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Proposée le 27/02/2011 par Eros-Ion

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

La punition du livreur

Partie 1 :
J'ai trouvé un petit boulot à Paris : Je livre des fleurs.
C'est plutôt sympathique, je sillonne la ville, des clients, et le plus souvent des clientes. Ils ont toujours l'air heureux de me voir. Même lorsque le bouquet est moche?
Ce samedi, j'ai un petit bouquet de lys blancs à livrer dans le 20e arrondissement. Je trouve l'adresse, monte les deux étages rapidement et sonne. Pas de réponse. Au bout de trente secondes, une magnifique blonde apparait. Elle porte une robe de chambre noire mais toute pomponnée.
- Heu des fleurs, bredouille-je
- Je vois bien, répond-elle un peu sèchement.
- C'est sensé faire plaisir, non ?
- Moui. Vous avez un reçu ?
- Oui, oui? il faut signer ici et si vous laissez votre numéro de téléphone, je gagne ma journée, plaisante-je »
Sans me laisser le te temps de bouger, elle attrape mon entre-jambes et sert fortement. Je suis immobilisé. Elle me tire à l'intérieur de l'appartement en maintenant la pression.
- Ca te fait rire, souffle-t-elle en resserrant son emprise ? Pas moi. En revanche, on peut jouer à mon jeu. De toute façon je ne pense pas que tu sois en mesure de refuser ? Mets tes mains dans le dos !
Elle serre encore pour me montrer que je n'ai qu'à m'exécuter. En me maintenant la pression sur mes testicules, elle attrape un foulard pré-noué et sert le n'ud autour de mes poignets. Elle me pousse dans le salon puis sur le canapé où je tombe lourdement. Elle se met alors à califourchon sur mes genoux et me souffle :
- On va s'amuser et avec un peu de chance, ça te plaira. Mais comme tu le vois, je ne suis pas encore présentable pour le jeu. Et toi tu n'es pas non plus en tenue. On va arranger ça et après je vais me préparer. Première règle : Moi, c'est maîtresse.
Elle dénoue ma ceinture qu'elle garde comme un fouet, défait les boutons de mon jean.
- Maintenant, tu enlèves tout le bas et vite.
Encore sous le choc, je tente de m'exécuter : Je me dandine pour enlever mes chaussures puis faire glisser le jean à mes pieds. Elle me regarde d'un air amusé.
- J'ai dit TOUT le bas, tonne-t-elle en posant adroitement son pied sur mon caleçon pour souligner ma négligence, tu ne comprends pas ce que je dis ?
Sans même réfléchir, je descends mon caleçon. Un peu d'excitation, beaucoup de peur.
- Pas un rapide, persiffle-t-elle. Tu vois la table basse devant toi, tu vas t'agenouiller devant la largeur, le ventre contre le rebord et les genoux contre les pieds de la table.
Je glisse du canapé et m'exécute. Elle passe derrière moi et m'attache les cuisses aux pieds de la table. Des menottes remplacent le foulard qui m'entravait les mains. Je suis complètement bloqué.
- A moi de me préparer, me glisse-t-elle.
- Ca va être long, demande-je sans même réfléchir ?
Un premier coup de ceinture sur les fesses, puis une série de quatre autres me ramènent à mon rôle
- Premièrement, c'est maitresse et deuxièmement, ça prendra le temps dont j'ai besoin. Mais je vais devoir te punir pour ta question idiote et surtout t'empêcher d'en reposer.
Elle saisit mon sexe et mes testicules et les noue avec un autre lien qu'elle relie ensuite aux menottes
- C'est mieux, reprend-elle, mais vu la suite du programme, j'ai autre chose à préparer.
Elle me pousse le buste contre la table basse et s'éloigne. Quelques secondes plus tard, ses pas reviennent dans le salon. Elle se met à genoux sur la table face à moi et sourit, les mains dans le dos.
- Tu sais ce que c'est ça, dit-elle en tendant devant mon nez un plug en latex rose bonbon ?
- Oui maîtresse, souffle-je.
- Alors dis le, tonne-t-elle en l'agitant devant mon nez.
- C'est un plug, maîtresse.
- Bien vu gros malin, rit-elle. Et ça sert à quoi ?
- C'est comme un godemichet mais pour l'anus, maîtresse.
- Pas loin, rit-elle. C'est un godemichet mais pour TON cul. Avant de passer à la démonstration, on va lubrifier tout ça. Tu t'occupes du plug et moi du reste, ajoute-t-elle en posant l'objet juste devant mon visage. Suce le bien, ce sera moins douloureux.
Je m'exécute en prenant la masse rose en bouche. Elle passe derrière moi et m'écarte les genoux avec les siens. Elle écarte légèrement ce qui relie mon sexe et mes mains. Je sens un liquide frais couler sur ou, plus exactement, entre mes fesses. Elle masse doucement puis plonge un doigt en moi, m'arrachant un petit cri, étouffé par l'objet qui occupe ma bouche.
- Douillet, glousse-t-elle ? Il ne vaudrait mieux pas.
Après quelques secondes de va et vient, elle pousse un second doigt en moi et commence à me fesser doucement. Je sens un troisième doigt entrer et accompagner le mouvement. Au bout de quelques minutes, elle se relève et me sort le plug de la bouche avec un sourire vicieux puis retire sa culotte et me l'enfonce dans la bouche. Elle repart derrière et glisse à nouveau un doigt en moi sans rencontrer de résistance puis le retire. Je sens alors l'objet se poser contre mon anus.
- Tu me remercieras après vu la suite du programme, dit-elle en poussant fermement le plug en moi. Ca va te mettre dans de bonnes dispositions. Maintenant à moi de me préparer.
Elle tire le lien sexe-poignets et le pose sur la base du plug pour le maintenir en place, m'adresse une dernière fessée et s'en va.

Partie 2 :
Chaque mouvement que j'amorce mêle plaisir et douleur : Si je bouge les bras, je me masturbe, tire sur les testicules et enfonce le plug en moi. Si je bouge les jambes, le plug se rappelle à mes souvenirs' Immobile, j'attends.
Quinze minutes passent et j'entends des talons claquer sur le parquet derrière moi. Elle est entre mes jambes. Elle pose un talon sur le plug et appuie. Je sursaute
- Toujours en place, rit-elle en pressant encore un peu. A moi de profiter un peu.
Elle contourne la table lentement. Elle est superbe. Talons hauts, bas et bustier noirs' j'en oublie ma position. Elle installe un cousin juste devant mon visage et pose un godemichet noir et argent à côté. Elle prend place sur le coussin, retire la culotte de ma bouche et m'enveloppe de ses jambes. Son sexe épilé est à quelques centimètres de mon nez. Avec un talon elle tire doucement le lien qui relie mes mains et mon sexe, je lève la tête. C'est exactement ce qu'elle voulait.
- Bien, reprend-elle, les règles pour cette partie. Si tu jouis sans mon autorisation, ta fin de journée sera très pénible. Tu obéis à tout au quart de tour. Si tu te dégonfles, tu hurles : "Je suis une fiotte." ,et j'arrêterais tout. Compris, demande-t-elle en retirant la culotte de ma bouche ?
Je hoche la tête. Elle tire très sèchement sur le lien qui appuie sur le plug.
- Réponds quand je te parle, crie-t-elle.
- Oui maîtresse, souffle-je dans son entre-jambes.
- C'est mieux. Maintenant, lèche-moi jusqu'à ce que je jouisse. Commence en douceur par mon cul.
Elle se cambre un peu et me tend son anus. Je commence à faire courir ma langue sur son trou resserré. Elle avance encore un peu, je peux glisser le bout de ma langue en elle. Elle presse ma tête contre son intimité. Je lèche, pénètre légèrement. Elle accompagne mes mouvements en tirant légèrement sur mes épaules pour faire jouer les liens. Elle attrape le godemichet et l'allume. Elle le fait courir sur son sexe au rythme de ma langue qui taquine son anus. Au bout de quelques minutes, elle me soulève le menton.
- Ma chatte maintenant et applique toi, elle est précieuse.
- Oui maîtresse.
Comme elle continue à jouer avec le vibromasseur, j'embrasse ses lèvres et glisse ma langue en elle. Elle avance encore, je peux à peine respirer mais je continue. J'entends sa respiration s'accélérer et je sens les premiers frissons parcourir son bas-ventre. Elle se colle toujours plus fort à mon visage. Au bout de dix minutes, elle se cambre et pousse un gémissement de plaisir en s'accrochant au lien entre les menottes et mon sexe. Je suis à deux doigts de jouir aussi. Elle se recule un peu, éteins son vibro et me passe la main sur le visage.
- Bien, souffle-t-elle. Tu ne refuseras pas la dernière partie mais nous allons souffler un peu tous les deux.
Elle passe derrière moi, me détache les cuisses, me libère le sexe, enlève les menottes, s'assoit sur mes fesses et appuie un coup sur le plug puis le fait coulisser en m'annonçant :
- Ecoute bien la suite. Tu vas aller prendre une douche. A la fin seulement, tu pourras enlever ton jouet de ton cul. Sèche-toi puis rejoins-moi dans la chambre. A gauche en sortant de la salle de bain. Tu as exactement dix minutes.
- Bien maîtresse.
Elle arrête le va-et-vient du plug et le remets au fond de moi. Je sors du salon et longe le couloir pour trouver la salle d'eau. Je prends ma douche et une fois intégralement lavé, le retire le plug avec une grimace. Je le nettoie ainsi que mon anus endolori puis me sèche avant d'aller dans la chambre, le jouet à la main. Elle est debout à côté du lit.

Partie 3 :
- Eh bien, plaisante-t-elle, tu l'aimes bien celui là ! Pose-le et mets-toi en levrette sur le lit.
- Oui, maîtresse, dis-je en m'exécutant pendant qu'elle se plante entre mes jambes
- Voyons-ça, dit-elle en glissant sans ménagement deux doigts dans mon anus encore ouvert par le port prolongé du plug. Plus beaucoup de résistance. On va le calmer un peu. Mais avant, je m'assure que tu ne t'enfuiras pas.
Elle m'installe un masque devant les yeux, prend un long lien et me caresse le sexe qui se raidit. Elle attache mon sexe fermement en passant puis utilise le reste de la corde pour me lier les mains.
- La corde, toujours tendue, ordonne-t-elle en pinçant le lien comme une corde de violon.
Elle noue ensuite mes chevilles à des foulards attachés au lit. Impossible de fermer les jambes.
- Ne bouge pas, me souffle-t-elle en m'administrant une fessée proche de la caresse. Je reviens en un battement de cils.
Les talons claquent, s'éloignent puis reviennent. Elle pousse encore deux doigts en moi puis se retire. Une sensation glaciale me paralyse, elle fait glisser un glaçon le long de ma raie des fesses puis le pousse fermement en moi. Je laisse échapper un cri. Elle glousse.
- Tes mains, plus haut ! A chaque fois que tu descendras je rajoute un glaçon aux trois prévus.
Le deuxième glisse, pousse et entre mais le froid à commencé à contracter mes sphincters. Je ramène mes bras en arrière. Elle me les repousse violemment ne avant puis me donne trois coups de ceinture sur les fesses tendues.
- Dommage, rit-elle en remettant un peu de lubrifiant sur mon anus. Ca fera trois glaçons, ajoute-t-elle. Elle pousse fermement et glisse les deuxième et troisième glaçons en moi.
Maintenant on va pouvoir passer aux choses sérieuses !
Elle saisit un nouveau vibromasseur violet que j'avais vu en entrant dans la chambre. Bien plus imposant que le plug.
- D'abord, je finis ton anus, dit-elle en passant derrière moi. Après, tu auras le droit de me prendre.
Je sens à nouveau le gel se répandre entre mes fesses. Le sexe en plastique pousse, m'écarte et rentre de quelques centimètres en moi. Elle l'allume. Les vibrations m'envahissent à mesure qu'elle commence le va et vient. Tout à coup, elle le pousse au fond de moi. Je crie. Elle fait quelques allers-retours en me tirant le lien qui tient mon sexe.
Elle passe devant moi, me détache les mains et me relève le buste Elle me détache le sexe et les testicules d'une main experte tout en faisant pression de temps à autre sur le godemichet. Elle glisse ensuite un anneau en plastique mou à la base de ma verge et appuie sur un bouton qui fait vibrer le tout. Elle prend mon sexe en bouche quelques secondes en pressant à nouveau le gode en moi puis se retourne pour me présenter son dos et me glisse en elle?
Je n'ai jamais autant joui.