ils ont un apéro de servi et ils discutent calmement. Je n'ai pas demandé si la sodomie de cette nuit avait plu à Allan.
De toute façon, ce qui est fait est fait, je ne poserai aucune question. J'aimerais une soirée calme.
Je n'ai envie de rien d'autre pour le moment, juste que nous dînions tranquillement et puis que la soirée soit agréable.
Si le soleil est brûlant, l'air s'est un peu chargé d'électricité et les nuages ont fait leur apparition sur la ligne bleue de la montagne. Ils sont noirs, annonciateurs d'un orage possible. L'air est rempli de cet étrange atmosphère qui étouffe un peu et c'est sur que nous aurons de la chance si nous arrivons à dîner avant que le ciel n'éclate sur nos têtes.
Vingt heures, je sers le repas, et la conversation reprend. Michel s'inquiète, je le vois bien de savoir comment j'ai perçu ce qui est arrivé cette nuit.
Alors je parle, je dis ce que je ressens, je lui dis que j'ai mouillé comme jamais, que son ami et visiteur m'a donné infiniment de plaisir mais que j'ai adoré le voir mettre Allan. Je lui dis aussi que cet après-midi, j'ai rencontré une jeune et jolie vendeuse avec qui j'ai fait l'amour, que j'ai léché et sucé pour la première fois un sexe de femme, que j'ai pris un pied immense.
Je m'adresse aux deux qui me font face et je leur dis que j'adore la façon de faire l'amour à plusieurs et que je suis toute prête à devenir une vraie libertine.
Je vois les deux paires d'yeux qui me scrutent, qui me dévisagent, suis-je devenue une martienne ?
C'est entre la mousse au chocolat et le café que l'orage montre les dents. Une averse soutenue nous oblige à nous replier en ordre dispersé vers l'intérieur de la maison.
L'air est étouffant et je suis moite de sueur, tant il est lourd, chargé.
Sur le canapé du salon, nous prenons le café et je suis en nage. Je retire le tee-shirt de satin que j'ai passé pour le souper.
Mon mari a l'air rassuré par mes propos et je le sens malgré les éclairs qui griffent le ciel, curieusement plus détendu.
- Qu'aimerais-tu faire ce soir, me demande-t'il.
Puisque j'ai le choix, alors je demande :
- Un film au cinéma vous irait-il ?
Ma requête est accueillie chaleureusement par les deux gaillards qui décident que nous devons y aller immédiatement si nous voulons assister au début de la séance.
- Non, non, je veux aller voir un film de cul.
Et là je les vois se regarder tour à tour.
Bien c'est d'accord, nous voila partis tous les trois. Dans l'annuaire, nous n'avons trouvé qu'une seule salle qui diffuse encore ce style de film et pour nous y rendre, il y a une heure de route. Les séances sont non-stop et la dernière limite pour sortir est trois heures du matin.
Nous avons donc encore beaucoup de marge.
Michel prend les billets et nous gravissons les quelques marches, poussons une porte dans un couloir sombre et nous sommes dans une salle. Peu de gens sont là ! Tous des hommes autant que je peux en juger dans la pénombre.
Avant de prendre un siège, je dis aux garçons que je voudrais être seule dans une rangée mais qu'ils doivent se trouver quand même pas trop éloignés de moi, je ne veux rien risquer.
Ils sont d'accord et je prends place sur l'avant dernier siège de l'avant dernière rangée, coté couloir mural.
Sur la toile, une femme taille une pipe magistrale à un homme qui pousse des gémissements visiblement simulés.
Je suis bien calée dans le fauteuil confortable et je concentre mon attention sur l'écran.
La femme a finit sa fellation et c'est en levrette que l'homme la positionne pour lui mettre un dard impressionnant.
C'est elle qui pousse maintenant des cris qui ne sont pas très synchronisés, mais bon cela m'émoustille quelque peu cependant.
Je suis toute à mon film quand je sens une présence sur le siège à ma droite. Quelqu'un est venu nonchalamment s'asseoir près de moi. Je retiens mon souffle et reprends le fil du film.
C'est lorsqu'un second garçon sur la toile vient à la rencontre des deux qui baisent sur le lit qu'une main frôle ma cuisse. L'homme a posé son avant-bras sur l'accoudoir et ce faisant, sa main a touché ma jupe.
La main est restée sur le bras du fauteuil, un seul doigt bouge un peu, nervosité ou envie de me faire savoir ce qu'il veut ?
Je ne retire pas ma jambe, mon souffle s'est un peu accéléré. L'homme dans le noir remue son doigt, je sens bien qu'il tente une approche timide.
Je colle plus encore ma cuisse contre l'accoudoir pour lui faire comprendre que je suis prête, offerte et que j'en ai envie.
Les choses s'accélèrent sur l'écran et dans la salle également. La main a longé la couture de ma jupe, a lentement atteint l'ourlet et sans se démonte, elle rampe maintenant sous celle-ci. La voici qui arrive à l'endroit ou normalement elle devrait trouver une culotte ou une autre dentelle quelconque. Surpris par l'absence totale de sous-vêtements, les doigts se sont arrêtés un instant. Mais pas longtemps, puisqu'ils reprennent leur reptation non plus en montant, mais horizontalement désormais. Ils se font de velours pour écarter la seconde cuisse qui gêne l'entrée du sanctuaire. Derrière moi, Michel et Allan doivent bien se douter que l'individu me tripote et qu'il tente d'entrer dans ma chatte.
Les acteurs devant moi sont trop occupés et leurs cris de plaisir feints, montent dans la salle. Je me dis que des flots de sperme doivent se perdre ici tous les jours.
La deuxième main de mon voisin est montée au créneau elle aussi. La voici qui m'empoigne le poignet et tire doucement mon avant-bras vers le centre de la personne. Je ne résiste pas évidemment et ma main se pose à plat sur une braguette déjà ouverte. Je sens la chaleur palpitante de la bête qui se cache encore dans le pantalon et mes doigts serrent la chose frémissante.
Ils se referment sur une queue qui raidit au premier contact et l'autre main de l'individu vient d'atteindre son objectif. Les poils de ma chatte écartés, un index ou un majeur s'est introduit dans la fente qui attendait depuis quelques minutes, humide et chaude.
J'astique doucement la queue qui est bien sortie du froc de mon voisin, lui me rend la monnaie de ma pièce en me masturbant de bien belle manière.
Mes gémissements se mêlent à ceux des acteurs et de mon voisin. Je crois que je tâche ma jupe avec ma mouille qui coule d'abondance. Derrière moi, Michel se penche à mon oreille et je l'entends me dire :
- Vas-y suce le, prends sa bite dans ta bouche, mais n'oublie pas que tu es Ma salope.
En me disant cela, il m'appuie sur la nuque et je suis obligée de me pencher sur le siège occupé. Ma bouche entre en action, dommage cela ne dure qu'une fraction de seconde, l'homme a trop envie et il m'éjacule tout de suite sur le visage. Il retire sa main, se lève et décampe rapidement. Je ne connaîtrai jamais la couleur de ses yeux, ni les traits de son visage?
Nous restons jusqu'à la fin du film et nous partons en boite, juste pour deux petites heures.
Sur la piste où je tourne à en perdre l'équilibre, je frôle des hommes qui me dévisagent, qui me désirent, qui tentent de poser leurs pattes sur moi. J'esquive avec de larges sourires, ces mains tendues, ces pièges grossiers qui me font presque plaisir.
Le retour, c'est Allan qui prend le volant sur les conseils de Michel. Je prends place à l'arrière du véhicule et mon mari se niche tout contre moi. Nous n'avons pas bouclé nos ceintures, et j'ouvre les jambes, pour encore une caresse intime. Finalement sur le retour, je jouis encore à plusieurs reprises et mon dieu comme c'est bon mais aussi épuisant.
A la maison, je file à grande vitesse sous l'eau tiède, la douche est appréciée surtout après tous ces attouchements, j'ai besoin de me sentir propre, neuve.
Je m'endors si vite que je n'entends pas les hommes se mettre au lit. Pourtant dans la nuit, il me semble que je chavire, que je suis sur une mer déchaînée, que je vais me noyer, c'est un cauchemar ?
Un oeil ouvert, je comprends que le lit est remué par bien autre chose qu'un rêve. Michel est à genoux derrière Allan qui se trouve lui à quatre pattes.
Le doute n'est pas permis sur ce qui se passe entre eux et j'en suis toute retournée. Cela me fait tout bizarre de voir mon mari prendre mon neveu au petit matin, là, près de moi.
Michel tient les hanches d'Allan et il entre et sort comme s'il s'agissait de moi.
Alors, je me laisse glisser sous le jeune homme et mon visage passe sous son corps. Ma tête part à la recherche de cette étrange vision.
Je regarde sortir le vit de mon mari du cul de mon neveu et c'est incroyablement excitant. Alors que mon bassin est sous les yeux d'Allan, je prends dans ma bouche son sexe qui est gonflé, raide et tendu.
Le jeune homme a sous les yeux mon sexe qui ondule et sa langue vient le fendre en deux pour remonter vers le clitoris qui attendait cette visite.
C'est reparti pour un tour, je suce, le lape et je vois cette bite que j'adore qui encule un garçon ce n'est pas croyable comme je coule ; comme je suis excitée, comme j'ai envie d'être baisée.
C'est brutal, c'est formidable, je lèche les couilles de Michel alors qu'il baise Allan et je prends mon pied avec la bouche de celui-ci qui me titille le bouton rose.
Je prends un plaisir magistral, juste en voyant cela. Je me couche doucement sous Allan, la croupe offerte à cette bite qui bande si bien. D'une main, il place son oiseau vers le nid qui est déjà humide. Il lui suffit d'une seule poussée pour qu'il investisse ma chatte qui est gonflée d'impatience.
Et commence le long voyage au fond de mes reins par cette bite qui est raidie par celle qu'il a dans le cul. Nous faisons l'amour comme un train et je suis la locomotive, mon mari étant le dernier wagon. C'est si bon qu'à nouveau, je perds le sens de ce qui nous entoure et je laisse mon esprit partir là où veut m'emmener mon corps.
Je ne sais plus trop ou je suis, seulement que nous avons atteint la gare et que le sperme vient de me remplir la chatte alors que je feule comme un animal qui en veut encore.
D'un dernier coup de rein, mon mari aussi se vide la verge dans l'anus ouvert d'Allan et nous nous assoupissons pour encore un long moment.
C'est l'odeur du café et de tartines grillées qui me fait émerger de la chape de plombs dans laquelle je suis plongée.
A la cuisine, les deux hommes, nus, ont tout mis en place pour le petit déjeuner.
Je mange avec appétit, toasts beurrés et confiture ou miel, verre de jus d'orange et café sont avalés, baiser donne la fringale.
Ensuite, Michel file au travail et Allan, après avoir mis les bols au lave-vaisselle, se prépare pour une séance de natation sur le lac. Moi je vais m'occuper de ma maison, ménage et autres tâches qui doivent être faites pour que cette demeure reste belle et fraîche.
Après cela, vers onze heures trente, alors qu'il revient vers la maison, je demande à mon neveu s'il veut bien allumer le feu sous le barbecue pour cuire la côte de b?uf du déjeuner.
Aussitôt dit, plus vite fait.
La table est prête pour le retour du travailleur.
Quand il arrive, baiser sur le bout de mes lèvres, passage à la salle de bains pour se brosser les mains et nous démarrons un déjeuner où nous sommes tous d'excellente humeur.
Les hommes sont face à moi et leurs pieds viennent frôler les miens. Je ne cherche plus à esquiver ces caresses masculines, et je les laisse à leurs amusements infantiles.
Repas terminé, la table est débarrassée et chacun vaque à diverses occupations. C'est déjà le moment pour mon mari de rejoindre son bureau.
J'ai décidé de faire une petite sieste au frais dans notre chambre ;
J'ai déjà dormi un certain temps quand une présence près de moi me fait sursauter. C'est juste Allan qui tente encore une approche silencieuse. Il est insatiable ce gamin, ma parole. Je laisse faire et bien sûr il commence par me prendre un pied qui masse lentement et remonte sa main sur mon mollet, puis escalade la cuisse plutôt du coté intérieur. Naturellement, ce sentier ne peut mener qu'à ma foufoune sur laquelle il envoie son doigt pour en écarter les lèvres. Le premier doigt arrive sans aucune difficulté au c'ur même de mon cratère incandescent déjà.
Nous faisons l'amour à la missionnaire, et c'est dans mes cris de plaisir que je vois soudain au pied de mon lit la voix très féminine de ma s'ur.
Allan fait un véritable bond sur le côté, s'arrachant de mon corps en pleine jouissance et hystérique, sa mère me donne des coups de poings sur le visage, enfin elle essaie, surtout parce que dans sa colère, ses gestes sont plutôt désordonnés.
Mon neveu sort de la chambre suivi de sa mère qui crie plein la maison. Je me lève, passe une jupe et un chemisier et je vais voir comment tournent les choses entre le fils et sa mère.
Elle est sur le canapé et pleure, elle me regarde avancer vers elle et elle se met debout devant moi, me gifle violemment.
- Pourquoi as-tu fais cela avec mon fils ? Tu es une salope !!
Elle relève encore le bras pour me donner un nouveau coup, alors j'avance et la serre fort contre moi.
- Ton fils est un homme, tu sais maintenant et il vient de te le montrer non ? Cela n'engage à rien ce que tu as vu et ne doit avoir aucune conséquence sur nos relations. Tu es ma seule s'ur et je tiens à garder cette si proche amitié qui nous lie depuis toujours.
Elle se remet à pleurer, je sens ses larmes qui coulent dans mon cou, je la serre encore plus fort.
Et c'est au tour de mon mari d'entrer dans le salon, il reste figé devant la scène qu'il voit et je pense qu'il comprend ce qui se passe.
Allan est sorti et il se trouve sur le ponton.
Michel prend Lydie contre lui et elle continue d'être secouée par des sanglots.
- Allons ce n'est rien, pourquoi te mettre dans de pareils états, ce n'est sûrement pas si grave ? Viens me raconter tes malheurs.
Et ma s'ur maintenant me regarde, et regarde Michel, elle ne sait pas si elle doit déballer ce qu'elle a vu dans la chambre. Je prends les devants.
- Tu sais Michel, elle nous a vu Allan est moi, dans une position désavantageuse et elle a du mal à l'assumer.
Il l'a serre encore plus fort contre son torse et elle se remet peu à peu de ses émotions, elle doit saisir que nous étions tous d'accord.
Mon mari arrive à calmer Lydie et ils sortent pour rejoindre Allan. Michel me fait signe de rester là en me faisant un grand sourire et j'obéis.
Je ne sais plus sur quel pied danser, je vais faire confiance à mon mari. Mes yeux se posent sur le téléphone et plus précisément sur la touche clignotante du serveur vocal. Machinalement, je presse sur le bouton et la voie enjouée de Lydie m'annonce : « Je serai chez vous un peu plus tôt que prévu, j'espère ne pas déranger ? Vers seize heures trente, je vous embrasserai tous. Bises à tout à l'heure. »
Je me dis que comme arrivée, c'est bien réussi et que les problèmes ne tiennent qu'à un coup de fil ou à un message non lu sur le répondeur.
Ils discutent les trois là-bas et c'est moi qui me sens coupable finalement. C'est eux, les deux qui m'ont conduite vers cette situation, et je ne peux pas croire qu'ils se liguent contre moi de la sorte. J'en deviens paranoïaque.
Je tourne dans mon salon et le temps passe, ils sont toujours dans leur dialogue, ils m'ont tous plantés là comme une conne.
Finalement, j'enrage de cette situation. Je prends un chandail dans notre chambre, je prends mon sac à main, les clés de ma voiture et me rue dans le garage. Je saute dans ma voiture et je fais hurler les pneus, en démarrant comme une folle dans l'allée gravillonnée du chalet. Je reprends la route nationale et file droit devant moi, sans but, juste la colère en tête.
Je suis dans la buée de mes larmes qui coulent et j'atteins l'entrée du village, sans savoir où je vais. Ma voiture m'emporte vers le centre ville et je vois que le magasin de lingerie est encore ouvert, je m'y dirige aussitôt, trouvant facilement une place de stationnement. Dans l'entrée, la vendeuse me repère immédiatement et elle arrive vers moi avec son large sourire. Je sais qu'elle s'aperçoit de suite que mon air n'est pas normal.
- Vous avez des problèmes ? Me demande?t'elle.
D'un geste de la main, je balaie l'air devant moi :
- Non juste une petite dispute avec mon mari.
Elle a plaqué sa main sur mon dos et me pousse gentiment dans l'allée. Je comprends vite qu'elle m'emmène vers un petit bureau à l'abri des regards des autres clients.
Elle jette en passant vers une autre vendeuse :
- Occupe toi des autres clientes, j'ai à faire avec Madame, je suis au bureau si tu as un problème.
La porte franchie, elle m'attrape par le poignet, me fait me retourner et sa bouche se colle à la mienne, comme une ventouse. Dans ce baiser, il y a toute la force du monde et je laisse faire sa langue qui virevolte au fond de ma gorge, tournante et salivante, papillon qui vient frotter mes dents pour explorer encore plus loin ma bouche qui y prend goût.
Puis c'est sur mon cou et descendant vers ma poitrine que ces mains officient. Elle ne perd pas de temps, elle a vite fait de me mettre en nage. Elle tord les pointes des seins qu'elle a sorties de mon chemisier, elle les tire, les malaxe, puis ses lèvres viennent en faire le tour et ils se trouvent mordillés, mordus parfois et je suis excitée.
Je sens qu'entre mes cuisses un fourmillement particulier m'annonce que mon plaisir commence à échauffer la grotte encore scellée. Elle ne reste pas longtemps close puisqu'une main vient d'entrouvrir le nylon qui cachait la motte chauffée à blanc.
Elle sait y faire et ses gestes sont doux autant que précis. Je commence à couler et elle me renverse sur le bureau. Ma jupe n'est pas retirée, seulement retroussée. Les doigts sont remplacés par sa bouche et le cunnilingus est d'enfer. Je suis en transe rapidement, j'ai projeté mes main sur sa tête, la rivant littéralement à mon sexe qu'elle a entrepris de manger voracement.Ses dents serrent de temps à autre mon clitoris ce qui m'envoie une décharge électrique dans tout le corps. Les spasmes me submergent, m'entraînent inexorablement vers le plaisir que je ne peux, ni ne veux du reste retenir.
Je suis moi-même surprise de la vitesse à laquelle monte cette jouissance et j'éclate dans sa bouche, l'inondant de mon liquide, sans pouvoir arrêter mes cris qui doivent ameuter les clientes derrière la porte du bureau. Elle n'en a cure et continue son long baiser, sa langue persiste et recherche chaque recoin, les explorant tous de manière à ce que plus aucun d'entre eux ne lui soit dissimulé.
Je ne l'ai pas touchée, mais j'ai joui comme une folle et notre petit intermède a duré plus d'une heure. Une heure durant, j'ai été fouillée de sa langue, tripotée de ses mains et doigts, une heure où elle m'a donné du plaisir, et j'ai repris maintenant mes esprits.
Nous nous sommes embrassées encore juste devant son échoppe, sur le trottoir, au vu et su de ceux qui passaient.
J'ai recouvré ma lucidité et je regagne lentement le chalet, je suis prête à affronter les trois autres là bas chez moi.
La nuit tombe doucement et de loin j'aperçois le feu qui brûle. Le barbecue est allumé, ils ont donc fait la paix et préparé le dîner. Je rentre, traverse la maison sans un mot, sans bruit, tout est calme. Dehors, la mère et le fils sont assis côte à côte et Michel tourne et retourne la viande sur la grille du foyer.
Mon mari quitte un instant la terrasse et il vient vers moi, ne me dit rien, m'attire juste contre lui, me serre fort.
- Je t'aime tant.
Il ne me dit rien d'autre, me prend la main et nous revenons vers ma s'ur et Allan.
Le repas est assez tendu, mais Lydie me parle un peu quand-même. Je ne sais pas ce qui s'est dit entre eux, je ne veux rien savoir, juste ne pas être jugée. Elle est en face de moi et je guette sur son visage si la colère ou un autre sentiment fait surface. Elle est fermée, repliée en elle, elle doit ressasser cette histoire sans arrêt et j'ai peur qu'elle m'en veuille pour longtemps.
Le repas est quand même arrosé d'un petit rosé de bordeaux, et la bouteille vide est remplacée par une nouvelle. Michel sert généreusement Lydie qui boit sans trop s'en rendre compte et je crois qu'elle finit par être bien grisée.
Elle devient plus volubile, mais je n'ai pas de reproche, elle me reparle comme avant, gentiment. Sa tête va de gauche à droite et elle prend des poses un peu osées, si je ne la connaissais pas, j'oserais dire qu'elle aguiche Michel. Il semble, lui, amusé par ce brusque revirement du ton de Lydie.
A la fin du repas, juste après le fromage où elle a encore ingurgité un bon verre de vin rouge, elle réclame du champagne pour le dessert.
Mon mari et Allan partent dans la cuisine, l'un pour rapporter les gâteaux moelleux au chocolat qui sont dans le réfrigérateur et l'autre une bouteille de « Veuve Clicquot » de la cave.
Lydie est en train de se finir dans l'alcool, je ne l'ai jamais vu dans un pareil état et elle devient moins réservée, plus directe. Elle laisse traîner sa main qui frôle celle de Michel, j'ai l'impression qu'elle veut se venger de je ne sais quoi.
A un moment, c'est Michel qui me fait par un signe comprendre qu'il a envie de laisser faire et il me demande un accord tacite, juste par regards interposés.
Je cille des yeux dans une sorte d'assentiment qu'il saisit immédiatement. Je regarde avec Allan, aussi la suite, avec un intérêt tout particulier, ma s'ur qui est dans une grande phase de séduction. Michel laisse filer son bras sous la table, je suppose qu'il a pris la direction de la cuisse ou du genou de Lydie. Elle se rapproche de lui, son regard est venu se poser un instant sur moi, pour voir si j'avais aperçu son manège. Comme je ne bronche pas, elle se cale carrément contre le torse de Michel, lui tend sa bouche et ils s'embrassent devant nous.
C'est parti, je le sens pour encore une soirée chaude mais je suis mal à l'aise, là il s'agit de ma propre s'ur qui veut se faire mon mari, c'est bizarre comme situation.
Je suis hallucinée par ce que je découvre d'une Lydie en folie. Elle me surprend, me laisse perplexe et je vois bien qu'elle sait quoi faire pour chercher son plaisir.
Elle a sorti le sexe de Michel et pendant qu'il lui retire son chemisier blanc, laissant apparaître un soutien gorge affriolant, elle le masturbe tranquillement.
Lui, il a tout enlevé maintenant et nous avons un peu l'air bêtes Allan et moi, ainsi vêtus devant ces deux nouveaux amants qui se font des tendresses sous nos yeux. Cà excite aussi mon neveu de voir cela et il ne quitte pas des yeux sa mère qu'il découvre sans doute dans un tout autre registre de sa personnalité. Il comprend qu'avant d'être sa mère, c'est aussi une belle femme, désirable et qu'elle a des encore envies à assouvir. Michel l'a étendue sur le gazon, ils sont totalement nus tous les deux et Allan est contre moi, approche calme pour un festin attendu.
Nous sommes tous les quatre dans l'herbe fraîche du soir et avec le ciel et les étoiles pour seuls témoins. Tous les corps se frôlent dans de charmants ballets, opéra improvisé pour petites jouissances nocturnes. Ma s'ur est également très expressive quand elle est prise et Michel ne se prive pas de lui mettre sa queue partout où elle peut entrer.
Elle lui rend ses gâteries en lui prodiguant maintes fellations. Je suis aussi entreprise par mon neveu, qui bande de voir sa mère enculée sous ses yeux.
Ce ne sont plus que gémissements, souffles courts et cris d'envie, jeux de mains, jeux de langues et sexes forcés, pris de toutes les manières possibles.
A un moment, bien sûr, il arrive que je croise le regard enfiévré de Lydie, mais elle ne détourne pas les yeux. Elle profite des instants présents, cherchant son plaisir dans chaque petit mouvement, chaque geste.
Et parfois, sa bouche passe si près de la mienne qu'elles finissent par se rencontrer, se souder et c'est un baiser amoureux qui s'en suit, nous l'assumons toutes les deux.
De fil en aiguille, elle arrive également sur mes seins et c'est avec ma propre s'ur que je fais l'amour ? Je lui fais un cunnilingus en soixante-neuf et je sens que l'on me prend par derrière, une grosse queue plongeant dans mon cul sans peur. Alors que devant mes yeux, la seconde bite entre dans le minou duquel j'aspire le clitoris, je sais que ce n'est celle de Michel qui prend ma s'ur.
Allan, le fils de Lydie est dans sa mère et il l'a fait jouir comme ce n'est pas permis. Tous les interdits sont transgressés et nos ébats s'éternisent bien au delà de minuit. Lydie jouit autant que moi et nous nous roulons dans ce stupre comme si nous étions amantes depuis toujours. Nos baisers ont un goût de souffre, une odeur de feu, c'est les jeux les plus chauds de cette semaine et pour finir c'est moi qui lui tire sur le bout des seins, qui les tournent dans tous les sens et elle crie comme une folle.
La nuit extérieure devient noire, mais les étoiles brillent et nos cris de femmes en chaleur montent vers elles dans la douceur de l'été.
Quand essoufflées, fatiguées, ce sont nos corps qui réclament un peu de répit, Lydie et moi nous précipitons ensemble sous la douche. Ses mains me passent le savon dans le dos puis les miennes lui rendent la pareille. A un moment, nous arrêtons toutes les deux de bouger et nous ne sommes qu'à quelques centimètres l'une de l'autre quand d'une pulsion irrésistible, nous nous jetons dans les bras l'une de l'autre.
- Je t'aime ma s'ur, quel plaisir tu m'as fait découvrir, me murmure-t'elle à l'oreille alors que nous sommes enlacées, frémissantes et dégoulinantes de l'eau de la douche.
La nuit se termine par du champagne et nous partons nous coucher. Quatre dans notre lit, nous nous endormons comme des souches et vers midi en ce samedi d'été, c'est Michel qui fait l'amour à Lydie qui nous réveille Allan et moi. Nous sommes là devant ce merveilleux spectacle de ma s'ur qui est doucement bercée par des va et viens longs, lents et elle gémit tendrement. Dans ses transports amoureux, elle prend ma main, la serre fortement contre sa poitrine dénudée, prend celle de son fils et la met sur la mienne et en hoquetant, nous l'entendons encore murmurer « C'est trop bon, oh oui encore, encore ».
Le reste du week-end, nous allons nous promener dans les environs de notre chalet et sur les sentiers perdus de nos Hautes-Vosges, combien de petits coins ont vu passer des mains sous nos jupes, combien de vieux sapins centenaires ont pris plaisir à regarder les baisers qui se donnaient dans cette nature sauvage.
Je regarde ma famille là, au complet, et je suis fière de les aimer ainsi.
Le soir, les lumières rouges des feux de la voiture conduite par Allan s'éloignent doucement de chez nous, plongeant notre nid dans la solitude à deux que nous avions connu jusque là.
Dans mes yeux, quelques larmes perlent et c'est le bras de Michel autour de mon épaule qui me fait réaliser que je ne suis finalement pas totalement perdue.
Et puis !!!! Lydie et Allan ont promis de revenir le plus vite possible si nous leur permettions de vivre encore de grands moments de tendresse et même plus encore !!! Alors je me sens soudain moins triste à cette seule évocation'

A Allan qui se reconnaîtra,
A Lydie qui saura elle aussi toute l'histoire,
A la jolie vendeuse de chez « Chrystie Sexy »,
A Rémy qui n'a pourtant fait qu'un bref passage,
A Michel avec tout mon amour.