Les meilleures vacances de Pâques de ma vie (part 1)

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Proposée le 3/05/2011 par Flo

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Mon histoire commence vers la fin des vacances d'avril, le dernier jeudi précisément. Je dois préciser qu'à l'époque de cette histoire je n'ai que 13 ans, et je garde secret mon âge actuel. Je me baignais dans la piscine municipale, quand je vis arriver la fille que j'aimais. Elle avait mis un bikini bleu. On voyait ses tétons durcis par le froid pointer à travers le tissu de son haut de bikini. Sitôt, je me mis à bander. Heureusement pour moi, je ne bandais pas très fort, alors ma queue n'arrivait pas à déformer mon short de bain. Je me trouvais à ce moment dans le grand bassin. A ma grande surprise, elle y descendit elle aussi, et vint me faire la bise. Puis elle s'éloigna, pour aller faire quelques longueurs avec ses copines. Je restai là, béat. Je mis mes lunettes de plongée, et plongeai sous l'eau. Je la vis, à une dizaine de mètres de moi, nager la brasse. Lorsque ses jambes s'écartaient, j'avais une vue bien dégagée sur son entrejambe. J'entrapercevais ses lèvres qui se dessinaient au travers de son slip, et quelques poils pubiens. Je me mis à bander encore plus fort, et cette fois, mon vit déforma brusquement mon short de bain. Inexorablement, ma main passait sous l'élastique de mon short pour saisir ma queue et me branler, mais ma conscience me retint. Je fis semblant de développer mon apnée (ce qui était vrai à la base). C'est à ce moment que Julie (c'est ainsi qu'elle s'appelle), revint vers moi et entama une discussion très animée à propos du dernier RPG. La discussion dura plus d'un quart d'heure, quand Julie changea de sujet.

- Tu sais' J'ai souvent rêvé de toi ces temps-ci?

Sitôt ces mots dit, elle plongea sa main vers mon short de bain. Elle passa sa main sous l'élastique, et ses fins doigts s'enroulèrent autour de mon pénis, gorgé de plaisir. Elle commença à me branler. Je me mis à vibrer. Je craignais qu'un baigneur nous aperçoive, mais tel n'en fut pas le cas. Sa main commença à accélérer le divin va-et-vient sur mon vit. Elle semblait y prendre du plaisir. Soudain, une idée me vint à l'esprit : Si elle me branlait, pourquoi ne pourrais-je pas la doigter ? Je glissa ma main vers son slip brésilien, et passa en dessous sans aucun problème. Je sentis sa douce toison surmontant son mont de Vénus, et mes doigts s'y perdirent un instant, mais ils retrouvèrent vite leur route vers le clitoris de Julie. Lorsque ma main y arriva, je la sentis s'égarer, le rythme de sa main devint irrégulier. Sans m'en soucier, je lui caressai le clitoris. Elle commença à gémir. Mes doigts descendirent vers sa fente intime, qui se dilatait légèrement. J'y introduisis un doigt. Elle gémit encore plus fort. Je ressortis mon doigt de son secret et je retournai à son clitoris qui réclamait les caresses de ma main. A ce moment même, je sentis mon foutre arriver et j'arrêtai sitôt de doigter Julie afin d'ôter sa main de mon phallus. Juste à temps pour éviter l'orgasme. Je m'extirpai du grand bassin pour aller squatter le petit, qui était désert. Les maîtres nageurs étaient partis manger et le seul qui restait discutait derrière le grand bassin. Julie ne tarda pas à me suivre. Elle fit tomber mon short, libérant ainsi mon vit. Mais je remis aussitôt mon short, tout en lui intimant :

- On va se servir des douches, c'est plus pratique !
- D'accord.

Nous sortîmes du petit bassin, et nous prîmes la direction des douches. Il y avait une cabine fermée pour les handicapés. Nous entrâmes dans cette cabine, Julie eut tôt fait d'ôter son soutien-gorge, délivrant au passage une belle poitrine quoiqu'un peu juvénile en raison de ses 14 ans. Elle retira aussi son slip, la laissant nue à mon regard. J'examinai son jardin secret. Elle ne se rasait pas, ce qui me plut tout de suite (en effet, j'ai horreur des femmes qui se rasent intégralement le pubis). Son mont de Vénus était couvert d'une touffe aplatie par l'eau. Je vis que cette toison ne descendait pas autour de ses lèvres.
C'est parce que je ne me rase que là, m'expliqua-t-elle.
Je me précipitai de sortir ma queue de sa geôle de tissu. Une fois le short tombé, mon vit put exprimer la force de son désir. Il mesurait à peu près 12 centimètres en érection. Julie s'agenouilla, et, sans prévenir, elle me suça. Ce la première fellation qu'on me prodigua. Elle était vierge, mais s'y prenait tellement bien que je ne mis guère de temps à sentir mes testicules envoyer la semence divine vers la prostate.
Recule-toi, je vais éjaculer ! La prévint-je.
Elle ne réagit point. Il faut dire aussi que mon pénis entier était dans sa bouche à ce moment. Elle mit sa bouche à hauteur de mon gland. Je sentis l'orgasme arriver. Le sperme gicla sur son visage, dans ses cheveux et surtout dans sa bouche. Elle avala ma semence. J'eus crut que cela la dégoûterait, mais elle aimait sentir mon sperme chaud sur sa langue, et elle ramassa les autres jets pour les avaler eux aussi.
Allonge-toi, moi aussi je peux te faire prendre du plaisir avec ma bouche, lui dis-je.
Si tu veux, mais dépêche-toi !
Elle s'allongea, et je lui fit signe d'écarter les jambes. Je me mit la tête entre ses jambes, et commença un cunnilingus. Elle se cambra assez rapidement, en émettant des couinements de plaisir. Je baladais ma langue tantôt sur son clitoris, tantôt sur sa vulve. Je m'en servais aussi pour la pénétré superficiellement. Une fois qu'elle eut joui, elle se releva, moi aussi d'ailleurs.

- Viens' Fais-moi l'amour, me chuchota-t-elle.
- Tu es sûre ? Je pourrais te mettre enceinte en faisant ça, tu sais ?
- Je sais, mais prends-moi, s'il te plaît'

Je la mis contre le mur et pris ma queue avec une main. Je la guidai vers son jardin secret. La pénétration commença, mais d'une je trouvai cette position inconfortable, et de deux elle n'était pas pratique pour le dépucelage. Je lui dis de s'allonger et de relever les jambes, elle s'exécuta. Je la pénétrai doucement, et j'eus du mal à vaincre sa virginité. Mais ce ne fut pas un mur insurmontable, et bientôt je pus la pénétrer entièrement. J'accélérai le va-et-vient. Elle était secouée et je me plaisait à regarder ses seins remuer. Puis je me penchai afin de voir mon pénis la pénétrer. Cette vision accéléra ma jouissance. Elle commença à jouir la première. Elle se mit à hurler de plaisir, et pour la faire taire, je l'embrassai sur la bouche. Nous jouîmes ainsi enlacés. Au moment où j'allais éjaculer, je me retirai pour décharger sur son corps, mais elle me ceinturait de ses jambes et je fut forcé à rester en elle. J'éjaculai avec force, et elle parvint à me dire entre deux baisers qu'elle aimait sentir ma queue en elle. Je me retira après l'éjaculation, et je m'allongea à côté d'elle, essoufflé.

A suivre...