Chez Irène (7)

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Proposée le 27/02/2011 par sergio06

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Lire le cahpitre 6.

Inceste comme dans les chapitres précédents.


André se rend chez Lucie. Son père va mieux, il décide d'aller au jardin à quatorze heures.
A peine celui-ci parti, Lucie vient se coller à lui. Il l'embrasse mais à sa grande surprise il refuse d'aller dans la chambre.
- Je dois te parler de quelque chose. De quelque chose d'important pour toi.
Il lui explique, elle le laisse parler, demandant une précision de temps en temps. Au fur et à mesure qu'il explique, son visage s'éclaire. Bien-sur elle connaît la réputation du bar, elle sait ce que ce travail implique. Mais elle n'en a cure, elle est prête à tout pour s'en sortir. Et puis elle se dit qu'elle pourra baiser tout en se faisant payer. Quand à sa réputation, elle n'a plus rien à perdre depuis longtemps.
Elle est très flattée et heureuse que Monique ait pensé à elle. Elle a bien compris que c'est peut-être la chance de sa vie. Elle applaudit et embrasse André.
- Que je suis contente ! Tu es sure qu'elle va me prendre ?
André freine ses ardeurs.
- Attends, tu te débrouilles avec elle, c'est elle seule qui va décider. Elle voudrait que tu ailles la voir, vers quinze heures.
Elle regarde l'heure, elle a juste le temps de se préparer. Elle le quitte, va dans sa chambre se préparer. André lui a bien recommandé de se mettre en valeur.
André la suit. Sans s'occuper de lui, elle se déshabille entièrement, met sa plus belle culotte, cherche un soutien gorge qui irait avec, n'en trouve pas.
Il lui suggère de ne pas en mettre.
- Ils tiennent bien, pas besoin de t'encombrer avec ça !
Elle met sa plus belle robe. Une robe légère, assez décolletée mais pas trop quand-même.
Une veste légère pour faire habillée, elle est prête.
- Tu crois que je vais plaire à ta mère ?
André fait la moue.
- J'en suis sur, mais sois bien gentille avec elle. Elle va vouloir vérifier si tu sais être gentille avec les gens. Mais je suis sur que tu sauras te débrouiller.
Elle le regarde, les yeux brillants, comprenant parfaitement ce que cela voulait dire.
Elle met un petit mot pour son père et sur un dernier baiser, elle s'en va. André retourne chez lui.
Il y a à peu près une demi heure de marche jusqu'au bar. Son c'ur bat, elle a peur de ne pas être à la hauteur.
Enfin elle est arrivée. L'établissement, un peu isolé à la limite du village et juste à l'orée du bois ne paie pas de mine de l'extérieur. Seul un véhicule est stationné devant.
Elle entre, un peu intimidée tout de même. Ce lieu est réservé aux hommes.
L'intérieur est beaucoup mieux. Décorée avec gout, la salle est peu éclairée comme il sied à ce genre d'endroit, surtout que les fenêtres sont masquées par de lourdes tentures rouge foncé.
Il y a des banquettes et quelques fauteuils à l'allure confortable autour de petites tables. Un petit bar se trouve sur un coté, Monique est en discussion avec un client. Elle l'abandonne et se dirige vers elle, souriante.
- Je suis contente que tu sois venue, suis moi.
Elle l'emmène dans un tout petit salon attenant qui comporte une banquette, deux fauteuils, une lampe tamisée sur une petite table et c'est tout.
- Tiens assieds toi la, je reviens.
Elle va chercher Irène, lui demande de s'occuper du client et revient.
Souriante, elle lui demande ce qu'elle va boire. Elle demande une bière, Monique fait la moue.
- Tu ne veux pas plutôt du champagne ? Il y a toujours quelques bouteilles d'entamées.
Et elle ajoute, charmeuse :
- Autant t'y mettre tout de suite si tu dois travailler ici.
Lucie est d'accord.
Monique se dirige vers un recoin, ouvre la porte d'un petit frigidaire et en sort une bouteille de champagne à peine entamée. Elle saisit deux coupes et les remplit.
Monique soulève son verre, imitée par Lucie. Elles boivent un peu puis :
- André t'a expliqué en gros ce que nous cherchons Irène et moi ?
- Euh?, oui.
Monique la détaille.
- Enlève ta veste, il fait très chaud ici.
Elle s'exécute. Monique note qu'elle ne porte pas de soutien gorge. Un bon point pour elle. En plus sa poitrine a l'air de tenir très bien, mais ça elle le savait déjà, renseignée par André.
Elle la regarde en silence. Elle la croise de temps en temps, mais toujours en coup de vent. Elle s'aperçoit qu'elle est vraiment belle. Elle ressert une autre coupe et elles boivent de nouveau.
Reposant son verre, Monique lui demande :
- Tu peux te lever ?
Un peu hésitante elle se met debout, Monique en fait autant et vient près d'elle. Elle lui prend les mains, la fait tourner.
- Marche un peu.
Lucie fait deux pas, c'est à peu près tout ce qu'elle peut faire vu la grandeur de la pièce, et revient.
La robe de Lucie est très large, agréable certes mais peu adaptée pour l'endroit ou elle veut travailler.
- Tu comprends, les hommes veulent des femmes sexy, habillées avec des robes assez moulantes. Tu vois ce que je veux dire.
Lucie baisse la tête, désappointée.
Monique voit son désarroi, la rassure.
- C'est pas grave, si tu fais l'affaire on ira t'en acheter. Mais, il faudrait que je puisse voir si tu peux les porter. Voyons, Irène fait à peu près ta taille, ou plutôt faisait, rectifie-t'elle, tu veux essayer si elles te vont ?
Lucie accepte avec joie. Monique lui fait signe de la suivre. Elles montent à l'étage. Elles arrivent dans un long couloir qui dessert plusieurs chambres. Monique lui fait signe de rentrer dans celle du fond.
- Je reviens de suite.
Lucie inspecte la chambre. Tout ici est fait pour apaiser. Un grand lit, des lourds rideaux rouge foncé aux fenêtres, des lumières tamisées, de la moquette par terre.
Monique revient avec plusieurs robes qu'elle pose sur un fauteuil. Elle en choisit une, la prend et lui dit :
- Tiens, on va commencer par celle ci. Déshabille toi.
- Je n'ai pas de soutien gorge.
Monique éclate d'un rire un peu nerveux.
- Et alors ? Tu ne vas pas commencer à faire la mijaurée non ?
Se trouvant idiote en effet, Lucie retire les boutons de la robe et la laisse tomber par terre. Elle se retrouve en slip.
Monique regarde, très intéressée. Lucie s'apprête à endosser la robe mais Monique l'arrête.
- Attends, tourne toi que je vois tes fesses.
Elle se tourne, laissant admirer son beau derrière. Monique est satisfaite, mais la culotte grossière ne met pas son cul en valeur. Elle le lui dit.
- Attends, je vais te faire essayer des mieux que celle là.
De nouveau elle s'absente et ne tarde à revenir, des culottes dans une de ses mains.
- Voilà, ça sera mieux.
Et d'une voix très douce :
- Enlève là
Lucie cette fois ne dit rien, peut-être à cause du champagne aussi. D'un geste décidé, elle fait glisser sa culotte le long de ses jambes, achève de s'en débarrasser d'un coup de pied, puis regarde Monique bien en face, sans baisser les yeux.
La mère d'André admire l'épaisse toison brune qui lui mange le bas du ventre, sourit en lui disant :
- Et bien tu vois, ce n'est pas difficile. Tourne toi encore.
Lucie s'exécute. La scène commence à l'exciter. Est-ce le champagne ?
Monique admire le beau cul de Sylvie. Les fesses sont bien rebondies, bien cambrées. S'approchant, elle lui met la main aux fesses. Lucie, instinctivement cambre encore plus son derrière. Monique est ravie.
- C'est bien ferme ! Bravo !
Sa voix est plus douce à présent, sa main s'attarde, caresse les beaux globes bien rebondis et fermes.
Enfin elle se décide à lui donner la culotte.
- Tiens celle-ci.
Lucie décide de faire le grand jeu. Se mettant en face de Monique, elle s'assoit sur le bras du fauteuil à côté d'elle. Elle ramène la jambe gauche, la passe dans la culotte, repose tranquillement le pied, fait de même avec l'autre. Durant cette opération elle a bien pris soin de bien écarter les jambes. Elle se lève, remonte le léger vêtement, s'arrangeant pour se contorsionner le plus possible tout en regardant sa future patronne.
Monique admire le spectacle que Lucie lui donne. Même si elle n'était pas au courant de ses turpitudes, elle saurait que c'est une vicieuse. D'ailleurs ça se voit à la façon qu'elle a de la regarder à présent, sans baisser les yeux, avec quelque chose qui dit « Oui, tout ce que tu veux ».
Monique s'approche, la prend par l'épaule et la fait pivoter une fois de plus. Le déhanchement des fesses est révélateur lui aussi se dit-elle.
La culotte, beaucoup plus petite que celle avec laquelle Sylvie était venue, lui moule parfaitement le cul tout en cachant un minimum.
De nouveau Monique passe sa main sur les fesses, comme pour voir si elle lui colle bien à la peau, semble satisfaite. Sa main s'attarde sur le cul de la fille.
- Très bien, tu pourras la garder, j'en ai des tas. Pour l'instant tu peux l'enlever.
Lucie refait le même manège à l'envers, ses yeux ne quittent pas ceux de Monique.
Elle se remet debout, Monique lui tend une robe. Celle ci lui va à merveille. A nouveau Monique palpe bien la robe partout, surtout autour de seins. Elle remarque :
- Ils sont super ! Très beaux vraiment !
Monique respire fort. Doucement elle lui dit :
- Enlève la robe.
La robe par terre, Lucie fait un pas vers elle, la ramasse et la pose sur le fauteuil. Elle se retourne, Monique est collée à elle. La regardant dans les yeux, elle prend les seins en main, les caresse, en fait le pourtour. Lucie tend la poitrine en souriant doucement. Elle se laisse faire puis lui demande comme dans un murmure :
- Moi aussi j'aimerai voir les vôtres. Ils ont l'air bien plus beaux que les miens.
Monique sourit, un voile trouble dans son regard. Elle se tourne.
- Tu m'aides ?
Lucie descend doucement la fermeture éclair qui part de la nuque jusqu'au bas des reins. Monique se retourne vers Lucie, la regarde, fait glisser sa robe sur une épaule, puis l'autre. Elle fait glisser la robe, faisant lentement apparaître ses seins magnifiques.
C'est au tour de Lucie maintenant d'avoir les yeux brillants. Elle sait qu'elle possède une belle poitrine, mais elle doit reconnaître que celle de Monique est magnifique. Plus gros, plus ronds, plus agressifs avec leurs bouts qui se dressent vers elle, ils sont réellement plus beaux que les siens.
Il est vrai que Lucie, si elle a eu beaucoup d'aventures masculines, n'a jamais eu de relations sexuelles avec une femme. Elle n'a même jamais vu une femme nue. Elle reste émerveillée devant le spectacle que lui offre Monique. Comme dans un rêve, Lucie pose doucement, timidement ses mains sur les seins.
Les deux femmes ne parlent plus, un silence oppressant se fait entendre. On n'entend plus que les respirations oppressées qui sortent des belles poitrines.
Monique a mis ses mains sur les hanches de Lucie, les caresse doucement tout en descendant insidieusement sur les belles fesses. La peau est douce.
Lucie s'enhardit peu à peu. Comme dans un état second, ses mains se mettent à caresser de plus en plus les beaux seins.
Monique se rapproche doucement, les deux femelles sont l'une contre l'autre, leurs seins se touchent. Lucie relève la tête vers Monique, celle ci avance ses lèvres, elles s'embrassent.
Monique entoure sa compagne de ses bras, lui caressant le dos, descendant rapidement vers le creux du bas des reins, tandis qu'elle avance une jambe et l'insinue dans le bas ventre de Lucie.
Celle ci se colle à cette jambe, frotte son pubis dessus.
Monique insinue ses doigts dans la raie culière chaude et humide. Elle sent nettement la présence des poils abondants dans cette zone.
Monique force Lucie à reculer jusqu'au lit ou elle se trouve bloquée. Toutes les deux se retrouvent sur la couche. On n'entend plus que les halètements des deux femmes.
Lucie est toujours dans un état second. Monique, plus expérimentée, libère la bouche de sa compagne et descend peu à peu. Ses baisers explorent les seins, le ventre puis la zone pubienne envahie par les poils. Monique n'a jamais vu un tel tablier de sapeur, malgré pas mal d'aventures féminines. Très vite elle arrive au but, le sexe largement ouvert et trempé.
Quand sa bouche vient au contact du sexe, Lucie crie un grand coup et se débat. Monique accentue la pression de sa langue sur la belle ouverture odorante et poisseuse de mouille.
Lucie écarte à fond ses jambes, s'aidant de ses mains. Monique alors montre tout son savoir faire en léchage de chatte. Lucie gémit sans arrêt, criant de temps en temps.
- Ah oui ! Oui ! Ah comme c'est bon ! Oui ! Ah jamais on m'a bouffé la chatte comme ça ! Ah oui !
Monique ralentit parfois, diminue l'intensité de sa caresse lorsqu'elle voit que la jouissance approche, s'attirant des gémissements qui ressemblent presque à des pleurs, puis accentue sa caresse. Manifestement elle veut faire durer le plaisir et surtout donner à Lucie un plaisir qu'elle n'oubliera jamais.
Enfin, malgré tous les efforts de Monique pour retarder le déclenchement du plaisir, Lucie part, rejoint le septième ciel, éprouve une jouissance que jamais personne, aucun de ses partenaires males n'a pu lui offrir. Elle crie comme une possédée, se vidant dans la bouche vorace de son initiatrice.
- Ahhh ! Ahhhh ! Ah mon dieu ! Ah ouiiii ! Ahhhh !
Et elle continue de crier, exprimant son bonheur.
Monique libère le con qui bat, comme voulant happer quelque chose, semblant agité d'une vie propre. Elle ne peut quitter son regard de cette magnifique vision, tandis que Lucie récupère.
Enfin la chatte se calme, tandis que Lucie semble revenir lentement à elle. Elle se glisse sur le lit et vient près de sa bouche, souriante. Lucie lui prend la figure et l'embrasse sur les lèvres. Monique se laisse faire. Elle sait qu'elle s'est faite une amante qui fera tout pour la remercier, pour lui rendre la pareille, une amante qui lui sera fidèle.
Leurs lèvres se quittent. Monique regarde le visage d'après l'amour de Lucie. On devine sur ce visage toute l'intensité de la jouissance qu'elle a éprouvée. Monique lui pose la question :
- C'est la première fois pour toi ?
- Avec une femme oui.
- Et comment tu trouves ça ?
Elle connaît la réponse mais elle veut que Lucie le dise elle-même.
- Incroyable ! Jamais aucun homme ne m'a faite jouir autant de cette façon !
Monique est satisfaite. Elle s'allonge sur le dos au coté de Lucie, voyant si celle ci allait prendre l'initiative. Lucie récupère encore un peu, puis se redresse sur un coude, admirant la poitrine de Monique. C'est vrai que celle ci semble réellement fascinée par les beaux seins de Monique.
An bout d'un petit moment Lucie vient poser délicatement sa bouche sur le sein à sa portée. Un léger soupir de satisfaction s'échappe des lèvres de Monique. Encouragée, Lucie pose sa main sur l'autre sein et commence à le caresser lentement. Sa bouche mordille le téton dur et long qu'elle fait coulisser, comme si elle suçait un membre d'homme.
La caresse est très douce, on sent que la fille s'applique. Encouragée par la montée des soupirs de Monique, elle caresse à présent le ventre légèrement bombé. Faisant des petits cercles légers, elle descend peu à peu vers le pubis. Abandonnant le sein qu'elle suçait, sa bouche descend sur le ventre qu'elle flatte avec de petits baisers légers. Sa main se pose sur le sexe brûlant.
Immédiatement Monique avec un petit gémissement de plaisir écarte fortement les jambes.
Lucie glisse doucement sur le sexe baillant. Les gémissements de Monique augmentent fortement. Elle insinue deux doigts dans la fente trempée.
Se glissant sur le lit, Lucie approche sa figure du sexe. Une odeur forte l'enivre, elle introduit deux doigts dans la chatte. Monique se met à gueuler tout de suite.
- Oui ! Oui, branle moi salope ! Branle moi ! Ah oui ! Ouiii !
Lucie accélère sa branlette. Ses doigts coulissent dans le con envahi par un jus abondant. Monique n'en peut plus, elle se redresse à moitié sur le lit, l'encourage.
- Oui ! Oui, je vais jouir ! Ah oui ! Oui continue ! Ahhh ! Ahhhhh !
Elle jouit en criant aussi fort que Lucie quelque instants avant. Lucie arrête son va et vient lorsque la jouissance est terminée.
Monique attire Lucie vers elle et elles s'étreignent longuement.
Se libérant, elles se regardent, se souriant. Lucie a perdu son aspect un peu timide qu'elle avait en entrant et Monique retrouve la Lucie que son fils lui avait décrite, chaude, jouisseuse, impudique et sans tabous. Elles se caressent doucement pendant un long moment puis se retrouvent l'une sur l'autre. C'est Lucie qui se retrouve sur Monique. Elles découvrent, inspectent tout en se caressant le sexe de l'autre.
Monique est bluffée par la toison envahissante de Lucie. Les poils gagnent l'intérieur des cuisses, remontent haut dans la raie des fesses.
Lucie, elle découvre une chatte de blonde, peu poilue mais très grasse. Le pubis est très renflé, les grosses lèvres sont vraiment proéminentes, la raie du cul est dégagée, la petite rosace est très visible. A mesure que le temps passe elles regardent de moins en moins et agissent de plus en plus.
Les soupirs montent, les langues, les doigts agissent. Il semble que les deux femmes ont décidé d'aller doucement, de ne pas brusquer les choses, de ne pas rechercher la jouissance rapide.
Lorsque les soupirs sont trop prononcés, les caresses diminuent, se font aériennes, pour ensuite recommencer de plus belle.
Au bout d'un long moment, elles n'en peuvent plus. Elles sont prêtes à jouir à la moindre caresse, au moindre toucher.
Les bouches se collent au sexe l'une de l'autre, un doigt dans le cul, elles jouissent longtemps, savourant leur plaisir.
Repues, elles se relèvent. Monique invite Lucie à prendre une douche et après s'être bien rafraichies elles redescendent au bar.
Monique explique les détails concernant son futur travail puis elle la libère, lui donnant rendez-vous pour demain après midi.
Au moment de partir elle se ravise, bafouille. Monique l'encourage à parler.
- Pour, heu' Au sujet d'André, je dis quoi ?
Monique réfléchit un moment puis, se décidant :
- Tu peux tout lui dire, ça vaut mieux. De toute façon il l'apprendrait très vite.
Elles se quittent sur un baiser appuyé, Lucie rentre chez elle, légère et folle de joie. Non seulement elle a trouvé un super travail mais en plus une amante qui l'a initiée aux joies de Sapho.



Il est presque dix neuf heures lorsque Lucie rentre chez elle. Elle informe son père qu'elle va prendre un nouveau travail le soir, à partir de demain, lui disant que c'est dans un grand cinéma de la cité voisine et qu'elle va être obligée de rentrer tard tous les soirs. Pas question, du moins pour l'instant de lui avouer la vérité. On verra bien par la suite.
Le père, assez satisfait que Lucie ait trouvé du travail et pas très curieux de nature ne dit rien.
Elle fait à manger. A peine leur repas terminé, André frappe, venant aux nouvelles. Ils attendent que le père se dirige vers sa chambre puis elle raconte.
D'abord hésitante, elle entre dans les détails quand elle voit son intérêt pour ce qui s'est passé entre elles. André se met à bander comme un fou. Il se lève, sort sa bite et lui demande de continuer, de ne rien oublier. En même temps, il dénude le haut de la robe, empoigne les seins et se met à les pétrir.
Lucie lui dit tout. Lui prenant le membre entre ses doigts, elle le branle doucement tout en continuant son récit. Le garçon râle de plaisir.
- Oui ! Continue comme ça ! Ah que c'est bon ! Oui, oui continue ! Raconte moi la suite !
Lucie termine son récit. André est dans un état indescriptible. Sa bite est tendue comme jamais et il sent qu'il va bientôt jouir. Des gémissements de plus en plus forts, incontrôlés, sortent de ses lèvres.
Lucie s'en émeut, il ne s'agit pas d'alerter son père. Se rapprochant de lui, elle lui murmure :
- Je vais te faire jouir, mais attention ! Mon père ne dort certainement pas.
Elle l'embrasse sur les lèvres et le branle de plus belle. Elle étouffe les sons de plaisir qui sortent de la poitrine d'André. Celui-ci a entouré les épaules de la belle branleuse, la caresse furieusement.
Soudain la jouissance arrive, brutale. Les puissantes giclées atterrissent sur la poitrine de la fille qui accélère la cadence.
Elle stoppe sa masturbation quand les pulsations du membre se sont arrêtées. Elle libère les lèvres de son jeune amant, le regarde, les yeux luisants de désir.
André constate les dégâts. Le haut de la robe est souillé par le sperme qui continue de dégouliner sur les seins magnifiques. Elle ne s'en émeut guère, tenaillée par le désir.
- Tant pis, je la laverais demain.
Se levant, elle se débarrasse prestement de sa robe et, se rasseyant, elle lui dit tout en s'allongeant sur le lit :
- Suce moi ! Suce moi vite, j'en peux plus ! J'ai envie de jouir moi aussi.
André ne se le fait pas répéter. Se mettant à genoux, il approche son visage de la motte trempée. Les jambes largement écartées, Lucie attend avec impatience.
André porte ses lèvres sur le sexe et la fille réagit immédiatement.
- Oui ! Oui !!
André arrête sa caresse. Lucie a compris. Empoignant un oreiller, elle le met sur son visage non sans lui voir dit :
- Vas-y ! Suce moi ! Je sens que ça va venir très vite !
André reprend sa caresse. Des sons étouffés mais très atténués se font entendre. Elle ne tarde pas à jouir en effet. Il se régale du jus qui se répand dans sa bouche. Le flot semble ne jamais arrêter et il continue sa caresse jusqu'à ce qu'elle lui demande d'arrêter.
- Ah j'ai joui ! Ah que c'était bon.
Et Lucie vient embrasser les lèvres d'André, recueillant sa liqueur. Apaisée, elle se détache, respirant toujours très fort.
André se rhabille, lui donne un dernier baiser et la quitte.


Après que Monique ait renvoyée Lucie par une porte privée, elle est retournée dans le bar. Il y pas mal d'habitués attablés au bar et ceux-ci manifestent leur joie de la voir arriver. Elle se met à plaisanter avec eux comme à son habitude.
Irène en aparté lui demande comment s'est passée l'entrevue. Très bien, dit-elle.
Irène semble attendre plus de détails mais Monique n'ajoute rien.
Toutes les deux ont, à un certain moment, eu des relations sexuelles. Cela se passait au début qu'elles travaillaient ensemble. Puis ça s'était arrêté. C'est Monique qui n'avait pas désiré continuer quand Irène s'est mise à boire plus que de raison.
Monique est vraiment heureuse. Elle a un amant merveilleux à la maison, elle a en plus depuis peu une amante super chaude. Irène qui sera de moins en moins au contact des clients se contentera de cuver son alcool.
Monique informe ses clients qu'une nouvelle barmaid va venir travailler à partir de demain.
Tous se montrent intéressés et elle leur met l'eau à la bouche en décrivant Lucie. Ils promettent de venir et d'informer leurs connaissances.
Monique pense que les affaires vont nettement augmenter avec la venue de Lucie. Bien guidée, et elle s'en chargera, celle-ci va affoler les clients. Même les plus radins vont se mettre à dépenser se dit-elle avec un sourire.
Tout en s'occupant de ses clients, sa pensée continue de vagabonder. Elle songe de plus en plus à ouvrir un bar dans la région de Lille.
Irène est au bout du rouleau. Si comme elle l'espère, les affaires marchent bien entre Lucie et elle, elle revendra ses parts ici et ils quitteront cette région tous les trois.
Elle pourra ainsi vivre avec son fils sans craindre que l'affaire s'ébruite. Elle a repris son nom de jeune fille après son veuvage, personne ne fera de rapprochement. Et André sera bien heureux lui aussi de quitter cette région et surtout d'abandonner ce travail qui ne lui convient vraiment pas.
Debout derrière le comptoir du bar et juste à l'angle, elle est en train se faire peloter les fesses par un habitué.
Elle lui laisse faire tout ce qu'il veut car il est généreux et gentil en plus.
Justement celui-ci est en manque et il insiste pour aller dans le petit salon, celui où elle a reçue Lucie tout à l'heure. Elle lui flatte la braguette. Celle-ci est bien déformée.
Elle le fait traîner à son habitude, le faisant payer un maximum de verres puis fait signe à Irène.
Discrètement ils s'éclipsent. Arrivés dans le salon, il commande une bouteille de champagne, ce qui est le minimum requis pour avoir accès à cet endroit. Le frigidaire en est toujours rempli. Elle ouvre la bouteille, remplit les coupes, vient s'installer contre son client sur la banquette et ils boivent. Surtout lui. Monique ne veut pas finir alcoolique comme sa copine et elle se contente de tremper ses lèvres.
Excité le client se fait de plus en plus pressant. A cette heure il est hors de question pour Monique de s'absenter longtemps. C'est l'heure de la pipe, pas de la coucherie.
Elle lui caresse l'entre jambe et après un moment, n'y tenant plus, il met plusieurs billets sur un coin de la table.
Lentement, elle se débarrasse de sa robe, le regardant puis la jette sur un fauteuil. Elle connaît bien les gouts de ce client et c'est son travail de le satisfaire.
Elle se retrouve en slip très léger, ne portant jamais de soutien gorge au travail.
S'agenouillant devant lui, lui ouvre la braguette.
Monique prend la bite en main. C'est loin d'être un étalon et elle commence une savante fellation. Il lui pince sans ménagement les tétons et elle a hâte de finir.
Enfin il se vide dans la bouche de Monique. Elle continue conscieusement son travail jusqu'à la fin de la jouissance et se relève. Discrètement elle se retire dans le minuscule cabinet de toilette, recrache et revient.
Ils se rhabillent, Monique prend l'argent sur le coin de la table et elle le raccompagne par une porte discrète.
Elle revient souriante après s'être refaite une beauté. Elle n'a été qu'absente qu'une petite demi-heure environ. Voilà de l'argent facilement gagné se dit-elle.
Tous les jours elle répète le même manège parfois cinq ou six fois, parfois plus. Certains clients veulent plus, peuvent payer plus surtout. Dans ce cas, elle l'amène, après la fermeture dans une chambre et ils passent deux ou trois heures, comptées au prix fort.
La cagnotte soigneusement cachée à la maison s'arrondit de jour en jour.
Cette nuit là un client très exigeant a voulu passer la nuit, elle rentre épuisée à l'aube. Sans faire de bruit elle entre dans sa chambre et s'endort comme une masse.
André lorsqu'il se réveille se rend compte de l'heure tardive, neuf heures au réveil.
Dans la salle commune il trouve un mot de sa mère : « épuisée mon chéri, pardonne moi il est six heures. Laisse-moi dormir un peu. Réveille moi à midi »
Ne voulant pas faire de bruit, il s'habille vite fait et se rend chez Lucie.
Celle-ci vaque à ses occupations. Il lui raconte pourquoi il est là et elle lui sert un petit déjeuner.
Lucie n'a vraiment pas le temps, elle a un tas d'affaires à régler et il va se promener dans le village, revient un peu avant midi.
Elle dort toujours. Dans la pénombre de sa chambre elle dort sur le dos, respirant doucement.
Comme lui elle dort entièrement nue. Le drap a glissé et le haut de ses seins est à découvert. Il se met à genoux, fait glisser doucement le drap. Les seins apparaissent entièrement et il se régale à nouveau de ce spectacle dont il ne se lassera jamais. Bien droits, ils défient le poids des ans. Les tétons d'habitude bien dressés sont aplatis en ce moment.
Il ne peut résister plus longtemps. Il vient poser sa langue sur le téton à sa portée. Lentement il en fait le tour, effleurant la peau. Elle ne bronche pas, André accentue sa caresse tandis qu'il continue à faire glisser le drap vers les pieds. Il se régale de la vue. Peu à peu le ventre apparaît, puis le pubis aux beaux poils blonds, les cuisses bien pleines enfin.
Les jambes de Monique sont très légèrement écartées. De par sa position, il voit bien le mont de vénus en relief et la douce séparation des grandes lèvres en ce moment fermées. Il se dit en souriant qu'il n'a pas beaucoup eu l'occasion de voir son sexe aussi sage.
Elle continue de respirer d'une façon régulière mais il a l'impression que le rythme s'est accéléré.
Reportant son attention sur ses seins, il voit que les bouts sont à présent bien érigés. Pas autant que lorsqu'ils font l'amour mais beaucoup plus que tout à l'heure.
Il se demande si elle dort vraiment.
Tout en continuant de lui sucer le mamelon qu'il sent durci sous ses lèvres serrées, il mouille abondamment ses doigts et les pose doucement sur son sexe. Il descend et monte lentement, effleurant l'ouverture des grandes lèvres.
Pendant plusieurs minutes il continue son manège. Il entend sa mère qui respire plus fort. En même temps il se rend compte que les grandes lèvres se sont écartées, ses doigts s'incrustant franchement dans le vagin qui s'humidifie.
Rêve-t-elle comme lui l'autre jour ? Ou fait-elle semblant ? Il ne saurait le dire et il accélère sa caresse sur la chatte. Il ne s'est aperçu de rien mais il est sur également que le compas de ses jambes est plus ouvert que tout à l'heure.
Abandonnant sa position, il se relève, enlève son pantalon et son slip, dégageant sa queue qui bande terriblement et vient doucement se mettre à genoux entre les jambes de sa mère.
Il approche ses lèvres, sent une odeur forte de femelle, sort sa langue et se met à la promener sur le sexe trempé. Il l'entend respirer encore plus fort, il caresse franchement à présent la chatte brûlante. Des soupirs sortent de la poitrine qui se lève à un rythme de plus en plus fort.
Ouvrant les yeux, elle se met à crier, libérant son plaisir. André continue, tandis que Monique écarte les jambes à fond et ramène ses talons contre ses fesses.
- Oui ! Ah oui ! Ah continue mon chéri !
Elle était réveillée dès les premières caresses de son fils et a essayé de simuler, mais emportée par ses sens elle n'est pas arrivée à se contenir. Le plaisir monte inexorable.
- Oui ! Oui tu vas me faire jouir ! Oui ! Oui ! Ahhhh !
Elle se libère sa jouissance, appliquant ses mains sur la nuque de son fils et appuyant dessus.
André se retrouve la bouche et le nez dans le giron de sa mère. Il continue de la sucer tout le temps qu'elle jouit. Enfin elle relâche la tête et André peut enfin respirer, rouge à cours d'haleine.
Il la rejoint, se serre contre elle, l'embrasse.
- Tu m'as rendu la pareille mon salaud !
Il sourit :
- C'est agréable de se faire réveiller comme ça non ? Au fait à quel moment t'as réalisé que je te bouffais la chatte ?
Elle lui dit la vérité en riant
- C'était trop bon pas possible de me retenir
Elle le regarde, souriante et lui demande :
- Et toi, comment tu te sens ?
Il se regarde, puis en riant :
- Un peu tendu !
En riant ils s'étreignent, Monique l'attire sur elle il la pénètre doucement, réfrénant son ardeur.
Longtemps ils font l'amour. André se contrôle de plus en plus. Sa queue puissante s'enfonce avec la régularité d'un métronome jusqu'à ce qu'elle s'apprête à jouir. Il ralentit alors, s'arrêtant presque et repartant de plus belle.
Après une longue cavalcade, et après qu'elle ait pris son pied deux fois, il se vide les couilles dans le con accueillant.
Ils restent longtemps fichés l'un dans l'autre. Malgré la détumescence, Monique sent encore la belle queue dans sa chatte. Pour s'assurer qu'elle ne la quitte pas, elle a noué ses jambes autour de son fils. Elle lui demande s'il a vu Lucie hier
Souriant, il lui répond que oui. A son regard brillant, elle sait qu'elle lui a raconté. Elle lui sourit à son tour. Il demande :
- Alors, heureuse ?
- Tu ne peux pas savoir combien mon chéri.
Et devant son air mi-figue mi-raisin :
- Que t'a-t'elle raconté au juste ?
Il accentue son sourire puis :
- Tout, du moins je crois.
Monique hésite à peine puis demande :
- Et?, qu'est-ce que ça t'a fait ?
- Excité, super excité.
André lui raconte leur soirée, la super branlette alors que le père n'était pas loin et la séance de léchage de chatte. Elle demande des détails, les yeux brillants.
Monique est ravie. Regardant la bite de son fils, elle constate qu'elle s'est redressée, ce qui ne l'étonne plus.
Allongeant le bras, elle empoigne le membre qu'elle sent vibrer furieusement entre ses doigts. Elle commence à le branler doucement tout en regardant son fils dans les yeux.
- Elle t'a branlé comme ça ?
C'est vrai qu'ils sont un peu dans la même position qu'hier avec Lucie. Jouant le jeu, il répond doucement.
-Oui, elle m'a d'abord branlé doucement tandis qu'elle me racontait comment vous avez fait l'amour toutes les deux.
Le souffle d'André s'accélère, elle demande :
- Et toi que faisais-tu pendant ce temps ?
André empoigne les nichons à sa portée et les caresse, s'attardant sur les bouts bandés.
- Je lui caressais les seins comme ça.
Tous les deux se caressent, Monique accélère un peu la cadence, André respire de plus en plus vite. Tous les deux revivent la scène d'hier, André la revivant pour de bon, Monique essayant de l'imaginer.
- C'est bon, continue maman ! Continue et je vais t'arroser les nichons.
Monique est super excitée. Elle demande encore :
- Tu lui a arrosé les nichons ?
- Oui ! Oui j'ai juté sur sa poitrine, y en avait partout.
Monique continue à le branler. André gémit de plaisir.
- Que c'est bon ! Ah tu me branles bien ! Ahhh !
Les mains du jeune homme se crispent sur les seins fabuleux. Monique est, elle aussi envahie par le désir. D'une voix mourante elle dit :
- Tu vas m'arroser les nichons comme tu l'as fait hier. Qu'avez vous fait ensuite ?
Monique ralentit un peu la cadence, sentant la jouissance proche. André gémit de plaisir.
- Après elle m'a demandé de lui bouffer la chatte. Et elle a joui comme une folle.
Et il explique comment elle a étouffé ses cris de plaisir. Monique est à présent folle de désir. Elle a hâte de le faire jouir afin qu'il puisse lui brouter le minou. Elle accélère la cadence, André n'en peut plus, il décharge, se vide sur la superbe poitrine de sa mère.
- Oui ! Oui ! Tiens, tiens ! Encore ! Ahhhhhh !
Et il se répand abondamment sur les nichons tandis qu'elle continue de le branler jusqu'à la dernière goutte.
André respire fort, récupérant de son plaisir. Il regarde la poitrine aspergée de sperme. Elle regarde à son tour, sourit.
- Tu t'es bien vidé mon chéri. C'était bon ?
- Fabuleux ! Tu peux pas savoir !
Monique récupère du sperme sur ses doigts, les porte à sa bouche tout en regardant son fils de son air le plus provocant. André s'approche, récupère le jus épais qu'il avale.
Bientôt il ne reste presque plus rien. Monique, tout en s'allongeant sur le lit, ouvre largement le compas de ses jambes. André aperçoit le sexe trempé de mouille.
- J'ai presque joui en te voyant jouir mon chéri, suce moi bien et ça va venir très vite !
André approche sa bouche de la chatte offerte. Les lèvres sont largement ouvertes et il peut apercevoir l'entrée du vagin bien ouvert.
- Oui ! Oui suce moi bien ! Suce moi longtemps mon chéri, j'ai une envie folle de jouir avec ta bouche.
A peine a t'il posé ses lèvres sur le con brûlant qu'elle se met à crier, folle de luxure.
- Oui ! Oui ! Bouffe moi le con ! Oui ! Oui fous moi ta langue bien profond ! Oui comme ça ! Oui !!!
Ah que c'est bon ! Que c'est bon ! Ah ouiii !! Ahhhh
Et Monique part, une jouissance fabuleuse qui la fait crier comme une folle tandis qu'elle redresse son buste pour mieux voir son fils lui bouffer la chatte.
- Oui ! Oui ! Tiens ! Tiens prend salaud ! Avale ! Avale mon jus ! Ahhh !
La jouissance dure longtemps, ne semble jamais s'arrêter. Elle pose ses mains sur la tête d'André, appuie dessus comme si elle voulait la faire entrer dans son con.
- Suce moi encore ! Encore ! N'arrête pas ! N'arrête pas je t'en supplie ! Je t'en supplie !
Les cris sont presque des cris de souffrance d'abord puis se transforment quasiment en sanglots.
André continue à se régaler d'un jus odorant qui sourd sans arrêt de la chatte. Le sexe vibre de façon incroyable.
Monique continue à crier sa jouissance. Bien qu'elle ait joui de façon incroyable, elle continue, la jouissance ne semble ne jamais vouloir s'arrêter. André est super excité, de faire jouir une femme de cette façon le rend fou et il bande à nouveau de façon superbe.
Par moments Monique semble se calmer puis les cris reprennent, de plus en plus forts pour enfin de nouveau éclater.
- Oui ! Ah oui ! Encore ! Je jouis encore ! Ah ouiiii ! Ahhhhh !
André voudrait arrêter mais elle lui applique toujours la tête sur sa chatte. Le visage d'André est depuis longtemps barbouillé de mouille et celle ci continue à sortir de la fente grande ouverte. André est saoul du parfum de sa mère. Il se régale de cette odeur, du gout de ce jus épais qui sort sans arrêt et qui même par moments sort en giclées comme un homme qui jouit.
Au bout d'un long moment, elle semble enfin se calmer. Ses mains libèrent la tête de son fils et elle les pose sur le lit, tout en tentant de reprendre sa respiration.
André se redresse, dans un état second. Il a sucé sa mère durant un temps infini, la tête lui tourne, enivré du parfum fort du sexe ouvert et trempé. Le drap sous elle fait une large auréole qui s'élargit largement autour des fesses de Monique. Les jambes de celle-ci son largement relevées, le sexe offert. Il n'y tient plus. Il bande comme un fou. Il se jette sur elle et s'enfonce d'un seul coup dans le con ouvert.
Elle pousse un cri de stupeur, de joie, se de surprise il ne sait plus, mais se met à la pilonner à grands coups de reins furieux..
Elle se remet à crier sous la charge de hussard.
- Ouiiii ! Ah oui ! Oui vas-y ! Défonces moi ! Baise moi fort ! Oui !! Ahhhh !
Le désir est trop près, il n'en peut plus, il ne va pas tarder à jouir, à se vider dans cette chatte onctueuse et accueillante.
- Ah qu'elle est bonne ! Que ta chatte st bonne ! Ah la salope ! Ah la salope ! Ah oui ! Oui, je vais te remplir ta chatte !
Monique est secouée comme un sac de sable sous la charge furieuse.
- Oui ! Oui ! Oui, vide toi ! Décharge tes couilles dans ma chatte ! Ah que ta queue est bonne ! Ah que ta queue est bonne ! Ah oui !!! Oui !!!
Et ensemble, avec des cris qui emplissent la pièce, ils jouissent comme des bêtes. Enfin ils s'apaisent, André se laisse aller sur le corps trempé de sueur de sa mère.
Un long moment ils récupèrent, leur souffle court se rétablissant peu à peu.
André le premier émerge du brouillard. Relevant la tête il aperçoit le visage ravagé de sa mère. La figure sur le coté, le souffle court, elle a du mal à récupérer. Emu, il attend qu'elle ouvre les yeux, ce qu'elle finit par faire.
Tournant la tête vers lui, elle murmure :
- Qu'est ce qui nous est arrivé ?
Puis, après un moment et un pauvre sourire épuisé :
- J'ai jamais vécu ça ! C'était démentiel ! J'ai cru que jamais je n'arrêterais de jouir.
André est épuisé mais fier. Ce qu'il vient de vivre est exceptionnel, il le sent.
Il l'embrasse sur les lèvres, elle dit :
- Je me suis presque évanouie, jamais ça ne m'était arrivé.
Se détachant, il regarde les dégâts, le lit entier est trempé, de sueur, de mouille, de sperme. Eux ne valent pas mieux.
Il se lève, va remplir une bassine et ils se lavent entièrement, tout en continuant de récupérer.
A présent, propres, ils savourent une boisson fraîche. Monique est encore admirative devant leur exploit.
- Ce que nous avons vécu est incroyable !
André acquiesce, son expérience est limitée, il la croit si elle le dit. C'est vrai que ce qu'il a vécu lui aussi lui semble formidable. Il est très fier d'avoir fait jouir une femme comme elle, et lui dit.
Ils devisent encore un moment puis elle se lève.
- C'est pas tout mon chéri mais il faut que j'y aille.
Elle se prépare puis s'en va. Resté seul, il traîne toute la journée puis va se coucher de bonne heure.