Sow Club - Le journal de Myriam : partie V

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Proposée le 24/02/2011 par Eros-Ion

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Lire le chapitre 4.

Carnet de Myriam : 18 janvier
Le retour chez mes parents a été d'un ennui mortel. Pire encore, j'ai du affronter leur curiosité. Les questions sur l'école, les cours, la vie étudiante ont fusé. J'ai du garder l'image de petite fille sage en y introduisant quelques éléments d'émancipation. J'ai réussi à me faire une sueur froide en sortant une lessive et en y trouvant le bustier que j'avais du porter lors de la ronde première?
En me levant, le lundi, j'ai trouvé une enveloppe blanche glissée sous ma porte. Le sceau du Club. A l'intérieur, juste une carte avec marqué « Ce soir, 17h30, salle du club ». Aucune autre instruction. Le message était moins solennel que d'habitude.
La journée de cours passa vite et nous commencions tous à devoir trouver notre stage de fin d'année. Après le cours de management, je m'empresse de rejoindre la salle du club. En rentrant, je suis à la fois amusée et étonnée : En dehors des rondes, la salle est une espèce de bar/foyer où se retrouvent les filles du club. Il y en a une petite dizaine parmi lesquelles je reconnais notamment Maureen, Aurélie et Charlotte.
« Ah, s'exclame Aurélie, voilà notre femme de ménage !
- Et oui, reprend Charlotte sur un ton enjoué, c'est aussi le rôle des aspirantes d'astiquer notre QG ! Pour ne pas salir ta jolie tenue, on t'a posé des fringues sur la chaise derrière le bar. »
Toute la troupe de filles se tourne vers moi et lève son verre dans ma direction avec un grand sourire. J'ai du mal à ne pas pouffer car ça ressemble à une blague bien potache. Je passe derrière le bar et m'aperçois que sur la chaise se trouvent : Une paire de Doc Martens montantes, un plumeau à poussière, un balai et une pelle? Avec Maureen et Charlotte et sans Sophie, je me permets une petite bravade : Je me mets directement nue, enfile les chaussures et commence à passer le balai. Je m'attendais à ce que le groupe rit mais personne ne me prête attention.
Au bout d'une heure de ménage, l'humiliation est bien plus vive que lorsque je suis au centre de l'attention. J'ai juste envie de hurler : « Regardez-moi ! ». En passant à côté de la table de l'anglaise, je donne volontairement un coup de balai contre le pied de la table. Les verres tombent et éclaboussent les trois filles autour de la table.
« Fuck, s'écrie Maureen ! Tu l'as fait exprès, bitch !
- Non, tente-je de protester. C'était une mala?
- Tais-toi, hurle Cécile, l'une des amies de Maureen. Tu veux une punition, tu l'auras ! »
Sous l'oeil amusé de l'assemblée, les trois filles me tombent dessus et me plaquent sur la table basse. Cécile m'attache les coudes dans le dos et Maureen s'éloigne. Elle revient en quelques secondes avec le plumeau à poussière. La troisième, Sandrine, m'écarte les fesses. Sans préparation, Maureen m'enfonce le plumeau dans le cul. Elle a au moins fait glisser 15 à 20 centimètres du manche en moi, un cri m'échappe. Elle passe devant moi pendant que Cécile m'appuie sur le dos avec son genou.
« Vu que tu ne veux pas la fermer, on va t'aider, reprend Maureen en m'enfonçant une grosse éponge dans la bouche. Maintenant, tu éponge la table et ensuite tu iras dépoussiérer les autres avec ton cul. Quand tu auras fini, tu pourras retourner dans ta chambre. Si on t'assigne une tâche, ce n'est pas pour que tu te fasses remarquer, petite conne !
- Je suis dés'
- Shut the fuck up ! hurle Maureen, vraiment hors d'elle. »
Je pensais qu'avec la deuxième ronde, je faisais partie du club. On venait de me rappeler que je n'étais encore qu'aspirante. Une demi-heure plus tard, la bouche pleine de bière épongée et l'anus encore endolori, je retourne vers Maureen. Sans même me regarder, elle défait les liens de mes bras et pointe la porte de sortie du menton. Piteuse, je recrache l'éponge dans le lavabo, retire le plumeau de mon cul, me rhabille et remonte dans ma chambre. Atterrée par ma propre bêtise, je plonge dans un sommeil agité.

Carnet de Myriam : 19 janvier
Encore honteuse de mon comportement de la veille, j'ai évité un maximum les rencontres. Entre les cours, je suis restée avec mon groupe d'amis. Thibault évite soigneusement de croiser mon regard. A la pause-déjeuner, Je me fais alpaguer par Sophie dans la queue du self. Elle est avec deux copines qui ne sont, à ma connaissance, pas du club.
« Tiens, tu es là toi, dit-elle avec un mépris totalement affiché. Tu vas pouvoir être utile pour une fois. Tu vas aller me chercher mon repas : Une part de pizza, un bout de poisson avec des haricots et un fromage blanc. Prends moi aussi un Coca pendant que tu y es.
- Tu as ton badge, demande-je ?
- Pourquoi faire, tu peux bien m'offrir un repas, souffle-t-elle en me repoussant pour me montrer que je n'avais aucune remarque à faire. »
Je fais donc la queue et lui rapporte son plateau. Elle tire la chaise à côté d'elle et m'invite à m'asseoir à côté d'elle. Je sais très bien que le déjeuner va être pénible. Alors qu'elle continue à parler à ses copines, elle passe sa main entre mes cuisses et m'écarte les jambes. Elle sait parfaitement qu'il m'est encore interdit de porter une culotte et m'écarte sèchement les grandes lèvres. Je tente de continuer à sourire bêtement alors que les trois filles discutent de leur stage de fin d'études. Sophie enlève sa main et attrape sa canette de coca glacée puis la pose contre mon sexe entrouvert. Elle appuie fermement. Je laisser échapper un petit cri et me redresse d'un coup? Les deux copines de Sophie ainsi que bon nombre d'élèves en face de moi purent ainsi admirer très fugacement mon sexe épilé. Sophie glousse et dit tout fort :
« Tu as vraiment envie de montrer à tout le monde que tu ne portes rien sous ta jupe ? »
Un petit rire parcourt le self. Sophie me pousse de la chaise.
« Retourne dans ta chambre te couvrir, tu pourrais attraper froid, persiffle-t-elle. »
Je sors du self partagée entre une envie de meurtre et une honte sans borne. Deux heures d'escalade m'ont permis de calmer mon énervement.

Carnet de Myriam : 20 janvier
Aujourd'hui, l'école a prévu des simulations d'entretiens d'embauche. Le déroulé est simple, chacun des élèves inscrits passe un faux entretien face à un chasseur de tête, un prof et un élève de troisième année pendant une heure puis ensuite, nous avons le droit à un debrief d'une heure pour cerner les forces et faiblesses de notre oral.
Mon rendez-vous est fixé à 16h. A 15h, Sophie et deux filles qui ne sont pas du club débarquent dans ma chambre alors que je suis en train de potasser mon CV.
« Vous voulez voir ce que c'est qu'une petite chienne, glapit Sophie ?
- Sophie, réponds-je, je passe mon entretien dans une heure et?
- Tu ne me réponds pas connasse, hurle-t-elle en me prenant par les cheveux. Premièrement tu m'obéis et ensuite, je sais très bien que tu as entretien puisque je fais partie de ton jury. Mets-toi à genoux et embrasse mes chaussures pour te faire pardonner !
Je me redresse d'un bon face à elle, prête à lui faire ravaler ses paroles.
- Tu sais que si tu fais ça, murmure-t-elle juste pour moi en souriant méchamment, c'en est fini du club pour toi ?
- Je sais, dis-je en me reprenant et en souriant à mon tour. Sache juste une chose, je t'aurais. »
Elle me gifle violemment et me mets au sol puis m'appuie la tête vers ses chaussures. Les larmes de rage montent à mes yeux mais je sais aussi que ma vengeance passe par là. Je pose mes lèvres sur la pointe de ses souliers.
« C'est mieux, petite chienne. Les filles, mettez lui le cul à l'air et faites ce que vous avez à faire ! »
Les deux sbires gloussent et passent derrière moi. Elles me retirent ma jupe puis re-gloussent en constatant que je ne porte rien en dessous. La brune se penche et se met à me caresser le sexe avec du gel. Pendant que Sophie me force à lécher ses chaussures, les filles font glisser une espèce d'?uf en moi puis me rhabillent.
« Voilà, rit Sophie, tu es prête pour ton entretien. Surtout ne touche à rien, on se voit dans' Pile quinze minutes ! »
Les trois sortent de ma chambre, me laissant à genoux et hors de moi. J'attrape mon CV imprimé, me maquille rapidement et cours vers la salle d'entretien. Je sens très distinctement l'?uf qui est lové en moi.
16h, j'entre dans la salle. Sophie discute joyeusement avec mon professeur de marketing et le consultant en recrutement et me lance un regard moqueur.
« Bonjour Myriam, sourit mon prof. Tu connais le principe, c'est un entrainement dans les conditions réelles. Monsieur Suart est un spécialiste du recrutement et il est là pour aider les élèves à se positionner face à un recruteur. Assieds-toi et nous pourrons commencer. »
La séance commence par vingt minutes d'examen de mon CV. Le recruteur m'interroge sur mes petits boulots, mes activités associatives, mes voyages' Après ce tour de chauffe, Les trois membres du jury commencent à me faire parler de mon projet professionnel. J'expose mon envie de travailler dans l'actuariat et commence à parler de mes qualités de concentration, de sérieux. D'un seul coup, je sens l'?uf se mettre à vibrer en moi. Sophie pouffe. J'essaie de garder mon sérieux et reprends mon exposé en répondant su mieux que je peux aux questions. Les vibrations augmentent et mon sexe répond mécaniquement au titillement. Je mouille. J'ai du mal à me concentrer et mes réponses sont de plus en plus embrouillées. Sophie accélère encore les vibrations et je laisse échapper un petit cri sans équivoque.
« Vous.. Vous vous sentez bien mademoiselle, demande le recruteur complètement médusé ?
- Veuillez m'excuser, j'ai une absence et je me sens mal.
- Vous savez, reprend-il, si vous visez un secteur aussi dur que l'assurance et l'actuariat, il va falloir dominer la pression et votre émotivité.
- Et les pulsions, renchérit Sophie en éteignant le jouet.
- Je suis navrée, vraiment navrée. »
Je sens que ma jupe est trempée sous mes fesses. Le debrief est dur à suivre tant l'humiliation est grande. Je dois repasser une simulation dans deux semaines.
Je me lève et gagne la porte à reculons pour ne pas laisser entrevoir la tache qui, à coup sûr, orne le dos de ma jupe. Je me précipite dans ma chambre.

Carnet de Myriam : 21 janvier
Comme d'habitude, la veille d'une ronde est tranquille. Charlotte est passée pour prendre des nouvelles. Je lui ai raconté le dernier exploit de Sophie. Elle était déjà au courant et m'a laissé entendre que son acharnement ne plaisait pas outre mesure au sein du Club. Elle m'a juste dit de me reposer pour la troisième ronde.
Je me suis couchée à dix heures après avoir fini un exposé.