Une belle expérience

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 31/08/2007 par tanis

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Harold sortait à peine de sa douche quand elle surgit dans la salle de bain sans prévenir, il n'eut même pas le temps de glisser un essuie devant lui !
- Woaoooh, c'est génial ! s'exclama Laure
- Qu'est ce qui est génial ? demanda Harold un peu gêné de s'exhiber ainsi nu devant elle.
- Et bien, Carole m'a dit que tu avais envie d'essayer avec un homme, et que peut-être tu pensais que Pierre serait d'accord !
- Ben euhhh... !! Comme tu y vas ! J'ai dis à ma femme en plaisantant que pas mal de filles se retrouvaient ensemble, alors pourquoi pas les hommes !
- Ah ! Si ! tu dois essayer ! Moi l'idée de voir deux hommes se prendre m'a toujours terriblement excitée, alors maintenant que j'en ai l'occasion !

Avec un sourire, Harold ricana :
- Mais qui te dis que nous ne ferons pas ça seuls, deux hommes sans femmes !
- Eh ! mais vous n'êtes quand même pas pédé ! moi je veux rester avec mon mec pendant qu'il est avec toi ! Je l'aiderai, dit-elle en lui lançant un petit regard entendu.

Elle s'approcha de Harold, et d'un geste complice glissa un bras autour de sa taille, puis sa main glissa le long de la raie entre ses fesses, et un de ses doigts vint s'appliquer sur sa rosette plissée.

Harold esquissa un mouvement de recul !
- Laure ! Enfin ! Ma femme peut entrer à tout moment !
- Comme si cela te gênait ! Depuis Amsterdam les choses ont bien changé mon grand !
Son doigt continuait son délicat massage
- Tu vois, dit-elle, ceci doit être bien lubrifié, sinon cela ne marchera pas !

Avisant un pot de gel qui se trouvait à côté du lavabo, elle y trempa rapidement son index qu'elle dirigea à nouveau entre ses fesses.
- Là ! c'est plus facile comme cela, dit-elle en insistant sur l'anus jusqu'à ce que son doigt commence à pénétrer lentement. Eh ! Effectivement, ça te fait de l'effet, s'exclama-t-elle en suivant du regard, la montée vigoureuse de la queue.

Harold ne savait plus où se mettre, il n'y avait pas une minute qu'elle était dans la salle de bain et elle était occupée de l'enculer avec un doigt. Il affichait déjà dans une terrible érection.
Franchement, c'était bon ! Quelle sensation ! Son index coulissait gentiment en lui. Elle plongea son autre main dans le pot de gel et entoura ma verge de ses doigts gluants.
- Ah tu verras, je te branlerai en même temps ! j'adore branler un homme !

Harold essayait bien d'échapper à son étreinte, mais Laure le tenait des deux côtés !
- Tu vois ce que l'on ressent lorsque vous nous enculez ? Et encore ! ici, ce n'est que mon doigt ! Tu verras quand ce sera une bite ! Mais avant, je t'agrandirai un peu, j'ai ce qu'il faut à la maison ! Disssss... je peux te demander quelque chose ?

Il se trémoussait sous le doigté subtil de cette merveilleuse femme et voilà qu'elle posait des questions à présent !
- Eh bien, lorsque vous serez occupé à deux vous les hommes, vous voudriez bien essayer de me monter à deux...? J'ai toujours eu envie d'être prise comme ça !
Et elle ponctua sa déclaration d'une puissante rentrée du doigt dans son rectum ! Sa main enserrant sa verge et coulissait dessus en serrant fortement. Le gel aidait.
Harold gigotait, se retenant tant bien que mal au meuble du lavabo, mais Laure voyant ses yeux chavirer, accentua son va-et-vient dans son cul, y plongeant son doigt pendant qu'elle retroussait son prépuce et tirait la peau de son sexe jusqu'à la racine !
Face au miroir, elle se regardait faire, suivait l'évolution de la montée de l'orgasme.
Lorsqu'elle vit une goutte perler au bout du méat, ses mouvements se firent plus amples et plus vifs, elle dirigea la verge de Harold vers le miroir.
Son doigt entra et ressorti brusquement des fesses investies avec une force qui arracha des gémissements à Harold.
Le fixant de ses yeux dans le miroir, elle prit un air dominateur :
- Vas-y, crache ! Vide-toi de ton jus mon beau ! Montre-moi ta semence !
- Non ! Laure ! arrête !

Mais un premier jet sortit de sa queue, et décrivant une belle courbe vint s'écraser sur le miroir. Sa main étirait par coups brusques la verge raidie, ses doigts touchaient la toison pubienne, et chaque mouvement était ponctué par une giclée de foutre qui traçait sur le miroir une longue ligne blanchâtre parallèle à la précédente.
Quand elle fut à peu près certaine de l'avoir vidé, elle secoua sa queue pour en vider les dernières gouttes et lui sourit en regardant le miroir :
- Quel beau pinceau mon grand ! J'ai hâte que tu me mettes aussi en couleur !

Elle déposa un petit baiser sur les lèvres de son ancien amant, et s'enfuit de la salle de bain !
Harold restait appuyé au meuble, haletant, hagard tant l'impression avait été forte et rapide ! Evidemment, c'est à ce moment que Carole sa petite femme entra !

- Harold !!! Mais qu'est-ce que tu fais ! Ohhhhh le miroir !
- Mais c'est Laure, et...
- Laure ? Mais elle vient d'arriver ! Si au moins tu m'avais dit que tu avais des envies, je me serais occupé de toi ! Si ce n'est pas malheureux de gaspiller cela ! Moi qui aime tellement ce goût !
Et s'approchant du miroir, elle sortit une petite langue rose qu'elle promena avidement sur les épaisses coulées chaudes.

- Je t'assure Carole, Laure vient de sortir et...
Carole l'interrompit :
Et bien si c'est Laure, elle t'as trait comme un étalon, je la reconnais bien là !

- Carole, tu as dis à Laure que je voudrais... euh..., je veux dire que j'aimerais essayer avec quelqu'un d'autre, euh..., je veux dire avec un homme ?
- Bien sûr mon chéri ! Laure est une copine, et on ne se cache rien !
- Mais enfin, Carole, c'est assez intime tout de même, tu ne vas pas raconter à toutes tes amies que j'ai raconté une seule fois que j'avais juste pensé de me faire baiser par un mec !
Carole terminait le nettoyage du miroir, ses lèvres étaient blanches de sperme qui moussait à la commissure de ses lèvres !

- Tu sais Harold, si tu dois essayer, je préférerais que ce soit avec son copain Pierre ! Il est pas mal, on se connaît bien et puis comme cela elle peut lui en parler !
- C'est ça !!!! Laure va aller raconter à son mec que j'ai envie de me faire sodomiser par lui ! Mais qu'est-ce qu'il va penser ! Et dire qu'ils viennent ce week-end !!! Moi je n'oserai plus le regarder en face !
- Oh ! vous les hommes ! Vous faites vite des problèmes ! Tu sais quand j'ai envie de Laure ou l'inverse, on ne fait pas tant de manière !
- Quuuoiiii ! Tu veux dire que parfois toi et Laure vous...vous...
- Bien évidemment ! Et on aime ça ! qu'est-ce qu'il y a de mal à ça ?

Harold se regarda dans le miroir en se passant la main dans les cheveux :
- Ca alors ! Et en plus ma femme est une gouine !
- Oui mon chéri, dit-elle en l'enlaçant, et en collant sa bouche gluante à la sienne ! Tu as bien envie d'essayer avec un homme toi ! Et bien nous on est déjà passées à l'acte !

C'est dingue les femmes ! Quand elles ont envie d'une chose ! Elles ne perdent pas de temps en pourparlers ! Youpiiie !!! Bang ! On y va ! Incroyable !

Harold n'arrêta tout de même pas d'y penser toute la semaine, qu'est-ce que Laure avait bien pu raconter à son mari ? Et dans quels termes ? Il la voyait déjà :
- Chéri, n'oublie pas qu'on va chez Harold et Carole samedi ! Ah oui, j'ai oublié de te dire, tu devras sodomiser Harold !
Ou bien ! :
- Dis chéri ! Carole m'a demandé si tu voulais bien enculer son mari ?

Quelle bavarde cette Carole ! Qu'est-ce qu'elle avait besoin d'aller raconter cela à sa copine !
Et après ce que Laure m'avait fait, et demandé ! Oui, cela je l'avais oublié aussi ! Se faire prendre par deux hommes !
Alors à son mari :
- Dis chéri, samedi..., pendant que tu me baiseras, j'ai demandé au mari de Carole de m'enculer... !

La tête lui tournait, les dialogues crus voltigeaient dans sa tête, il voyait des corps enchevêtrés, des filles se léchant, des hommes l'un sur l'autre, des filles coincées entre deux hommes, leur corps nus et gémissant.
Carole ne lui en avait plus reparlé, et il ne n'avait plus osé aborder le sujet. Elle préparait chaque jour, un petit quelque chose pour le week-end, comme si cela allait se passer le plus gentiment du monde. Il finit par croire que ce n'était qu'un mauvais rêve, et finit par se détendre.

ooOOoo


Dring..., dring...,
- Les voilà, ce sont eux ! Cria Carole, Harold ! Viens !

Nous étions samedi, et nos amis venaient de sonner à la porte !
- Ah ! Laure et Pierre, quelle joie de vous revoir! Je vois encore assez souvent Laure, mais toi Pierre !
Les tirant par la main, elle les entraîna dans le séjour.

- Salut Harold ! lança Laure, et sa bouche se posa de suite sur le coin de ses lèvres.
Pierre avait vu sa copine l'embrasser, mais il ne parût pas choqué !
- Salut Harold, c'est vrai, il y a longtemps ! lui dit-il avec un grand sourire, depuis la Hollande ! J'y pense encore souvent !
Harold se détendit, il avait l'air naturel, Laure ne lui avait certainement rien demandé, ni parlé de rien.
Les verres d'apéritifs se remplirent, et les deux femmes plongèrent dans la cuisine !
- Ca y est ! lança Laure à Carole ! J'en ai parlé à demi-mot à Pierre, et il n'a pas l'air opposé.
- De quoi donc ? demanda Carole toute affairée à dresser un plat.
- Mais je ne lui ai pas dit que c'était pour Harold ! Mais je lui ai dit que cela m'exciterait de le voir prendre un homme, et bien tu sais il a parut sceptique, puis il m'a dit : ça je n'ai jamais encore essayé ! Et en plus si cela t'excite ! Et Il est d'accord !

Carole regarda sa copine en ouvrant de grands yeux :
- Quoi ! tu lui as demandé ? Tu as osé ?
- Bein oui... quoi ! c'est mon copain après tout !
- Tu ne manques pas d'audace toi ! remarqua Carole en éclatant de rire ! Mais tu as bien fait, je crois que Harold sans le vouloir sera content d'essayer ! Je connais bien Pierre et il n'est pas trop gros !
- Non, 75 kilos, et 1m 87.
- Mais non, chérie ! Ce n'est pas de cela que je parle ! Je veux dire que si ton copain est trop bien membré, comme c'est la première fois pour Harold, peut-être que ça n'entrera pas! Ce serait dommage, j'ai l'impression que sous des dehors timides il en a envie !
- Ne te tracasse pas pour cela, j'ai apporté ce qu'il faut pour que cela ne pose pas de problème, et je me ferai un plaisir de préparer ton petit Harold !
- Ehhhhhhhh ! mais je suis jalouse moi ! dit Carole en attrapant Laure dans ses bras ! Non, chérie, prépare-le bien, je sais que tu es experte pour cela, lui lança t-elle en la regardant d'un air complice !
- Oh !!! Carole !!! mais tu as bien aimé ! tu as même joui !!!
- Chuuuuuuuuuuttt ... !!! Bien sûr ! c'était même très bon !

Puis regardant Carole du coin de l'œil elle déclara :
- Tu sais j'ai même demandé à Pierre si cela ne le dérangerait pas si pendant qu'il me fait l'amour, un autre homme vienne me pénétrer dans l'anus ! Je t'assure ! Pierre avait l'air tout excité ! Tu aurais dû le voir !
- Mais tu ne lui a rien dis pour aujourd'hui quand même !
- Non ! Et Harold ne se doute de rien non plus !
- Ouf !!! c'est leur surprise ! Dis, t'as vu l'état du miroir quand tu as quitté la salle de bain avec lui !
- Mais Carole ! dit Laure en riant ! Je ne pouvais pas savoir que ton mari déchargeait comme un âne ! C'est vrai qu'il m'a surprise, il en a mis partout !
- En tout cas, j'ai évité de faire l'amour avec lui cette semaine, le temps que ses couilles se rechargent vu la vigueur que tu avais mise à les vider !!

Les deux amies éclatèrent de rire, se rendant soudain compte du "sérieux" de leur conversation !


ooOOoo




La fin du repas arrivait, et les deux amies qui se retrouvaient parfois à la cuisine avaient programmés la suite à l'insu des hommes... C'étaient elles qui prendraient les opérations en main, si l'on peut dire !
Les hommes s'entendaient bien !
- Ouf se dit Laure, je crois que cela va bien se passer !

Ses yeux brillants fixaient parfois Harold, et il ne comprenait pas le sourire qui lui illuminait le visage quand elle le voyait s'entretenir avec Pierre. Elle échangeait parfois de petits signes avec Carole.
Harold pensait encore à ce que sa femme lui avait raconté dans la salle de bain :
Les garces, il les imaginait nues occupées à se lécher, et à se pénétrer le vagin avec leur langue, à boire ce qui leur sourdait entre les cuisses ! Laure n'avait pas le même goût que Carole, et depuis Amsterdam il y pensait souvent.

Ce fut Carole qui déclencha le signal, en renversant malencontreusement un petit verre d'alcool sur le pantalon de Pierre.
- Oh Pierre, désolée, je vais chercher de l'eau chaude ! Et Carole s'enfuit à la cuisine.
- Enlève ton pantalon Pierre, dit Laure, ce sera plus facile à frotter ! et s'approchant de lui, elle lui déboutonna la braguette. Mets-toi debout !

Pierre se leva pendant que le vêtement lui dégringolait sur les chevilles... A ce moment, Carole revint, portant un bassinet rempli d'eau chaude.
- Ah ! tu l'as enlevé ! oui, au moins je ne risquerai pas de te brûler !
Carole lança un coup d'œil à Pierre. Beau petit boxer ! Moulant bien ! Elle déposa le bassin en face de Laure qui s'occupa de la tache puis se dirigea vers Pierre.

- J'espère que ta chemise et le reste n'a rien ! Et joignant le geste à la parole, elle releva la chemise de Pierre, regardant son slip.
- Non, dit-elle, en passant sa main sur la bosse qui le déformait, tout cela est bien sec !

Harold regardait étonné ! Sa femme ne se gênait pas ! Sa main s'attardait plus que de raison à cet endroit, et sans complexe ! Devant lui !

Pierre la regarda dans les yeux, comme pour s'excuser mais Carole serra les doigts sur un début d'érection, faisant saillir la colonne de chair à travers le slip noir.

Harold eut une bouffée de chaleur ! Sa femme palpait le sexe d'un autre homme à travers ses vêtements !
Il devait avouer qu'il ne savait pas trop bien si c'est la vue de la main de sa femme ou la lente ascension du sexe qui se dressait lentement qui le mettait dans un état pareil !

Laure se rapprocha, et posant sa main sur la main de Carole, appuya le mouvement de celle-ci.
- Je vois que tu as découvert le beau petit slip de Pierre, mais attends de voir ce qu'il y a dedans !

Harold se sentit piégé ! Les deux femmes avaient l'air à l'aise et devaient avoir comploté quelque chose. Des sueurs froides l'envahirent en pensant que Laure avait tout de même parlé à Pierre de... de...

Laure insinua sa main entre la peau et le tissu, et elle ressortit avec un long épieu de chair dure et chaude.
L'emprisonnant, entre ses doigts, elle fit coulisser le prépuce en tirant vers la base, dégageant à aux yeux de tous un beau gland gonflé d'excitation !

Carole fut à genoux la première, tripotant la belle verge raide. Laure la rejoignit, et la saisissant à son tour la dirigea vers la bouche de sa copine ! Les lèvres de celle-ci s'arrondirent, et Harold vit le sexe s'enfoncer lentement dans sa bouche !

Pierre regardait Harold, ne sachant que dire ! Les deux filles maintenant s'étaient mises de chaque côté de lui, et faisait coulisser sa verge entre leurs lèvres en essayant de se rejoindre autour de l'épaisse colonne.

- Je ne me souviens pas qu'elle était si grosse ! s'exclama Carole.

Harold voyait le gland disparaître dans leur bouche.
Laure lui fit signe d'approcher pour regarder.
Elle lui saisit la main, et l'attira à genoux à ses côtés.

Pierre se retirait à ce moment d'entre leurs lèvres. Laure saisit Harold par le cou, et attira sa bouche contre la leur.
C'est à ce moment que Pierre se projeta en avant, entre leurs lèvres. Harold n'eut pas le temps de se retirer, et le gland de l'énorme pieu lui écartela les lèvres et s'enfonça profondément dans sa bouche.

Harold hoqueta, c'était énorme, et lisse.
Laure maintenait sa tête pressée contre leur bouche, pendant que Pierre exécutait encore quelques mouvements.
Sa langue sans le vouloir toucha le gland, et il sentit en son milieu le petite fente du méat.
Les deux filles le regardaient, serrant leurs lèvres autour du puissant phallus, se surveillant mutuellement pour retarder l'éjaculation de Pierre.

Les images défilaient dans la tête de Harold. Il revoyait cette queue dans le vagin de sa femme en Hollande, et l'idée que cette bite maintenant dans sa bouche était rentrée en elle et peut-être dans l'anus de Laure le troublait profondément.
C'est vrai que c'était excitant, surtout devant deux femmes qui le regardaient.

Alors il commença à serrer également les lèvres quand Pierre plongeait en lui. Pierre forçait en ahanant pour s'introduire tout en le regardant dans les yeux. Il s'enfonçait parfois latéralement, se masturbant latéralement contre ses joues.
Les filles pouvaient alors voir cette grosse bosse qui déformait son visage, une fois d'un côté, une fois de l'autre.

Pris en sandwich également par les lèvres des filles, Pierre regardait son copain excité et rugissant :
- Tonnerre ! Quelle sensation! Une pipe à trois ! avec deux belles femmes et un homme ! Oh ... ça vient... garces ! Ahhhhhh... oui....

Laure maintint fermement Harold de peur qu'il ne se retire et cria :
- Ne bouge pas ! Reste comme ça !

Le premier jet de sperme l'atteint au fond de la gorge, l'obligeant à avaler pour ne pas s'étouffer. Il était temps, Pierre giclait maintenant sans retenue sa semence grasse et épaisse sur sa langue, lui remplissant la bouche rapidement.
Ses allées et venues faisaient mousser le bord de ses lèvres par où son foutre commençait à suinter.
Carole le vida définitivement en lui tirant sur les testicules. Puis ses lèvres vinrent éponger le sperme sur le menton, qui s'écoulait en gouttes chaudes sur le tapis de laine.

- Super Harold ! dit Pierre, on dirait que tu as fais cela toute ta vie !
- Oh oui ! dit Laure, excitée d'avoir vu son ami juter dans la bouche du copain de Carole.
- Ehhhhh, dit Carole, ton sperme à bon goût Pierre ! Je comprends Laure !

Harold était un peu perdu, le goût du sperme, ce qu'il venait de faire avec son copain le laissait pantois. Carole l'embrassa sur la bouche.
- Oh ! Chéri ! ce que tu m'as excité ! Voir deux hommes ensemble ! Mais tu sais ce que Laure espère ! Et j'espère que tu ne vas pas la décevoir !

Pierre le regardait avec un petit air gêné :
- Ne t'en fais pas Harold ! C'est la première fois pour moi aussi ! Et Laure était si insistante !

Harold sentit tout à coup la même sensation que dans la salle de bain, un doigt de Laure fouillait entre ses fesses, et une sensation de frais l'envahit, lorsqu'elle déversa du gel dans sa raie.
- Laure mais, attends ! ...

Quelque chose de tiède lui ouvrit l'anus, et plongea en lui, lisse, doux.
Laure lui enfonçait un petit gode !
- Pierre s'il te plait, remplace moi, pendant que je me prépare ! demanda-elle.

Pierre se saisit de l'engin, et força plus profondément l'engin dans l'anus de son ami.

Harold gêné regardait sa femme pendant qu'il se laissait sodomiser devant ses yeux.
Cette pénétration dans ses reins ne lui déplaisait pas, Pierre l'ouvrait doucement et l'initiait aux plaisirs de la sodomie. Il imaginait ce que pouvait ressentir une femme dont on forçait les reins.
Il sentait ses chairs repoussées à l'intérieur sous la pression. Il savait qu'il n'échapperait pas aux fantasmes des femmes, et que bientôt ce ne serait plus un gode qui lui coulisserait entre les fesses.


ooOOoo

Pierre retira le gode et Laure se positionna derrière Harold.
- Harold mon chou, on passe à la taille suivante ! Sinon mon petit Pierre aura bien du mal et toi surtout !
Laure à genoux s'allongea sur son dos. Quelque chose s'insinua entre ses fesses, pendant qu'elle se collait à lui.
Equipée d'un godemiché nettement plus gros, elle forçait à présent l'anus de Harold d'une lente poussée.
- Carole ! il est étroit ton homme ! déclara t-elle !
Elle glissa ses mains autour de ses hanches, agrippa la racine de sa bite comme appui, et tirant dessus, l'investit lentement et totalement !

Pierre et Carole regardaient Laure l'enculer, une lueur d'envie leur passa dans leur regard !

Laure s'activait, le gel aidait ! Elle le remplissait formidablement, et puis l'idée que ce soit Laure qui le sodomise commençait à le rendre fou !
Harold voyait le regard de Pierre tout excité. Sa femme se caressait lentement en voyant son mari bouger sous les coups de butoirs que son amie lui envoyait dans les fesses.

Laure s'arrêta épuisée :
- Viens Pierre, il est prêt !... Ah ! ça m'excite de savoir que tu vas le prendre ! dit-elle en déculant lentement.
Elle plaça confortablement son copain derrière moi, lui glissant même un coussin sous les genoux...
- Vas-y Pierre, enfonce lui ton gros bourrin, il n'attend que cela !
Carole saisit elle même la verge de Pierre, et écartant les fesses de son mari, elle tenta d'y introduire le gland.
- Ouch ! T'es énorme Pierre ! On ne pourra jamais lui mettre ça !

Harold s'inquiétait ! Voir le visage anxieux des autres...
Laure versait copieusement du gel sur les fesses offertes.
- Si si ! Ca rentrera ! Il m'a bien enfoncé la sienne aussi, et j'ai su la prendre !

Carole força un peu le gland contre la rosette plissée.
- Pousse Pierre, ça doit passer !

Laure suivait la lente progression de son copain.
- Ca progresse! Pierre, tu lui as mis presque le gland en entier ! Oh tu m'excites à te voir enculer un mec !
- Ohhhhhhh il serre le salaud ! avoua Pierre...

Harold tremblait presque. Il en devenait fou ! Une bite d'homme était occupée à l'enculer.
La queue progressait en lui par petits à coup, elle était énorme et le gland se frayait un passage, écartant ses chairs, cherchant à pénétrer encore plus loin.
- Woahhh Pierre, tu es au fond de son cul ! tu n'iras pas plus loin !
- Non ! Pierre dis Laure, il y a encore au moins cinq centimètres dehors, puis se tournant vers Pierre :
- Oh Pierre, met-lui toute, je veux voir tes couilles battre contre ses testicules ! Oui... plus que quatre centimètres... Oh ! mais ça n'avance plus !

Alors la petite garce glissant sa main devant les hanches de Harold pour l'empêcher de bouger, se mit à pousser sur les fesses de son copain pour l'enfiler complètement !

Ses yeux ne quittaient pas la jonction des corps, annonçant la distance qu'il restait à enfoncer pour que ceux-ci se joignent.
- Oui, Pierre, ça va être plus facile maintenant, regarde, oui ! ! tu y es presque ! Allez ! force ! j'ai envie de voir !

Harold la sentit rentrer d'une traite jusqu'au fond ! Quelle impression ! Il serrait ses muscles sur l'épaisse colonne de chair qui se mit doucement en mouvement !
Pierre gueulait de plaisir !
- Carole ! je suis dans le cul de ton mari ! Il est étroit le salaud ! Mais il a l'air d'aimer ça !

Il regardait son énorme mantule entrer et ressortir du rectum de son ami avec une joie évidente !
Laure versait toujours du gel, favorisant ainsi la lubrification.
Redoutable expérience, mais la sensation de brûlure était extraordinaire ! Ce va-et-vient en lui! C'est la première fois qu'il ressentait cela, et puis cette impression d'être possédé et comblé ! ! C'était chaud, humide, la bite écartait ses chairs, les relâchant, les écartant, les massant. Pierre prenait un malin plaisir à ressortir presque le gland en entier, écartelant au maximum sa rosette, pour se renfoncer presque aussitôt, lui redonnant à chaque fois les plaisirs douloureux de la pénétration initiale.

Les deux femmes subjuguées regardaient. Elles fixaient le point de pénétration de la bite dans l'anus. Pierre sortait presque chaque fois son gland pour forcer à nouveau.
Harold les yeux flous délirait doucement sous les ruades puissantes et profondes de son copain. La grosseur du gland le laissait sans voix quand la verge l'investissait en entier, et il en venait à attendre les dernières poussées que Pierre donnait pour l'enfoncer à fond.
Cette tige de chair s'agitait en lui, cette sensation de plénitude, de remplissage entier.
Harold sentit sa verge se dresser raide. Il s'agitait sous les ruades qui se faisaient maintenant brutales.

Laure cria :
- Allez y les mecs, vous me rendez-folle ! Oh ! chéri ! C'est la première fois que tu vas jouir dans le cul d'un mec ! Tu vas voir Harold comme c'est bon quand tu sentiras son jus couler dans ton anus !

Pierre limait Harold de toute sa longueur, se propulsant à chaque poussée dans l'anus d'Harold et celui-ci s'offrait, serrant les fesses quand il se retirait, et s'ouvrant le plus possible quand il rentrait pour le sentir se loger tout au fond de son rectum. Pierre s'était accroché à ses hanches et rythmait sèchement ses mouvements.

Pierre s'écria :
- Ah, je n'en peux plus, il serre tellement, ouiiiii, je viens...!

Harold sentit ses giclées chaudes lui barbouiller les parois anales, ses jets le faisaient sursauter par leurs puissances.
Ses couilles se vidaient dans l'anus de Harold, sa semence l'inondait entièrement
Pierre lima encore une fois dans la masse de sperme qu'il lui avait craché dans le rectum.

Laure saisit la verge de son copain et la ressortit lentement de l'anus martyrisé.
- Pierre !! à moi maintenant, j'ai la chatte en feu ! Mais tu es encore dur ! Ah, c'est sans doute l'étroitesse de ses fesses qui te redonne envie, viens, allonge-toi, ...

Pierre se laissa faire, encore sous le coup de sa jouissance. Laure s'installa sur lui, et s'ouvrant les lèvres s'assit d'une poussée, s'introduisant sa bitte encore énorme jusqu'au couilles dans la vulve.
Elle s'allongea sur Pierre, entreprenant un va-et-vient effréné pour se satisfaire.
Carole et Harold observaient maintenant ce couple occupé à baiser devant nous !
Ses fesses s'agitaient, et l'on voyait les deux bourrelets de ses lèvres sexuelles se coller à la pine énorme qu'elle se plantait en elle !

Son petit anneau anal s'ouvrait et se refermait en suivant chacun de ses mouvements ! Alors Harold regarda sa femme, une érection terrible lui battait le ventre.
- Prends là mon chéri, elle ne demande que ça !

Harold saisit sa verge et murmura à sa femme :
- Ca me gêne devant toi ! Tu vas voir ma verge entrer dans son anus !
- Harold ! mon chéri ! j'ai bien vu la queue de Pierre te sodomiser ! Je veux voir ta queue la prendre derrière !
Carole suivit ses mouvements avec amusement lorsque debout, il enjamba Laure, et pointa sa queue douloureuse d'envie vers son anus.
Debout, ce fut plus facile, dès qu'il fut contre, il poussa de tout son poids sur l'anneau qui s'ouvrit, engloutissant d'un coup la totalité de la tige de chair !

- AAAHHHH !! Hurla Carole,.... C'est trop gros !!!! Salaud, et sans préparation ! Oh tu me fais mal, retire toi ! Non !!! Harold non... !
Mais c'était trop tard, Il y était, il y restait ! Il sentait encore le doigt de Laure dans ses fesses avant qu'elle ne le fasse gicler sur le miroir !
- Oh non ma belle !!! pas question que je me retire ! tu aimes la sauce, et bien tu vas en avoir !
Ses propos devenaient vulgaires, mais son excitation de la posséder devant sa femme lui donnait une nouvelle puissance !
- Eh bien Harold ! dit Carole ! tu te spécialises dans l'enculage des filles ! Vas-y mon chéri, encule là, je crois savoir qu'elle te l'a demandé ! Qu'elle y passe aussi !
- Oh oui ! Ah, c'est bonnnn ! c'est sec ! Dur d'entrer, mais je lui collerai en entier dedans, tu entends salope, tu vas l'avoir en entier, je vais te rentrer mon gros morceau à fond ! Là, tu vois, ça rentre !

Carole n'avait jamais entendu de propos aussi vulgaire de la part de son mari, puis elle se souvint de ce qu'elle disait à Carole quand elles étaient à deux... et elle se mit à sourire !
Laure offrait ses fesses :
- Ohhh Harold, mon dieu... tu es trop long !!!
Harold ahanait, mais la position debout lui permettait de pousser non seulement avec ses hanches, mais aussi avec le poids entier de son corps. Les belles fesses de Laure s'écartaient sous chacune de ses impulsions, il forçait maintenant, tout devait rentrer.
D'un coup de rein puissant, il se laissa choir sur ses fesses, collant la racine de sa queue dans son entre fesses. Il était au fond !
- Ohhhh Harold !!!! Ahhhh, Ohhh Pierre !!!!
Laure était allongée sur Pierre. Harold prit appui sur ses épaules, évitant ainsi de se fatiguer dans cette position et qui lui permettait maintenant d'un simple mouvement de reins de l'enculer à fond et d'un coup !
Carole s'était rapprochée, fascinée par le morceau de chair que son homme enfonçait à chaque ruade.
- Harold, tu sens Pierre ? demanda Carole.
- C'est terrible ! c'est comme si il se frottait ma bitte, la paroi est mince !
- Et toi Pierre, tu sens Harold ?
- Ahhhhhh son nœud dans le cul de Laure, chaque fois qu'il me passe dessus, j'ai envie de juter, mais... je me retiens !

Harold marmonnait entre ses dents, tout à son travail de sodomite. Il prenait plaisir à la voir se crisper quand retirant son nœud presque entièrement, il forçait à nouveau son sphincter étroit. Sa bite se dressait parfois entre ses fesses, et la belle ligne de son dos se terminait par un épieu, droit, planté dans son cul ! Carole admirait les deux queues qui coulissaient en cadence dans son amie.
- Allez-y les hommes ! Je la connais... elle adore ! Jutez-lui dedans maintenant.

Carole saisit alors la peau au dessus des testicules de Pierre et faisant la même chose avec les celles de Harold de son autre main, elle exerça une violente traction vers le bas
Harold mugit et Pierre meugla sous la violence du geste.
Mais Carole à contre-sens de leurs mouvements les trayait littéralement, une fois l'un, une foi l'autre, ses tractions retiraient à fond la peau de leurs prépuces, faisant formidablement saillir leurs glands dans l'anus et le vagin de Laure.

Impossible de résister !!!
Laure redressa la tête en hurlant ! Elle sentait la formidable friction de la petite paroi séparant son vagin de son rectum. A croire que les deux hommes étaient dans le même trou !
A la deuxième traction de Carole, Harold jouit comme un fou... Son sperme ne giclait plus par saccades mais par torrent, il inondait son rectum de foutre, et celui-ci, bon lubrifiant, lui permettait encore de lui enfoncer sa grosse bitte plus loin en elle. Carole voyait le sperme refluer autour de son sphincter énormément dilaté, de grosses coulées de foutre allaient engluer la verge de Pierre, qui lui renfonçait tout dans le vagin d'une poussée énergique !
Pierre avait craché en même temps que Harold ! Carole récupérait leur semence par de rapides petits coups de langue, nous étirant encore les couilles pour les vider complètement. Un flot se foutre sortit de Laure quand Harold sortit de son anus.

- Oh Harold, tu as fais cela comme un Dieu ! Deux hommes ensemble ! que c'est bon !

Harold regardait sa verge, des filets de sperme en coulaient encore.
Son anus serrait, encore sous la défonce de Pierre.
Mais il ne regrettait pas cette expérience ! La prochaine fois, ce serait sans doute au tour de Pierre.
L'expérience d'Amsterdam lui avait mieux fait connaître sa femme et Laure, mais jamais il n'avait imaginé qu'elles puissent se comporter de cette façon.
Ce n'était pas pour lui déplaire, bien au contraire.
Carole n'avait pas encore joui.
Il allait s'en occuper de sa petite femme ! Et devant les deux autres !
Abaissant la tête, il enfouit sa verge dans l'anus de Laure, repoussant le mince filet de sperme qui s'en écoulait encore !


ooOOoo