Partie à trois chez Mourade

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Proposée le 12/08/2011 par SteeBlack

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- Allô ?! Dis-je en décrochant mon portable sans porter attention au nom affiché sur l'écran.
- Guillaume ?! C'est Mourade. Ça gaze mon frère ?!
- Ouais, et toi ?
- Ben... ça va. En faite, j'tappelle pour te proposer un plan pour demain soir. T'es dispo ?
- Dis toujours.
- J'ai fait la connaissance d'un p'tit rebeu vraiment très gourmand du cul et il veut se faire défoncer par un mec monté comme un ch'val. Et... Comme je sais que tu as ce qu'il faut, alors je me demandais si ça t'intéresserais de lui en donner pour son grade.
- Tu sais que j'ai une préférence pour les salopes... Commençais-je.
- T'en fais pas pour ça, je l'ai déjà testé au pieu, c'est une vraie pute. Il te bouffe une queue comme jamais personne ne te l'a déjà faite mais là où il m'a particulièrement étonné, c'est qu'il en redemandait tellement que j'étais obligé de jouir après plus d'une demi heure de baise. Je te le dis, il est insatiable.
- Tu te fous de moi ! Toi ? Il t'a épuisé ? Pourtant, je trouve que t'es super endurant.
- J'te jure une vraie pétasse. Alors, imagine ! Quand il m'a dit qu'il voulait se faire prendre par deux mecs, j'ai de suite pensé à toi.
- Une vraie « chaudasse » du cul, tu dis ?
- On aurait dit qu'il est né pour ça.
- Ok mec, demain soir, on lui fait sa fête. Là, tu m'as bien motivé.
- Quoi !? Tu bandes là ?
- J'suis raide mon frère.

Mourade se mit à rire.

- Si c'est ok et que l'engin est prêt pour ça, ben, j'te dis à demain soir, alors.
- Ok, bye, répondis-je en raccrochant.

J'avais fait la connaissance de Mourade lors d'une partouze organisée par un pote que nous avions conjointement. Malheureusement, aujourd'hui nous l'avons perdu de vue.
Comme lui, j'étais actif et comme lui, j'adorais le sexe. De suite, nous avons sympathisé et depuis, nous partageons la plupart de nos plans en commun.
Il était âgé de 50 ans, bien proportionné, grand, mince, avec du muscle et un ventre plat.
C'était un mordu de sport comme moi-même.
Très soucieux de son apparence pour plaire encore et doté d'une grosse queue 100% d'origine « rebeu », je peux vous dire qu'on se tapait pas mal de mecs.

Le lendemain soir, je suis arrivé chez Mourade.
Il m'a ouvert la porte, nous nous sommes salués mutuellement et il m'a invité à me rendre dans le salon.
Aussi, en me dirigeant vers celui-ci, ne fus-je pas ravi de voire assis sur le canapé, un jeune « beur » d'à peu près 24 ans, vraiment mince et l'air un peu efféminé, comme je les aime.

- Et bien, Mourade avait dit juste, lança ce dernier en me regardant de la tête au pied tout en se levant pour me serrer la main.
- Ah bon ?! Et qu'est-ce-qu'il a dit au juste, répondis-je avec autant de toupet.
- Que tu étais un black vraiment bien bâti pour tes 48 ans, genre musclé, l'air sauvage et très bien monté... Mais au niveau de ce dernier détail, je flaire ce genre de chose de très loin et je confirme que là aussi, il disait vrai, m'expliqua t-il en regardant mon entre jambes avant de se rasseoir.

Avant de pouvoir reprendre la parole, je me suis assis à mon tour sur le fauteuil situé juste en face du canapé.
Dès lors, le jeune homme qui se prénommait Oualide, ne me lâchait plus des yeux.

- Tu aimes les mecs murs, demandais-je.
- C'est mon péché mignon, répondit-il.
- Alors ?! Il te plaît, lui demanda Mourade en me désignant du regard.
- Ça va, mais reste à savoir si il défonce comme j'aime qu'on me défonce, dit-il avec arrogance.

A l'écoute de ses paroles, j'eus un petit sourire au coin des lèvres me disant que j'allais vraiment le faire déparler.
Ce petit gars se prenait franchement pour un super passif capable d'épuiser n'importe qu'elle actif en puissance.
J'étais encore plus motivé pour lui incendier le cul et le traiter comme la pire des salopes.

Après que Mourade nous ait servi à boire et que nous ayons échangé quelques mots, histoire de savoir ce que notre hôte aimait qu'on lui octroie, je me suis soudainement levé et approché de Oualide, pressé que les choses sérieuses commencent enfin.

En me dirigeant vers ce dernier, j'ai commencé à déboutonner ma braguette afin de sortir ma grosse queue d'antillais pour qu'il commence à me la sucer.
De plus, en la sortant, je ne fus pas surpris de sa réaction.

- Putain, j'avais jamais vu une bite aussi épaisse.
- Et là, elle est juste au repos. Alors fermes-la et fourres-la dans ta bouche de suceuse, dis-je fièrement et vulgairement sachant qu'il aimait être traité de la sorte.

Sans tarder, il se jeta sur elle, en prenant soin de bien engloutir mon gros gland.
Bientôt, Mourade, bien qu'il soit actif et très macho, ne pouvait pas résister devant une telle aubaine. Et donc aimant lui aussi sucer les gros gourdins, il avait rejoint Oualide et se retrouvaient maintenant à deux, à me manger la verge tel des voraces.

Le jeune « beur » s'acharnait sur la longueur de ma « pine » pendant que Mourade me bouffait les boules comme jamais il me lavait fait auparavant. A ce moment, je sentis qu'il étais vraiment chaud pour ce soir.
Quinze minutes plus tard, les deux suceurs me dévoraient littéralement le manche comme des malades acharnés. J'étais au maximum de mon érection avec mes 24 cm de long et 5,5 cm de large.
Durant toute ma vie, c'était la première fois que je voyais deux gars me déguster la queue avec autant d'appétit. Surtout Oualide.
J'étais incroyablement excité et je prenais un pied d'enfer.
Leur bave me lubrifiait le bâton et égouttait sur le sol. C'était fantastique.

Puis, voulant donner une petite leçon à Oualide, j'ai demandé à Mourade de le déshabiller pendant que je lui baisais la bouche. Juste, pour lui remettre au fond de la gorge ses petites paroles de prétentieux à la con.
Alors, qu'il le mettait à poile à genoux au milieu du salon, table avancée sur les cotés, je le tenais pas les cheveux contrôlant ainsi les va-et-vient de sa petite gueule sur ma queue.
Je lui administrais de sacrés coups de reins en profondeur, jusqu'à lui faire avoir des hauts le c'ur. Sa salive qui abondait et écumait souillait la moquette du salon.
Aussitôt qu'il essayait de reprendre son souffle, je remplissais aussitôt sa bouche avec ma bite.
Il avait le visage rouge, couvert de crachat et cherchait péniblement sa respiration.
Mais malgré ça, j'ai quand-même eu l'audace de tenter quelque chose d'assez osé. Et donc, ne lui laissant pas le temps de récupérer, je lui ai carrément enfoncer mes 24 cm de chair afin de lui remplir toute sa cavité buccale, se retrouvant avec son nez perdu dans mon pubis, sentant ainsi l'odeur de mes poiles.
Je lui ai maintains la tête pendant environ 10 bonnes secondes. Après ce laps de temps, Oualide essaya de se dégager mais mes deux mains insistaient fermement sur le crane du jeune homme.
Voyant qu'il s'étouffait presque, je l'ai alors libéré afin qu'il reprenne son souffle.
Au même instant, il lâcha un cri noyer par l'écume, puis toussa et recracha une énorme quantité de bave.

- Putain, connard, mais... A-t'il réussit à dire tout en récupérant sa respiration.

Moi, de mon coté, j'avais la verge raide comme la justice et un sourire se dessinait au coin de mes lèvres regardant mon pote Mourade qui était à présent entièrement nu, le pénis droit et gorgé de sang.
Oualide était rouge comme une tomate et me regardait méchamment.

- Merde... Putain... Cracha-t'il.
- Quoi ?! T'aimes pas qu'on te traite comme une salope ? Lançais-je en commençant à retirant mes vêtements un par un.
- Vas-y « molo » avec lui Guillaume, demanda Mourade.
- Attends, c'est bien lui qui a demandé à être baisé comme une pute, répondis-je.
- Oui mais...
- C'est bon, c'est exactement ce que je voulais alors maintenant amènes-toi, je veux voire si tu es aussi macho que tu le fais paraître, dit Oualide, coupant ainsi la parole à Mourade et en se plaçant sur le canapé en position du missionnaire.
- Prépares-le Mourade, lui demandais-je, finissant de retirer mon t-shirt.
- Non, je veux que tu me pénètres le premier... J'ai pas peur de ta bite, lança Oualide de manière arrogante et méprisante.

Le voyant sur de lui, je me suis alors approché. Voulant prendre le goût de son cul, je l'ai d'abord rapidement léché afin de le lubrifier.
Mourade me proposa un peu de gel afin de faciliter la pénétration.
J'ai ensuite présenté mon gland à l'entrée de son anus et j'ai poussé jusqu'à la garde, arrachant de cette manière, un grand cri au jeune homme.
Au ce moment, je vis le visage de Oualide se déformer de douleur jusqu'à serrer les dents. Mais voulant me défier et ne pas s'admettre vaincu, étant sure de pouvoir prendre une aussi grosse « pine » dans le cul, il me regarda avec arrogance droit dans les yeux et me dit sans desserrer les mâchoires :

- Baises-moi, connard.

Devant son culot, je ne me suis pas retenu et j'ai commencé à lui régenter de formidables coups de reins.
Je peux vous dire qu'au premier coup, il hurlait déjà de douleur. Mais après, il gueulait si fort que Mourade était obligé de lui mettre sa bite dans la bouche afin d'étouffer ses beuglements.

Au bout d'une demi heure de limage de trou de balle brutal et sauvage où j'étais sure de lui avoir ouvert l'anus de la taille d'un jeton de casino, j'entendis enfin et à ma grande satisfaction :

- Stop, c'est bon, arrêtes, arrêtes.

Je me suis alors retiré et je l'ai regardé en train de se redresser. Il s'est mit ensuite à quatre pattes sur le fauteuil et il m'a dit :

- Maintenant, vas-y, avec un léger sourire malicieux.

Sans faire paraître mon étonnement et ma rage devant autant de toupet et de prétention mais également pour m'avoir dupé ayant fait semblant d'avoir mal, je me suis à nouveau rapproché de sa noisette dégoulinante de mouille et j'ai remis ma verge dans son rectum pour lui administrer des fantastiques coups de « pine ».
Malgré le fait qu'il recommençait à gueuler, la bouche perdue dans le rembourrage du canapé, ce mec se montrait vraiment obstiné.

Au bout de vingt minutes, je transpirais comme un malade et je commençais déjà à faiblir à force de défoncer ce petit con.
J'ai alors demandé à Mourade de prendre la relève. Pendant, qu'il lui moulinait le fion, Oualide me lança une remarque des plus blessante.

- J'pensais que pour un mec originaire des Antilles, tu avais plus d'endurance niveau remplissage de cul. T'es qu'un vieux PD à deux pas de la retraite !

A ces mots, je devins noir de colère. Là, il m'insultait réellement. Il y avait jeu et jeu, mais là il dépassait les bornes.

- Mourade, tires-toi, je vais lui arranger le cul à ma manière, demandais-je sans lui montrer mon irritation.

Il s'exécuta.
Aussi, étant sure de lui donner une bonne leçon, je l'ai donc mit en position du missionnaire sur la moquette du salon.
Toujours raide et remplit de rage, je les pénétré d'un coup sec.
Il recommença à gueuler comme une chienne et Mourade lui remit sa queue dans la bouche.

Je peux vous dire que je lui ai tellement creusé l'anus qu'au final, je l'entendis dire :

- Ok, c'est bon, arrêtes-là. Arrêtes,... M'ordonna-t'il.

Voulant vraiment lui apprendre à fermer sa gueule quand il faut, j'ai fait mine de ne rien entendre et j'ai continué à lui octroyer de grands coups de reins.
Malgré le fait, qu'il insistait d'arrêter, je continuais.

- Mourade, attrape lui la bite et fais-le jouir, dis-je en continuant mon « travail ».

Pendant que Mourade lui astiquait la verge, je poursuivais mon limage de trou jusqu'à entendre Oualide râler comme un fou et expulser une superbe quantité de foutre qui gicla de partout.

Je me suis alors retiré, laissant au sol un jeune « rebeu » particulièrement essoufflé, maculé de sperme, couvert de sueur et le médaillon en feu.
Puis, soudainement, toujours allongé au sol, épuisé par l'action, il se mit à rire.

- Putain, je n'avais jamais baisé comme ça avant, a t-il déclaré.

Il me regarda et rajouta :

- Ça Mourade, c'est du bon choix. T'es vraiment un bon coup, dit-il en me regardant.

Toujours énervé et enragé d'avoir été un peu manipuler par un « gamin », j'ai préféré ne pas répondre.
Aussi, avant de me diriger vers la salle de bain, j'ai dit à Mourade :

Fous-le dehors Mourade, je l'ai assez vu. Je crois qu'il a eu ce qu'il voulait et qu'il a suffisamment joué pour ce soir.

SteeBlack