La Soubrette et le Ministre en suppléments !

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Proposée le 29/04/2011 par UNPEUPLIER

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- Code 4561*, 4ème gauche, vous verrez, il y a une étoile dorée sur la porte.

C'est cette même voix froide, impersonnelle, qui m'avait renseigné au téléphone le matin même.

Divorcé, sans compagne en ce moment, mes rêves devenant de plus en plus érotiques et mes pensées de plus en plus libidineuses, il me fallait une relation physique forte pour ne pas sombrer dans la mélancolie masturbatoire. J'épluchais donc les diverses annonces allant du Nouvel Observateur où les annonces tendancieuses trouvaient toujours moyen de se faufiler, à Internet, où une jeune femme se disant indépendante, très BCBG, affichait une série de photos glamour, plus qu'érotiques, le visage volontairement peu définissable, mais la silhouette parfaite et la chevelure brune et pas trop longue. Le tarif horaire n'était pas donné, le quartier annoncé cossu, on pouvait espérer une rencontre haut de gamme.

Un coup de téléphone en fin de matinée me mit en relation avec cette voix un peu réfrigérante, me confirmant que j'étais bien chez Catherine. Puis elle me demanda si j'étais d'accord sur le tarif horaire affiché sur internet. Je me permis alors de demander si les photos du site étaient authentiques, la réponse indignée fut catégoriquement positive. J'eus presque honte d'avoir posé la question. On se mit d'accord pour 16 H et elle me donna l'adresse sur une avenue huppée menant à l'Etoile, en me conseillant de rappeler, quelques minutes avant l'heure du rendez-vous pour obtenir le code et l'étage. Le tout avec le ton d'une secrétaire de notaire. Mais l'aspect de la demoiselle sur les photos me permit de compenser la froideur de l'accueil.

A 15h59, je tapai le code et j'ouvrai la porte massive en bois vernis de cet immeuble bourgeois post-haussmannien aux 7 étages surplombant l'avenue. Pénétrant dans le hall, j'avisais la cage d'escalier entourant un ascenseur un peu rétro qui avait changé sa grille ancienne, contre une porte métallique. Elle jurait dans ce décor un peu suranné. La cabine arrivait justement au rez-de-chaussée. La porte s'ouvrit sur une petite dame âgée, très élégante qui m'adressa un grand sourire.

- Vous montez à quel étage ? Me demanda-t-elle.

- Au 4ème répondis-je, n'ayant pas le temps d'improviser une autre réponse, mais je pensai aussitôt qu'elle allait se douter du but de ma visite. Je rougis violemment. Heureusement l'escalier était dans la pénombre.

- Je vous souhaite une bonne fin d'après-midi, ajouta-t-elle gentiment ou ironiquement, rien n'était moins sûr.

A 16h01, je suis dans l'ascenseur, mon c'ur s'accélère. La cabine s'arrête. J'ouvre la porte. Sur le palier du 4ème une porte me fait face, une autre est à gauche. Sur le panneau bien verni, brille une étoile dorée. La sonnette est à droite, pas la moindre indication de nom. Sous l'étoile, un oeilleton me nargue. Je sonne. Aucun bruit. Je devine l'oeil qui me scrute de l'autre côté de la porte. Dix secondes interminables. J'évite de prendre un air idiot, mais l'image déformée du judas n'est sûrement pas à mon avantage. La porte s'entrouvre, et apparaît une femme, probablement d'environ 35 ou 40 ans, aux cheveux blonds tirés en chignon, au visage non maquillé, sévère, impassible, à la robe noire de servante, avec col et manchettes blanches et petit tabler tout aussi blanc. Sa voix est celle du téléphone.

- Vous êtes Jean ?

C'est le prénom que j'avais indiqué le matin même. J'acquiesce. J'hésite à lui demander si elle ou n'est pas Catherine, de peur de la vexer. Elle est sans doute habituée à ces interrogations. Elle précède ma question.
- Mademoiselle Catherine va venir vous voir dans quelques instants.

Ouf, je respire, non pas qu'elle soit vraiment laide, mais son ton glacial refroidirait même un marin entrant au port après trois mois de mer.

J'examine l'entrée, meublée d'une console et d'une commode Empire, de quelques chaises entourant un tapis d'Orient de bonne taille. Quatre portes permettent d'accéder aux autres pièces de l'appartement, mais elles sont closes. Je perçois quelques chuchotements. Enfin, une des portes s'ouvre et Catherine apparaît enfin.

Elle est encore bien plus belle que sur les photos. Pas très grande, mince, moulée dans une robe marron, qui accentue son léger bronzage. La robe lui colle à la peau. Nulle trace de sous-vêtement, elle est sûrement nue en dessous. Les jambes et les bras sont découverts. Ses pieds sont chaussés de mules à petit talons, les ongles sont parfaitement limés et vernis.

Le visage est ravissant, souriant, les yeux noirs étincellent. Un petit collier en or garnit son cou, un bracelet assorti orne son poignet droit. Pas de montre à gauche. C'est bon signe, elle n'est pas fanatique du chronomètre. Les cheveux presque noirs encadrent son visage, ils sont mi-longs, épais comme ceux d'une asiatique. En fait, en la regardant un peu plus, je suis à peu près sûr qu'un de ses parents ou grand parents vient d'Extrême-Orient, d'où cette chevelure et cette finesse des traits. Je suis subjugué.

Elle s'approche de moi, me tend ses lèvres et dépose un léger baiser sur ma joue. Son parfum est sublime. Elle me sourit.

- Bonjour Jean, bienvenue chez moi. Irène, et elle désigne la soubrette aux allures de dragon, va te conduire. Si tu veux bien, elle encaissera ce qui est convenu et nous n'aurons plus à en parler. A tout de suite, ajoute-t-elle en me coulant un regard débordant de promesses.

J'avale ma salive, balbutie un vague OK et la regarde avec regret quitter la pièce, sachant toutefois qu'elle me reviendra bientôt. Tout au moins, je l'espère.

Irène me ramène à la réalité avec sa voix réfrigérante et son impassibilité.

- Je vais vous demander 500 euros comme convenu, Monsieur Jean. C'est net, tous les services de la maison sont compris.

Elle me soulage de mes 10 billets de 50, me fait l'honneur de ne pas les recompter et les enfouit prestement dans la poche de son petit tablier. Je suis un peu surpris et m'interroge sur cette allusion aux services de la maison.

- Suivez-moi, s'il vous plaît. Je vous ai préparé un bain. Mademoiselle est très à cheval sur l'hygiène de ses « invités ». Vous verrez, la baignoire est très confortable.

Disant cela, elle me précède dans une des quatre pièces qui s'ouvre sur l'entrée. Il s'agit d'une vaste chambre, avec deux fenêtres donnant sur l'avenue. La lumière du jour est tamisée par un voilage assez épais. Au centre s'étend un lit très large aux draps violets et aux coussins épais. Quelques meubles de bonne facture complètent l'ensemble. A droite de la porte que nous empruntons, un coin salle de bain, au sol carrelé, contrastant avec la moquette du reste de la chambre. Lavabo, glaces et menus flacons. Serviettes épaisses empilées sur une étagère. Et surtout une vaste baignoire où finit de couler une eau fumante sur une couche de mousse onctueuse.

- Il y a des jets latéraux. C'est une sorte de jacuzzi, me précise Irène qui vient tâter l'eau. Elle est chaude comme il faut me dit-elle. Vous pouvez poser vos affaires là, me désignant un fauteuil. Entrez dans l'eau, je reviens.

Je me déshabille, vérifie que Irène a bien quitté la pièce avant de me retrouver nu et je plonge dans la baignoire avec le plaisir de sentir l'eau chaude qui m'entoure. J'ai à peine le temps de fermer les paupières pour apprécier cette douce chaleur que Irène revient et avec son ton inimitable, m'annonce qu'elle va mettre en route le jacuzzi.

Elle s'affaire donc sur des robinets supplémentaires et je sens la caresse vigoureuse des jets latéraux. Ceci a pour effet de bousculer la mousse qui recouvrait mon intimité et Irène a une vue plongeante sur celle-ci qui flotte entre deux eaux. Puis elle se dirige vers les fenêtres, ferme les rideaux et allume quelques lumières douces qui accentuent l'intimité de la pièce. Elle revient ensuite vers moi et me commande :

- Si vous voulez bien vous mettre debout, je vais vous savonner.

- C'est-à-dire, que je peux le faire moi-même, souligne-je.

- Non, non, Mademoiselle Catherine tient à ce que je m'en charge, elle est un peu exigeante là-dessus. Ne craignez rien, j'ai l'habitude. Allez, mettez-vous debout.

Que faire ? J'obéis, me redresse doucement et lui présente mon dos. Elle monte sur une petite estrade au bord de la baignoire, enduit une grosse éponge de mousse et commence à me savonner le dos, les bras, les fesses, les cuisses, ce qui est loin d'être désagréable, il faut l'avouer.

- Écartez un peu les jambes dit-elle.

Et elle remonte son éponge entre mes cuisses, effleurant mes bourses, passant et repassant sur l'anus et entre mes fesses. Que pouvait-il m'arriver ? Bien-sûr une érection bien solide. Irène me demande à ce moment-là de me retourner. Sans remarque particulière, elle me savonne le thorax, le ventre, les cuisses, prenant soin d'éviter tout contact avec ma virilité qui occupe pourtant le terrain. Elle descend sur mes chevilles, me demande de sortir de l'eau un pied, puis l'autre. Penchée, son visage impassible effleure l'extrémité de mon gland qui oscille avec les battements précipités de mon c'ur.

Puis, elle remonte le long de mes jambes, se saisit à pleine main gauche mon sexe dur comme du béton et le savonne à l'éponge de sa main droite, complétant la toilette de mes bourses en feu. D'une main experte, elle vérifie en massant ma verge l'absence d'écoulement suspect, mais n'insiste pas sentant que je n'étais pas loin de verser en son honneur les gouttes précieuses que je réservais à sa maîtresse.

- Vous pouvez vous rincer, me dit-elle en me présentant une douchette qu'elle alimente en eau bien chaude. Et elle ajoute, désignant mon sexe du doigt, sans l'ombre d'une émotion dans la voix, je pense que vous plairez beaucoup à Mademoiselle.

Quittant la pièce un instant par une porte dérobée, elle revient avec un peignoir de bain chaud, m'invite à sortir de l'eau et m'en enveloppe. Je commence alors à comprendre ce que sont les services de la maison. Je suis aux anges. Irène vide la baignoire et me dit :

- Séchez vous bien et installez vous sur le lit, Mademoiselle Catherine va arriver.

Puis elle me laisse seul, mais pour peu de temps. Catherine entre dans la pièce, le sourire aux lèvres, déclarant :

- Irène m'a dit que tu avais apprécié le bain et qu'elle a failli recevoir tes hommages. Elle est incorrigible et pourtant elle essaie d'éviter toute familiarité, comme tu l'as vu. Tu sais, j'ai pris pendant quelque temps, en intérim, un valet de chambre pour la même fonction. Eh bien une bonne moitié de mes invités bandaient comme des ânes pendant la toilette et deux ou trois ont même éjaculé sous l'éponge de mon valet. Je n'en revenais pas. Eux non plus d'ailleurs.

- Oui, c'est bizarre murmurai-je bêtement, me demandant quelle aurait été ma réaction.

- Bien, enlève ton peignoir et viens t'allonger.

En disant cela, Catherine se débarrassa de sa robe qui était, comme je l'imaginais son seul vêtement. Comme prévu, son corps était parfait, sa peau lisse, sans un défaut. Les seins de taille moyenne, fermes et bien plantés. Le ventre plat, le minou rasé depuis quelques jours laissait tout deviner et les poils ras de 2 mm amenait du piquant au toucher. Les fesses étaient rondes, musclés, comme peintes par un artiste. Tout était l'absolue perfection des formes.

Je m'allongeai sur le lit. Elle se colla à moi, après nous avoir recouvert de la légère couette.

- Réchauffons-nous, dit-elle.

J'étais brûlant. Elle m'embrassa la poitrine, le cou, les joues, descendit ses lèvres sur les miennes, me les desserra de sa langue musclée et me fit profiter d'un baiser de cinéma long et délectable. Sa main, pendant ce temps jouait avec la pointe de mes seins, puis descendit lentement jusqu'à mon ventre où elle rencontra l'extrémité de ma verge, qu'elle effleura si légèrement avant de me happer le sexe à sa base effectuant un va et vient lent on ne peut plus excitant.

- Tu sens très bon.

- C'est le bain moussant qui m'a parfumé.

- Pas seulement, ton eau de toilette est aussi présente. J'aime.

- Ton parfum est aussi délicieux. Et je humais sa peau et ses cheveux soules et brillants.

Puis sa bouche quitta mon cou, et elle se coula le long de mon corps avec une lenteur insupportable. Il lui fallut plusieurs minutes pour atteindre ma bite qu'elle prit dans la bouche pour une fellation d'anthologie. En même temps chacune de ses mains me pinçait un mamelon, décuplant mon plaisir. Les yeux fermés, je savourais chaque seconde d'un plaisir intense, mais sentant que je ne tiendrais plus longtemps, je lui demandai de stopper un peu le jeu pour me laisser souffler.

Je cherchai alors à agripper son corps qui avait glissé vers le fond de la couche. Elle maintenait sa bouche sur mon sexe, mais revenait mettre à portée de ma main son dos, ses fesses rondes et fermes. Je l'insinuai entre ses cuisses, effleurant son sexe chaud. Je palpais son bouton, passais mon doigt entre ses lèvres intimes et moites. Mon insistance à rapprocher le bas de son corps de mon visage, fut couronnée de succès. Elle plaça ses cuisses de part et d'autre de mon visage et j'eus une vision sublime de son minou, de ses petites lèvres, de son clitoris tendu. Je l'attirai vers ma bouche et savourai alors avec délectation cette grotte délicieusement parfumée, mélange de son odeur naturelle, de son savon et de son eau de toilette. J'aspirais goulûment ses chairs les plus tendres. Je plongeais ma langue au plus profond de son intimité, je variais les mouvements de mes lèvres et de ma langue, tentant de lui procurer un maximum de plaisir, tout en prenant le mien dans ce cunnilingus de rêve. J'avais sous les yeux ses fesses somptueuses et son petit anus en étoile.

Sa bouche devenant plus paresseuse sur ma verge, je sentis qu'elle pensait à ce moment là, plus à son plaisir qu'au mien, ce qui n'était pas pour me déplaire. En effet, elle déclara, glissant à mes côtés et rompant la posture.

- J'aime beaucoup comme tu me suces. Mais tu vas faire mieux, du moins à mon goût.

Et, sans me donner le temps de m'interroger, elle se remit à califourchon sur moi, tournée cette fois vers la tête du lit et après me l'avoir fait admiré à nouveau, elle posa son sexe sur mon visage et commença des mouvements d'avant en arrière frottant son minou, sur ma bouche, m'écrasant, m'étouffant parfois pendant de longues secondes. J'ouvrais la bouche, tendant ma langue, aspirant de mes lèvres frémissantes ses douceurs intimes.


- C'est trop bon, comme tu me suces, dit-elle. J'adore, mais je ne t'oublie pas.

Catherine dut alors appuyer sur une sonnette, à moins que le scénario soit déjà rodé. Toujours est-il que j'entendis soudain la voix d'Irène que je ne pouvais voir, le visage occulté par le corps de sa maîtresse :

- Je suis là Madame.

- Parfait. Tu vois mon invité (euphémisme) me fait le plus grand bien, mais il se sent un peu seul au niveau de sa queue. A toi de t'en occuper.

- Bien Madame.

Et pendant que Catherine, se frottait de plus belle sur mon visage, je sentis bientôt une main fraîche, m'effleurer le bout du gland, puis se saisir de ma bite à pleine main et commencer un lent va et vient particulièrement agréable. Cela dura bien quelques minutes, où je luttais pour ne pas éjaculer trop vite, et où je gobais le con et le cul de mon hôtesse avec une ardeur renforcée.

- Bien Irène, suce-le aussi un peu, il a une queue très agréable. Et depuis que tu t'en occupes, il me lèche de mieux en mieux.

Aussitôt dit, aussitôt réalisé. Je sentis bientôt la bouche d'Irène s'emparer de ma verge et me sucer, lécher, mordiller avec une science parfaite de ces choses-là. Je me déchaînais alors dans ma tâche au point de sentir la jouissance de Catherine qui pesant de tout son poids sur moi, se cambrait et haletait, tandis que je buvais, comme je pouvais, les humeurs de son plaisir. Momentanément, fourbue, elle roula sur le côté, dévoilant ainsi une Irène nouvelle, ayant quitté sa tenue de soubrette, vêtue d'un simple soutien-gorge, mettant en valeur ses seins pigeonnants, totalement nue par ailleurs. Le chignon restait de mise, mais le visage légèrement souriant, elle me regardait, les lèvres immobilisées sur mon gland. Rapidement Catherine, reprit la direction des opérations.

- Tu as su te retenir, pourtant Irène est redoutable. Tu as bien fait, car nous allons maintenant nous occuper exclusivement de toi.

Elle poussa légèrement Irène, s'installa à nouveau sur moi, et demanda à Irène de présenter, puis d'enfoncer doucement ma bite dans son con parfaitement glissant, après l'avoir si discrètement coiffé d'un préservatif que j'ai failli ne pas m'en rendre compte. Puis elle indiqua mon visage à Irène, qui vint, elle aussi, s'installer, assise sur mon visage.

- Rends lui ce service, elle s'est bien occupée de toi, et je sais qu'elle adore. En même temps tu vas me lâcher ton foutre, comme tu ne l'as jamais fait.

Irène était tout aussi délicieuse à manger que sa maîtresse, et je m'activais sur elle. Avant qu'elle ne se colle sur ma bouche, j'avais aperçu des petites lèvres saillantes, un peu pendantes, que l'on pouvait mordiller, faire rouler entre ses lèvres, pincer et flatter de la langue. Le clitoris, bien dur, était un peu plus développé, une véritable petite bite, toute petite, mais amusante et savoureuse à sucer.

Et pendant que je prenais plaisir à faire du bien à cette chère Irène, Catherine, savait exercer sur ma queue, tout son talent, non seulement par de doux va et vient, mais aussi en contractant les parois de son vagin, serrant et desserrant la pression à volonté. Elle titillait parfois mes mamelons hypersensibles. Mon plaisir était à son comble. Irène était dans le même état. Nous jouîmes ensemble et pendant que mon sperme s'épanchait dans la chaleur de Catherine, Irène haletait m'écrasant le visage, puis se calmant, se dégagea et se pencha pour poser rapidement ses lèvres sur les miennes, recouvertes de sa cyprine, puis s'effondra à mes côtés. Catherine s'étendit sur mon corps assez pantelant. Elle chercha ma bouche, attira le visage d'Irène et nous pûmes mélanger nos 3 langues et nos six lèvres pour sceller cette union réussie.

Puis Irène nous quitta en s'excusant pour reprendre son travail un peu interrompu.

Catherine restée à mes côtés, lovée contre moi, se mit à me parler de tout et de rien, du temps et des faits-divers, puis jouant distraitement avec mon pénis moins fringant commença à m'interroger sur mes goûts sexuels. Je confirmai s'il en était besoin, que j'aimais donner du plaisir aux femmes, que j'aimais les sucer, comme j'aimais les fellations. Sur sa demande, je lui avouais que la sodomie active, quoique très « tendance », ne me faisait pas fantasmer. Que la sodomie passive ne m'était pas agréable, ma seule expérience ayant eu lieu avec une amie qui voulait absolument se servir de son gode ceinture et qui malgré sa douceur ne m'avait pas convaincue de la chose.

Puis elle me demanda si j'avais essayé avec d'autres hommes. Je lui racontai mes deux ou trois expériences de branlette réciproque entre jeunes adolescents en colonie de vacances, qui sans avoir été de désagréables souvenirs avaient cédé la place aux contacts plus plaisants avec la gent féminine.

- Et si tu te faisais sucer par un homme, serais-tu dégoûté ?

Surpris je restais un moment sans pouvoir donner de réponse. Puis après réflexion, je répondis :

- Si le type suce bien, il n'y a peut-être pas trop de différence qu'avec une femme, même si psychologiquement, ce n'est tout de même pas pareil. Quand à la réciproque, je ne me vois pas prendre du plaisir à sucer une bite.

- Oh, je ne te demande pas ça, me dit-elle, tout en s'activant un peu plus sur ma verge, histoire de me remettre en condition.

- Heureusement. Mais pourquoi toutes ces questions ?

- Voilà, il y a dans mon autre chambre, un monsieur, qui vient assez souvent me voir. C'est un homme politique, député, ancien ministre ou sous-ministre, qui vient me voir pour des petites séances de domination soft, disons plutôt des humiliations, qui doivent l'équilibrer, alors que dans son boulot, beaucoup le craignent. Par exemple, depuis que tu es arrivé, je lui ai ordonné de rester, complètement nu, à genoux, les mains attachées derrière le dos, sans bouger à m'attendre. Il aime ça.

- Bizarre, tout de même. Et alors ?

- Un de ses fantasmes, qu'il ne peut pas réaliser seul, est de sucer une queue sur mon ordre. Ce n'est pas un homo habituel, je pense qu'il n'a jamais osé quoique ce soit avec un partenaire masculin. Mais il en a envie. Donc, il se sent moins honteux en le réalisant quand on le force. Je n'arrive pas souvent à le satisfaire, parce qu'il faut trouver quelqu'un de présent en même temps que lui et qui veuille bien lui rendre ce service et à moi aussi, puisqu'il me donne un supplément pour cela. Qu'est-ce que tu en penses ?

- Moi, écoute, je ne sais pas trop, la demande est inhabituelle. Ce n'est pas trop mon truc. Et puis comment est-il ?

- Normal, une cinquantaine bien entretenue. Plutôt bel homme, pas ventripotent. Il est très propre et Irène l'a lavé, comme tu t'en doutes. Si tu acceptes, il sera cagoulé et toi aussi, si tu le souhaites.

- Hem. Vraiment, c'est une drôle de demande, je ne sais pas trop si je vais accepter.

- Moi je sais, depuis que je t'en ai parlé, j'ai senti ta queue grandir et grossir dans mes doigts. Regarde comme tu bandes à nouveau. Allez, fais lui ce plaisir. Tu verras, tu ne le regretteras pas.

- Si je bande, c'est parce que je suis contre toi, ma queue entre tes doigts, dis-je hypocritement, car, en fait, la situation avait fini par m'intriguer et m'exciter quelque peu. Soit, je veux bien, mais je ne garantis rien.

- Parfait me dit-elle. Je vais le lui dire. Ne bouge pas, Irène va venir te chercher.

Je n'eus pas le temps de trop réfléchir au déroulement imprévu de cette rencontre avec Catherine et ses fantaisies inhabituelles, car Irène, vêtue de nouveau de sa tenue sobre et noire de soubrette impassible entrait dans la chambre.

- Si Monsieur veut se bien se lever et me suivre, nous ferons une petite toilette. Je m'occuperai de vos vêtements.

Dompté, je me lève et la suit. Elle me saisit par la queue, comme elle tiendrait la main d'un enfant et m'entraîne dans une petite pièce attenante, cabinet de toilette confortable avec douche, lavabo et bidet entourés de glaces.

- Asseyez vous sur le bidet, face à moi, dit-elle. Je pense que vous voudrez prendre une douche avant de nous quitter.

Elle ouvre l'eau pour remplir le bidet. Je m'installe. Elle s'assied sur un petit tabouret, prend un peu de savon liquide sur ses mains, et après avoir arrosé d'eau chaude mes parties génitales, les caresse avec application et douceur les enduisant d'une mousse onctueuse. Elle passe et repasse sur ma bite, tourne autour de mes couilles, s'infiltre derrière elle, allant du bout des doigts masser l'anus, tout cela avec la froideur d'une professionnelle, contrastant avec la partenaire lubrique qui frottait son sexe sur mon visage il y avait moins de 15 minutes. Bien entendu je continue à bander de plus belle et me retiens pour ne pas exploser sous ses doigts. Appréciant ma fermeté, elle se permet simplement de dire,

- Madame a eu raison de vous faire confiance. Vous verrez, elle saura vous mettre à l'aise et Monsieur le Ministre est un très agréable suceur.

Puis elle me rince, me fait se relever, me sèche avec application avec une serviette fort douce et complète avec un sèche cheveu qui m'envoie un très agréable souffle d'air chaud sur mes zones les plus sensibles. Malgré son air toujours aussi austère, elle dépose un furtif baiser sur mon gland qui la nargue. Ma queue, tel un métronome, bat la mesure au rythme de mon c'ur. Ce n'est pas Andante, mais Allegro, voire Presto !

Elle entr'ouvre discrètement une deuxième porte dont l'existence m'avait échappée, glisse un oeil et me confirme qu'on peut entrer. Avant de franchir la porte, elle prend dans une petite armoire un petit linge blanc qu'elle déplie. C'est une cagoule en maille fine, qui me couvre complètement la tête, à l'exception des yeux et de la bouche.

Dans une deuxième grande chambre, meublée dans un autre style que la « mienne », mais où le grand lit, la baignoire jacuzzi, les miroirs, les sièges, une commode, les tapis et des coussins épais permettent d'y passer d'agréables moments, nous retrouvons Catherine, vêtue de sa robe noire, moulante collée comme une seconde peau et son ministre.

Celui-ci est toujours agenouillé dans un coin de la pièce, regardant le mur. Sur son visage, la même cagoule que la mienne. Il est nu, le corps un peu bronzé avec la trace du maillot. Sans être maigre, il n'est pas très gros et semble bien musclé. Il doit pratiquer d'autres sports quand il n'est pas avec Catherine. Celle-ci lui parle à l'oreille et nous regarde entrer dans la chambre. Elle l'autorise sans doute à se lever, puisque qu'il se redresse et se retourne pour nous voir. Il est assez grand et effectivement bien bâti. Il bande indiscutablement, offrant au regard une bite bien droite de bon calibre au gland épais. Il me salue de la tête, mais ne prononce pas un mot. Je reste donc également silencieux tout en hochant la tête, un peu gêné. Je me félicite d'être cagoulé.

Catherine prend, si l'on peut dire les choses en main. Elle fait signe à Irène qu'elle peut sortir. Puis, elle enlève sa robe et chacun de notre côté admire sa merveilleuse silhouette, ses seins haut placés, son ventre plat, son minou rasé et ses fesses rebondies qui balancent pendant qu'elle exécute quelques pas autour de nous.

- Jean, me dit-elle, je vois qu'Irène t'a bien mis en condition. Qu'en penses-tu ? demande-t-elle au ministre.

- Très bien, marmonne-t-il pour ne pas dévoiler sa voix.

- Installe toi sur le lit et écarte les jambes, me précise-t-elle.

Je m'exécute. Le ministre vient se placer à quatre pattes entre mes jambes. Catherine, vient se placer à nos côtés. Il regarde d'abord longuement ma bite, puis la prend doucement dans sa main, la caresse du bout des doigts depuis le filet du gland, jusqu'à la base des couilles. Je me sens terriblement excité. Il approche ensuite sa bouche, souffle son haleine chaude, puis lentement pose ses lèvres et appliques une série de baisers sur toute sa longueur. J'ai du mal à tenir. Catherine s'en aperçoit et le fait stopper. Elle le fait se redresser, et vient lui sucer sa bite bien érigée. Elle le mord un peu pour calmer son ardeur. Il gémit, mais ne se plaint pas. Même si je m'aperçois qu'une goutte de liquide clair sort de mon méat témoignant de l'intensité de mon excitation, je suis un peu calmé. Mon partenaire s'en aperçoit aussi, il repousse légèrement Catherine et se penche à nouveau pour lécher cette goutte avec gourmandise.

Puis il reprend sur moi sa fellation particulièrement active et impeccable, témoignant d'un savoir-faire technique indiscutable. Catherine ne reste pas inactive. D'une main, elle branle Monsieur le ministre, l'autre est posée sur ma poitrine et me pince un mamelon ce qui a le pouvoir d'augmenter mon plaisir, tout en retardant l'orgasme que je sens proche en raison de la douleur.

Mais lorsque mon suceur, à l'action de ses lèvres et de sa langue, associe sa main qui serre fort ma queue tout en la branlant de plus en plus vite, je ne peux plus résister. Je gémis, je m'arc-boute sur le lit, tendant ma bite au fond de sa gorge, et je sens mon sperme exploser, tandis que sa bouche complice, le reçoit avec contentement, l'aspire avec une volupté non dissimulée et finira par l'avaler. De sa langue douce comme du velours, il lèche ma queue du haut en bas et sur tout son pourtour, sachant qu'à ce moment tout geste brusque devient douloureux. Puis il la reprend dans sa bouche, la garde bien au chaud, sans bouger, jusqu'à ce que peu à peu, elle se détende et ramollisse. Je suis dans un bien-être incomparable et totalement surprenant, d'autant que Catherine s'est penchée sur moi, appliquant ses lèvres soyeuses sur les miennes et caresse de celles-ci et de sa langue ma bouche, mais aussi mes joues, mon cou en me murmurant à l'oreille :

- Tu vois, il est très doux, très efficace. Tu as joui formidablement et de plus il a beaucoup apprécié. Il n'y a rien de mal à prendre son plaisir avec un homme du moment qu'on ne te force pas à faire ce qui te déplait. Tu as été parfait et je te remercie pour lui. Maintenant à lui de prendre son pied. Chacun son tour. Si tu veux participer, il sera très content et tu lui dois bien ça.

- Oui mais je ne suis pas comme lui? Pas question de?

- Non, bien sûr. Nous ne te forçons à rien. Il va me baiser. Je vais me mettre sur lui. Et toi, par exemple, tu prendras sa bite et tu l'enfonceras en moi. Et puis pendant qu'il me baise, tu peux lui caresser les couilles par exemple, c'est pas trop te demander et je sais qu'il va aimer ça.

- OK. D'accord.

- Bien. Mais avant je vais le sucer un peu. Je vais te montrer comment faire une bonne fellation.

Catherine fait allonger notre ministre sur le dos, elle rapproche son visage de son ventre et me fait signe d'en faire autant. Elle saisit entre deux doigts le sexe tendu, le caresse du filet jusqu'à sa base et le rapproche doucement de sa bouche gourmande. Elle commence par passer la pointe de sa langue sur le bout du gland, puis en fait le tour. Je sais qu'à cet instant, notre comparse ne souhaite qu'une chose, enfoncer sa bite profondément dans la bouche de Catherine. Elle le fait languir, aspire une couille, puis l'autre, revient sur la queue et en mordille la peau. Enfin elle ouvre ses lèvres et engloutit 10 cm, puis commence un va et vient enrobé de salive. L'homme se tend, avance son bas-ventre au contact de cette bouche cherchant à y pénétrer au maximum.

Je regarde, médusé, ce spectacle à moins de 20 cm. Catherine sort la queue de notre ministre et la dirige vers moi. Je fais non de la tête. Elle insiste et vient me la coller sur les lèvres. Par réflexe, j'appose les lèvres sur le gland et y dépose un baiser, la bouche bien close. Catherine pousse l'extrémité entre mes lèvres et les force à s'ouvrir. La bite pénètre ma bouche. J'enroule ma langue autour du gland. L'impression n'est pas désagréable, mais je n'éprouve pas d'excitation particulière. Il est vrai que j'ai éjaculé pour la deuxième fois de l'après-midi, il y a moins de 10 minutes. Finalement ma bouche reste assez passive et Catherine reprend l'affaire dans sa bouche, tout en branlant la base avec sa main.

Puis elle se redresse, se met à califourchon sur le ministre, me glisse un préservatif dans la main sortant d'on ne sait où, et me demande d'en coiffer le sexe de notre « partenaire » et de l'introduire dans son con. Je le prends en main, il est chaud, ferme, un peu gluant. Je me surprends à le branler quelques instants. La consistance est agréable. Comme si c'était le mien, je sens que je commence à bander de nouveau. Je frotte les bords du vagin de Catherine avec le gland et je l'enfonce avec douceur au plus profond de son intimité. Comme elle me l'a demandé, je prends, sans les serrer, les testicules en mains et les caresse avec précaution.

Je suis à quatre pattes sur le lit, perpendiculaire au couple. Les mouvements s'accélèrent, la jouissance est proche. A ce moment, une main masculine me saisit la verge qui a bien durci et synchronise sa caresse avec les mouvements du couple. Avec un gémissement profond le ministre jouit dans Catherine qui l'accompagne dans un orgasme réel ou feint, je ne sais. Pour ma part cette masturbation imprévue m'est finalement assez agréable, mais je suis encore incapable de jouir rapidement. Je n'en ai pas encore véritablement envie, mais ces contacts masculins sont-ils en train de me faire apprécier une autre sexualité. Je me dis que sans la présence de Catherine, j'aurais été incapable de me livrer ainsi au plaisir d'un autre homme, mais sait-on jamais ?

Catherine se redresse, elle prend la main du ministre et quitte la pièce en me demandant d'attendre Irène qui va me donner mes vêtements. Je suis ravi de me reposer sur ce lit confortable, je quitte ma cagoule et m'endors quelques minutes. Irène me réveille, me propose de me refaire une petite toilette intime, ce que je ne peux refuser.

Elle en profite pour m'expliquer que l'autre Monsieur s'est rhabillé et est déjà parti pour ne pas risquer d'être reconnu par moi, car il a un poste important. Je m'en moque un peu, mais je comprends qu'il souhaite une telle discrétion. Irène me ramène dans la chambre où étaient restés mes vêtements. Elle pousse le zèle à m'aider à les enfiler, mais refuse le cadeau en espèces que je sors de mon portefeuille. Pour la première fois, elle sourit franchement et me dit :

- Je vous remercie, mais Madame me paie très bien et vous m'avez amplement récompensée tout à l'heure. Ce fut un très bon moment.

Sacrée Irène. En dénouant ses cheveux, avec son sourire qui éclaire son visage, si fermé autrement, et son corps de déesse que j'ai eu le bonheur d'apprécier, elle SERAIT un véritable canon.

On sonne à la porte, Irène me fait,

- Chut. Attendez-moi quelques secondes.

Elle retourne dans l'entrée. J'entends un dialogue à voix basse. Puis la porte s'ouvre. Catherine entre me dire au revoir. Elle porte une tenue de soubrette comme Irène, m'embrasse, me raccompagne à la porte et devant mon air interrogateur,

- En fait, on est associées, Irène et moi, donc à tour de rôle et selon notre invité, nous changeons les rôles. J'espère que tu as été satisfait. Reviens quand tu veux. Je ne garantis pas la présence du ministre. Tant pis pour toi, car j'ai l'impression qu'il te plaisait bien.

Sur ce, elle éclate de rire et me referme sa porte sur le nez.

Je sais déjà que je reviendrai les voir.