L'initiation de Julie.

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Proposée le 5/04/2011 par Ralph Allus

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Chapitre 1
Lorsque cela commença



Julie était en seconde année de faculté de droit lorsqu'elle rencontra Alexandre, elle avait dix-neuf ans. Elle ne fit pas particulièrement attention à lui : il était l'un des jeunes enseignants qui leur faisaient cours en petits groupes de travaux dirigés. Non pas qu'il fut désagréable à regarder ? il était plutôt mignon en fait ? mais simplement parce qu'elle avait trouvé en droit une voie qui la passionnait, et elle s'investissait totalement dans l'apprentissage de ces nouveaux codes et textes de loi. Bref, elle n'était pas disponible à cet instant pour une histoire sentimentale. Il en était bien autrement pour Alexandre, alors âgé de presque trente ans, qui avait réussi un parcours universitaire brillant et sans faute, mais qui n'avait jamais fait tord à sa réputation de "queutard" que lui avait fait ses camarades de promotion dès ses premières années de fac. Il remarqua cette superbe blonde aux yeux marron à la seconde où elle pénétra dans la salle de travaux dirigés où il les accueillait pour la première de leurs vingt séances de TD. Il se réjouit alors, pour la première fois depuis qu'il avait ces fonctions d'enseignement, d'avoir à charge ce groupe deux heures par semaine presque toute l'année. Elle était rayonnante. Son habillement était classique, presque trop peu féminin par rapport à ses goûts habituels, mais il émanait d'elle une grande sensualité. Son visage était fin et ses lèvres généreuses, son corps paraissait parfait sous ses vêtements d'automne pas très près du corps, sa poitrine généreuse lui sembla ferme et délicieusement désirable, et elle avait un joli petit cul bien rond et de longues et fines cuisses dans ce jeans qu'elle portait. Il avait littéralement flashé comme jamais, sans penser à leur différence de dix ans, tellement elle semblait mature parmi ses camarades.

Une année? C'est ce qu'il lui fallut de délicates attentions et de petites remarques pour qu'elle commence enfin à lui accorder un peu d'attention en dehors des instants où elle prenait note de ce qu'il lui enseignait. Et ce fut au cours des derniers jours de l'année universitaire qu'elle lui accorda un premier rendez-vous : Un cinéma et un verre sur une terrasse. Elle ne se doutait pas de l'intensité des sentiments qu'il avait pour elle ; il avait d'ailleurs eu un comportement assez inhabituel au cours des derniers mois, où il ne chercha plus sans cesse de nouvelles conquêtes' Il avait focalisé tous ses efforts pour la séduire elle et elle seule. L'été se passa ainsi en petits rendez-vous et quelques dîners dans de petits restaurants, sans plus' Et lorsque la rentrée universitaire arriva, Alexandre attendait toujours que cette relation platonique évolue un peu, sans vouloir brusquer les choses. Il voulait que ce soit elle qui vienne à lui et non l'inverse. Qu'elle soit amoureuse et demandeuse, pas juste un peu séduite et plutôt consentante. Au cours de l'année écoulée, Alexandre avait pu faire l'inventaire des nombreux avantages anatomiques dont elle avait été dotée, et cela n'avait fait que renforcer sa motivation... Elle était belle à mourir ! Il avait pu la convaincre de féminiser un peu sa garde robe, lui recommandant de porter plus de jupes, moins de baskets et de gros pulls' Il était par ailleurs convaincu qu'avec son caractère déterminé et réfléchi, elle n'avait pas du céder à beaucoup de prétendants jusqu'ici. Elle n'était pas vierge, il le savait, elle avait eu un ou deux copains au lycée, et peut-être une ou deux aventures sans lendemain. A son âge, elle devait avoir encore plein de choses à apprendre? Et chaque fois qu'il s'imaginait avec elle, la perspective de cette fraîcheur quasi virginale l'excitait au plus haut point.

Alors que la rentrée venait d'avoir lieu, il tenta une man'uvre qui fut couronnée de succès et qui consista à lui proposer une soirée autour d'une bonne table, étoilée, au prétexte de fêter ses débuts en licence. Ce dîner, il le prépara assez longtemps à l'avance pour qu'il ait le temps d'accomplir son effet, et l'histoire dépassa toutes ses espérances'

Julie avait déjà décidé qu'elle allait se laisser tenter par cette aventure avec son prof, bien qu'elle se la soit interdite pendant de longs mois. Elle avait bien du se rendre à l'évidence lorsque ses vacances d'été en famille lui parurent trop longues car loin de son prétendant. Lorsqu'elle accepta ce dîner, elle n'était pas certaine des sous-entendus qui l'accompagnaient, car Alexandre s'était montré particulièrement patient en la matière. Pourtant elle avait envie d'aller plus loin avec lui maintenant, elle en était sûre. Elle se prépara doucement à cette belle soirée, ne sachant pas vraiment pourtant si elle allait prendre le devant dans le cas où lui-même n'essaierait pas de la conquérir.

Une soirée pareille avec un homme de dix ans son aîné, au fil des jours, ça l'impressionnait quand même un petit peu, surtout qu'elle n'avait pas vraiment l'habitude des restaurants gastronomiques. Plus que tout elle ne voulait pas avoir l'air d'une gamine que promènerait son grand frère ! Elle s'offrit avec son argent de poche et l'aide de ses parents un joli ensemble noir fait d'une belle jupe assez moulante légèrement évasée à mi-jambe et fendue sur l'avant jusqu'au dessus du genou, d'un chemisier blanc très classique et élégant et d'un petit pull moulant en cachemire. Elle était simplement ravissante dans cet ensemble. Lorsque s'approcha le jour J, elle jugea indispensable d'assortir des dessous à cet ensemble potentiellement sexy, dans l'hypothèse où Alexandre envisagerait d'aller plus loin avec elle ; ceci toujours par crainte de paraître trop jeune et inexpérimentée à ses yeux. Elle n'était pas sûre de vouloir déjà lui céder, sans réaliser que ses achats signifiaient bien évidemment son consentement.

Lorsque ce fameux jour arriva, il passa chez elle pour la chercher, et s'émerveilla ? et se réjouit un peu aussi ? de cette tenue splendide dont elle avait fait l'acquisition sans lui en avoir touché un seul mot. Il se retint de la mater avec trop d'insistance, mais aurait bien voulu déjà arracher tout ce qu'elle portait pour enfin contempler ce corps désiré... Et le posséder?

Le dîner fut excellent, aussi agréable et romantique qu'elle l'avait rêvé, et lorsqu'ils quittèrent le restaurant ils décidèrent de flâner encore un peu en ville. Alexandre était bien plus attentionné et patient qu'il ne l'avait jamais été. Il se réjouissait toujours de ce que sa réputation de dragueur n'ai pas porté préjudice à la relation qui existait déjà entre eux deux... Sans se l'avouer il était vraiment tombé amoureux d'elle. D'un naturel néanmoins peu timide, qui lui avait valu ses nombreuses conquêtes, y compris parmi les étudiantes de la faculté, il se décida à lui prendre la main, qu'elle lui laissa avec la plus grande joie, et le c'ur battant à cent à l'heure à l'idée de cette idylle naissante... et de cette fin de soirée qui s'annonçait désormais. Il ne lui fallu pas beaucoup de temps supplémentaire pour déclarer sa flamme avec verve et sincérité mais sans exagérer, et obtenir un premier échange de volupté sous la forme d'un baiser. Leur promenade dura encore, ponctuée de nombreuses pauses consacrées à se bécoter et se caresser tendrement et avec retenue, jusqu'à ce que Julie commence à avoir froid et qu'il lui propose de la raccompagner, ou de venir passer encore un moment chez lui... Elle n'était pas certaine de faire le meilleur des choix lorsqu'elle accepta la deuxième proposition, craignant de paraître trop "facile", surtout vu son accoutrement, mais elle n'avait pas du tout envie de rentrer seule chez elle.
L'appartement d'Alexandre était aménagé avec goût : Une vraie petite garçonnière toute proprette. Ils ne prirent cependant pas le temps de visiter? Dès la porte fermée, ils abandonnèrent leurs manteaux pour s'enlacer avec fougue. Alexandre entreprit alors avec talent l'examen manuel de ce corps tant désiré. Il était convaincu qu'elle n'allait pas se défiler, qu'ils feraient pour la première fois l'amour dans les instants qui suivraient. Portant ses deux mains progressivement de son dos vers ses fesses, il constata avec le plus grand bonheur l'incroyable fermeté du galbe de son cul, magnifiquement rond et aussi excitant sous ses doigts qu'il avait pu l'être au travers des vêtements dans lesquels il l'avait mâté jusqu'à ce soir. L'absence d'élastique sur le parcours qu'il avait effectué ne passa pas inaperçu, et ce d'autant moins qu'il cherchait à deviner ses dessous' Cette constatation renforça brutalement l'intensité de l'érection qu'il avait déjà : En plus elle portait des sous-vêtements sexys ! Le doute n'était plus permis, c'était sûr qu'elle allait se donner ! Julie perçut presque cette pensée lorsqu'il commença à lui caresser le cul, car elle savait pertinemment que compte tenu de la finesse de l'étoffe de sa jupe, Alexandre ne pouvait que deviner qu'elle portait un tout petit string. Cela la gêna d'être si vite "découverte" car elle n'enfilait presque jamais ce type d'accessoires. Elle avait bien un ou deux strings en coton pour les jours où elle faisait de la gym en calçons longs, ou lorsqu'elle s'habillait avec des pantalons très moulants, mais ceci faisait exception, car elle n'aimait pas vraiment ce type de lingerie. Ce soir elle avait voulu "paraître" et il lui avait semblé indispensable d'être très sexy pour lui. Elle rougit, mais cela l'excita aussi de sentir ces caresses si près de sa peau, des caresses en fait déjà très intimes. Elle avait chaud...

Alexandre retira sa veste et la reprit dans ses bras. Il était plutôt costaud, et sentir son étreinte lui plaisait. Elle avait chaud déjà de partout, et fut presque étonnée de sentir qu'elle commençait à mouiller si tôt. Il décida de retirer son petit pull moulant, et découvrit alors ce qu'il convoitait le plus, cette poitrine généreuse et qui paraissait parfaite, subtilement moulée par son chemisier ajusté, à travers lequel on devinait par transparence et par contraste l'étoffe noire de sa lingerie. Il bandait déjà dur, mais là il avait l'impression que les boutons de son pantalon allaient céder ! Tout en l'enlaçant, il défit sans attendre plus mais très lentement et un par un, les boutons qui le gênaient encore. Julie était progressivement gagnée par l'excitation à mesure qu'elle se laissait déshabiller, et les gestes langoureux de son prétendant y contribuaient fortement. Son chemisier entr'ouvert, sa poitrine maintenant presque offerte, elle se senti assez de courage pour assumer la nouvelle féminité qui l'attendait, à partager avec un homme beaucoup plus expérimenté qu'elle, qui serait peut-être aussi plus exigeant que les petits copains qu'elle avait connu. S'armant de tout son courage, elle entama elle aussi une petite séance de déboutonnage, qui se solda après quelques minutes supplémentaires par la perte de la chemise d'Alexandre. Il était vraiment beau gosse. Pas une baraque de muscles, mais un corps viril bien fait. Elle s'étonna alors d'avoir pu séduire cet homme, et se trouva à nouveau un peu gênée de son inexpérience... Sans qu'elle n'ait encore pu se l'avouer, l'étendue des possibilités que cette nouvelle relation avec un "vrai" homme offrait en matière de sexe l'échauffait.

Elle ne savait pas du tout ce que lui demanderait de faire un homme de dix ans son aîné, surtout que les détails de la sexualité n'avaient jamais véritablement été un grand sujet de discussion avec les meilleures amies qu'elle avait ou même avec ses s'urs. Elle le regrettait maintenant. Elle n'était toutefois pas naïve, même si elle n'avait connu que quatre hommes dans sa vie. Le premier la fréquenta durant relativement longtemps vu leur jeune âge ; ils n'expérimentèrent jamais rien d'autre que la position du missionnaire ! Le second fut trop entreprenant pour elle, il essaya de la "dérider" un peu comme il disait lui-même, mais il ne pensait qu'à sa queue et à satisfaire ses fantasmes de positions improbables, surtout celles où il la prendrait par derrière (elle essaya quelques nouvelles positions avec lui, mais ne le laissa jamais la pénétrer en levrette). Il obtint même d'elle deux ou trois fellations, mais jamais complètes et n'eut jamais son consentement à répandre son sperme en elle ou sur elle, et surtout pas dans sa bouche comme il le lui demandait beaucoup trop souvent : toujours dans une capote. Le troisième ne passa qu'une seule nuit avec elle à l'occasion d'une soirée étudiante où elle bu beaucoup trop, tellement qu'elle se souvint seulement plus tard avoir été prise par lui, probablement sans préservatif, retournée sur le ventre, presque endormie, à moitié consentante mais trop saoule pour protester, se faisant chevaucher comme la fille facile qu'elle fut cette nuit-là, jusqu'à ce qu'il éjacule entre ses fesses et sur son dos, s'étant maladroitement retiré au dernier instant. Le quatrième quant-à lui fut monotone à en mourir. Au début elle fut ravie de cet amant calme et passif sur lequel elle pouvait grimper sans inquiétude qu'il ne vienne trop vite, assurée ainsi d'avoir le temps de se conduire jusqu'à l'orgasme à chaque fois qu'elle le désirait... Mais lui ne faisait jamais rien ou presque; elle le largua au bout de trois mois.
Qu'attendrait Alexandre d'elle ? Elle savait qu'elle devait se fixer des limites, mais elle avait craint, à chaque fois qu'elle y avait songé, qu'une trop grande rigidité de sa part ne la fasse passer pour une gamine à peine dépucelée, sans vouloir non plus être prise pour une salope sans tabou avec qui l'on pouvait tout faire dès la première nuit... Julie imaginait bien qu'un bel homme comme lui avait déjà du trouver sans difficulté des filles dociles, y compris pour le sucer. Elle s'était donc résolue à cette idée : Il faudrait qu'elle le fasse, mais pouvait-elle lui imposer la capote s'il ne l'entendait pas ainsi ? S'il le fallait, elle s'était même préparée à le faire en 69. Personne ne l'avait jamais touchée nue, donc encore moins léchée, mais elle y consentirait s'il le fallait. Ce qui la perturbait plus était de d'avoir à s'offrir dans les positions où la femme est exposée ou soumise, par exemple couchée sur une table, pénétrée par un homme debout, ou en levrette. Elle s'était aussi résignée à accepter ce qu'elle aimait pour le moment le moins, sans pourtant le connaître : être pénétrée par derrière, surtout dans une vraie levrette. Car alors l'homme peut contempler sans pudeur un spectacle obscène où l'on montre, les fesses écartées, son cul sans aucune retenue. Inutile de dire alors que pour elle il n'était pas question pour le moment d'envisager que l'on puisse s'introduire en elle par l'orifice qu'elle avait encore de vierge... Jamais aucune femme ne devrait s'y soumettre, pensait-elle, car elle n'imaginait pas cela autrement qu'un viol, ne comprenant pas que l'on puisse y consentir, ni quel plaisir on pourrait y prendre.
Perdue dans ses pensées elle s'était un peu détachée des man'uvres en cours... Mais la réalité se rappela à elle lorsqu'elle sentit Alexandre empaumer de ses mains ses deux seins. Elle rougit immédiatement, et pria pour qu'il ne le remarque pas. Sa poitrine était parfaite, il s'en était toujours réjouit, et il avait raison : ces deux mamelles qu'il pelottait étaient à peine soutenues par la fine étoffe qui les masquaient encore, elles étaient fermes et parfaitement rondes, idéalement centrées par un petit téton qu'il chercha un instant avant de le sentir, parfaitement centré, se former sous ses doigts... Elle se laissa malaxer un peu les seins avant de sentir ses doigts venir effleurer leur bout si sensible. Puis il les délaissa en remontant et glissa ses pouces sous les bretelles... Elle rougit à nouveau : Il allait la voir presque nue. Alexandre nota ces joues empourprées de timidité, et en profita pour faire un petit test sur la motivation de sa partenaire à se laisser faire. Au lieu d'abandonner temporairement son effeuillage, il fit glisser les bretelles du soutien-gorge et les entraina afin de dévoiler entièrement sa poitrine, il inclina alors sa tête, à peine mais suffisamment pour la mater avec insistance, tout en attrapant ses seins pour les presser et en accentuer les pointes et les embrasser : Elle avait en effet une poitrine splendide ! Elle passa avec brio ce petit examen : Ne se refusant ni à lui, ni à sa vue ni à ses mains, alors qu'il avait été volontairement provocant... Il en conclut, d'ailleurs à raison, qu'il pourrait probablement faire d'elle ce qu'il voudrait dès cette nuit, pour peu qu'il s'en donne la patience et les moyens. Il cessa dès cet instant d'être provocant, pour essayer de la transformer en une parfaite amante grâce à l'envie qu'elle aurait d'être satisfaite, le désir d'être pénétrée et de jouir.
Il recommença alors le ballet qu'il avait entrepris de ses doigts sur ce superbe corps, ne pouvant se priver du plaisir de la pelotter encore et encore, jouant de ces mamelles avec adresse, titillant leurs tétons avec subtilité, tant et si bien qu'au lieu de pâlir, les joues de Julie s'empourpraient toujours plus, mais d'excitation cette fois-ci, et il le percevait : Elle répondait de son corps à ces caresses osées... Lorsqu'il abandonna ses nichons, se fut pour revenir sur ses fesses. Il les avait devinées nues sous la jupe, il les voulait maintenant nues sous les doigts. Faisant sauter l'agrafe qui la fermait, il abaissa dans le même geste la fermeture éclair, laissant à la gravité le soin de faire le reste... Mais alors qu'il s'attendait à la tripoter au travers de ses collants, il fut surpris de sentir que le mince élastique de son string était devenu le seul rempart à la nudité de son cul : elle portait des bas ! Décidément la soirée était déjà riche en bonnes surprises ! Ils s'embrassaient avec fougue, et Julie n'accorda même plus d'importance à ce qui venait de se produire : Elle était depuis quelques secondes en toute petite tenue (comme elle n'en avait jamais porté avant) dans les bras de son prof de fac, les seins à l'air, accoutrée comme une allumeuse, sur le point de se donner à l'un des plus grands baiseurs du campus. Si elle n'y accorda que peu d'importance, cela venait du fait que les caresses qu'il lui faisait et la tenue qu'elle portait l'avait déjà bien stimulée... Elle serait dans quelques minutes toute mouillée, prête à recevoir les assauts prolongés de son amant passionné? Alexandre retira rapidement son pantalon et ce qu'il lui restait encore, sauf son boxer, copieusement déformé par une généreuse érection que Julie ne put s'empêcher de remarquer, et qui l'impressionna un peu. Il l'attira alors vers lui et s'abaissa lentement devant elle, embrassant et léchant son cou, puis ses seins longuement, puis son ventre en s'asseyant sur le canapé. Elle se sentait soudain très femme et très fragile en même temps, debout dans sa lingerie sexy, cajolée par un beau mâle qui la préparait à l'amour comme personne jusqu'ici n'avait su le faire. Elle ne s'offusqua même pas de l'insistance qu'avaient prises les mains qui l'exploraient. Il tenait à nouveau ses seins à pleine main, notant avec malice comme elle venait habillement coller son bassin contre sa bouche qui l'embrassait maintenant sous le nombril, se rapprochant de ce qu'elle avait de plus intime... Alexandre porta alors ses mains sur ses fesses, les caressant doucement après les avoir empaumées par-dessous, ses doigts se rejoignant presque à la naissance de la raie dans laquelle plongeait la fine bande de tissus qui faisait ici office de lingerie, si près de son minou que sa peau y était déjà électrique. Ce string qu'elle portait était diablement sexy, et hormis une petite zone de satin noir formant le triangle qui cachait sa vulve en avant, il n'y avait pas un seul centimètres carrés de satin supplémentaire... Il était vraiment minimaliste, et Alexandre avait immédiatement remarqué qu'elle devait s'être épilée pour le revêtir? Il fantasma alors sur cette chatte, presque vierge à ses yeux, dont il rapprochait progressivement ses doigts par l'arrière et sa bouche par l'avant, mais cessa ces provocations et lui fit signe de s'accroupir en exerçant un petit mouvement sur son bassin après avoir relevé ses yeux vers elle. Elle s'exécuta et vint l'embrasser, son c'ur s'accélérant brutalement en lisant ses pensées.
Julie avait un traque phénoménal, une bouffée d'angoisse de pucelle, alors qu'elle posait sa main droite sur la bosse qui déformait le boxer sous tension, empoignant une chose qu'elle n'avait pas attrapée depuis presque deux années. Alexandre ne fit aucune remarque ni aucun geste, la laissant le branler un peu maladroitement tandis qu'elle décidait de se jeter à l'eau, délaissant sa bouche pour embrasser son torse, s'abaissant petit à petit devant lui, de plus en plus bas, sur son ventre puis sur son bas-ventre et enfin sur son boxer. Il ne voulait pas louper un événement pareil, mais ne pris pourtant aucune initiative, afin de ne pas brusquer les choses. Car même si elle faisait de son mieux, elle ne le trompait pas : Sa démarche n'avait rien de celle d'une experte, elle voulait se donner et elle faisait là un effort louable, il en était certain. Julie avait du caractère et ne se débina pas, abaissant d'elle-même ce slip qui, une fois ôté, signerait son consentement définitif à la fellation avec Alexandre. Elle se trouva alors face au bel outil dont il avait été doté ! Une gourdine longue et trapue, dure et droite, un sexe comme elle n'en avait jamais vu ! Elle était impressionnée. En effet il était très généreusement monté : Dix-sept ou même dix-huit centimètres lorsqu'il était au mieux de sa forme, et surtout son sexe était massif, épais sur toute sa longueur. Il n'était pas encore décalotté, ce qui cachait encore un peu l'aspect imposant du gland qui le coiffait. Il était bien plus long qu'aucun de ceux qu'elle avait pu connaître, et évoquait plus à ses yeux ce qu'elle avait pu contempler dans les films de cul que regardait son deuxième petit copain ! Elle s'inquiéta de ce qu'il pourrait lui faire avec un engin pareil s'il manquait de délicatesse, craignant d'avoir du mal à l'admettre en elle, même si elle se sentait prête. Cette découverte aurait pu la refroidir d'un coup, mais en fait elle sentit tout son corps aller irrésistiblement vers lui. Gorgée de désir elle le repris d'une main et commença à le masturber, dégageant de ce fait le n'ud volumineux qu'il lui restait à découvrir. Julie s'était un peu redressée pour interroger son amant du regard : Voulait-il bien enfiler son préservatif ? Mais Alexandre avait anticipé ce moment à l'instant où il l'avait vu relever la tête et s'était délibérément adossé dans le canapé les yeux fermés. Elle lui demanda néanmoins s'il était d'avis de se couvrir. Elle s'entendit répondre gentiment mais sur un ton qui ne laissait pas place à la répartie qu'il n'y avait aucun risque de transmission du SIDA ni de grossesse lors d'une fellation, et que, sans aucun problème, il mettrait une capote plus tard si elle le souhaitait. Merde ! Se dit-elle, piégée à son propre jeu de la séduction. Car soit elle laissait tout tomber et c'était le fiasco total, soit elle se soumettait. Elle se décida rapidement à ravaler sa fierté et continua ce qu'elle avait commencé, même si elle aurait pu se trouver humiliée. Cet instant aurait pour elle plus de conséquences qu'elle n'y songeait alors' Satisfait, Alexandre contempla alors avec ostentation sa jeune compagne, déjà soumise par le désir, concentrée, entrouvrir ses lèvres à la verticale de sa queue qu'elle tenait d'une main. Elle était le comble de l'érotisme avec ses seins libres aux tétons durcis se ballotant au-dessus du soutien gorge récliné qu'elle n'avait pas osé retirer, son corps à peine vêtue d'un tout petit string et de ses superbes bas, remontant très haut sur les cuisses, presque jusqu'à la naissance du galbe de ses fesses ; avec ses petites bottines à talon lacées à l'arrière qu'elle portait encore. Elle s'approcha lentement du n'ud, le tout premier qu'elle s'apprêtait à goûter pour de bon, et y posa ses lèvres, toujours entrouvertes. Mais il lui fallut faire plus que ça pour pouvoir progresser : Elle du ouvrir grand la bouche pour pouvoir le prendre, et il lui sembla qu'elle était déjà bien remplie alors qu'elle n'en avait admis que le gland ! Elle avait craint d'être gênée par le goût qu'un sexe d'homme pourrait avoir, il n'en fut rien, même lorsqu'Alexandre émit quelques gouttes de liquide séminal un peu salé entre ses lèvres à l'instant où elle avait commencé. Qu'est-ce qu'il était gros ! Bon sang qu'est-ce qu'il était gros ! Elle fit marche arrière doucement et le reprit dans la bouche, un peu plus loin cette fois, puis encore et encore, jusqu'à ce qu'elle ai l'impression d'avoir la bouche entièrement pleine à chaque fois qu'elle faisait marche arrière, se concentrant sur ses gestes pour ne pas faire de bêtises, surtout avec ses dents. La respiration saccadée de son nouveau mec aurait pu la rassurer un peu sur ses talents, mais elle ne se déconcentrait pas, et lui ne cessait pas de la regarder entrain de faire aller et venir sa bite dans sa jolie petite bouche. Elle avait été difficile à séduire mais elle promettait de belles choses cette Julie : Elle savait être sexy à souhait, elle le suçait sans préservatif le premier soir, elle lui obéissait déjà et en plus elle était bâtie comme une déesse du sexe ! Que de joyeuses perspectives lubriques ! Elle suçait bien en plus, en fait elle essayait de se rappeler tout ce que son deuxième petit copain lui avait demandé quand elle le suçait et qu'elle n'avait jamais accepté, pour le mettre en pratique ce soir. Ainsi elle lui lécha la bite de haut en bas le long de l'urètre, s'arrêtant alors sur le frein qu'elle stimulait un peu du bout de la langue, elle prenait aussi juste le gland en bouche et faisait alors jouer sa langue sur le méat soit doucement soit rapidement, et continua ainsi jusqu'à ce qu'il lui fasse signe de se relever. À vrai dire cela lui parut un peu long, mais il en profita bien ce salaud' Elle se rendrait compte plus tard que cela en avait valut la peine. Lorsqu'elle fut accroupie devant lui, la bouche luisante de salive et du liquide séminal qu'il lui avait donné, il lui tandit un préservatif et lui demanda de le lui mettre. Comme il comprit qu'elle était mal à l'aise, il en enfila les premiers centimètres et lui demanda de dérouler le reste avec sa bouche. Une nouvelle fois elle s'exécuta, avec un peu de satisfaction même, car elle se sentait femme, le satisfaisant ainsi de sa seule bouche. Une fois chaussé, il se releva et l'entraina dans sa chambre, où elle le suivit après avoir retiré ses bottines, ce qui laissa quelques instants privilégiés à son amant pour admirer son cul presque nu, fendu par le satin qui en masquait le sexe, merveilleusement rehaussé par le satin de la bordure des bas qu'elle avait enfilés.
Debout devant le lit il dégrafa son soutien-gorge, et la fit s'allonger. Il vint sur elle à quatre pattes et l'embrassa, rapidement passa à son cou, puis descendant vers son buste il démarra une nouvelle copieuse séance de pelottage et de léchage de mamelons, qu'il stimula de la langue et de ses doigts, après les avoir rendus brillants et glissants de salive. Julie était déjà très excitée avant cela, mais sentir encore et encore ses tétons titillés de la sorte commençait à la faire un peu transpirer tant elle était désormais chaude. Alexandre sentit qu'il pouvait accélérer la cadence, alors il se mit à embrasser son ventre jusque sur son string, et comme elle était couchée à plat dos, il lui fit écarter un peu les cuisses et remonter un peu les genoux. Elle s'offrit ainsi sans protester, mais sans toutefois écarter plus les jambes qu'il ne l'avait fait, même si elle désirait maintenant et pour la toute première fois être fouillée par cette langue... Alexandre initia cette séance à travers la mince et étroite zone de satin noir qui cachait son intimité, ce qu'elle avait jusqu'à ce soir gardé caché? Ses baisers se firent progressivement précis et appuyés, la faisant déjà haleter doucement. Si elle avait peu pratiqué l'anatomie masculine de près, Alexandre, lui, aimait s'approprier celle de ses compagnes. Et dès qu'il avait acquis assez de confiance pour ne pas craindre d'IST, il ne se privait pas de donner du plaisir de sa bouche et de sa langue, satisfait de sentir le pouvoir que lui donnaient ses stimulations sur les femmes qu'il masturbait. Il avait envie de lui bouffer la chatte, mais il se retenait d'être trop spontané pour ne pas obtenir l'effet inverse et la crisper. Il l'embrassait sur son Mont de Vénus, la langue très exactement posée à la naissance de la vulve, excitant son clitoris encore inaccessible, puis, faisant sa langue aussi dure que possible, il se glissait en arrière, dans le sillon que formait le satin s'insinuant à peine entre les lèvres devenues hypersensibles de Julie. Elle s'arquait, se cambrait et bloquait sa respiration, venant contre lui comme pour se faire pénétrer par cette langue habile, décollant le bassin dans cet effort pour être cajolée. Il en profita pour lui retirer sa toute petite culotte, mais ne quitta pas la scène une fois qu'elle fut à terre... Dans un petit sursaut de pudeur, elle remit ses jambes parallèles une fois nue, il ne la força pas. Il embrassa à nouveau son ventre puis son pubis aussi bas qu'il le put, constatant pour le moment qu'elle n'avait pas eu grand-chose à raser pour se parer de sa lingerie sexy, car sa toison était très fine et peu abondante, comme celle d'une jeune adolescente. Doucement il lui écarta à nouveau les cuisses et elle plia d'elle-même les genoux, reprenant la position précédente dans laquelle il avait tout le loisir de disposer d'elle... Sa langue se fit à nouveau plus pressante sur son mont de Vénus à peine poilu et en s'engageant dans la fente de sa vulve. Alexandre avait glissé ses mains sur sa poitrine pour la pelotter. Il ramena l'une d'elles plus bas, situant son majeur entre les lèvres, d'abord délicatement puis avec de plus en plus de présence, posé contre elle, juste sur la bouche de son con. Dans le même temps, sa langue avait trouvé la zone de son anatomie qui l'attendait maintenant, et ses petits halètements se firent gémissements ponctués de discrets miaulements... Personne ne l'avait jamais touchée auparavant, et pour la première fois : Quelle apothéose ! Elle était presque au septième ciel alors qu'il n'avait presque rien fait. Elle adorait sentir sa langue qui la branlait, elle aimait aussi ce majeur qui la pénétrait à peine, juste assez pour l'exciter, pour l'agacer encore un peu plus. Mais il s'arrêta, car il ne voulait pas qu'elle jouisse de ses doigts ou de sa langue, pas cette fois en tout cas : Il voulait qu'elle jouisse sous ses coups de reins. Il regarda se refermer sa chatte en retirant doucement la première phalange de son majeur avec laquelle il venait de la pénétrer, contemplant ce minou splendide que la nature lui avait donné, parfaitement dessiné, aux lèvres imberbes, coiffé d'une étroite bande de fin duvet blond joliment épilé. Elle remuait imperceptiblement le bassin, gorgée d'excitation, maintenant parfaitement femme, prête à accueillir en elle sa virilité, et à en profiter, suçant ce doigt qu'il venait de retirer d'elle et qu'il avait porté à sa bouche dans un sursaut d'audace? Elle avait du ressort cette jeunette, il en était une fois encore bluffé ! Et quel bonheur pour lui qu'elle soit épilée. Il détestait les poils, et ne tarderait surement pas à lui demander de le faire intégralement, car il adorait les petites chattes glabres. Julie n'avait pas vraiment fait d'effort sur ce sujet : En fait elle nageait beaucoup et ce sport exigeait d'elle qu'elle soit épilée d'assez près, épilation qu'elle avait complétée après avoir essayé ses nouveaux dessous.
Il remonta pour se placer au-dessus d'elle, se soutenant de l'un de ses bras, tandis que de l'autre il se guidait vers elle. Julie était passive, les yeux fermés, impatiente mais aussi un peu inquiète depuis qu'elle avait pu constater la taille "XL" de sa queue dans ses mains' et dans sa bouche. Il la posa contre elle, juste à l'entrée, l'extrémité de son sexe emballé entre ses lèvres brillantes de mouille et de salive mélangées, qu'il venait de répandre de son doigt, et poussa un peu. Julie sentait sa vulve s'ouvrir doucement, le diamètre de son sexe devenant celui du gland volumineux qui l'entreprenait. Il glissait doucement et poussa un peu plus de ses reins. Julie était pleinement offerte et lubrifiée, et maintenant déjà dilatée comme elle l'avait déjà été pour accepter ses précédents amants. Elle le sentait déjà très présent contre elle, mais il ne l'avait pourtant pas encore pénétrée. Cela prenait un peu de temps pour qu'elle se laisse prendre, alors de peur qu'elle ne se crispe Alexandre se fit un peu plus insistant mais sans la brusquer, et lui fit admettre le gland. Elle gémit de ce premier assaut, qui lui fit la sensation d'une défloraison tant la bite d'Alexandre était grosse, sauf qu'en plus de se sentir copieusement dilatée elle éprouvait une délicieuse sensation de plaisir. Toutes ses pensées et toute son attention s'étaient focalisées sur son sexe tandis qu'il s'y était fait sa place, et il lui semblait désormais évident que ce sexe si imposant qui l'avait tant impressionné serait l'instrument qui la ferait jouir comme jamais auparavant, pour peu que son amant sache y faire.
Julie se sentait déjà profondément possédée, et cette sensation se fit encore plus intense au fur et à mesure de sa progression dans son vagin, plongeant jusqu'au fond de sa chatte le plus gros instrument qu'elle n'ait jamais connu. Il s'enfonça en elle très lentement mais complètement, content de voir son visage se détendre, et non le contraire, à mesure qu'il lui faisait envisager combien il pouvait la stimuler avec ce bel outil dont il avait été pourvu. Il avait eu raison lorsqu'il avait cru percevoir en elle une grande sensualité, et ce dès le premier regard : elle était faite pour l'amour, elle était faite pour le sexe. La nature lui avait fait un corps parfait pour le signifier : Ses formes idéales étaient la traduction de l'essence même de la féminité. Pour peu qu'elle trouve celui qui le lui ferait pleinement découvrir, ce corps était le jouet dont elle et ses partenaires pouvaient tirer la Jouissance et le Plaisir. Il espérait bien être celui-là? Il bougea un peu au fond d'elle pour bien la lubrifier et la préparer doucement à aller plus loin, plus fort avec lui, tout en l'embrassant sur la bouche et dans le cou, puis fit marche arrière tout aussi progressivement, faisant une fois de plus franchir l'ouverture de sa chatte au diamètre maximum qu'offrait son gland en se retirant presque entièrement, laissant juste la pointe de son sexe entre ses lèvres après les avoir franchies à reculons. Elle posa ses mains sur son dos, assez bas mais sans oser encore le faire sur ses fesses et, sans même en avoir conscience, l'attira imperceptiblement vers elle, tout en écartant un peu plus ses cuisses ; s'offrant plus encore. Ce sexe glissant de mouille la pénétra encore avec un peu de résistance, lui procurant un maximum de sensations et lui arrachant un petit grognement de plaisir. Il était déjà au fond d'elle, et poussa encore un peu de ses reins pour la posséder entièrement avant de refaire encore une fois la même man'uvre, et d'encore la faire miauler lorsqu'il s'inséra en elle. Progressivement il s'accéléra un peu, gardant une certaine mesure dans la cadence et la force de ses assauts, toujours précautionneux de ne pas lui prodiguer plus que du plaisir, rien que du plaisir. Le rythme qu'il donnait resta lent, mais l'amplitude qu'il accomplissait était maintenant maximale, se retirant à chaque fois presque complètement avant de plonger en elle jusqu'à ce que leurs bassins se collent l'un à l'autre, la pénétrant alors aussi profondément que le permettait la position.
Julie reprenait rapidement confiance en elle, ayant tout de même assez souvent connu les hommes pour savoir quoi faire avec eux, même si personne ne l'avait pénétrée depuis longtemps ! Elle accompagnait avec de plus en plus d'entrain et d'exactitude les mouvements de son amant, venant vers lui lorsqu'il s'enfonçait, se trémoussant un peu lorsqu'il restait contre elle, excitant de la sorte son clito généreusement exposé par l'étirement de sa vulve ainsi entreprise. Elle était déjà bien excitée lorsqu'Alexandre avait commencé à la limer, et se trouvait même au bord de l'orgasme quand il avait interrompu son cunnilingus. Il ne lui en fallait pas beaucoup plus pour jouir pleinement et désormais presque sans retenue de cette séance de sexe. En effet, ses halètements irréguliers, ponctués de gémissements qu'elle retenait de moins en moins, trahissaient sans équivoque le plaisir qu'elle prenait à cet instant. Alexandre la laissa venir doucement à ce rythme, décidé à ne commencer à l'entreprendre avec plus d'audace qu'après l'avoir contentée d'un premier orgasme. La sentant s'arquer progressivement et onduler contre lui pour qu'il stimule efficacement son point G, il passa ses mains entre lui et ses cuisses, lui faisant porter ses mollets sur ses épaules. Elle n'avait jamais été pénétrée de cette sorte, et ne se serait sûrement pas laissé faire avec autant de complaisance si elle n'avait pas été si excitée. Alexandre se redressa en s'appuyant sur l'arrière des cuisses qu'il maintenait ainsi fermement écartées. Julie, les fesses légèrement en l'air, alors totalement soumise, compris l'intérêt de la man'uvre entamée par son partenaire dès son premier mouvement. Ainsi, même si elle n'avait absolument plus aucun contrôle sur la pénétration, Alexandre frottait intensément cette zone de son sexe qu'elle était presque entrain de découvrir : Son point G. Juste avant que son amant ne soit tout au fond d'elle son gros gland venait caresser avec insistance l'endroit de son vagin par lequel il entendait bien lui prodiguer son premier orgasme. Il tenait absolument à cela, et avait toujours fait son maximum pour faire de ses partenaires des femelles accros à l'orgasme par pénétration. Il satisfaisait bien sûr ainsi celles qui se croyaient vaginales, mais tenait à convertir les prétendues clitoridiennes, celles qui sans cela n'avaient pas vraiment envie d'être souvent pénétrées... Julie n'aurait pas de problème pour devenir amatrice, les va-et-vient qu'il effectuait désormais la faisaient miauler, et il se redressa encore un peu plus, afin de pouvoir mater le spectacle de leurs ébats. Julie avait fermé ses yeux, un peu gênée, la tête tournée de côté, les joues empourprées de désir, ses cheveux masquant un peu son visage dont l'expression était caractéristique de l'excitation sexuelle qui la débordait. Ses seins se trémoussaient légèrement à chaque coup de rein qu'Alexandre imposait lorsque son bassin venait taper ses fesses tendues. Il glissa son regard encore plus bas, entre ses mains empaumant largement ses cuisses, sur ce sexe parfait dans lequel sa queue plongeait avec fougue depuis quelques minutes à peine, et qui pourtant brillait déjà de miel. Il adorait cette position car elle permettait à l'homme de contempler le spectacle pornographique de sa pénétration, ainsi que le reste des attributs anatomiques de sa partenaire. Julie s'abandonna à la tension qui la gagnait, prête à se laisser traverser par la décharge sensuelle qui s'annonçait. Alexandre quitta le spectacle obscène de leurs sexes s'emboîtant pour observer sa jeune partenaire se crisper doucement. Son visage se contractait, les paupières étaient closes, les lèvres entr'ouvertes, haletantes. Ses mains avaient agrippé les draps et les serrèrent plus fort, ses jambes se tendirent et elle commença à gémir bien plus fort que ce qu'elle n'avait jamais fait. Ce premier orgasme arrivait comme une grosse vague, avec force et résolution. Brusquement la déferlante passa, et son corps tout entier se durcit, tandis qu'Alexandre continua méthodiquement à la baiser, et plus particulièrement, au fond de son vagin, la zone qui était à l'origine de cet orage des sens. Il n'allait plus aussi loin ni aussi vite, se contentant de bouger son gland d'avant en arrière contre la paroi antérieure de son antre tant qu'elle fut en train de jouir. Il s'était bien sûr retenu pour ne pas l'accompagner dans cet orgasme si rapidement atteint, afin de pouvoir profiter au maximum de cette soirée où elle se donnait à lui pour la première fois, et, espérait-il, totalement à partir de cet instant.
Quand elle eut retrouvé un peu ses esprits il relâcha l'étreinte qu'il avait exercée sur ses cuisses et vint vers elle pour l'embrasser. Elle n'avait pas la moindre idée de son état à lui, mais pensait à tort qu'il avait joui aussi lorsqu'il se retira d'elle. Elle eut même quelques regrets que finalement cela n'ait pas duré plus longtemps, car elle avait évidemment adoré prendre son pied avec une telle force. Un peu résignée mais satisfaite, elle resta étendue à plat dos, les yeux mi-clos, encore un peu sonnée par la jouissance, si bien qu'elle ne percuta pas tout de suite qu'il lui demanda de se retourner pour se coucher sur le ventre. Lorsque ce message fut assimilé par elle, elle s'exécuta sans se poser plus de question. Il vint au-dessus d'elle se frotter imperceptiblement, et la consistance que gardait son engin l'étonna d'abord, avant qu'elle n'envisage le fait qu'il n'avait peut-être pas encore dit son dernier mot ! Et à son grand damne, elle s'était déjà retournée, et présentait alors ses fesses à son amant entreprenant, semblant donc définitivement disposée à se faire prendre par derrière? Elle se laissa faire avec prudence alors, tandis qu'Alexandre l'embrassait sur le dos, son sexe glissant vers le bas, mais sans insistance, entre la raie de ses fesses. Elle ne pouvait pas se permettre d'émettre la plus petite opposition alors qu'elle venait de prendre son pied de façon mémorable, surtout qu'elle l'avait fait comme jamais, sans aucune retenue, et que son amant ne pouvait pas en avoir pris conscience. A cet instant elle espérait bien pouvoir y parvenir encore, et attendit donc. Alexandre portait de plus en plus bas sa bouche, ayant quelques instants profité de sa position pour glisser sa bite entre les cuisses de sa partenaire, là où elle était la plus sensible, pour la titiller un peu et attiser à nouveau ses instincts sauvages... Lorsqu'il fut au bas de ses reins, il ne s'arrêta pas, et attrapa ses fesses de ses mains avec détermination, les malaxant un peu, constatant avec une satisfaction infinie leur fermeté. Puis il les caressa avec plus de douceur et se mit à l'embrasser à la racine de la raie des fesses, où elle était toute moite de sueur de leurs ébats précédents. Elle s'inquiétait un peu de la tournure de la situation, mais il avait obtenu sa soumission par la jouissance qu'il lui avait déjà donnée de sa langue et de sa queue, de telle sorte qu'elle était bien obligée de s'offrir si elle voulait encore recevoir... A cet instant, Alexandre ne savait lui-même pas très bien jusqu'où il irait. S'il n'avait pas été amoureux il est sûr qu'il aurait profité de cet instant pour affirmer sa virilité et titiller l'anus de sa partenaire, ou au moins de tenter le coup, pour éventuellement y introduire un doigt et ainsi peut-être soumettre sa compagne à accepter la sodomie. Elle décida de prendre le taureau par les cornes car elle avait confiance en elle et en lui, et il put ainsi la sentir se cambrer pour aller vers lui, et ainsi lui permettre de progresser vers sa féminité.
Elle ne perdait décidément pas facilement le nord, celle-là, se disait-il ; une fois de plus son instinct ne l'avais pas trompé il y a un an : Il avait déniché une vraie femme, sensuelle et répondante, docile et déterminée, une véritable maîtresse. Il se résolut donc à ne pas la brusquer, même si la première nuit était celle qui permettait de poser des jalons. En s'interdisant d'essayer de l'initier immédiatement à l'anal, il lui faudrait autrement plus de patience et de persuasion pour y parvenir par la suite. Mais il savait bien aussi qu'il perdrait quelque chose de son affection s'il se portait déjà sur cet autre orifice, et que le lendemain matin elle ne reconsidère ses sentiments pour lui, au risque de ne plus l'envisager que comme un bon coup qui aurait abusé de sa faiblesse.
Il posa ses baisers sur la raie de ses fesses sans insister, sa bouche n'atteignant pas la vulve qu'il entrevoyait à peine, car elle gardait tout de même ses jambes serrées. En descendant jusque sur la naissance de ses cuisses, là où la peau était encore nue, il reprit quelques secondes ses caresses sur ses bas, à cheval sur ses jambes. Puis il se redressa et lui demanda de se mettre à quatre pattes. Elle le fit, avec un peu de retenue, très embêtée de lui exposer ses fesses dénudées. Elle se présentait passive, les mains à hauteur des épaules, à quatre pattes, les jambes serrées l'une contre l'autre, obéissante mais nullement offerte. Alexandre sentit sa gène mais n'y prêta pas attention cette fois, persuadé de pouvoir dompter sa timidité encore une fois. Il restait derrière elle et la força à se positionner mieux, passant ses mains entre ses jambes pour les lui faire écarter, assez pour qu'il puisse s'y placer. Il se courba alors sur elle et l'embrassa, son sexe raide s'écrasant contre le bas de ses reins. Elle se redressa pour l'embrasser en se tournant le plus possible vers lui. Il porta lentement ses mains de ses hanches vers ses seins et la pelota avec adresse. Sa main droite glissa lentement vers le bas, sur son ventre puis son bassin, sa progression se faisant plus lente encore lorsque ses doigts atteignirent sa toison. Adroitement son majeur s'insinua dans la naissance de ses grandes lèvres, puis entre ses petites lèvres, cherchant et trouvant alors rapidement le contact de son clitoris du bout du doigt. Sans y prêter plus attention, Julie écarta alors progressivement ses cuisses pour faciliter cette recherche. Elle gémissait à nouveau tandis que son partenaire devenait plus précis dans les circonvolutions qu'il indiquait à son majeur inquisiteur. Alexandre retira sa main de sa vulve humide et désirante et la contourna afin de reprendre ses recherches par derrière. Elle fit sans objection ce qu'il attendait d'elle à cet instant : écarter les cuisses encore plus pour faciliter son entreprise et se remettre à quatre pattes, mais généreusement offerte cette fois. Ainsi placée, il se glissa entre les globes de ses fesses, le pouce très exactement posé contre l'ouverture de son sexe, sans aller plus loin, là où elle le voulait' Elle se cambra, comme il le souhaitait, basculant son bassin en arrière pour tenter d'amener son clitoris au contact de cette phalange indiscrète. Elle se comportait comme il le souhaitait et il l'aida ? avec joie ? poussant un peu plus loin son doigt, jusqu'à ce qu'elle obtienne satisfaction, et puisse se faire un peu masturber par lui. Sans aucune demande de sa part elle se positionna sur ses coudes, afin de pouvoir se cambrer encore plus et ainsi pouvoir faire onduler son bassin avec plus d'aisance. Avec talent, Alexandre avait ainsi réussi à la faire se positionner complètement différemment, et ce sans lui demander aucun effort. Jamais Julie n'aurait pu imaginer cela à peine une heure auparavant : Se donner dans une posture si osée, le cul en l'air, les cuisses largement écartées et les reins bien cambrés, appuyée sur ses coudes, la tête dans un coussin et se tortillant sur un majeur qui la branlait.
Son homme se replaça derrière elle, sans qu'elle n'y accorde un réelle importance, satisfaite des sensations dont il lui permettait de faire l'expérience. Son corps avait prit les commandes sur son esprit, et elle s'apprêtait à se faire baiser en levrette sans avoir émit la moindre objection. Alexandre savait qu'il pouvait la prendre, et s'installa à genoux, les jambes contre celles de sa partenaire, dirigeant sa queue vers le sexe offert de Julie à l'aide de la main qui en revenait à peine. En attendant de se sentir à nouveau possédée, Julie garda volontairement cette posture impudique, sans s'avouer qu'être prise ainsi, en lingerie sexy, comme une allumeuse, ou pire, comme une vraie salope, l'excitait. Lorsqu'il fut contre ses lèvres visqueuses, Alexandre poussa son gros gland entre elles et la pénétra sans peine. Il progressa doucement mais profondément dans la chaleur retrouvée de son petit minou serré, se délectant des sensations qu'elle lui procurait, et satisfait du discret mugissement que provoqua son arrivée tout au fond de sa chatte. Sans autre forme de procès il posa ses deux mains en coupe sur les fesses tendues devant lui et attrapa la croupe de sa partenaire en se retirant quasi totalement, avant de mener un second assaut, tout aussi progressif mais tout aussi profond que le précédent. Répétant méthodiquement cette technique, il ne tarda pas à faire expérimenter à Julie la pénétration la plus profonde qu'elle n'ait jamais subie. Le sexe d'Alexandre avait du se tendre encore un peu plus, se disait la jeune femme, tant il se faisait présent dans son intimité, surtout lorsque son propriétaire le lui faisait admettre totalement ! Mais c'était bon, c'était si divinement bon !
Elle n'aurait jamais cru que l'on puisse rendre une femme accro au sexe en une seule soirée, pourtant si Alexandre continuait avec le même talent, il devait bientôt réaliser cet exploit. Julie s'enflamma une seconde fois, plus vite encore que la première, et il en fut un peu contrarié, car si elle jouissait pour la deuxième fois si vite, elle allait s'épuiser et il aurait du mal à la garder motivée pour se dépenser et se donner sportivement' Il décida donc de ralentir la cadence et de la posséder moins énergiquement, histoire aussi de la laisser participer plus à cette levrette. Se retirant complètement, il saisit son chibre entre le pouce et l'index et le replaça dans l'ouverture de sa vulve, sans rien faire de plus, jusqu'à ce qu'elle entreprenne de ramener son bassin vers lui pour se faire pénétrer doucement. Elle aurait voulu le faire s'enfoncer plus, mais il se retira à nouveau, pour encore lui laisser prendre l'initiative de se faire empaler. Elle avait un peu perdu ses repères au début, n'ayant jamais jusqu'alors fait l'expérience de ce petit jeu, mais elle comprit vite quel avantage elle pouvait tirer de ces petites intrusions répétées dans la bouche de son vagin. A chaque fois elle se rétractait un peu, et à chaque fois elle devait s'ouvrir un peu pour le laisser s'y insinuer, et ce petit supplice était délicieusement sensuel. Et bien que cela soit un peu moins puissamment érogène pour elle, il n'en était pas de même pour Alexandre, qui prenait un plaisir infini à sentir sa petite chatte serrer le bout de son sexe s'y enfonçant, et à le regarder la percer délicatement. Il lui laissa le temps de bien dompter la technique et, avant de s'en être lassé, se pencha sur elle pour attraper ses seins sublimes qui l'avaient tant obsédé. Il commença par les malaxer virilement : Il en avait envie. Puis il prit secondairement le temps d'en titiller les petites pointes durcies avec tout le génie dont il pouvait faire preuve. Cela eu l'effet immédiat de la faire repartir au quart de tour, et également de la faire se tendre vers lui pour être pénétrée. Il recommença progressivement à lui donner ce qu'elle désirait à cet instant : de grands coups de queue, virils, puissants, faisant claquer son bassin contre ses fesses à chaque fois qu'il arrivait au fond d'elle, emporté par son élan, stimulant alors avec force les zones les plus sensibles de son anatomie intime. Julie, qui s'adonnait totalement à la pénétration, émettait à chaque fois qu'elle se faisait totalement enfiler des petits cris de jouissance qui ne cessaient de prendre du volume. Elle était devenue animale, femelle plus que femme, prête à s'abandonner complètement, au bord de la jouissance. Alexandre en profitait un peu moins à cet instant, bien qu'il fut plutôt fier de sa virilité, vu les coups de reins qu'il lui balançait en la tenant par les hanches, contemplant ce corps parfait absolument offert et soumis, le postérieur tendu vers le ciel et les reins cambrés au maximum. Ne cessant pas de la baiser tandis qu'elle commençait à devenir électrique, il se focalisa sur sa bite qu'il voyait s'enfoncer en elle, et ses désirs les plus pervers l'envahirent à nouveau' Il profita de l'occasion pour glisser doucement son pouce vers cet orifice encore interdit, le seul que Julie avait encore vierge, quelques millimètres au dessus de celui dans lequel il s'enfilait ce soir pour la première fois. S'étant d'abord placé à la naissance de sa raie, il ramena progressivement son doigt vers l'autre de ses extrémités qui l'entreprenait méthodiquement, pour voir sa réaction. Elle ne sembla pas s'opposer, toute absorbée qu'elle était alors par la montée en puissance de ses sensations et l'imminence de l'orgasme. Quand elle se mit à miauler, ou presque rugir en fait, il la prit avec plus de force encore, l'empalant littéralement de sa belle verge, ne se calmant un peu qu'en la sentant se décontracter une fois qu'elle eut longuement joui. Abusant d'elle durant ces quelques secondes d'éternité, il s'était mis à masser sa petite rondelle, et avait pu sentir sous sa phalange les contractions spasmodiques signant le plaisir qu'elle prenait. Il ne tenta rien de plus, d'autant qu'il pensait bien qu'elle n'avait pas du se laver spécialement pour ça à l'occasion d'une première nuit, et se doutait de la totale virginité de cet orifice, ce qui, évidemment, l'excitait encore plus... Il abandonna ces caresses un peu particulières une fois l'orage passé, avant qu'elle ne puisse en être gênée et continua à la limer lentement alors qu'elle se relâchait complètement, jusqu'à s'allonger sur le ventre, le cul à peine un peu dressé vers lui pour se faire encore passivement pénétrer.
Julie était alors vidée, lessivée par la tornade sensuelle qui venait de la surprendre. Il lui fallut quelques instants pour atterrir à nouveau, durant lesquels Alexandre se retira et ôta son préservatif sans qu'elle ne puisse s'en rendre compte. Il comptait profiter de cette période d'abandon pour obtenir d'elle qu'elle le reprenne dans sa bouche. Se laissant guider elle se redressa, à genou comme il le demandait, et ne broncha pas lorsqu'il se mit debout devant elle. La vision qui s'offrait alors fut comme un électrochoc alors qu'elle était encore un peu dans les nuages. Alexandre tendait vers elle sa grosse badine, à nouveau sans protection, encore plus gonflée qu'auparavant, luisante de ses secrétions masculines que le préservatif avait un moment contenues. Lorsqu'elle redressa la tête pour tenter d'esquiver cette fellation qu'elle n'avait nullement envie de faire, Alexandre la prit de court en lui chuchotant gentiment "Vas-y ma belle", et en fermant ses yeux pour couper toute réponse de sa part. Elle mit son orgueil blessé de côté et se plia rapidement à ses exigences, se comportant tout d'un coup comme la jeune fille inexpérimentée qu'elle avait pensé être au début de cette soirée. Il était par ailleurs évident à ses yeux qu'elle n'avait rien à gagner à s'opposer à lui alors qu'il lui faisait l'amour mieux qu'elle ne le croyait possible, et l'avait déjà fait jouir deux fois sans avoir encore dit son dernier mot. Cette pensée éveilla en elle la pire des craintes : Pourvu qu'il ne soit pas entrain de compter sur elle pour aller jusqu'au bout dans sa bouche. Que pouvait-elle faire d'autre sans le décevoir de toute façon ? Elle s'approcha de sa bite un peu visqueuse et la prit du bout des doigts de sa main droite. Entrouvrant les lèvres, elle les posa sur l'extrémité du gland et le fit parvenir à l'intérieur. Elle dut réprimer un haut-le-c'ur à cet instant, car ce sexe dégageait des odeurs animales assez marqués, et elle avait anticipé le goût qu'elle aurait. Elle se contrôla et la garda en bouche, stimulant le gland de la langue alors qu'elle en avait encore avalé quelques centimètres supplémentaires. En fait la saveur salée douçâtre qu'elle perçu enfin objectivement n'était pas du tout difficile à supporter, et elle se mit à faire de petites allées venues sur sa verge. Elle s'étonna encore de la facilité avec laquelle il avait pu la baiser malgré le diamètre vertigineux et la longueur inhabituelle de son phallus : Il lui fallait ouvrir grand la bouche pour en gober le n'ud, et il lui semblait qu'il était déjà presque au fond de sa gorge, à la limite de là où il lui provoquerait des haut-le-c'ur, quand elle pouvait encore garder sa main autour des nombreux centimètres qu'elle n'avait pas admis. Sa bite était phénoménale, pensait-elle, à juste titre d'ailleurs malgré sa petite expérience?
Alexandre perçut la fatigue qui l'avait un peu gagnée à la façon beaucoup moins appliquée avec laquelle elle le suça cette seconde fois. Il n'en était pas moins satisfait : D'abord bien sûr des sensations uniques qu'une femme pouvait procurer de sa langue, même sans véritable expérience, mais aussi et presque autant, de confirmer à chaque étape successive la motivation de sa nouvelle partenaire à découvrir le sexe tel qu'il l'entendait et à assouvir ses phantasmes, ou plus exactement à s'y soumettre? Elle ne prit cette fois aucun plaisir à le sucer, alors que cela l'avait assez étonnamment excitée plus tôt dans la soirée, car elle était trop préoccupée par le fait qu'il veuille peut-être éjaculer dans sa bouche.
Lorsqu'il sonna la fin de cette seconde fellation, son soulagement fut infini, et elle se coucha comme il le lui montra, près du bord du lit, les pieds reposant au sol. Elle ne comprit pas vraiment la man'uvre jusqu'à ce qu'il dispose, après avoir déroulé le long de son pieu un autre préservatif, un gros coussin au pied du lit, sur lequel il vint s'agenouiller, entre ses cuisses qu'il lui fit écarter assez généreusement. Il n'accorda pas la moindre importance à la rougeur qui empourpra à nouveau les joues de Julie, d'abord gênée de ne pas savoir vraiment ce qu'il désirait d'elle, puis d'être ainsi exposée à son regard une fois qu'il se fut placé entre ses jambes. Cela fut pire encore lorsque, se rapprochant d'elle, il empauma ses cuisses par en dessous et les lui fit lever bien haut, ouverte, offerte et impudique : Presque comme sur une table de gynéco. Il relâcha son emprise le temps de s'introduire à nouveau en elle, puis posa les mains en arrière de ses cuisses pour les maintenir très largement fléchies et écartées, tandis qu'il s'enfonçait très loin dans la petite chatte trempée qu'il avait délaissée quelques minutes. Julie s'arqua de plaisir lorsqu'il s'enfila dans l'étroite fente de ses petites lèvres, se délectant ensuite de sentir encore son gland massif parcourir et s'approprier la profondeur de son sexe, toute la profondeur de son sexe. Il lui fit admettre sans peine son entière virilité dans cette position ou, mieux encore que précédemment, il allait pouvoir la contempler totalement tandis qu'il la baisait. Il ne se voulait pas hypocrite, et ne se gêna pas pour porter son regard sur l'emboitement son pénis tendu dans sa vulve ouverte, se retirant jusqu'à ce que la base de son gland soit sur le point de s'échapper de ce fourreau humide. Il plaqua alors les cuisses de sa partenaire contre son ventre en s'appuyant assez fermement sur elles, maintenant son cul offert, et plongea en elle avec force, lui arrachant un petit cri de surprise et de plaisir mêlés. Il resta un instant ainsi profondément enfoncé, bougeant juste un peu ses reins, agaçant le col hypersensible de son utérus et son point G. Surveillant le visage de sa partenaire, il constata avec joie son abandon total et complice et observa, plus bas, sa pénétration. Il se retira à nouveau, avant de la reprendre, encore et encore, avec à chaque fois plus de force, jusqu'à se précipiter de tout son poids contre elle, faisant vibrer son corps tout entier en arrivant au terme de chaque assaut. Julie miaulait à nouveau, avec presque autant de force qu'elle en recevait dans le bas-ventre, se surprenant elle même de prendre son pied en se faisant défoncer de la sorte. Alexandre maintint cette cadence soutenue assez longuement, espérant peut-être pouvoir encore la faire jouir, mais il se fatiguait et Julie semblait se déconcentrer un peu. Il libéra son étreinte et continua ses allers retours plus doucement une fois qu'il eu reposé ses jambes sur ses épaules à lui. Julie avait déjà pris plusieurs fois son pied, devenant à chaque fois un peu plus humide et visqueuse, et sa chatte était maintenant plus lubrifiée que jamais : Il s'y glissait presque sans aucune sensation, surtout emprisonné qu'il était dans son préservatif. Il décida donc de changer de position, et elle se laissa passivement faire tandis qu'il passait une des jambes de sa compagne au dessus de sa tête pour la faire se coucher sur le côté, en chien de fusil, sans se retirer. Il la tira un peu vers lui et se retira tout de même en plaçant un second coussin sous ses genoux. Julie était lascive, épuisée, et presque indifférente. Cela ne le dérangea pas vraiment, car il n'avait pas de tout besoin de sa coopération dans cette position. Il se repositionna bien en face d'elle, pile à la bonne hauteur, et plaça sa queue tout contre la fente toute brillante de mouille qui se présentait maintenant fermée entre ses cuisses serrées. Il n'eut aucun mal à se glisser en elle, même si cette posture ne facilitait pas la pénétration. Elle lui parut à nouveau délicieusement étroite et serrée autour de son gland, exactement comme il l'avait espéré, et s'amusa ensuite longuement à jouer de son gland juste dans l'ouverture de son minou, se branlant le n'ud avec insistance. La faisant se recroqueviller encore un peu, il se redressa pour contrôler du regard ses allers et venues dans cette jolie petite vulve qu'il venait ce soir de pénétrer comme jamais elle ne l'avait encore été, et accéléra la cadence de ses allées et venue en elle jusqu'à ce qu'à son tour il atteigne enfin l'orgasme.