Une après midi détente

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Proposée le 28/02/2011 par eureka

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J'ai rencontré Stéphane un samedi soir ordinaire dans un bar dont le nom m'a échappé. Il avait la trentaine, la barbe soigneusement taillée et plusieurs bières belges au compteur. Il m'a gentiment bourré la gueule avant de m'inviter chez lui. Sa bite n'était pas la plus impressionnante que j'aie croisée. Fine et courte, elle bandait pourtant dès le pas de la porte franchi. Il baisée correctement, sans plus. Ce ne fut pas transcendant mais tout de même agréable. Il y avait chez ce jeune instituteur un mélange de vice et de savoir-vivre qui, à défaut de me faire grimper au lustre, m'excitait joyeusement. Stéphane parlait bien. Son humour était acide et parfois insaisissable. Il plaisantait sur la mort, la maladie et les handicapés avec une provocante légèreté. Il n'avait rien à voir avec les types un peu vulgaires qui me sautaient d'habitude. Nous avons flâné dans son salon toute la matinée du dimanche. Nous avons alterné fellation et cunilingus avec une belle régularité. Sa bite ne semblait pas vouloir quitté ma bouche ou mon vagin. Elle était toujours tendue vers moi, prête à éjaculer. Le plaisir était partagé. Il devait être midi, et nous venions de terminer cette excellente bouteille de vin blanc, lorsqu'il me sodomisa sur le canapé. Je sentais bien depuis un petit moment que mon trou du cul le tourmentait. Il venait de m'enfoncer longuement un puis deux doigts, histoire de jauger mon appétit pour la chose. Ne sentant chez moi aucune résistance particulière, il attaqua sans dire un mot. D'une façon qu'il voulait naturelle et non préméditée. Je le pris de court, joueuse, en m'installant à quatre pattes avant même qu'il ne me demande quoi que ce soit. Quelque chose d'humide coula le long de ma raie du cul et je sentis son gland tatôner à l'entrée de mon petit trou. Soucieux de bien faire, Stéphane y est d'abord allé tout en douceur, sans brusquer la naturelle résistance de mon sphyncter. J'ai senti son gland franchir avec précaution les limites de mon anus puis se heurter à une farouche opposition que je ne cautionnais pas. J'avais pourtant envie de me faire enculer mais parfois ce que la tête réclame le cul le refuse. Stéphane a alors retiré sa queue et réutilisé ses doigts. L'excitation devait commencer à l'envahir car il me branla le cul avec de plus en plus de vigueur, poussant aussi loin qu'il le pouvait. Il me lécha aussi la rondelle ce qui me fit ricaner bêtement. J'entendais ces bruits de bouche affamés et je compris dès lors que j'avais fort intérêt à bien me cramponner. Il fallut encore de longues secondes avant que sa bite ne puisse glisser avec facilité. Puis, mon trou du cul se dilatant dans les grandes largeurs, elle est soudain devenue plus virulente et sauvage. Elle a profité du formidable appel d'air offert par ma petite porte de derrière pour s'y fourrer cash. Tandis qu'il lâchait des râles vifs et secs, j'ai serré les dents pour ne pas laisser le plaisir s'enfuir trop vite. J'ai subi des va-et-vient de plus en plus virulents, partagée entre douleur et jouissance. De temps en temps, Stéphane, comme pour me ménager, retirait sa queue et me prenait par la chatte. Quelques coups rapides et profonds avant de revenir se glisser sans effort dans la richesse de mon trou du cul. Il se penchait au-dessus de moi et me murmurait des mots cochons. Il voulait que le mot enculer sorte de ma bouche. (les hommes aiment toujours entendre les femmes prononcer ce genre de mot). Il voulait que j'en redemande, que le désir ne vienne que de moi. Après avoir joui, il est resté un long moment en moi. Lentement sa queue s'est ramollie et a libéré mon trou du cul. La sensation de dilatation que j'éprouvais entre les fesses fut immense et déroutante. Un court instant je crus que jamais mon cul ne se fermerait comme avant.
Nous nous sommes ensuite revus plusieurs fois. Le mercredi après-midi le plus souvent. La journée des enfants comme il disait. Cette année là j'étais en fac de lettre. Je venais de louper ma première année sans émotion particulière et je ne pensais qu'à une seule chose depuis que j'avais vu toutes ces campagnes de pub contre le cancer : Profiter de la vie.
Mathilde, ma meilleure amie, ne manquait aucun épisode de mon feuilleton érotique. Elle m'écoutait avec gourmandise, me réclamant sans cesse de plus en plus de détail. La plupart des gens nous prenaient pour des s'urs. Nous étions assez proche physiquement l'une de l'autre. Si nous n'avions pas la plastique de putes russes, nous pouvions avouer sans vantardise que peu de déchets entachait notre constitution. On plaisait aux garçons de la fac ainsi qu'aux plus vieux. On savait qu'ils étaient nombreux à vouloir nous péter le cul. Ce qui nous convennait à merveille. Nous suivions les mêmes modes, simples et sobres, et n'étions jamais les dernières pour faire la fête. Nous nous étions déjà embrassées et caressées plusieurs fois. Un soir, même, défoncées comme jamais, nous nous étions carrés des doigts dans la chatte et jouer à celle qui jouirait la plus vite.
C'est en partie pour faire plaisir à Mathilde, que je proposai à Stéphane un plan à trois. Nous sommes allées chez lui un mercredi après-midi. Il était environ 15h et il nous servit, dans le salon, un savoureux cocktail à base de rhum et de cointreau. Mathilde était un peu stressée et fut vite saoûle. Du coup je lui proposai de rouler un splif. Pendant ce temps là, Stéphane ne s'égara pas dans des préliminaires inutiles. Il plongea sa main sous mon tee-shirt avant de la glisser plus bas, là où la chaleur montait de quelques degrés. Tout en l'embrassant goulûment, je sortis sa queue de sa cachette. Je descendis du canapé et m'agenouillai devant lui pour le sucer tout en la branlant. Mathilde était dans mon dos. Quel dommage ! J'aurai aimé voir sa tête et constaté la montée en flèche de son désir.
La première éjaculation de Stéphane était toujours très rapide. Il n'en s'était jamais caché. C'est après qu'il faisait preuve d'endurance et de performance. Je m'attendais donc à en prendre rapidement plein la gueule lorsqu'il donna quelques légers coups de bassins qui enfoncèrent sa queue si loin dans ma gorge que j'en eu des hauts le coeur. Pendant que je lui palpais les couilles, il éjacula abondamment comme prévu. Dès que tout le sperme fut expulsé et avalé, je me jetai sur mon cocktail pour me rincer la bouche et me débarrasser de cette odeur âcre et persistante. J'eu aussi, comme souvent dans ces cas là, un rire nerveux qui se communiqua presque aussitôt à mes deux partenaires. Cet après midi là, l'ambiance était détendue.
Tout en roulant son joint, Mathilde n'avait rien loupé de cette mise en bouche. Son regard était brûlant et Stéphane, comme moi, devina que le reste était aussi à bonne température. On tira tous sur le joint puis Stéphane nous resservit un verre. Il était déjà conquis par la situation et sa main droite ne pouvait s'empêcher d'astiquer régulièrement sa bite encore raide. Pendant que je préparai mon matos pour rouler un nouveau splif, Stéphane invita Mathilde à le suivre dans sa chambre.
Pétard à la main, je les ai rejoint trois minutes plus tard. Mathilde, nue, était étendue sur le lit tandis que Stéphane agenouillé sur le parquet lui bouffait la chatte tout en lui caressant les seins. Je me suis assise à côté d'elle et je l'ai embrassée. J'avais oubliée comme ses seins étaient ronds et généreux. Désirables à souhait.

Mathilde s'est ensuite mise à quatre pattes. Elle s'est appuyée sur les avant-bras et a redressé fièrement son cul. Stéphane a écarté ses jolies petites fesses pour avoir une vue plongeante sur son anus. Il a donné quelques rapides coups de langue sur cet espace intime avant d'y déposer un léger filet de salive. Puis il m'a demandé d'y mettre un doigt. L'endroit était sec et tendu. Encore inhabité. J'y ai vrillé la première phalange de mon majeur comme si j'étais une bonne bricoleuse. Doucement, mon doigt s'est enfoncé dans cette petite étoile rose. Je l'ai ressorti puis je l'ai remis. J'ai répété l'opération plusieurs fois et la sensation de glissade est devenue de plus en plus agréable. Stéphane m'a embrassé avec appétit tout en enfilant un doigt dans la chatte de Mathilde. Celle-ci avait la tête écrasée sur le lit et elle grimaçait. Elle semblait contractée par ces perspectives d'avenir à très court terme mais ce n'était pas là un signe de renoncement, plutôt d'impatience. Elle n'avait qu'une envie : Se faire enculer et fort. Ca se sentait. Son trou du cul s'abandonnait maintenant totalement au vice, il se dilatait inexorablement. Un deuxième de mes doigts s'enfonça sans retenue. Stéphane écarta de nouveau les fesses de mon amie. Le spectacle de ces deux doigts longs et fins qui glissaient sans frein dans ce magnifique anus le comblait. Jusqu'où pouvaient-ils aller ? Qu'allaient-ils découvrir dans ce couloir obscur et mystérieux ? Stéphane posa une main sur mon cul et chercha lui aussi la porte des secrets. Il y glissa un doigt avec une certaine brutalité qui me fit sursauter puis il m'embrassa. Après avoir joué ainsi pendant quelques dizaines de secondes, Stéphane me fit comprendre qu'il était temps pour sa queue bien dure de remplacer ces deux doigts qui glissaient dans ce trou du cul prometteur.
Je couvris sa bite d'une capote et Stéphane encula Mathilde sans sommation. Il ne prit pas autant de précaution qu'avec moi et enfonça sa queue sèchement entre ses deux fruits ronds et excitants que j'avais soigneusement préparés à se faire défoncer. Je m'asseyais à côté de mon amie, comme l'on fait avec un proche sur un lit d'hôpital. Ma main caressa ses longs cheveux noirs. Stéphane l'encula avec ardeur et lui claqua les fesses plusieurs fois. Il était violent et terriblement excitant. Mathilde serrait les dents. Mon majeur glissa sous son ventre et joua avec son clito. La belle jouissait comme elle n'avait jamais encore joui. Ses lèvres vibrèrent, son souffle devint saccadé et ses yeux s'illuminèrent. Tout son visage de jeune étudiante était marqué par le plaisir et la rudesse de la sodomie. Elle était maintenant totalement prise et je n'avais qu'une envie : Etre à sa place et sentir ce rugueux Stéphane me pêter les fesses. Je voulais aussi que mon trou du cul soit un garage à bite, que les hommes de la terre entière m'enculent avec ferveur. J'étais jalouse. J'enviai Mathilde et son trou du cul plein de bite. On dira ce qu'on voudra, les meilleures amies ne sont en fait que des concurrentes alignées dans une éternelle course à la queue.
Stéphane n'éjacula pas tout de suite. Au bord de l'explosion, il se retira, haletant, et plongea sa tête dans cette généreuse raie des fesses avec une voracité d'enfants. Mathilde soupira de plaisir. Elle apprécia ce moment de répit. Je lui tendis mon majeur qu'elle suça goulûment. Elle me sourit d'un air entendu, heureuse de partager ce moment avec moi. Stéphane se redressa, la barbe recouverte de mouillure et replongea férocement sa bite dans ce trou du cul qu'il venait de dévorer. Mathilde se lâchait maintenant totalement. C'est elle qui menait la danse. Son cul allait et venait avec de plus en plus de vitesse le long de cette bite plantée entre ses fesses. Une fois ou deux la queue de Stéphane sortit de son trou. Mathilde l'attrapa bien vite et l'engouffra aussitôt dans son anus jamais rassassié. Elle gueulait : « Encule moi. Vas-y encule moi. » Et plus elle gueulait et plus son cul faisait des va-et-vient sous le regard halluciné de Stéphane.
Allongée à ses côtés, je m'enfonçai maintenant un doigt dans la chatte et l'autre dans le cul. Le rhum me culbutait le cerveau. Pendant que cette chienne s'excitait l'anus sur une queue bien raide, je m'abandonnais aux délices de ma propre histoire et à tous ces hommes croisés une poignée de secondes dans la rue. J'imaginais des bites par dizaines, toutes plus belles et plus grosses les unes que les autres me labourer l'intérieur. Je recréais le désir et la douleur, les bruits et les odeurs. Qui de nous trois avait le plus de plaisir ? Personne n'aurait su le dire.
Stéphane finit enfin par jouir. Avant, il retira sa bite puis sa capote. Il se branla un peu et éjacula sur le cul de Mathilde puis étala le sperme avec le plat de la main. L'enculée était à bout de force. Le visage rouge comme la braise et les cheveux en pagaille, trempée de sueur et d'orgasme. Stéphane admira une dernière fois son trou du cul béant, satisfait de sa conquête. Mathilde s'étendit à mes côtés et posa la tête sur ma poitrine, haletante.
Nous avions joui tous les trois au même moment. Allongés sur le lit, les corps nus plongés dans la bonne odeur du sexe et de l'ivresse, nous éclatâmes de rire. Et Stéphane nous proposa un autre verre de rhum