Maman Maman, j'ai faim !

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Proposée le 9/09/2011 par want2beaslave

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Toc-toc-toc

Est-ce qu'on frappe à la porte ? Non, c'est probablement la pluie qui redouble d'intensité.

Toc-toc-toc

Non, ce coup-ci c'est vraiment quelqu'un qui frappe à ma porte. Je sors de mes rêvasseries, et enfile un T-shirt avant d'aller ouvrir.

- Salut !
- Salut.
- Je suis désolée de te déranger aujourd'hui, mais est-ce que tu pourrais me prêter la clé du bureau ?
- Euh oui d'accord.
- On s'est fait surprendre par la pluie, et il faudrait que je change et que je sèche Emma rapidement pour ne pas qu'elle prenne froid. Comme j'étais dans le coin j'ai préféré venir ici plutôt que d'essayer de rentrer à la maison, mais je n'ai pas la clé du bureau avec moi.
- Elle est dans la chambre, je vais la chercher.
- Super merci.

C'est Delphine, la femme du patron de la petite entreprise dans laquelle je travaille, et dont les bureaux sont à quelques pas de chez moi. Elle travaillait avec nous, mais elle est actuellement en congé maternité depuis la naissance de sa fille voilà trois mois, et je n'ai plus trop l'occasion de la croiser depuis.

Je la laisse quelques secondes pour aller chercher la clé dans la pièce voisine, je la retrouve à l'intérieur de l'appartement.

- Et bien ça commence à tomber fort dis donc, on est arrivées juste à temps.
- Oula oui, il y a même des petits grêlons.
- Ça te dérange pas si j'attends deux minutes ici que ça se calme, j'ai vraiment peur qu'elle prenne froid si elle se mouille encore.
- Bien-sûr, assieds-toi.
- Merci. Je suis venue me promener à pied jusqu'ici, il faisait un grand soleil quand je suis partie, et il s'est mis à pleuvoir d'un coup.
- J'ai pas l'impression que ça va s'arrêter de suite. Tu peux aller dans la salle de bain changer Emma si tu veux.
- Oh je veux pas t'embêter.
- Non non pas du tout.

Après quelques secondes d'hésitation, elle prend sa fille et son sac dans les bras, et se dirige vers la salle de bain. Elle en ressort quelques minutes plus tard.

- Voilà c'est bon, merci.
- Dès que ça se calme un peu je peux te ramener en voiture si tu veux.
- Ah c'est gentil.

Les minutes passent et la pluie est toujours aussi forte même s'il ne grêle plus.
Delphine fait les cents pas avec sa fille dans les bras, je peux l'observer tranquillement.

Elle est beaucoup plus âgée que moi, la quarantaine passée, mais n'en reste pas moins toujours très attirante à mon goût.
Assez grande, le visage rond avec de très longs cheveux noirs qui lui arrivent presque au niveau des reins.
Et elle a surtout une magnifique paire de seins à en faire rougir le pape. L'ayant croisé tous les jours au boulot avant qu'elle ne parte en congé maternité, j'ai pu suivre au jour le jour l'évolution de sa poitrine qui a vraiment gonflée tout au long de sa grossesse.

Elle porte aujourd'hui un simple chemisier noir, et un pantalon blanc que je lui est souvent vu porter, et sous lequel j'étais habitué à distinguer un shorty, une petite culotte et même parfois un string.

Emma est de plus en plus bougonne et commence à pleurer, les câlins et les chansons de sa mère n'arrivent plus à la calmer. Je remarque des tâches sur le chemisier de Delphine au niveau de chaque sein. Je sais ce que c'est, c'est un réflexe maternelle inconscient, les cris du bébé déclenchent chez la mère une montée de lait, elle est prête pour lui donner à téter.

Je la sens un peu désemparée, ne sachant quoi faire ou n'osant pas demander, alors je lui dis :

- Elle a faim non ?
- Oui, elle ne va pas s'endormir tant que je ne lui donne pas à téter.
- Ça n'a pas l'air de se calmer dehors, tu peux lui donner à manger ici non ?

La sentant hésitante, je m'empresse de rajouter :

- Mets toi sur le canapé, je te laisse faire, j'ai des mails à finir.
- D'accord merci.
- Tu peux allumer la télé si tu veux.

Le canapé est de dos par rapport au reste de la pièce, il est tourné vers la télé qui se trouve dans un angle du salon, et offre ainsi un peu d'intimité.

Les pleures d'Emma ont cessé et j'entends la télé en fond sonore, elle a donc dû se résigner à nourrir sa fille dans mon salon. J'entrebâille très légèrement la porte de ma chambre et je la vois effectivement assise sur le canapé regardant la télé, et je devine sa fille accrochée à un de ses seins en train de prendre son quatre heure.

Delphine est sur mon canapé, les seins à l'air, non je ne rêve pas.
J'ai souvent fantasmé sur elle, allant jusqu'à faire une petite liste de tout ce que j'aimerais faire avec ses seins. Et maintenant qu'ils sont là à quelques mètres de moi, j'ai vraiment envie d'aller les voir de plus près, tant pis si ça doit avoir des conséquences professionnelles, j'avais de toute façon prévu de changer de boulot à plus ou moins court terme.

J'enlève mon T-shirt et je quitte mes pantoufles pour arriver à pas de loup derrière elle. Concentrée sur allaitement de sa fille et sur l'émission qui passe à la télé, elle ne se doute de rien. J'arrive derrière le canapé sans un bruit, et après une seconde d'hésitation me demandant comment elle va réagir, je relève ses cheveux et je viens l'embrasser dans le cou.

Elle pousse un cri de surprise étouffé et sursaute, désarçonnant sa fille de la douce tétine qu'elle avait en bouche. J'ai dû lui faire peur, ce n'est pas tant la nature du contact que le contact lui même qui l'a surprise.
Elle ne réagit plus pendant un temps, aussi je continue mes baisers sur son cou et sa nuque et j'entreprends de baisser sa chemise du côté de son sein inoccupé.

- Mais qu'est-ce que tu fais ?

Pour seule réponse je place ma main droite sur son sein libre, ma main gauche appuie sur son épaule pour l'empêcher de se relever et je continue à l'embrasser. Elle essaye de remonter sa chemise mais ça n'a pour seul effet que de faire pleurer sa fille qui en perd son sein nourricier.

- Arrête, lâche moi !

J'accentue ma caresse sur son sein, qui n'en est pas encore véritablement une pour l'instant, je me contente de marquer mon territoire pour lui faire comprendre qu'il est inutile de résister, je suis debout derrière le canapé et elle est assisse avec les mains occupées, elle ne peut pas trop se libérer de mon étreinte sans importuner sa fille qui la tète goulument.

- Je suis désolé, ça fait tellement longtemps que je fantasme sur tes seins.
- Mais enfin...
- Laisse toi faire.

J'aurais aimé prendre le temps de découvrir ce corps petit à petit, en progressant centimètre par centimètre. Malheureusement pour la convaincre de se laisser faire il me faut prendre les choses en main rapidement, c'est le cas de le dire.
Je baisse la bretelle de son soutif rose, sort son sein du balconnet qui l'accueillait jusqu'alors puis l'empoigne à pleine main. Ma bouche et ma langue se promènent toujours sur son cou, sa nuque et maintenant sur le lobe de son oreille.

Elle essaye toujours de retirer ma main de son sein et de reboutonner son chemisier, mais sans grande conviction.
Après plusieurs longues secondes dans cette position, il me semble que le plus dur est fait, et je décide de passer à l'étape supérieure.

J'enjambe comme je peux le canapé sans la lâcher, de peur qu'elle ne se lève si je prends le temps de faire le tour.
Je suis maintenant assis à côté d'elle, je déboutonne encore un peu plus son chemisier pour accéder plus facilement à sa poitrine.

Dans sa position elle ne peut pas faire grand chose, d'un côté elle tient sa fille qui continue de téter sereinement, de l'autre avec son chemisier et son soutif descendu jusqu'au coude elle n'a pas assez d'amplitude pour faire quoi que ce soit. Elle se contente de gesticuler mollement pour me faire comprendre de la laisser.

Je pose alors mes lèvres sur son sein offert, d'abord des petits baisers puis des coups de langue plus appuyés, mais sans jamais toucher son mamelon, et il y a largement de quoi faire autour. Mes mains ne sont pas en reste, avec la gauche je masse délicatement son sein, et avec la droite je commence à la caresser plus bas sur le ventre.

Quand elle cesse enfin de bouger, résignée, je change de position pour être plus à l'aise. Je me mets face à elle, à califourchon au dessus de ses cuisses, j'ai ainsi accès à tout son corps.

Je laisse le sein gauche à Emma qui stimule sa mère à sa manière, son comparse de droite est aux bons soins de ma bouche, tandis qu'avec mes mains je parcours ses flancs puis ses hanches, avant de glisser vers son pantalon et d'en défaire la ceinture.

Je glisse une main sous son pantalon, et quand je commence à lui masser l'entrejambe je m'attaque en même temps avec ma langue à son téton dressé que j'avais soigneusement évité jusqu'à présent.

Je lui déboutonne son pantalon blanc, bouton par bouton, à chaque étape je reviens glisser mes doigts contre sa chatte dont je commence à sentir l'humidité poindre.

Je lève les yeux pour voir comment elle réagit, je la vois les yeux fermés, la tête rejetée en arrière, et elle finit même par écarter légèrement les cuisses pour m'offrir un meilleur accès à son sexe, toujours protégé par un sous-vêtement encore non identifié.

Encouragé par cette vision qui montre que le désir a pris la place de la raison dans sa tête, j'accentue mes caresses. Je lâche son sein l'espace d'un instant pour lui glisser quelques mots à l'oreille :

- J'ai fait une liste de tout ce que j'aimerais faire avec tes seins. Par exemple... Déshabiller? Bon ça c'est déjà fait. Ou admirer...

Je m'écarte un peu d'elle pour avoir une vue d'ensemble et admirer son corps, sans pour autant cesser de lui masser l'entrejambe. Qu'est ce que c'est beau ! Elle commence à être un peu affalée, la tête posée en arrière sur le haut du canapé, le chemisier largement ouvert, seul un petit bouton l'empêche encore de s'ouvrir complètement. Les épaules sont dénudées, le chemisier et les bretelles de son soutien-gorge sont au niveau de ses coudes.
Le soutien-gorge lui-même n'a pas trop bougé, il est toujours en place, ce sont les seins qui ont quitté la leur. Ainsi positionné il fait maintenant office de redresse-sein et sculpte un peu plus ce buste qui n'en n'avait pourtant pas besoin.
Il y a d'un côté sa fille qui la tète avec avidité, comme si chaque goutte de lait était la dernière, et de l'autre ce sein au téton indécemment dressé, qui gigote d'impatience pour qu'on s'occupe à nouveau de lui.

Je reviens me coller contre elle :

- Câliner? Pétrir.

Ma main retrouve le contact avec son sein, mes doigts en font doucement le tour dans un sens, puis dans l'autre. Ils se promènent sur son mamelon et grimpent sur son téton.
Puis je le prends complètement dans la paume de la main, je le serre et le pétri avec force.

- Blanchir? hum ça j'espère que tu me laisseras le faire plus tard. Dévorer? Téter »

Ma langue retrouve à son tour ce sein au forme harmonieuse, et avec ma bouche je lui en dévore chaque centimètre carré.
En bas ma main s'enhardit, je me promène sur son mont de vénus avant de glisser mes doigts entre ses grandes lèvres qui sont bien ouvertes à présent.

C'est avec plaisir que je sens sa main qui vient se promener dans mes cheveux quand je m'attarde sur la pointe dressée de son sein pour commencer à la téter. Les yeux grands ouverts, j'observe et je reproduis les gestes de ma voisine de palier. J'ajoute à ça une pression de chaque côté du sein, et je ne tarde pas à recevoir dans ma bouche une petite quantité de lait maternel.

Un fantasme vient de se réaliser, après en avoir rêver très longtemps sans jamais aller plus loin, les voilà maintenant à la merci de mes caresses, et, Ô bonheur absolu, bravant l'interdit j'ai le droit de goutter à ce breuvage nourricier réservé habituellement à une élite juvénile.

Le goût a de quoi surprendre, ça n'est pas très loin du lait de vache qu'on trouve dans le commerce, mais c'est à la fois très différent, et on reste sur une sensation étrange, un peu comme quand on goutte pour la première fois à du lait frais quand on est habitué au lait stérilisé.
Une nouvelle giclée de lait atterri sur ma langue et finit de me convaincre, c'est vraiment le meilleur lait que je n'ai jamais gouté. J'en prendrais bien tous les matins au petit déjeuner en lieu et place du lait habituel, d'autant que l'emballage est quand même beaucoup plus attrayant.

Sentant certainement qu'il reste plus de lait dans le sein de droite que celui de gauche, elle change sa fille de côté pour lui en faire profiter, me laissant sur le carreau. Ce n'est pas grave, je m'attaque à l'autre sein, qui n'a rien à envier à son voisin.

Mais à peine ai-je posé ma bouche dessus qu'elle a un mouvement de recul. Emma a tété de ce côté pendant de nombreuses minutes, ce qui a dû rentre le téton très sensible, aussi je décide d'engager ma langue dans une autre aventure.

Elle comprend où je veux en venir, et elle fait son possible pour soulever son bassin et me permettre de baisser son pantalon de lin blanc. Je découvre un shorty rose dessous qui lui va à ravir, et qui ne cache plus rien de la chatte trempée qu'il est sensé masquer.

Je me mets à genoux au sol face à elle pour honorer à son tour son petit minou, après m'être occupé de longues minutes de sa poitrine. Mais avant que je n'ai pu commencer, elle me dit :

- Attends, je vais poser Emma.

En voilà une bonne idée, je vais enfin l'avoir pour moi tout seul.
Elle a sans doute envie de s'abandonner à mes caresses, mais avec sa fille dans les bras c'est compliqué, elle doit rester concentrée pour ne pas la laisser choir.
Elle se retourne, se met à genoux sur le canapé et porte sa fille à bout de bras pour la déposer dans la poussette qui se trouve juste derrière.
Dans cette position elle est pratiquement à quatre pattes dans l'angle du canapé, la croupe à l'air.

Grave erreur ! Elle m'offre dans cette position une vue imprenable sur son cul, avec son pantalon à mi-cuisse et son shorty qui s'enfonce profondément dans sa raie, laissant apparaitre deux fesses bien rebondies qui ne demandent qu'à être aimées.

Ses seins lourds retombent un peu, ça n'en est en rien déplaisant, c'est même une invitation à venir les prendre en main.

Moi, pauvre petit garçon bien sage qui n'est pas habitué à une telle mise en valeur d'attributs féminins, comment puis-je résister à ça ?

Alors je retire promptement mon jean et mon boxer avant qu'elle ne se retourne. Ma queue était déjà bien gonflée, mais la vue de ce cul a fini de la faire grossir.
Je me rapproche d'elle, je baisse son shorty, glisse mes doigts sur sa chatte pour trouver le bon chemin, puis je la pénètre sans autre forme de procès.

Elle lâche un petit cri de surprise :

- Aaah? Non pas ça.

Je m'enfonce profondément en elle puis je cesse tout mouvement, et je me penche sur elle pour pendre à pleine main son opulente poitrine.

Sa fille dans la poussette, elle s'appuie maintenant sur ses coudes pour se stabiliser, et je peux commencer à lui donner quelques coups de reins.

Je lui glisse à l'oreille :

- Et pourquoi pas ?

Je n'obtiens qu'un maigre gémissement en guise de réponse.
Emma est plus loquace, et voir sa mère chevauchée ainsi juste sous son nez provoque chez elle une crise de fou rire.

- Non ma chérie, ne regarde pas ça, lui dit Delphine entre deux souffles, puis elle ajoute : Il faut rien dire à Papa d'accord ?

Encouragé par ce public pour le moins inédit, j'accélère mes va-et-vient en elle, pour le plus grand plaisir de Delphine qui a du mal à cacher ses gémissements, et pour celui d'Emma également, toujours aussi amusée par nos galipettes dont elle ne comprend pas encore le sens, enfin je l'espère.

Je m'arrête quand je suis proche d'éclater en elle, et je me fige, mon membre encore enfoncé profondément dans ses entrailles. Mais elle ne l'entend pas de cette oreille, et profitant de l'accalmie elle glisse une main vers son sexe, et se caresse vigoureusement le clitoris.

Je la laisse faire pendant un temps pour souffler un peu, puis je me rends soudain compte que ma bite coulisse de nouveau en elle, et je suis pourtant sûr de ne pas bouger !

Elle a pris l'initiative des va-et-vient, elle en vient à me donner des grands coups avec ses fesses qui viennent claquer contre mes hanches. Ce n'est plus moi qui m'enfile en elle, c'est elle qui vient s'enficher sur mon membre gonflé à bloc.

C'est là où la différence d'âge et d'expérience se fait ressentir j'imagine, sans un mot, sans un geste, elle a pris la baguette ? ma baguette - de chef orchestre et c'est elle qui dicte le rythme. Elle accélère, elle ralentit, elle s'arrête même de temps en temps pour se concentrer sur son plaisir en continuant à se caresser le clitoris avec ses doigts. J'ai l'impression de ne plus être qu'un pieu sur lequel elle vient s'enfoncer, mais l'expérience n'en est pas désagréable pour autant, bien au contraire.

Après avoir profité de son corps sans vergogne depuis tout à l'heure, je suis prêt à lui mettre à disposition le mien aussi longtemps qu'elle le souhaite.
Malheureusement la sonnerie de son téléphone nous fait redescendre d'un seul coup sur terre, alors que nous étions tout proche de notre destination finale, encore inavouable il y a une demi-heure.

- Il faut que je réponde, c'est peut-être...
- Non pas maintenant, laisse sonner !

Je me rebaisse sur elle pour l'enlacer et l'empêcher de bouger, mais avant que je n'ai pu faire quoi que ce soit, elle contracte son vagin plusieurs fois et en 2 ou 3 va-et-vient rapides elle me porte au bord de l'orgasme, me coupant ainsi toute volonté.

Elle attrape son téléphone qui est dans son sac accroché à la poussette et décroche. Je comprends rapidement que ce n'est pas son mari, heureusement parce que l'espace d'un instant j'ai pensé que si ça avait été lui, elle aurait pu, en larmes, tout lui avouer.

Elle se rassied plus décemment sur le canapé, pour ce qui est de la position en tout cas, parce qu'au niveau des vêtements avec son buste à l'air et son pantalon sur les cuisses c'est toujours pas ça.
Je suis assis à côté d'elle, en train de me demander quelle va être la suite des évènements, comment va-t-elle réagir quand elle aura raccroché et qu'est ce que je devrais lui dire.

J'en arrive à la conclusion que si je laisse les choses passer, elle va surement s'éclipser une fois sa conversation terminée, et on se quitterait sur un sentiment d'inachevé. La meilleure solution est donc de repasser à l'action pendant qu'il en est encore temps.

Je viens me mettre face à elle à genoux sur le canapé, mon sexe toujours au garde-à-vous frétille à l'idée de se glisser entre ses seins.
Mais quand elle comprend où je veux en venir elle me repousse, me fait non d'un signe de la tête et me jette un regard noir, le tout en gardant un ton le plus naturel possible avec la personne avec laquelle est en ligne.

Elle doit avoir les seins en feu, ou alors elle a mal interprété mon geste, pensant que je voulais la forcer à une fellation pendant qu'elle était au téléphone.
Je me mets alors à genoux devant le canapé pour continuer à m'occuper de son sexe, mais elle sert les cuisses fermement et me repousse encore comme elle le peut. Dommage, j'aurais bien aimé continuer là où nous avions été stoppé il y a quelques instants, pour qu'elle continue son enseignement et qu'elle valide mes acquis.

La laissant terminer, je m'assieds à ses côtés, et impatient que je suis je me branle, pas trop vite pour ne pas jouir sur le champ, pas trop lentement pour garder mon excitation actuelle.

Assis à sa gauche je peux enfin contempler sans me cacher ses 2 bijoux dont Mère nature lui a fait don, et qu'elle expose fièrement sous mon nez maintenant. Ils sont vraiment d'une taille impressionnante, mais sans être énormes ni vulgaires pour autant. Sa poitrine se gonfle et se dégonfle au gré de sa respiration rapide, et je la sens un peu gênée d'être ainsi exposée à mes yeux affamés, mais elle essaye néanmoins de garder son calme pour ne rien laisser paraitre à son interlocuteur ou interlocutrice.
Ils ont un peu perdu de leur superbe depuis quelques semaines, sa fille s'efforçant de les vider jours après jours, vilaine petite garce. Si elle était en âge d'admirer et d'apprécier la beauté féminine je suis certain qu'elle prendrait un malin plaisir à être dorlotée entre les seins de sa mère, et éviterait de les solliciter trop souvent pour ne pas les abîmer.

J'ose à nouveau une main sur son sein le plus proche de moi. Pas de réaction, alors je lui passe mon bras autour de ses épaules pour la tourner légèrement vers moi et je me penche pour embrasser sa magnifique poitrine.
Je glisse une main vers son sexe et constate avec plaisir qu'elle ne sert plus les cuisses autant que tout à l'heure. Je peux donc accéder à son clitoris assez facilement. Je passe un doigt de chaque coté pour le stimuler tout en continuant avec des tendres baisers sur chacun de ses seins.

La conversation téléphonique s'éternise avec toutes sortes de banalités qui me passent bien au dessus de la tête, et je sens Delphine de moins en moins concentrée sur ce qu'elle dit.
Je continue à m'occuper d'un sein avec ma bouche et ma main gauche, et avec la droite je promène toujours quelques doigts autour de son clitoris.
Me sentant certainement un peu maladroit, elle se décide à glisser une main entre ses cuisses pour venir guider la mienne dans ses mouvements.

Après quelques minutes à la masturber ainsi tout en lui bécotant les seins, je sens soudain qu'elle ressert ses cuisses autour de ma main et qu'elle vient plaquer sa main sur la mienne. Je lève les yeux et je vois que Delphine a posé son téléphone à côté d'elle, et avec sa main libre elle pétri le sein dont je ne m'occupe pas. Elle a le visage crispé, les yeux fermés, elle vient de jouir silencieusement sous mes caresses.

- Allo ? Allo ?

Je pense qu'il est plus judicieux de raccrocher avant que la personne au bout du fil ne se doute de quelque chose.

Delphine reste immobile quelques secondes, sa main garde la mienne appuyée contre sa chatte, et elle fini par la bouger pour m'inciter à recommencer les caresses sur son intimité. Toujours les yeux fermés elle recommence également à se caresser les seins.

Elle est prête à repartir pour une nouvelle fournée, mais le téléphone nous interrompt à nouveau.

- C'est elle, il faut que je réponde.
- On a autre chose à faire, lui dis-je en excitant vivement son clitoris pour lui faire changer d'avis, en vain.
- Tu lui as raccroché au nez...

Elle prend le téléphone et essaye de se lever pour aller répondre tranquillement ailleurs. Elle fait un pas en titubant, et comprenant qu'elle ne pourra pas aller plus loin elle se laisse retomber sur le canapé.
Elle n'a pas encore dû reprendre complètement ses esprits, et de plus son shorty et son pantalon à mi-cuisse ne doivent pas l'aider à marcher.

- Oui désolée j'ai dû laisser tomber le téléphone j'avais les mains occupées... Euh... Je fais un peu de cuisine.

Hum, je n'ai pas fini de te cuisiner ma belle, viens par là.
Elle a repris sa conversation comme si rien ne s'était produit.

Ma queue est toujours bandée, tel un arc prêt à lancer sa flèche. Je monte sur le canapé et je m'installe à genoux à côté d'elle pour lui faire comprendre ce que j'attends d'elle. Je lui prends la main et vient la glisser sur mon sexe pour qu'elle commence à me branler.

La conversation est montée d'un ton pour je ne sais quelle raison, elle a l'air de ne pas suivre ce que je lui demande de faire... Elle commence néanmoins quelques caresses, machinalement sans doute.

Je me laisse aller à ses mouvements réguliers qui montent en rythme, et alors que je ne m'y attends pas du tout, elle me donne quelques coups de langue furtifs sur mon gland. Excité comme jamais il n'en faut pas plus pour que mon orgasme arrive à mon tour. Je pousse un râle de plaisir, j'ai quelques mouvements désordonnés et mon sperme s'échappe violemment de ma verge et s'en va coloniser tout ce qui se trouve à porter.

J'en vois atterrir sur les poils de son pubis, son soutif, son chemisier et sur sa poitrine dressée qui n'attendait visiblement que ca. Les dernières gouttes coulent le long de ses doigts qui continuent à me branler.

- Euh c'est rien c'est la télé? Oui oui je t'assure, c'est la télé, ça me détend quand je cuisine.

Je reste béat un long moment, immobile les yeux fermés et la bouche entrouverte, la main de Delphine continue à me branler doucement.
Malheureusement après avoir joui, mon sexe devient très sensible, et ça commence à en devenir douloureux.

Je m'esquive et viens lui nettoyer les seins maculés de sperme avec ma langue. Elle me tape sur l'épaule pour attirer mon attention et me fait signe qu'elle veut quelque chose pour nettoyer son chemisier, avant que les tâches ne sèchent.

Direction la salle de bain, j'attrape une serviette et un gant de toilette, et je profite d'être à côté du lavabo pour me nettoyer également un peu.
Mais quand je reviens dans le salon il est déjà trop tard, elle a rangé son téléphone, s'est complètement rhabillée et se dirige avec sa poussette vers la porte pour sortir.

Quand on se croise elle me prend le gant des mains, frotte la tâche la plus visible sur le devant de son chemisier puis me le redonne.

- Merci, me dit-elle à demi-voix.

Merci pour le gant de toilette ou merci pour le moment que nous venons de vivre ensemble ? Je n'en sais rien. Je ne sais que dire et je la laisse filer avec sa fille vers la sortie. Mon regard, posé sur son cul, se perd dans le vide une fois qu'elle quitte mon champ de vision pour retourner sur la route d'où elle vient.

Dehors il ne pleut plus, la petite brise a chassé les nuages et le soleil est de retour. Elle va pouvoir rentrer chez elle sereinement' ou pas, en repensant à l'heure qui vient de s'écouler.


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Voici la liste complète des verbes que j'ai trouvé en rapport avec la magnifique poitrine de Delphine :

Admirer
Assaisonner
Baiser
Bécoter
Blanchir
Butiner
Câliner
Caresser
Cartographier
Chatouiller
Complimenter
Contempler
Déguster
Déshabiller
Dévorer
Dorloter
Embrasser
Lécher
Manger
Mater
Palper
Parcourir
Parfumer
Peloter
Pétrir
Photographier
Regarder
Remuer
Séduire
Sentir
Sous-peser
Sucer
Téter
Traire

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