Coup de théâtre

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Proposée le 27/09/2007 par annedarobace

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Femme de port (5ème partie)


5) coup de théâtre

... Plus rien... que cette étrange sensation... au loin... ce noir désir... ce soleil de minuit... rien d'autre que ces images rouges et jaunes... laminée... je dors... je souffle... j'exulte à perdre haleine... j'expulse tous mes mauvais souvenirs... juste quelqu'un de bien... une étude de valeur... monochrome... il reste des ombres et...

La lumière inonde la chambre de l'hôtel krasnapolsky.
Elle m'aveugle.
J'ai des frissons et pourtant je suis chaude. Par la fenêtre le Dam exhibe fièrement son obélisque, plus petit que celui de la Concorde. Je me réveille doucement dans cette blancheur inattendue, la pièce me parait vaste et calme, cependant ...
Je m'étire comme si je voulais grandir encore. Je n'entends de la circulation infernale qui règne au dehors, qu'un sifflement léger. C'est un matin pas comme les autres, d'habitude c'est l'enfer qui frappe à ma porte, aux environs de 7h... aujourd'hui il frappe dans mon crâne mais je ne bosse pas, c'est un week-end prolongé et je suis en congé ! Qu'il est agréable de lézarder au lit ! Ce n'est pas si fréquent, il faut en profiter. Une moitié de moi est encore dans la nuit, c'est une longue remontée vers la vie ordinaire et la folie du jour.
J'ai mal à la tète, trop mal. Mieux vaut que je reste endormie encore un peu afin de prolonger ce qu'il me semble avoir été une nuit délectable, d'ailleurs j'ai la bouche pâteuse, la nuit était une fête sans doute le jour sera comme il sera... je serai évasive, nonchalante et heureuse...
Les idées s'embrouillent et la pièce est toute bouleversée. Le plafond m'apparaît bien trop lourd, la moquette trop épaisse sur ces murs... quelques idées noires dans ce décor immaculé... une foutue tour de contrôle ne cesse de me crier qu'il à lâché la sauce... rodjeur ? ... non, pas rodjeur, je ne comprends pas très bien...

Walter est au dessus de moi. Un obélisque plus petit que celui de la concorde. Son machin n'est qu'un truc comparé à Roger. Il tient sa queue toute flasque, dégoulinante de foutre : l'enfoiré s'est branlé dans mon dos pendant que je dormais !
Voilà ce que je sentais tout à l'heure ensommeillée encore : la semence de mon homme quand Roger m'inondait... mais j'ai la tète qui me raisonne... qui est donc ce Roger ? ... je connais ce prénom, son visage me dit quelque chose, mais je n'arrive pas vraiment à l'identifier... il ressemble à... on dirait... Patrick ! , l'ex à ma frangine... leur mariage n'a duré qu'un an... le pilote de ligne... oui c'est çà... Roger est Patrick, j'en suis toute retournée ! Patrick est Rodjeur !
Que vient-il faire dans ma nuit celui là ?
Les rêves sont aussi compliqués que les femmes, on peut les deviner qu'à force de ténacité :
Je ne fais pas exception à cette devise macho, j'en accentue le caractère !
Tant pis pour vous les hommes, tant pis pour toi Patrick, à en croire quelques psychanalystes, tu aurais pût en profiter...

Walter est au dessus de moi, encore.
Ses yeux sont plutôt verts ce matin, la braise n'est plus dans ce regard, je préfère quand ils sont bleus, il m'aime dans ce cas là... j'ai le dos humide de sa masturbation et le liquide fécond s'écoule sur le lit, me voilà dans de beaux draps !
Walter est au dessus de moi, toujours.
Comme il à l'air embarrassé, à genoux et la bite à la main. Ce n'est pas dans ses habitudes, il faut dire aussi que nous sommes partis en week end pour rompre cette monotonie. Il se rapproche de moi à me coller encore, d'un baiser sur le front il murmure un sourire puis juste à mon oreille il me dit ses excuses. Sur ce, il se lève et s'en va, se laver des souillures qu'il m'a faites...

Moi aussi il faut que je me ressaisisse, je m'assieds sur le rebord du lit. Bizarrement le plafond revient à sa place, la moquette n'est plus collée au mur, seule subsiste une barre, là, juste au milieu de mon front mais cela ne fait pas partie du décor. Je suis enfin debout, la fenêtre m'attire, la curiosité naturelle qu'ont les femmes envers les autres et la lumière.
J'émerge peu à peu dans cette ville inconnue, Amsterdam est une dame mystérieuse, aux ressources cachées, au bitume discret, je n'écoute que son âme qui cogne dans la mienne. Je regarde la rue. Le monde m'apparaît au loin comme des lignes droites qui se croisent en tous sens, il ondule à l'approche du Dam puis disparaît en un tourbillon autour du monument : le monde est plat au loin et rond en son milieu, Ptolémée et Galilée avaient tous deux raison ...
Je voudrais sentir cette Amsterdam, mais l'atmosphère est climatisée, le double vitrage vous fait croire au silence et l'ouverture bloquée vous condamne à l'aseptisé... modernité j'écris ton nom...

Je me passe un peu d'eau sur le visage, cela me remet quelques idées en place. J'ai une tète de déterré, j'avoue que la glace me fait peur. C'est une gueule de bois assurément !
Walter entrouvre la porte de la douche, sarcastique :

- " t'as pas trop mal aux ch'veux ce matin ? "
- " bah si un peu... " Je n'ose pas trop avouer mon mal de crâne épouvantable...
- " remarque, çà s'rai plutôt ailleurs que tu devrais souffrir, ah ah ah " Walter éclate de rire
- " hein ? " Je suis perplexe
- " dis donc, je t'avais jamais vu comme çà, le Champagne çà te déchaîne ! "
- " le Champagne ? ... " Quelques images me reviennent mais c'est encore trop flou...
- " qu'est ce qu'il t'as mis le Patrick cette nuit ! Et dire que je n'ai même pas pu en profiter ! "
- " ah Patrick ... " c'était bien lui, mais je ne vois pas le rapport avec mes rêves...
- " et sa nana, comment déjà... euh... Laurie, quel canon ! , le salaud ! ... "
- " C'est çà Laurie et Patrick, mais... " Je revois un instant les beaux yeux de Laurie mais Walter m'interromps

- " bon, j'espère que tu vas te rattraper aujourd'hui, cette nuit tu m'as fait tellement bander que j'ai été obligé de me faire une petite branlette tout seul ce matin ! "
- " oui bah merci, je suis collante de partout ! "

Walter sort de la douche. Il rebande comme un taureau. On ne devrait pas parler de choses comme çà dans une salle de bain.

- " c'est pas tout çà, mais une petite pipe au réveil me ferait le plus grand bien... "
- " j'ai la bouche pâteuse ! "
- "justement je te propose un bon dentifrice pour nettoyer tout çà ! "
- " écoutes Walter, je ne suis pas en forme du tout, on peut pas remettre çà à plus tard ? "
- " non Anne ! Tu dis toi même qu'avec une pipe tous les maux s'effacent ! "

C'est vrai, je le dis, dans ce cas... c'est dur... mais je ne peux pas lui faire le coup de la migraine quand même avec tout ce qu'il a dû rater cette nuit d'après ce que je comprends...

Bon gré mal gré, je m'agenouille au désir de mon homme. Je suis soumise quelquefois...
Walter me remplit la bouche de son braquemart vicieux. Je ne me sens pas très bien mais il faut que j'accomplisse mon devoir conjugal. J'y vais bien gentiment, en suçant lentement le dard de mon mec, mais il se fait pressant, il me tire par les cheveux :

- " eh dis donc, te fous pas de moi, tu me la fais comme à Patrick hier : à la salope. Tu sais si bien le faire quand tu veux ! "

Je vois ce qu'il veut dire, du moins je crois savoir, mais je n'ai aucun souvenir de cette fellation à mon ex beau frère...
Aujourd'hui l'auteur, n'a pas cru bon de définir quelconque didascalie, je fais comme je veux mais surtout comme je peux...
Je m'active corps et âme à mon affaire et encore plus aux siennes...
Je prends sa queue à pleine main et je le branle énergiquement, tandis que je donne çà et là des coups de langue bien léchée. Je sens son regard sur moi, il a sans doute ses yeux bleus, la braise y' a qu'çà d'vrai !
Il gémit quelque peu, le bonhomme, mais çà ne suffit pas.

- " attends attends, j'vais te baiser dans la bouche " me lance un Walter essoufflé.

De fait, il me prend la tète à deux mains et commence son mouvement de va et vient. Son rythme est saccadé, il s'enfonce plus profond dans ma gorge, moi qui ne tiens pas la forme olympique ce n'est pas vraiment le bon remède mais je ne sais pas comment lui dire, et puis... on ne parle jamais la bouche pleine, c'est impoli... D'ailleurs il a pitié de moi, il voit bien que je suis mal, il se retire.

- " allez ma salope adorée, donnes moi ton cul maintenant ! Il doit être bien dilaté après ce que t'a mis Patrick... "

Je n'ai pas la force de répondre, il me retourne, je m'agrippe à la baignoire, je sens qu'il écarte mes jambes.

- "dommage que Laurie ne soit pas là, j'aurais bien aimé qu'elle te prépare comme elle l'a fait hier ! "

La seule image de Laurie qui me revient à l'esprit, est son regard de feu et ses seins si...

Je n'ai pas le temps de me souvenir plus avant, il me prends par derrière. Même si sa queue est en dessous de la moyenne (d' après ce que je connais ...), elle est encore trop grosse pour mon petit trou. D'autant que bien trop excité, il ne m'a pas "préparée ".

- " aie... arrête ! Tu me fais mal ! "
- " allez allez, pas de chichi avec moi, t'en fais pas avec les autres ! "

Évidemment cela me cloue le bec, je n'ose me rebiffer.
Il m'encule sans vergogne, le coquin, et il ne pense qu'à lui. J'ai mal mais je me tais.
Je le sens en moi. Â pénétrer mon antre, il me ravive quelques bribes...

... Oui, c'est çà Roger, encule moi bien, que je te sente jusqu' à la garde, j'aime quand tu me sodomises et quand Laurie me lèche, Walter devrait me le faire plus souvent...

Il force le passage, le salaud, je le sais bien à point, il s'enfonce au maximum...

... minimiser les coûts est le but de la maison, maximiser le rendement est le but du gérant...

Walter s'atèle à m'empaler, il jure de tous ces mots :

- " ah putain qu't'es bonne ! Tu le sais qu't'es bonne toi hein ma salope ! Et gouine avec çà ! Une vrai pute comme je les aime ! Je t'encule et t'aime çà hein ? ..."
- " oui, j'aime çà... " Je répond timidement, dans la situation présente je ne peux pas dire mieux...
- " T'as dû le sentir le Patrick avec la queue qu'il a, à croire que t'en rêvais depuis longtemps, hein ma chienne ? "

Je sais que bien souvent, ses paroles dépassent ses pensées, excité comme il est, rien ne sert de le contredire, d'ailleurs il n'a pas tout à fait tort...

- " AHHHHHHHHHH .... "

D'un râle, il déchire la pièce, il me défonce. Il me transperce à toute vitesse, ses mains m'arrachent les hanches, je ne sens plus rien, il s'est vidé le bougre, j'ai la tête défaite et ... le trou plein ...
C'est sans doute ce qu'on appelle communément " avoir la tête dans l'cul " ...
Il termine son exécution en un coup de rein lamentable, mais il ne s'en rend pas compte.
Il est là, je suis lasse. J'ai la tête qui siffle comme un réacteur de Fouga, il souffle comme un magister.

Son sperme coule le long de mes cuisses, je me relève comme je peux et me réfugie sous la douche ...
Un moment de sérénité, presque de plénitude si mon crâne me laissait tranquille. Le filet d'eau me fait le plus grand bien, je resterais des heures à me laisser mouiller, je m'abandonne à cette eau, elle s'écoule sur et en moi, je me régénère, me purge, c'est un lavement de tout mon être...

Walter a commandé un petit déjeuner. Ce palace ne fait pas les choses à moitié, les plateaux posés discrètement sur la table regorgent de nourriture et un bouquet de fleurs vient parfaire la présentation. (Vu le prix, c'est la moindre des choses...)
J'enfile ma robe de chambre et je rejoins mon homme. Il a son sourire sardonique d'après l'amour.
Il se tait, il m'observe, il attend, il joue...
Je me sens un peu bête, j'ignore tout de ma nuit, je ne me rappelle que ce théâtre, tout est vague et censuré...
Il se décide enfin à rompre ce silence :

- " Quand je pense qu'il a fallu que l'on aille dans cette boite au fin fond d'Amsterdam pour retrouver Patrick, c'est carrément incroyable, çà fait quoi ? Hein ? Dix ans qu'on l'avait pas vu ? Le monde est p'tit quand même ! "
- " Tu sais Walter, il faut que je te dise... euh... je ne me souviens pas vraiment... "
- " Ah bah... tu m'étonnes qu'à moitié ! Avec tout c'que t'a picolé ! Toi qui disait adorer le Champagne, on peut dire que t'as apprécié ! "
- " j'ai bu tant que çà ? "
- " Oh lala, je ne t'avais jamais vu autant boire... ni autant te lâcher devant des inconnus... "
- " des inconnus ? "
- " si tu me dis çà... effectivement, là je crois que t'as perdu la mémoire ! "
- " raconte moi ! J'ai fait des bêtises ? déconne pas ! Dis moi ce qui s'est passé ! "
- " euh... eh bien... c'est assez simple en fait... euh... on était dans ce club dont tu m'avais parlé...
Çà tu t'en souviens quand même ? "
- " oui jusque là je te suis... et alors ? "
- " et alors... on est tombé sur ton ex beau frère avec sa gonzesse, le top du top entre nous soit dit "
- " bon bon çà va, n'en rajoute pas s'il te plait ! Et puis ? "
- " bah, il a payé une bouteille... t'as voulu payer la tienne... on s'est tous retrouvés un peu schlass... surtout toi ! "
- " comment çà ? "
- " d'abord tu voulais absolument l'appeler Roger... on sait toujours pas pourquoi ..., tu t'es fâchée à un moment alors on t'as laissé faire, finalement çà l'a amusé... et puis après tu t'es mis dans la tète de nous faire un strip-tease... tu penses bien que tout l'monde était d'accord... moi çà m'excitait terrible ! ... "
- " çà m'étonne pas d'toi çà ! "
- " comme tu t'en étais vraiment bien sorti, Patrick euh... Roger... t'a rejoins sur le podium et tu l'as sucé comme une dingue ! "
- " ouh lala ! Et tu ne m'as pas arrêté ? "
- " tu m'as envoyé paître comme jamais, je suis resté au bord de l'estrade toute la soirée sans pouvoir te toucher ! Tu étais si catégorique ! Je n'est pas insisté, d'autant que le spectacle me plaisait bien... et au public aussi..."
- " quel salaud ! Je vais passer pour qui maintenant ! "
- " mais pour ce que tu es ma chérie : une bonne petite épouse et une sacrée salope ! ...
Gouine de surcroît ! ... ce n'est pas pour me déplaire... "
- " gouine ? "
- " Oh que oui ! C'est la première fois que je te vois avec une autre fille, crois moi, tu étais dé-chai-née !
De voir en plus cette Laurie et toi dans un 69 improvisé, çà valait le déplacement ! J'espère que tu recommenceras, je suis preneur ! "
- " çà me fait peur tout çà, je ne me souviens pratiquement de rien, oui juste un instant de plaisir avec Laurie quand j'y réfléchie mais c'est à peu près tout... "
- " à peu près tout ! Tu rigoles ! "
- " quoi, j'ai fais pire ? "
- " pire non, enfin ...euh, ... mais Le sieur Patrick t'a enculé en public quand même... et je peux te dire que t'en voulais encore ! ... t'as mis la boite sans dessous dessus ! Finalement, comme il était bien tard - je voulais dire bien tôt - et que t'avais foutu l' bordel, le gérant nous a gentiment prié d'aller nous coucher... j'dois dire sympa le gérant ... il a pris tout à ses frais pour avoir animé la soirée... il nous a aussi invité à revenir... souvent... surtout toi et Laurie... à mon avis, vous serez reçues comme des princesses... "
- " et ben ! Tu parles d'une soirée ! J'te crois qu'à moitié mais... "

Ainsi, mon rêve n'en n'était pas vraiment un. Malgré ce carré blanc au coin droit de mes songes, je distinguais en effet quelques ombres, une trace de mon forfait nocturne, quelques images stroboscopées de Patrick qui me prend, un sentiment de victoire quand Laurie m'emprisonne, une raison connexe à détester les hommes quand les femmes sont comme elle, une délicatesse dans ce monde de brutes, de cons et de truands, une relance au plaisir, le vrai, de celui que l'on donne sans compter, de celui que l'on reçoit sans avoir réclamer. Je voulais me confondre, m'impliquer plus encore, me jeter un défi, du passage à l'acte, inconsciemment, si j'étais quelqu'un d'autre, une autochtone, une pro de la provoc., pas de murs, pas de liens, comme une signature unique pour deux comptes bancaires, être une pûte rien qu'un instant, une vrai que l'on tire et que l'on crache, à moitié réalisé, c'était cela mon rêve, à moitié seulement, c'était cela mon fantasme, ma mémoire, ce qui restera dans mes ... anales !

Walter met un édulcorant dans son café tandis que je me contente d'un thé citron. Je suis abasourdie de ce récit et tout est si confus, si loin et si proche à la fois, presque ce goût de cyprine dans ma tasse,
des images çà et là, cette queue que je lèche, bien plus grosse que mon obelix, ce quidam qui me guette, Walter sans aucun doute... aspirine, aspirine, alka-seilzer...
Je n'ai pas vraiment faim, je n'ai surtout pas soif. Il faut que je me lève me dégourdir un peu. J'entrouvre le rideau, l'Amstel est à mes pieds, presque, les house-boat alignés, presque les péniches, je devine au lointain tous les marins de Brel, ceux qui pissent comme il pleure, dans la senteur des frites et des harengs, les relents nostalgiques, je me sens communier, presque, avec le pays des moulins des tulipes et du shit, j'exige qu'il se souvienne de tout ce que j'ai oublié, je vais et je viens dans ce curieux discours, désemparée, j'entends qu'il me pardonne, j'attends les nuits prochaines et juste des vagues... des planches... de vagues souvenances... de l'inédit... une nouvelle vie... une autre peau... comme une actrice... pour me muer... presque... en femme de port.

FIN

J'espère que ce récit vous a plu et j'attends vos commentaires sur ma bal : anne-walter@wanadoo.fr

Déjà publié : ‘'Mezzanine ‘','' oh my God !'','' Celluloïd bretonne ‘'.