Chez Irène (8 et fin)

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Proposée le 3/03/2011 par sergio06

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Lire le chapitre 7.

Inceste comme dans les chapitres précédents.


Il est réveillé par le bruit de la porte d'entrée. Il est 6 heures du matin et il entend sa mère se traîner vers sa chambre et refermer la porte. Elle doit être épuisée se dit-il, et il n'a pas le c'ur de l'embêter, malgré son désir de savoir comment s'était passé cette première soirée pour Lucie.
Il finit par se rendormir, se réveille tout à fait vers 11 heures.
Se levant, il prépare le café sans faire de bruit.
Il a à peine terminé son petit déjeuner que sa mère sort de la chambre, les yeux encore à demi fermés. Elle vient se blottir dans les bras d'André et ils se font des petits bisous.
Buvant son café, elle lui raconte. La nuit a été assez fatigante, le bouche à oreille a parfaitement fonctionné au sujet de l'arrivée d'une nouvelle serveuse, beaucoup de monde est venu. Elle est contente de la recette et surtout du comportement de Lucie.
- Elle est super ! Elle s'est mise tout de suite dans le bain et elle a eu un succès fou. Cette évocation éveille la curiosité d'André.
- Tu veux dire que?
Il a du mal à trouver les mots, elle l'aide avec un sourire entendu.
- Je veux dire que beaucoup de clients lui ont demandé de passer un moment dans un petit salon, oui. Tu vas quand-même pas être jaloux non ? Tu savais bien à quoi t'en tenir non ?
André se défend, il n'est pas jaloux non, excité oui.
Elle sourit.
- Je préfère ça. Oui elle a beaucoup travaillé, nous avons beaucoup travaillé.
Elle a dit les derniers mots tout en le regardant d'un air salace. Ils sont assis côte à côte, sa main se pose sur le sexe de son fils. Comme elle s'y attendait, il bande de façon superbe.
- On dirait que ça t'excite ?
- Tu le sais bien que ça m'excite ! D'ailleurs tu l'as vu hier non ? Toi aussi d'ailleurs ça t'a excité d'entendre ce qui s'était passé entre Lucie et moi.
Elle est d'accord. Elle ajoute :
- D'ailleurs tu pourras lui demander toi même, je l'ai invitée à venir ici tout à l'heure.
André ouvre la bouche, étonné. Elle demande, amusée :
- Quoi ? Tu n'es pas content qu'elle vienne ?
André est fou de joie. Si elle a invité Lucie, ce n'est pas sans arrière pensée. Sa queue fait un bon sous les doigts de Monique qui s'en rend compte. Elle éclate de rire, un rire égrillard qui promet.
Il l'embrasse sur la bouche tandis qu'elle lui caresse doucement la bite sous la table.
Se détachant, il lui dit :
- T'es vraiment super maman, tu le sais ?
- Bien-sur ! Mais toi aussi mon chéri. Attends je vais me faire une petite toilette, elle ne va pas tarder à arriver.
Et lâchant le membre, elle se lève, imité par son fils. La bite superbement tendue pointe à travers le pyjama. Les yeux de Monique brillent d'un éclat qu'il connaît bien. Elle décide d'être sage.
- Attends un peu, elle ne va plus tarder.
Monique enlève son pyjama, se retrouve à poil devant son fils qui l'admire. Provocante, elle fait sa toilette devant lui qui regarde, les yeux exorbités. Elle s'habille d'une jupe légère et d'un corsage oubliant les sous-vêtements. André apprécie. Il fait sa propre toilette, met un short et un tee short.
Ils ont à peine terminé que la sonnette tinte. Monique l'invite à aller ouvrir et il se précipite.
Il ouvre la lourde porte d'entrée, Lucie apparaît, fraîche, comme si elle avait passé une bonne nuit. A peine dans la cour, elle l'embrasse sur la bouche. Ils restent ainsi puis se détachant :
- T'as l'air en forme !
Et elle pose sa main sur la bite qui est toujours dressée. André est aux anges, mais elle l'enlève aussitôt.
Ils entrent dans la maison, Lucie vient embrasser Monique. Sans gêne aucune, les deux restent enlacées, leurs lèvres soudées. André reste les bras ballants, ne sachant quelle attitude adopter, la bite tendue au maximum lui déformant le short.
Elles continuent de s'embrasser, se caressant le dos, puis le bas du dos, pour finir sur les fesses.
Enfin elles se séparent, les yeux brillants. Leur regard se pose sur André. Il doit avoir l'air parfaitement stupide car elles éclatent de rire. Un rire nerveux qui révèle leur désir.
André ne sait ni quoi dire, ni que faire car il vient de penser qu'il ne sait pas ce que sa mère a révélé de leur relation.
Monique va préparer des boissons, Lucie et André s'assoient sur le canapé. Lucie vient se coller à lui et un baiser passionné les unit. Il lui pelote les seins furieusement, ivres de désir. Elle lui masse la queue énorme à travers la culotte.
N'y tenant plus, il se lève et l'entraîne vers sa chambre. A peine arrivés, leurs lèvres se soudent à nouveau tandis qu'ils se déshabillent, se battant avec leurs vêtements.
Très vite ils retrouvent à poil. Il l'entraîne sur le lit et sans fioritures, la pénètre.
Sa bite vient buter au fond du con trempé et il la pistonne de belle manière. Les cris de Lucie ne tardent pas à retentir dans la pièce. André est déchainé. Des pensées s'entre choquent dans sa tête. Les cris augmentent, la jouissance est toute proche.
- Oui ! Oui ! Ah ouiii ! Oui, je viens ! Je viens ! Oui ! Oui plus fort ! Plus fort ! Ouiiiii !
Et elle jouit en hurlant son plaisir tandis que son amant se vide à son tour.
- Oui ! Oui, moi aussi je viens ! Je viens ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Ahhhh
Et il se répand dans le con brûlant en donnant des coups de reins furieux. Enfin il s'apaise, se laisse aller sur le corps de la jeune fille. Ils récupèrent, André se demande quelle position adopter vis à vis de sa mère quand il sent une main douce se poser sur ses fesses. Ce n'est pas Lucie qui l'enserre de ses bras.
Monique, la main toujours posée sur les fesses de son fils vient s'allonger à coté d'eux, un grand sourire aux lèvres.
André a décidé de laisser faire les choses, d'ailleurs il est évident que sa mère a décidé de prendre les choses en main.
Lucie ne dit rien non plus, regardant Monique d'une façon interrogative, mais pas gênée en apparence.
- Alors il t'a bien baisée ma chérie ?
Lucie sourit, s'étire et répond :
- Super ! Comme toujours.
Monique est toujours habillée. Elle est allongée sur le côté, sa tête reposant sur son avant bras, à l'aise. Devant l'air un peu ébahi de son fils, elle ajoute :
- Ne sois pas gêné, mon chéri. J'aime Lucie, j'aime faire l'amour avec elle, comme toi.
En fait rien d'extraordinaire pour elle. Se penchant, sa bouche vient se poser sur celle de Lucie.
La main vient caresser le sein à sa portée. Le bras de Lucie vient s'enrouler autour du buste de Monique.
André semble oublié. Doucement, il se retire et s'allonge de l'autre côté de Lucie. Les deux femmes se caressent sans vergogne à présent. André admire le spectacle, la bite ramollit, pleine de mouille et de sperme collé sur sa cuisse. Le spectacle est beau, nouveau pour lui.
La robe de Monique est remontée sur ses hanches, il peut apercevoir les belles fesses qu'il connaît bien et aime tant. Le corsage est ouvert. Se redressant, Monique se débarrasse de celui ci, fait glisser la robe sur ses cuisses. Elle se rallonge, se débat pour se débarrasser du dernier vêtement.
Enfin elle est nue. Descendant lentement le long du corps de Lucie tout en posant des baisers appuyés sur les seins, le ventre, sa bouche vient enfin se poser sur le sexe de la jeune fille.
Lucie râle de plaisir sous la caresse fabuleuse.
- Ahhhhh ! Ah oui ! Ah que c'est bon ! Que ta bouche est bonne !
La tête de la fille s'agite de droite à gauche, ses mains s'agripent sur ses seins et les malaxe furieusement.
- Ah que c'est bon ! Ah oui ! Ahhh !
André réagit enfin. Le désir est revenu à ce spectacle rare. Sa queue énorme est dressée vers le plafond et il ne peut plus rester ainsi. Sa Bouche vient se poser sur le ventre de Lucie qui réagit.
- Oui ! Ah oui !
André descend le plus qu'il peut, sa tête ne tarde pas à toucher celle de sa mère. Monique lui sourit des yeux et descend plus bas, vient bouffer le cul de la belle qui crie de plus en plus.
André descend lui aussi, ses lèvres parviennent à se poser sur le clitoris dressé de Lucie qui hurle de plaisir à présent.
- Oui ! Oui ! A oui, bouffez moi le cul ! Bouffez moi le bouton ! Ah que c'est bon ! Ah mon dieu ! Ah oui ! Ah oui, je viens ! Je viens ! Je viens !!!
Les derniers mots sont hurlés et la belle jouit comme une folle tandis que les bouches sucent l'anus et le bouton.
Elle se calme enfin, sa poitrine se soulevant à toute vitesse, les yeux fermés et le souffle court.
André libère la petite tige si sensible, tandis que Monique relève la tête à son tour. Les visages du fils et de la mère sont tout près, tout naturellement leurs lèvres se joignent pour un baiser passionné.
C'est à ce moment que Lucie rouvre les yeux. Assommée par le plaisir, elle regarde sans comprendre. Les lèvres se désunissent. Personne ne dit rien pendant un petit moment. C'est Monique qui rompt le silence.
- Tu as aimé ma chérie ?
- Si j'ai aimé ! C'était super !
Monique rente au niveau de la tête de Lucie, sa bouche vient se poser naturellement sur celle de la jeune fille. Un long baiser unit les deux femelles puis Monique lui dit quelque chose à l'oreille. Lucie répond doucement :
- Oui, allonge toi.
Monique s'allonge à son tour, les yeux fixés sur André, à genoux sur le lit face à elle, la bite fièrement tendue. Elle regarde la hampe magnifique avec envie mais ne bouge pas, se laissant caresser par Lucie qui descend peu à peu le long de son corps.
La bouche de la jeune fille est à présent sur le ventre de Monique, André se penche, vient poser sa bouche sur le sein de sa mère à sa portée.
Monique gémit sous les caresses, une main posée sur la tête de son fils, l'autre posée sur celle de Lucie. Celle ci regarde André qui caresse sa mère, les yeux brillants de luxure.
Bientôt la bouche de Lucie embrasse la chatte de Monique. Les cris de celle ci augmentent.
C'est au tour d'André de descendre sur le corps de sa mère. Et comme tout à l'heure, les têtes des deux suceurs se touchent.
Lucie descend encore et vient poser sa langue sur la petite rondelle qui frémit. Monique est folle de désir, sent la bouche de son fils descendre encore.
- Oui ! Oui ! Oui mon fils ! Bouffe moi le clito ! Suce le bien ! Ouiii ! Ah que c'est bon ! Que c'est bon ! Ah oui ! Oui ! Ah deux bouches sur moi ! Ah oui ! Oui sucez moi à fond ! Oui !
Les yeux de Lucie et d'André se croisent. Les yeux de la jeune fille sont pleins de luxure, lui disent son étonnement, son émerveillement de voir un fils caresser sa mère.
Les cris de Monique se sont transformés en hurlements à présent.
Monique aime les caresses et aime voir également. Appuyée sur ses coudes, les yeux fous de plaisir, elle encourage les deux jeunes à lui faire du bien.
- Oui ! Oui mes salauds ! Oui sucez moi bien ! Sucez moi ! Oui ! Ah oui ! Enfonces ta langue dans mon cul salope ! Plu fort ! Plus profond ! Ah oui ! Ouiii ! Ah que c'est bon !!! Ah oui ! Oui suce moi le bouton mon chéri ! Suce le bien entre tes lèvres de cochon ! Oui ! Oui !!! Ah Ouiiii ! Je viens ! Je viens ! Je viens !!!!
Les derniers mots sont hurlés un ton au dessus tandis qu'elle s'écroule sur le dos, donnant de coups de reins, les jambes écartées au maximum.
Elle continue à jouir longtemps râlant de plaisir avant de s'arrêter enfin, repue, morte de plaisir.
Les bouches s'écartent, Lucie regarde André de façon admirative, n'en revenant pas de la situation.
A la fin, leurs bouchent se joignent, ils se caressent.
André bande comme un fou. Lucie, excitée par la situation n'en peut plus elle aussi.
Il s'allonge à coté de sa mère qui émerge doucement, Lucie vient s'empaler sur la bite tendue.
- Ahhhh ! Mon dieu que c'est bon ! Ah qu'elle est grosse !
Et la fille monte et descend sur le vit brillant de mouille sous le regard enfiévré de Monique.
Les cris de la jeune fille augmentent, Monique se met sur le côté, caresse doucement le sein de son fils. S'approchant encore, elle pose sa bouche sur le mamelon. Cet endroit très sensible excite André.
- Oui ! Suce moi, j'aime ! Ah oui !
Lucie, excitée par la vision de Monique suçant le sein de son fils se sent partir.
- Oui ! Oui, je viens ! Je vais jouir ! Ah ouiii ! Ouiii ! Ahhhhh
Et elle se libère en donnant de furieux coups de reins, s'empalant sur cette bite qui lui donne tant de plaisir. Enfin elle s'écroule sur le corps de son amant qui lui caresse doucement les fesses d'une main, tandis que de l'autre il caresse le sein de sa mère à sa portée.
Monique a les yeux brillants, le souffle court. André sent qu'elle veut se faire baiser elle aussi, mais décide d'attendre sa décision à cause de Lucie.
La jeune fille se redresse, embrasse André sur la bouche, puis :
- Tu n'as pas joui ?
Il lui fait signe que non. Elle se redresse, se désempalant du membre énorme luisant de mouille.
Regardant l'un après l'autre Monique et André elle dit d'une voix douce :
- Je veux vous voir faire l'amour. Je veux que tu baises ta mère. Je suis sure que vous baisez ensemble.
Mère et fils se regardent. Monique se redresse, vient en face de son fils. Personne ne dit mot, l'instant est d'un érotisme rare. Soulevant une jambe, elle vient s'empaler sur la queue bien raide.
Lucie, les yeux exorbités par ce qu'elle voit respire très fort. Doucement Monique commence à monter et descendre sur le vit énorme.
Les gémissements de plaisir montent très vite. Monique a posé les mains sur le torse puissant de son fils et s'aide d'eux pour monter et descendre.
- Ah oui ! Oui ! Ah qu'elle est bonne ta bite ! Ah comme elle me remplit bien ! Ah mon dieu ! Que c'est bon ! C'est bon pour toi mon chéri ?
André gémit de plaisir lui aussi. La situation est formidable. Apparemment Monique n'avait rien dit à Lucie au sujet de leur relation.
- Oui ! Ah oui ! Ta chatte est trempée. Tu vas jouir bientôt ?
- Oui ! Oui je sens que ça vient ! Je sens que ça monte ! Je viens, je coule ! Ah que c'est bon !
Les cris ont remplacé les gémissements. La tête de Monique s'agite de droite à gauche, la jouissance approche.
- Je viens ! Je viens ! Ah oui ! Oui ! Ouiiii ! Ouiiii ! Ahhh
Le dernier cri les surprend par son intensité. Monique s'agite furieusement durant une jouissance qui semble ne jamais s'arrêter.
André qui n'en pouvait plus de se retenir se vide à son tour.
- Moi aussi ! Tiens ! Tiens prends ! Prends ! Ahhhh
Monique s'écroule sur le corps de son fils, morte de plaisir.
Lucie est folle de luxure. Jamais elle n'aurait imaginé ça. D'une main elle se caresse, sa chatte dégouline le long de ses cuisses. L'odeur dans la pièce est forte, mouille, sperme, sueur, tout ça mélangé.
Monique, toujours plaquée contre son fils, les jambes repliées sous elle, a le cul formidablement exposé, ouvert, la queue de son fils toujours fichée en elle.
Lucie se déplace, vient se mettre derrière ce postérieur sublime qu'elle aime et connaît bien.
La vue est splendide. Les deux gros globes ouverts, la raie dévoilant les deux globes la petite rondelle froncée, la bite d'André à peine ramollie bien visible et souillée abondamment par la mouille abondante de Monique.
S'asseyant derrière, elle se met à caresser doucement ce beau cul, passant sur la raie et s'attardant sur le petit trou. Très vite Monique réagit, poussant des petits soupirs de contentement. André s'en aperçoit.
- Qu'est-ce qu'elle te fait ?
- Elle me caresse le cul. C'est bon !
André lui aussi se sent caressé. Lucie a décidé de s'occuper des deux.. Une main s'attarde sur les couilles pleines de mouille, les caresse doucement. Monique s'aperçoit du plaisir ressenti par son fils amant.
- Elle te fait quoi ?
André ronronne de plaisir.
- Elle me caresse les couilles, c'est super !
Monique elle aussi montre des signes manifestes de contentement. Elle dit :
- Elle me caresse le petit trou, ah oui ! Ah c'est bon ! Ahh mon dieu !
Sa respiration augmente de rythme. Elle dit d'une voix mourante, tout en regardant son fils au fond des yeux :
- Ah oui ! Oui ! Ah la salope, elle me suce le petit trou ! Ah oui !
André lui caresse les nichons. Il sent un doigt s'insinuer entre ses fesses. Il relève les jambes tout en les écartant le plus qu'il peut tout en lâchant un soupir de satisfaction. Elle l'interroge du regard.
- Elle m'a mis un doigt dans le cul !
Monique respire de plus en plus fort. La situation est exceptionnelle, même pour elle. La langue de Lucie s'insinue dans son petit trou. En même temps elle sent la queue de son fils qui reprend de la consistance, de la grosseur. Doucement, elle fait jouer ses muscles internes, lui masse la tige qui enfle de plus en plus en elle. André fait une nouvelle découverte.
- Qu'est-ce tu me fais ?
Un sourire salace aux lèvres, elle lui explique. L'impression est fabuleuse pour le jeune homme.
- Tu sens ce que je te fais ? Je te masse ta queue avec mes muscles internes. Je la branle avec ma chatte. Ne bouge pas, reste comme ça.
Les gémissements de plaisir s'intensifient et Monique commence à onduler, s'empalant et se désempalant de la grosse bite. Lucie suit le rythme, sa langue ne quitte pas le petit trou qu'elle perfore de sa langue pointue. En même temps, elle branle toujours le cul d'André qui apprécie la caresse. Malgré tout la cadence s'accélère, Lucie ne peut plus suivre. Elle met un doigt, puis deux dans l'anus de Monique.
Les cris augmentent d'intensité, les deux amants se font l'amour tout en se faisant branler le cul par Lucie. C'est Monique qui la première annonce sa jouissance prochaine.
- Oui ! Oui ! Ah que c'est bon ! Ah oui ! C'est bon pour toi mon chéri ?
André lui aussi n'en peut plus, Lucie a mis un deuxième doigt, jamais il n'aurait cru que cela été si bon.
- Oui ! Oh oui c'est bon ! La salope me branle le cul ! Je sens que je vais bientôt jouir !
Monique a la bouche grande ouverte, semblant manquer d'air.
- Oui ! Oui c'est bon ! C'est bon ! Ah la salope ! La salope ! Elle me branle le petit trou aussi ! Ah c'est trop bon ! C'est trop bon ! Ah oui ! Oui ! Ahhhhh !
Elle jouit en gueulant à son habitude, accélérant la cadence, ce qui déclenche la jouissance d'André.
- Ah oui ! Oui ! Oui je viens ! Je viens ! Ahhh ! Tiens ! Tiens ! prends, prends ! Encore Ahhhhhh !
La chevauchée dure de longues secondes, puis Monique se laisse tomber sur le corps de son amant, repue de jouissance et de fatigue, en respirant très fort, cherchant sa respiration.
Lucie arrête son branlage d'anus, enlève doucement ses doigts.
Elle en profite pour changer de position. Elle était assise en tailleur derrière le couple. Regardant le drap sous elle, elle voit une large auréole, témoin de son désir. Sa chatte est une vraie fontaine, frustrée de jouissance, elle commence un lent mouvement de rotation autour de son bouton bandé comme une vraie petite bite.
Des soupirs montent de sa gorge. De sa main libre, elle caresse son sein, en pinçant le bout.
Les soupirs qui montent réveillent le couple. Monique tourne la tête et aperçoit le manège. Aussitôt elle se libère de la bite qui retombe mollement.
André, sur les coudes voit la scène à son tour. Les deux amants regardent Lucie se caresser. La scène est émouvante. Les yeux à demi-fermés, sa main droite caresse son sexe exposé entre ses jambes en tailleur, sa main gauche s'active sur son sein, en faisant le contour, le pouce et l'index pinçant de temps en temps le bout, l'étirant.
Ses soupirs rauques augmentent en intensité.
Monique et André regardent la scène, fascinés par l'érotisme qui se dégage du tableau.
Monique se déplace doucement, ne voulant pas rompre le charme. Elle se place derrière la jeune fille. Doucement, presque tendrement, elle enlace le corps de son amie, ses mains viennent se placer en conque sous les seins. Elle commence une caresse douce et légère. Instinctivement Lucie s'appuie contre son amie, abandonnant son sein. Relevant ses jambes, elle se caresse le sexe de ses deux mains. André se place en face de Lucie, s'installant en tailleur.
Lucie s'appuie à présent franchement sur Monique qui la soutient. Sa tête repose sur le cou de Monique qui continue de lui caresser la poitrine. Les gémissements sortent de la poitrine de Lucie. Une main s'occupe de son bouton, avec son autre main elle se branle franchement avec deux doigts qui s'activent à toute vitesse dans son con.
André semble subjugué par la scène, se contente d'admirer. Monique embrasse le creux du cou de son amie et le plaisir de celle-ci augmente visiblement. Des cris de plaisir sortent maintenant de sa gorge, sa tête s'agite de droite à gauche.
Lucie halète à présent, sa bouche largement ouverte semble chercher son oxygène. André, devant ce spectacle s'est remis à bander. Sa formidable bite est dressée vers le plafond. La prenant en main, il se branle doucement, les yeux rivés sur l'entre jambes de la belle branleuse.
Celle-ci semble tout près de la jouissance. Dans un état second, elle accélère la cadence de ses doigts qui entrent et sortent de sa chatte. Les doigts de la belle sont trempés de mouille, le parfum du nectar vient flatter les narines de Monique et d'André. Les cris augmentent de plus en plus, visiblement la jouissance est toute proche.
- Ahhhh ! Ah oui ! Ah comme c'est bon ! C'est bon de se branler ! Ah oui ! Ouiii ! Ah ! Ah je viens ! Je viens ! Oui ! Oui ! Ouiiii !
Elle crie franchement tandis que ses doigts accélèrent encore la cadence. Monique pince les mamelons de la belle qui jouit bruyamment, comme à son habitude.
La jouissance dure longtemps. Enfin les cris diminuent, les doigts s'immobilisent, la tête ne bouge plus tandis que sa poitrine monte et descend au rythme de sa respiration. Monique caresse toujours la poitrine aux tétons bandés de Lucie.
Celle ci semble revenir à elle. Péniblement elle ouvre les yeux, sourit à André, lève la tête, la bouche vient se coller sur celle de Monique.
Leurs lèvres s'écartent. La respiration de la fille s'est apaisée. Monique est encore sous le coup de la sensualité dégagée par la scène de masturbation.
- C'était bon ? En tous cas c'était très beau de te regarder. Beau et excitant à la fois. Tiens regarde la queue d'André !
Lucie ne regarde qu'elle. Les yeux brillants, elle pose une main sur la hampe qui vibre sous l'effet de l'excitation. Doucement, machinalement elle la branle. André est aux anges, il attend. C'est Monique qui dit :
- Allonge toi encore plus ma chérie, André va te baiser.
Monique se recule en disant ça, le corps de Lucie est presqque allongé.
- Vas-y mon fils, baise la bien fort, je sens qu'elle en a besoin !
André se met à genoux devant Lucie, prend son chibre d'une main, le présente à l'orée de la grotte ouverte. Posant ses yeux sur le visage de la fille, il la pénètre d'un seul coup de reins. Lucie pousse un cri de satisfaction en même temps que de surprise devant cet assaut brutal. Sa bite abutée au fond du vagin, il attend. Les narines de Lucie palpitent sous le plaisir ressenti. Elle dit d'une voix mourante.
- Vas-y ! Vas-y ! Bises moi fort ! Défonces moi !
André commence un long mouvement de va et vient, très lent. A chaque fois, sa bite ressort presque entièrement, son gros bout apparaît même, faisant très attention de na pas ressortir complètement. Cette lenteur exaspère Lucie qui se met à crier puis hurler. La sensation est trop forte. Etre remplie, puis quasiment abandonnée, sa chatte en veut plus.
- Vas-y ! Plus vite ! Plus vite ! Salaud ! Tu me rends folle !
André accélère un peu puis reprend son manège, la baisant très lentement, dominant son envie de la baiser à grands coups de reins. Lucie n'en peut plus. Elle insulte son amant sous le coup du désir. Elle pleure presque de désir, de rage, de frustration.
- Plus vite ! Plus vite je t'en supplie ! Plus vite !
André accélère à nouveau, amenant Lucie presque à la jouissance, mais de nouveau il reprend son manège, gougeant à peine.
- Non ! Non ! Je t'en supplie ! Je t'en supplie ! Baise moi fort !
Les derniers mots se transforment en sanglots sous l'effet de la frustration ressentie par la jeune fille. La queue épaisse qui déforme la chatte est pleine de mouille épaisse et odorante, les couilles en sont enduites elles aussi.
Monique malaxe plus qu'elle ne caresse les seins de la fille qui se tord dans tous les sens, malade de désir. Elle est bluffée par la technique de son fils. En tant que femme elle se rend compte de la frustration de Lucie.
André a de plus en plus de mal à se contenir. Les cris, les supplications de la fille l'ont amené au seuil du point de non retour. Il accélère la cadence, le désir monte en lui. Lucie, heureuse arrive à la jouissance.
- Ah oui ! Oui comme ça ! Ah oui ! Oui que c'est bon ! C'est bon ! Ah oui, oui je viens ! Je viens ! Je vais jouirrrr ! Ahhhhh !
Et elle jouit de superbe manière, se libérant enfin.
- Encore ! Plus fort ! Plus fort salaud ! Salaud ! Ahhhhhh !
Elle s'apaise au moment où André n'en pouvant plus, se libère lui aussi.
- Tiens ! Tiens, prends ! Prends salope ! Salope ! Ahhhhh !
André vient se coller contre Lucie qui, les narines pincées, les yeux clos, essaye de reprendre sa respiration. Sa poitrine monte et descend à toute vitesse.
André regarde sa mère, il lit de l'admiration dans les yeux de celle-ci. Monique se penche, les lèvres d'André viennent se coller aux siennes. Se détachant elle murmure :
- Tu l'as baisée de façon superbe mon chéri.
André est très fier du compliment, surtout venant de sa mère, d'une femme qui a une grande expérience. Doucement il se retire du vagin trempé, se relève et, s'approchant, présente sa bite souillée qui pend mollement entre les jambes. Celle ci se trouve au niveau de la bouche de Monique. Sans lâcher la poitrine de Lucie, elle ouvre la bouche. Une bonne partie de la queue disparaît dans la bouche de Monique. Méthodiquement elle nettoie le membre des sécrétions tandis que Lucie ouvre les yeux et contemple le spectacle.
Les deux autres s'aperçoivent qu'elle est revenue à elle. Elle lâche un grand soupir.
- C'est fou ! J'ai joui ! Jamais j'ai joui comme ça !
Pendant ce temps Monique a fini son travail de nettoyage. Malgré la douceur de sa langue, malgré toute sa science, le chibre est resté flasque.
Lucie se lève, titubant comme une femme saoule ; Monique en fait autant.
Tous les trois ont besoin d'une bonne toilette, ce qu'ils font dans la bonne humeur.
Il est maintenant temps pour les deux femmes de se rendre au travail, elles embrassent tendrement André qui reste seul.



Monique rentre alors que le soleil est déjà levé. André l'entend mais comme la veille, semble épuisée car elle ne vient pas lui rendre visite.
Monique se lève à midi, les yeux au milieu du visage. André lui montre une lettre qui est arrivée dans la matinée.
Elle la lit, son visage s'éclaire au fur et à mesure. Souriante, elle explique à André.
Monique a contacté il y a déjà quelque temps une agence immobilière de Lille spécialisée dans la vente de commerces. Il lui écrit en lui expliquant qu'il a une affaire susceptible de l'intéresser.
- Formidable ! Je vais prendre le train demain pour visiter, je serai de retour dans la soirée. Tu veux venir avec moi ?
André est d'accord, toujours en arrêt maladie.
- Si ça marche, tu n'auras plus besoin de retourner dans cette usine.
André est aux anges. L'idée de quitter ce travail ingrat qui ne lui va pas du tout l'enchante particulièrement et il espère de tout c'ur que l'affaire se fera.
Elle prend son petit déjeuner, toujours à son projet.
- Lucie viendra avec nous, si elle est d'accord. En attendant, cet après-midi je l'accompagne en ville, on va lui acheter de quoi se faire une garde robe décente.
Cette fois André fait la moue, il attendait avec impatience que sa mère finisse son petit déjeuner espérant passer directement au lit. Monique s'en aperçoit, souriante, elle le rassure.
- Ne fais pas cette tête, on a un peu de temps.
Et, posant son bol de café, elle se lève et entraîne son fils vers sa chambre. Tout naturellement ils se retrouvent nus
André qui n'a pas fait l'amour depuis la veille bande de belle manière. Monique s'allonge, ouvre les jambes, il plonge directement en elle.
Ils font l'amour passionnément. Monique jouit deux fois avant qu'André ne se déverse en elle.
Ils restent soudés l'un à l'autre un petit moment, récupérant de leur assaut, puis André se défait, s'allonge.
- Viens sur moi, je veux te boire.
Monique, excitée par le vice de son fils vient se mettre sur lui, prenant bien soin de mettre sa main en conque pour ne pas répandre le sperme partout.
André se régale de son sperme tandis que Monique nettoie la bite, jouant avec les couilles énormes. Leurs caresses les amène à l'excitation.
Monique mouille comme une fontaine.
- Ah oui, oui continue ! Continue comme ça je vais jouir !
Elle jouit
André jouit à son tour dans la bouche de Monique. Epuisés, ils restent sans bouger pendant quelque temps puis se lèvent car Lucie doit bientôt arriver. Celle-ci arrive en effet à peine ont-ils fini leur toilette.
Après les embrassades d'usage, les deux femmes sortent pour aller faire leurs emplettes.
André reste seul. Allongé sur son lit, il réfléchit. La vie est belle, il va sans doute pouvoir quitter cette usine, du moins il l'espère de tout c'ur.
Puis ses pensées retournent vers sa mère et Lucie. Il se dit qu'il a une chance incroyable. Puceau il y a encore quelques jours, il est arrivé à un point que jamais il n'aurait pensé, et surtout à un point ou la plupart des personnes n'atteindront jamais.
Il s'endort à moitié, les deux femmes qui reviennent, les bras chargés de paquets le réveillent.
Il les entend jacasser dans la chambre de sa mère. Après un petit moment il décide de les rejoindre.
Une envie pressante le fait d'abord se diriger vers la cour. Il se vide la vessie, sa bite à moitié bandée se dégonfle un peu, il la range dans sa culotte après l'avoir bien secouée.
Il entre dans la chambre de Monique, dont la porte est grande ouverte, il tombe en plein essayage.
Des paquets de toute sorte sont sur le lit et les deux femmes se trouvent face au grand miroir, lui tournant le dos.
Lucie est en train de passer une culotte et il a en point de mire les belles fesses, mises en valeur par la position de celle-ci, baissée en train de passer les pieds dans les échancrures. Les poils noirs abondants sont bien visibles et sa queue se dresse immédiatement. Elle se redresse, faisant glisser le léger vêtement le long de ses jambes. Elle se place face au miroir, jugeant de l'effet produit. Elle se tourne pour admirer le côté pile et l'aperçoit.
Elle lui sourit, demande :
- Qu'en penses-tu ?
- Oh moi, je préfère rien du tout tu sais !
Sa mère qui se trouve à coté de Lucie se retourne à son tour. Elle a la poitrine nue, et ses beaux nichons se balancent doucement tandis qu'elle est en train de régler les bretelles d'un soutien gorge qu'elle s'apprête à essayer. Elle répond à la place de Lucie :
- Je sais, mais une belle culotte comme ça, ça donne envie non ?
- Oui, de l'enlever !
- C'est bien ce que je dis, ça excite, pas vrai ?
André en convient. La culotte est étroite et monte assez haut. L'arrière surtout excite André. La bande de tissu décorée de dentelle est étroite, s'incruste dans la raie des fesses, épousant parfaitement leurs formes. André est en admiration devant ce beau cul et il admet en lui-même que le léger vêtement met bien en valeur les formes de la fille.
Monique se rapproche, passe les mains sur les fesses, semble vérifier que la culotte lui colle bien au cul.
- Super ma chérie, elle te va comme un gant !
Lucie cambre son cul, la tête tournée vers le miroir. Satisfaite elle se retourne et hoche la tête.
- Super ! J'aime bien Et se tournant vers André :
- Alors tu me l'enlèves maintenant ?
Il se rapproche, s'apprête à lui baisser le slip d'un coup. Monique l'arrête.
- Attends mon chéri. Regarde-moi.
André se fige, attend la suite. Monique se place derrière Lucie. Plaquant son corps contre celui de la fille, elle l'embrasse dans le cou de la fille qui relève la tête en fermant les yeux de contentement.
André voit les mains de sa mère qui se posent sur le ventre de Lucie et qui remontent doucement vers la poitrine. Elle empaume les beaux globes, les caresse un moment tout en regardant son fils qui savoure le spectacle.
Puis les mains disparaissent dans le dos de Lucie. Elles reviennent, ramenant avec elles les bretelles du soutien gorge. Doucement elle passe au dessus de la tête la bretelle, fait tomber le léger vêtement par terre.
A nouveau les mains viennent se placer en conque sous les seins, les font remonter, les malaxe tandis que la fille pousse des gémissements de bonheur.
Monique a les yeux rivés sur ceux de son fils. Elle lui dit :
- Déshabille toi mon chéri, tu seras plus à l'aise.
Comme dans un rêve, il s'exécute. Le tee shirt puis le short se retrouvent par terre. La bite énorme, agitée de soubresauts se dresse de belle manière sous les yeux des deux femmes. Monique dit, comme dans un murmure :
- Regarde ma chérie comme il bande bien !
Lucie a les yeux mourants. La scène est d'un érotisme incroyable. Haletante elle ne quitte pas des yeux le beau bracquemart. Monique dit encore :
- Approche toi André, viens caresser ces beaux nichons ! Ils sont à toi !
Il se rapproche, ses mains viennent au contact des seins doux et durs à la fois et se met à les caresser. Les mains de Monique viennent se plaquer sur le ventre qu'elles caressent tendrement, descendent encore, se posent sur le mont de vénus bien renflé, disparaissent pour se poser sur les fesses. Lucie est aux anges, elle gémit maintenant sous les caresses de Monique et André.
André, tout en continuant à caresser de ses mains les beaux seins, a posé sa bouche sur le téton, aspirant, mordillant le petit bout durci par le désir.
Le slip de Lucie descend doucement sur les cuisses, la toison apparaît aux yeux d'André. Il descend, sa bouche vient embrasser le ventre, puis le bas ventre de la fille tandis que Monique descend la culotte à fond. Lucie, s'en débarrasse d'un coup de pied, écarte les jambes. Une odeur de femelle en chaleur vient flatter les narines d'André.
Sa langue se pose sur le clitoris bandé qui dépasse de sa gaine. Aussitôt la fille pousse un cri de délivrance.
- Oui ! Ah ouiii ! Ah que c'est bon ! Ah oui !
Et elle continue sa litanie, se cramponnant à Monique pour ne pas tomber sous l'emprise du plaisir.
Ceinturant le corps de Lucie, Monique la fait doucement glisser vers le sol ou elle se retrouve allongée. Monique s'assoit, pose la tête de Lucie sur ses genoux, dit à André :
- Vas-y ! Vas-y mon chéri, baise là, elle n'en peut plus ! Mets lui ta queue et baise la fort !
Il ne demande que ça. S'allongeant devant le corps alangui, il prend son chibre d'une main et, d'une poussée brutale, la pénètre d'un coup de reins formidable.
Un grand cri se fait entendre.
- Ahhhh ! Ah ouiiii ! Ah que c'est bon !
André la baise à grands coups de reins sous les yeux de Monique qui regarde les yeux brillants. La jouissance arrive très vite.
- Oui ! Oui ! Oui ça vient ! Ouiiii ! Ahhhh !
Et elle jouit formidablement tandis qu'André continue de la pistonner sous le regard fou de Monique. Celle-ci est dans un état d'excitation incroyable.
Enfin Lucie s'apaise, André ralentit puis s'arrête. Monique pose ses lèvres sur la bouche de la fille, se relève et s'écarte, posant la tête de Lucie per terre.
S'allongeant, elle dit, tout en écartant ses jambes :
- Viens ! Viens vite me baiser !
André se relève et vient se placer entre les jambes écartées et d'un coup, vient empaler Monique qui le reçoit avec un Ahhh de satisfaction.
André reprend sa chevauchée et baise sa mère de belle façon.
- Oui ! Oui, comme ça ! Baise moi fort ! Ahhhh !
Et elle aussi se met à jouir bruyamment tandis qu'André se libère lui aussi.
Les deux amants jouissent en s'exprimant bruyamment sous les yeux de Lucie qui récupère doucement et admire le spectacle.
André s'arrête et s'affale sur le corps de sa mère qui l'entoure des ses bras, lui caresse le dos, les fesses.
On n'entend plus que les respirations bruyantes pendant un long moment. Lucie se relève et vient se coller contre les corps qui récupèrent.
Monique tourne la tête, lui sourit et l'embrasse. Un long baiser les unit, scellant leur entente dans le plaisir. André se relève, se désempale, se met à genoux. Sa bite souillée pend entre ses jambes, sous le regard reconnaissant et admiratif des deux femmes.
Ils se sourient, heureux, repus.
Ils se relèvent tous les trois. Monique se fait une toilette sous le regard concupiscent de Lucie et André, se vidant tranquillement la chatte dans le seau.
Ils finissent de ranger leurs achats puis, devant se lever tôt demain, Lucie leur dit au revoir et s'en va.
Monique et André vont au lit à leur tour. Ils s'enlacent, parlent un moment de leur espoir de voir leur v?u se concrétiser pour l'achat du bar et restent sages un long moment.
Puis, peu à peu, la bonne santé d'André, le vice de Monique font que le désir s'empare d'eux à nouveau.
Ils se retrouvent tête bêche, Monique dessus. Longtemps, ils se bouffent la chatte, la bite.
Monique a le temps de jouir deux fois avant qu'elle avale le sperme de son fils.
Repus et heureux ils s'endorment enfin dans les bras l'un de l'autre.


Dans le train ils somnolent tous les trois.
La gare de Lille leur semble immense. Le négociateur les attend et après les salutations d'usage il les emmène dans sa voiture.
Le quartier ou se trouve l'établissement est assez tranquille, c'est ce que cherche Monique. La visite du bar est positive. Tous, Monique, André et Lucie sont sous le charme. Des travaux sont à prévoir mais l'intermédiaire les rassure et leur donne les coordonnées d'un excellent professionnel.
Ils se mettent d'accord sur les modalités dans le bureau du négociateur et ils reprennent le train en fin d'après midi, la tête pleine de projets.
Monique et Lucie partent directement au bar, tandis qu'André se retrouve seul.
La soirée est plutôt tranquille. Monique met Irène au courant de la situation. D'abord étonnée, puis déçue, elle accepte finalement cette nouvelle du bon côté. Elle va mettre le bar en vente, partager l'argent de la transaction avec Monique et se retirer dans sa famille.
André donna avec une certaine jubilation son compte à son employeur qui l'accepta avec joie. Celui-ci fut tellement heureux de se débarrasser d'un ouvrier peu modèle qu'il le dispensa de faire ses huit jours comme c'était l'usage, ce dont André lui fut très reconnaissant.
Les deux mois qui suivirent se passèrent à organiser, superviser les travaux et ils n'eurent guère le temps de s'ennuyer.
Ils quittèrent enfin le village sans regrets, conscients tous les trois qu'une nouvelle ère s'ouvrait devant eux.
Ils baptisèrent le nouveau bar Chez Monique.
André s'occupait de garnir le bar, ranger les bouteilles vides et restait invisible, toujours prêt à intervenir en cas de problèmes.
Les mois passèrent et la vie continua ainsi, Monique embaucha deux autres filles car le bar a très vite été connu et apprécié.

Les mois passèrent et André finit par s'ennuyer et nous verrons dans un autre livre qu'il s'orienta dans une autre voie, toute tracée pour lui.