Chez Irène (4)

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Proposée le 18/02/2011 par sergio06

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Inceste, ne poursuivez pas la lecture si cela vous choque svp, c'est également le cas du chapitre 3 que vous pouvez lire en cliquant ici.


Le lendemain dimanche, il est le premier levé. André dort tout nu. Il enfile son pyjama, sort pisser et rentre. Il prépare le café. Il beurre ses tartines tout en pensant à tout ce qui lui est arrivé en quelques jours.
Il est plongé dans ses pensées lorsque sa mère, qu'il n'avait pas entendu arriver lui dit bonjour. Elle est étonnée de le trouver debout mais ne dit rien. Ils engagent la conversation.
Mine de rien, Monique examine son fils. Elle le trouve changé, plus mur, plus sur de lui et avec un air de jubilation intérieure qu'elle ne lui connaissait pas.
Elle se demande ce qui lui arrive mais ne pose pas de questions, après tout son attitude indique qu'il est heureux, c'est le principal, lui qui avait plutôt tendance à se montrer grognon depuis quelque temps.
- Tu travailles aujourd'hui ?
- Bien sur, pourquoi ?
- Comme ça, pour savoir, je ne te vois presque jamais. Je pourrai pas aller te voir à ton bar ?
Monique ne sait que répondre. Elle se voit mal être gentille avec les clients en face de son fils.
André n'insiste pas. D'ailleurs il se demande pourquoi il a dit ça.
- Bon, d'accord, je n'irais pas, je te promets.
Monique sent que la situation lui échappe, elle demande :
- Pourquoi tu me dis ça ?
André décide de lui parler franchement.
- Ben parce que le bar de ta copine a mauvaise réputation, voilà pourquoi. Mais ne t'inquiètes pas, je n'irais pas, et je me fiche de ce que disent les gens.
Monique hésite un peu puis :
- Que veux-tu dire ? Qu'as tu entendu au sujet du bar ?
André regarde sa mère bien en face maintenant. Elle soutient son regard, mais voit une détermination dans son regard qu'il n'avait pas avant.
- Tu le sais bien maman ! Tout le monde dit que toi et ta copine couchez avec les hommes. J'ai dix huit ans, ne l'oublie pas.
Il rajoute, voulant rassurer sa mère qui ouvre des yeux effarés :
- Mais ne t'en fais pas, je te dis que je m'en fiche. Tu peux faire tout ce que tu veux, tu es ma mère et je t'aime. Tu as le droit de faire ce que tu veux.
Et il ponctue sa tirade par un grand sourire.
Monique reprend ses esprits, mais ne sait quoi répondre. André se lève, s'approche d'elle et lui applique un baiser appuyé sur la joue à sa portée.
Elle semble revenir à elle. Timidement elle demande :
- C'est vrai ? Tu ne m'en veux pas ? Tu sais je n'ai pas toujours eu la vie facile et?.
André la coupe.
- Tu n'as pas à te justifier maman, je te l'ai dit. Ce que je voulais te faire comprendre, c'est que je n'aime pas l'hypocrisie et ce que je viens de te dire, il y a longtemps que je voulais le faire. Voilà.
Monique, émue, se lève et embrasse André à son tour.
Ils restent soudés un moment puis :
- C'est vrai ce que les gens racontent. Tu comprends que je préfèrerais que tu ne viennes pas dans le bar, ça ferait encore plus jaser.
André comprend en effet, il lui sourit.
Monique à son tout demande :
- Je peux te poser une question ?
- Oui, bien sur !
Elle hésite un peu, puis souriante elle demande presque timidement :
- Je te trouve changé tout d'un coup, pourquoi ?
Il hésite à peine, la regarde au fond des yeux puis lâche :
- Parce que, heu, je, enfin je suis un homme maintenant.
Un peu estomaqué, elle le regarde puis :
- C'est bien, je la connais ?
Difficile de lui avouer la vérité. Il reste silencieux.
- Je comprends, excuse moi. Juste une dernière question, c'est sérieux ?
- Non, surtout pas.
Et il continue :
- Moi aussi j'ai envie de m'amuser.
Monique est enchantée de la réponse. Elle embrasse à nouveau son fils puis lui dit :
- Tu as raison, profites-en. Moi aussi j'aurai du en profiter quand j'étais plus jeune. Je n'ai pas pu, à présent je me rattrape.
- On est d'accord maman, profites en !
Ils s'embrassent à nouveau puis :
- Bon et bien maintenant que nous nous sommes expliqués, je peux aller travailler en paix ?
Ils rient tous les deux et sur un dernier baiser elle va se préparer.
André se retrouve seul tandis que sa mère est partie faire sa toilette. Pendant son étreinte avec sa mère, il a senti nettement les pointes de ses seins contre son torse et, imaginant comment ils doivent être, il se met à bander furieusement. Il aime son parfum également. Il y a bien longtemps qu'il n'avait pas embrassé sa mère et il réalise qu'elle a un parfum naturel qui l'excite.
Il installe sa queue d'une manière plus confortable et se lève enfin, tout à ses pensées ou s'entre mêlent Sonia, Lucie et enfin sa mère.
Juste à cet instant Monique revient dans la pièce et ses yeux se posent sur la braguette de son fils. Elle y découvre une protubérance énorme que ne peut cacher le pantalon de pyjama en toile léger.
Troublée, elle se met à respirer très fort, retourne dans la cuisine. André a parfaitement vu le regard de sa mère et distinctement senti le trouble qui l'a envahie à la vue de son chibre dressé. Le fait qu'elle a fait demi-tour renforce l'idée qu'elle était au moins aussi émue que lui.
Il tourne les talons lui aussi, se rend dans sa chambre.
Le sang lui martèle les tempes. Il se débarasse de son pyjama et, entièrement nu il se regarde dans la glace de la grande armoire. Il y a une légère pénombre dans la pièce pauvrement éclairée par la fenêtre aux volets à demi clos dans son dos qui donne sur la cour. Il s'assoit sur le lit derrière lui et tout en continuant de se regarder, il se met à se branler.
Très vite sa respiration s'accélère, il gémit doucement tout à son plaisir. Ses râles s'accélèrent, son plaisir est tout proche. Il revoit le sexe, le cul de Lucie, se promet de la baiser encore plus fort tout à l'heure.
Monique est maintenant prête à partir, ayant vu son fils rentrer dans sa chambre, elle s'y dirige pour aller lui dire au revoir.
La porte n'est pas fermée, juste entrebaillée. Elle s'apprête à la pousser quand elle entend des râles qu'elle identifie aussitôt. Elle ne bouge plus, les râles continuent, s'intensifient. Elle colle sa figure dans l'entrebaillement, voit André de dos, enfin de trois quarts plutôt. Elle voit son fils en train de se branler furieusement tout en se regardant dans le grand miroir de l'armoire.
Le sang aux tempes, elle ne peut s'empêcher de regarder le spectacle renvoyé par le miroir. André se branle à deux mains et malgré tout, elle distingue nettement une belle longueur dépasser. Abasourdie par la scène, par la vision de ce sexe, en plus le sexe de son propre fils, elle sent un désir puissant l'envahir.
Le plaisir semble tout proche à présent. Les râles de plaisir augmentent d'intensité et il respire de plus en plus fort.
Le c'ur de Monique bat à tout rompre. La scène est d'un érotisme fabuleux. Elle ne peut bouger, se sent envahie par un désir incontrolable, se sent fondre, son sexe est envahi par la mouille.
André est tout près de jouir, il crie presque, ne se contrôle plus.
- Ah oui ! Ah que c'est bon ! Oui ! Oui ! Tiens ! Tiens salope ! Tiens ! Ahhhh !
Et il se libère à grands jets que Monique voit distinctement atterrir sur la glace. André finit de se vider, ses gémissements diminuent et sa respiration saccadée retrouve doucement un rythme normal.
Le sperme abondant dégouline sur le miroir, faisant des filets qui s'étirent doucement.
Monique parvient à réagir. Elle fait demi tour doucement, va dans sa chambre, referme la porte, essaye de reprendre ses esprits. Ce qu'elle vient de voir dépasse tout ce qu'elle a vu en intensité.
Elle passe la main sous sa jupe, la pose sur sa culotte, celle ci est trempée. Appuyant ses doigts, elle sent un désir incontrolable.
Ecartant sa culotte d'une main, elle se branle de deux doigts de l'autre qu'elle introduit le plus loin possible dans son con trempé.
Très vite le plaisir la fait se tordre. En gémissant elle s'effondre sur son lit tout en jouissant.
Reprenant sa respiration, elle se regarde dans une glace. On y voit nettement les traces du plaisir ressenti. Elle se remaquille très vite et sort de la chambre. Heureusement André n'y est pas.
Elle sort en criant :
- A ce soir André, amuse toi bien.
Il lui répond et elle s'en va, continuant à revoir la scène, se félicitant de ne pas s'être fait surprendre.
André essuie les traces de sperme sur la glace, repensant à sa mère.
Celle ci ne s'est pas aperçue que son fils se trouvant légèrement de biais par rapport au miroir, il voyait ce qui se passait derrière lui et notamment que la porte était dans son champ de vision.
Quand André s'est aperçu que sa mère regardait, il a senti son désir augmenter, surtout quand il était clair qu'elle se régalait du spectacle. Il a joui en la regardant et le désir sur le visage de sa mère était nettement visible surtout lorsqu'il a répandu son sperme sur le miroir. Il avait même l'impression qu'elle allait jouir aussi.
Il s'est levé sans bruit juste après qu'elle ait disparu et qu'il ait entendu la porte de sa chambre se fermer.
Doucement il s'est approché et a nettement entendu les gémissements de plaisir de sa mère quand elle a joui. Puis il a regagné sa proche chambre, excité de nouveau et a nettoyé le miroir.
Toujours nu, il espérait qu'elle allait revenir le voir, se demandant alors ce qui se serait passé, mais déçu, il s'est contenté de lui dire au revoir à travers la porte.


André tourne en rond jusqu'à l'heure du repas. Enfin Sonia l'appelle. Ils mangent en silence, le couple n'a plus, depuis bien longtemps, quoi que ce soit à se dire.
Il se lève dès qu'il a fini et, après un vague au revoir, il va s'habiller.
Il se dirige vers la maison de ses nouveaux amis. Ceux-ci finissent leur repas et le père, à son habitude se lève et va à son jardin.
Les trois jeunes gens se retrouvent seuls.
André et Bernard aident Lucie à débarrasser et faire la vaiselle. Ils y mettent beaucoup de c'ur, chacun ayant hâte de se retrouver dans la chambre. Personne ne se parle mais les regards qui se croisent en disent long sur leur désir réciproque.
Sylvie met le torchon à sècher, se rince les mains et après un bref regard sur les garçons, se dirige vers sa chambre.
A peine arrivée elle se débarasse de sa robe légère sous laquelle elle ne porte rien. Se dirigeant vers le coin de la pièce, elle retire le couvercle du seau hygiénique et s'accroupit dessus.
Les garçons qui la suivent comme son ombre s'approchent, les yeux brillants.
Le bruit caractéristique d'une fille en train de pisser de fait entendre.
Bernard se mettant à genoux demande d'une voix sourde :
- Ecarte bien les jambes, on voit rien.
Reportant son regard vers André qui imite son copain et s'agenouille, elle écarte les jambes tout en se reculant sur le seau.
- C'est mieux comme ça les petits vicieux ?
Personne ne répond, les regards brillants ne perdent rien du spectacle. Le jet d'urine mordoré éclabousse la paroi du seau pour retomber au fond.
André se sent gêné à l'entrejambes. Il se redresse, défait la ceinture de son pantalon qui descend sur les chevilles. Il se débarasse tout aussi prestement de son maillot qui valse au loin. Nu, la bite visant le plafond, il est magnifique.
Bernard l'imite, tous les trois se retrouvent nus. Le regard de Lucie va de l'un à l'autre. De par sa position, les sexes tendus avec les couilles gonflées apparaissent encore plus impressionnantes.
André l'impressionne surtout avec ce sexe exceptionnel, en longueur comme en grosseur.
Rien qu'à cette vue, le sexe de la fille se met à mouiller.
Les garçons se rapprochent. Lucie se met à lècher les couilles d'André, tandis qu'elle empoigne le sexe de son frère. Le moment est magique. L'odeur forte d'ammoniaque du seau à moitié rempli de pisse remonte et tous les trois en ressentent les effluves qui les excitent encore plus.
Elle change de temps en temps, sa langue vient se poser un moment sur le sexe de son frère, puis l'abandonne à nouveau.
Ouvrant la bouche le plus qu'elle peut, elle essaie de gober une couille d'André, abandonne. Les couilles du garçon sont en effet trop grosses pour pouvoir être aspirées par la belle salope.
Elle branle les deux bites dans un mouvement uniforme, les deux garçons soupirent de bonheur. Approchant sa bouche, elle aspire un testicule de Bernard et se met a le sucer et le faire rouler dans sa bouche. La caresse est fabuleuse et celui ci se met à pousser des gémissements de bonheur.
- Ah oui ! Ah que c'est bon ! Continue !
- Oui ! Ah oui suce la bien salope ! Ah oui ! Oui comme ça ! Ahhhh !
Il est tout près de jouir sous la double caresse. Lucie s'en aperçoit et accélère son mouvement de branlette. Le garçon se raidit, vient poser sa main sur la fesse d'André qui se trouve à sa portée et l'étreint fortement. André, d'abord surpris apprécie la caresse et regarde la queue tendue de son copain qui vibre de plus en plus.
- Oui ! Ah oui ! Ah oui, vas-y ! Plus fort ! Plus fort ! Ahhhhh !
De longues giclées sortent de la bite tendue. La première va atterrir derrière Lucie, la deuxième arrose son visage et la troisième son sein. Consciencieuse, elle continue à branler son frère jusqu'à ce que plus rien ne sorte de la bite qu'on voit ramollir doucement.
Bernard desserre son étreinte sur la fesse d'André qui le regrette, mais n'ose pas le dire. Poussant des soupirs de satisfaction, il remercie sa s'ur.
- T'es vraiment la reine des salopes, et je m'y connais.
La fille libère la couille de son frère qu'elle a sucé jusqu'à ce que celui-ci jouisse et reporte son attention sur André. Sa langue vient se poser sur ses couilles, puis remonte la hampe majestueuse. Visiblement elle ne peut atteindre ce vers quoi elle est attirée, le gland violet de désir.
Elle se redresse le plus qu'elle peut, André plie les genoux pour l'aider. Ce n'est pas suffisant, il écarte les jambes largement et se penche un peu en avant. Enfin Lucie a embouché le gland, ouvrant ses lèvres à fond.
Doucement elle le suce, l'enfonçant le plus qu'elle peut à s'étouffer. D'une main elle tient la queue, l'autre se glisse sous ses couilles, puis va plus loin, et viennent exciter l'anus d'André.
Aussitôt il se met à gémir de plaisir.
- Ah oui ! Ah que c'est bon !
Lucie enfonce un doigt dans le cul de celui qu'elle pompe magistralement. Voyant qu'il est très réceptif de ce coté, elle enfonce son majeur et le fait coulisser dans le conduit anal. André est fou de désir.
- Oui ! Ah ouiii ! Ah oui, branle moi le cul ! Oui ! Ah que c'est bon ! Ahhhh !
Bernard qui se régale de la scène se rend compte du plaisir ressenti par son copain.
S'approchant derrière lui, il se met à genoux et, empoignant le bras de sa soeur, il l'écarte doucement. Celle ci ne résiste pas. A son tour, Bernard introduit un doigt, l'index dans le cul d'André. Celui ci, désappointé par l'abandon de Sylvie, se met à rugir de bonheur à nouveau.
Jean Luc y ajoute le majeur, branlant le conduit merdeux avec deux doigts.
André n'en peut plus, le plaisir est trop intense.
- Ah que c'est bon ! Ah que c'est bon ! Oui ! Oui ! Ahhhh !
Et il se libère à grandes saccades dans la bouche de la salope qui continue de le pomper jusqu'à la dernière goutte, tout en observant le visage déformé par le plaisir d'André.
Enfin celui-ci se calme. Il reprend sa respiration, haletant, épuisé par le bonheur ressenti.
Bernard lui libère le cul, Sylvie abandonne la bite qui se ramollit doucement, encore secouée par des soubresauts de plaisir.
André se redresse péniblement, se dirige vers le lit où il se jette, poussant de grands soupirs, heureux.
Sylvie se lève du seau, referme le couvercle et vient s'asseoir sur le lit à coté d'André.
Son frère va s'asseoir sur un petit fauteuil bas en face d'eux.
Personne ne dit rien pendant un petit moment puis Sylvie ouvre la bouche.
- Alors les garçons, comment c'était ?
Les deux amis se regardent, sourient et tournent leur regard vers la fille. C'est Bernard qui répond en premier.
- C'était comme d'habitude ma chère salope de s'ur : Formidable !
Sylvie attend le jugement d'André. Celui ci sourit puis :
- C'était incroyable ! Vraiment ! Fabuleux ! Je ne trouve rien d'autre à dire, vraiment.
Sylvie semble satisfaite des compliments. Mais elle qui les a si bien fait jouir, a envie qu'on s'occupe d'elle. S'adossant au mur, elle ouvre en grand le compas de ses jambes, exposant sa chatte aux regards des deux jeunes gens.
Les grandes lèvres gonflées de désir, violettes sont largement ouvertes et laissent échapper une mouille abondante. André et Bernard sont fascinés par le spectacle. Les poils qui envahissent la raie culière sont luisants du jus qui s'écoule.
Les garçons se rapprochent et regardent. Sylvie n'en peut plus, elle supplie presque :
- Sucez moi, bouffez moi la chatte ! J'en peux plus ! André, je t'en prie ! Je veux voir si tu suces aussi bien que tu baises !
Disant cela elle se laisse couler le long du mur, son sexe trempé vient sur le bord du lit.
André se met à genoux par terre et vient poser ses lèvres sur le con inondé. Aussitôt Sylvie pose ses pieds sur ses épaules et se met à rugir de bonheur sous la caresse.
- Oui ! Oui ! Ah vas-y ! suce moi ! Bouffe moi la chatte ! Ahhh !
La langue d'André se promène sur la chatte béante. Il se régale du jus odorant et très gouteux de la fille. Elle adore et le fait savoir.
- Oui ! Oui, comme ça ! Ah oui ! Ah oui ! Rentre ta langue bien profond ! Ahhh ! Ah que c'est bon ! Ah que c'est bon !
André s'active, il se régale de la mouille qui sort à profusion. On dirait qu'elle pisse tellement ça sort. Les cris de la fille augmentent en intensité, elle ne va pas tarder à jouir.
- Oui continue comme ça ! Oui ! Oui ça vient ! Oui ! Ouiii ! Ahhhh !
Et elle jouit en poussant des cris incroyables. André continue sa caresse tout le temps que la fille prend son pied. Enfin elle s'arrête. Il s'écarte du sexe qu'il voit palpiter, comme s'il voulait gober quelque chose. Fasciné, il ne peut en détacher son regard. Sylvie se relève à demi, pose son regard sur la queue bandée d'André.
- Viens ! Viens me baiser, j'en ai trop envie après avoir été sucée comme tu l'as fait.
André se relève et vient mettre sa bite qui vibre au contact du sexe béant. Sylvie s'impatiente.
- Viens ! Je t'en prie !
Et empoignant le sexe tendu d'une main, elle le tire vers elle sans ménagement, présentant le gland à l'orée de sa motte. André donne un léger coup de reins, il s'enfonce dans le sexe trempé. Sylvie rugit de bonheur.
- Ah enfin ! Ah qu'elle est bonne ! Qu'elle est bonne ! Ahhh !
André la pistonne à grands coups de reins. La tête de Sylvie tourne de droite à gauche sur le lit dévasté.
- Ah qu'elle est bonne ta queue ! Ah qu'elle est bonne ! Ah oui ! Oui !
Et la litanie du plaisir reprend crescendo. Il semble que Sylvie soit une vraie nymphomane, de celles qui ne sont jamais rassasiées comme on en parle tant dans les livres.
André tourne un instant la tête vers son copain, celui-ci bande de belle manière. Il lui sourit.
- Vas-y ! Baise la bien ! Je prendrais le relais quand tu te seras vidé les couilles !
Sylvie arrive à la jouissance, elle hurle son plaisir à présent.
- Oui ! Oui ça y est ! Oui je jouis ! Je jouis ! Je jouis ! Ahhhhhh !
Elle crie son plaisir tandis qu'André la pistonne comme s'il voulait lui défoncer la chatte.
La jouissance ne semble jamais s'arrêter, André n'en revient pas. Il ralentit un peu la cadence, voulant s'économiser. Les cris diminuent enfin d'intensité mais ne s'arrêtent pas.
Sylvie ouvre les yeux, regarde celui qui la baise si bien, l'encourageant.
- Ah oui, continue comme ça ! Je jouis toujours ! Je n'arrête pas de jouir ! Vas-y ! Oui ! Oui !
Et elle repart pour une nouvelle jouissance. André sent qu'il va bientôt atteindre le plaisir.
- Tiens ! Tiens ! Prends ! Je sens que ça vient ! Je vais jouir ! Oui ! Oui ! Ahhhh
Et il se libère, se vidant les couilles, remplissant la chatte de celle qui se met de nouveau à jouir sous les jets de sperme qu'elle ressent nettement au fond de son vagin.
- Oui ! Oui ! Ah je sens que tu me remplis ! Oui ! Vides toi les couilles ! Ah ouiiii ! Ahhhh !
Les cris après avoir atteint leur paroxisme diminuent doucement puis s'arrêtent enfin.
André reste abuté quelques instants puis se retire lentement.
Aussitôt, Bernard qui n'en pouvait plus d'attendre, vient se mettre en position et sans ménagement s'enfonce dans le con trempé de sperme et de mouille.
Sylvie qui essayait de reprendre sa respiration se met à rugir à nouveau.
- Ah oui ! Oui ! Ah vous allez me tuer ! Ah oui ! Ahhh !
André vient s'asseoir à côté de celle qu'il vient de faire jouir un bon nombre de fois et admire le spectacle.
Les seins de Sylvie dansent sous les coups de boutoir de son frère. Il semble que la fille soit un peu saturée de sexe. Elle ouvre les yeux, sourit à André, reporte son regard sur la bite souillée de sperme et de mouille.
- Viens, viens sur moi, je vais te la nettoyer. Je veux gouter cette queue qui m'a si bien fait jouir.
André s'éxécute et enjambe le corps de Sylvie. Aussitôt la fille embouche le sexe, l'aspire, le rejette, le débarassant des matières dont elle était enduite. Elle lui demande de se rapprocher encore et elle se met à lui nettoyer les couilles une à une tandis que Bernard continue de la baiser.
Les halètements de celui ci augmentent, annonçant l'éminence d'une jouissance. En effet celui ci n'en peut plus.
- Oui ! Oui ça y est ! Je vais jouir ! Je jouis ! Oui ! Ouiii ! Ahhhh !
Et le garçon se déverse dans le con déjà largement rempli de liquide.
Sylvie ne jouit plus, elle a semble t'il atteint sa limite. André se retire, s'assoit à coté du couple toujours empalé. Bernard enfin se retire, va s'asseoir sur le fauteuil bas, repu.
Doucement ils récupèrent. Au bout d'un moment Bernard va chercher des bières qu'ils boivent goulûment après toute cette heureuse fatigue.
Ils se mettent à discuter de tout et de rien, savourant l'instant présent. Bernard en profite pour relater ses exploits imaginaires dans le bled qui font rêver André et Sylvie, ignorants de la réalité. Mais il faut bien se faire mousser de temps en temps, c'est du moins ce que pense le soit disant baroudeur, conscient de son infériorité sexuelle.
Il s'est bien rendu compte en effet que Lucie n'en a plus que pour André, chose qu'il peut comprendre au fond de lui-même, mais qu'il a du mal à admettre.
Petit à petit les sens se réveillent, la fatigue disparaît peu à peu, la jeunesse reprend ses droits. Les regards s'attardent de plus en plus longtemps sur les sexes complaisamment exposés aux regards des autres.
Il est vrai que la pudibonderie est totalement absente. Sylvie a repris sa place favorite, adossée contre le mur de la chambre, les bras entourant les genoux repliés de ses jambes largement écartées, elle expose de façon totalement impudique son sexe velu. Elle s'est bien rendu compte de l'effet que cela fait sur les deux garçons et son vice naturel le pousse à amplifier la situation.
De nouveau elle a remis la serviette toute polluée sous ses fesses et le sperme des deux garçons se déverse lentement, achevant de la souiller. De plus, de par sa position avachie, son dos arrondi laisse deviner sa petite rosace dissimulée dans les poils abondants de sa raie culière.
André est plus ou moins dans la même position, mais dans le sens du lit. Son membre imposant, même au repos, est pour l'instant sagement posé sur ses grosses couilles. Lui aussi a les bras qui entourent ses genoux.
Bernard est peut être celui qui a l'attitude la moins obscène. Assis sur le petit fauteuil bas, son sexe est presque dissimulé entre ses cuisses qu'il ne peut guère écarter, le siège ne s'y prête pas beaucoup.
De toute façon, il est évident que le courant sexuel est passé entre André et Sylvie.
Celle-ci, au beau milieu d'une conversation sans véritable tendance lance tout à coup :
- Je ferai bien un sandwich !
André regarde la fille, pensant qu'elle a faim, puis son frère.
Au vu de la tête des frère et s'ur, il sent que quelque chose lui échappe. En effet le regard égrillard de ses amis fait penser à tout, sauf à manger.
Indécis, il ne dit rien attendant la suite. Après tout, un bon casse croute ferait bien son affaire.
Après s'être regardés mutuellement, puis avoir regardé André, Sylvie lui demande.
- Tu sais ce que c'est qu'un sandwich ?
André regarde alternativement le frère et la s'ur, décide qu'il ne sait pas.
Sylvie n'a pas les yeux de quelqu'un qui a envie de manger un casse croute. Tout en regardant son jeune amant dont elle est devenue folle, elle s'en rend bien compte, elle dit, tout en regardant son frère :
- On lui fait voir ce qu'est un sandwich ?
Bernard opine du chef.
Elle se tourne vers André qui n'a toujours pas compris, le regarde de ses yeux redevenus brillants.
- Allonge toi bien sur le dos et laisse toi faire.
Il ne demande que ça. Sa bite est de nouveau tendue. Il s'allonge tout à fait. Lucie vient se placer entre ses jambes. Doucement elle pose ses lèvres sur le sexe tendu. Elle prend son temps. La caresse qu'il connaît maintenant le rend fou de désir et il l'exprime bruyamment.
- Ah oui ! Ah comme j'aime ça ! Oui suce moi moi les couilles ! Ah que c'est bon !
Mais très vite elle l'abandonne, se rendant bien compte qu'il est prêt, et même bien prêt !
Elle remonte lentement vers lui, lui appliquant de petits baisers sur son ventre, ses seins, son cou, puis, se mettant à genoux, saisit sa queue et, soulevant une jambe, elle se l'introduit dans la chatte bien lubrifiée par la mouille et le sperme. Un soupir de satisfaction les unit. Elle s'embroche au maximum, puis reste ainsi, ne bougeant plus.
Leurs lèvres s'unissent, leurs langues se mêlent en un baiser brûlant. Il lui caresse la poitrine.
Leur baiser dure longtemps. André réalise à peine que Bernard se déplace et vient se placer derrière Sylvie.
Le poids de celui-ci se perçoit nettement.
Il jette un coup d'oeil tout en continuant d'embrasser Sylvie. Bernard est allongé derrière sa s'ur et il le distingue à peine. Néanmoins, aux mouvements de Sylvie, il devine que celui-ci est en train de s'occuper sérieusement des fesses sa s'ur.
En effet Sylvie ne tient plus en place. Ses lèvres se détachent fréquemment de celles d'André, pour ensuite revenir se poser de nouveau d'une manière passionnée. Il est clair que la fille est en plein rut et ce n'est pas tellement la queue plantée dans le con qui est en cause car il ne bouge pas.
Sylvie se redresse d'un coup, semblant manquer d'air, criant son plaisir.
- Oh oui ! Oui ! Continue comme ça ! Ah ouiiii ! Ahhhh !
André réalise que Bernard est en train de bouffer le cul de Sylvie. Et celle-ci semble particulièrement apprécier. Le menton, la joue de Bernard vient effleurer la queue et les couilles d'André et excite encore plus le garçon.
Elle reste un moment comme ça à exprimer son plaisir puis :
- Vas-y ! Baise moi maintenant ! Encule moi ! Encule ta s'ur espèce de salaud !
André voit Bernard se redresser et s'agiter derrière le cul de Sylvie. Celle ci le regarde avec des yeux fous, sa respiration haletante.
- Tu vas savoir ce que c'est un sandwich maintenant !
André sent les couilles de Bernard qui viennent se poser sur sa bite est ses couilles. La sensation est fabuleuse. Il regarde le visage de la fille, une grimace lui déforme le visage.
- Oui ! Ah oui ! Doucement ! Comme ça ! Ahhh !
Sylvie halète de plus en plus. André sent maintenant les couilles de Jean Luc glisser sur sa propre tige, tout au moins sur la longueur qui ne peut pénétrer dans le con.
Plus personne ne bouge. Bernard est enfoncé dans le conduit merdeux de Sylvie qui respire de plus en plus difficilement. Elle parvient à peine à articuler.
- Oui ! Ah oui comme ça ! Ne bouge plus ! Ah oui je te sens bien ! Ah oui je vous sens bien tous les deux ! Ah que c'est bon ! Ah oui ! Ah deux bites à la fois ! A comme c'est bon deux bites à la fois ! Ahhh !
Les yeux de Sylvie sont presque vitreux. Son plaisir est énorme et sa tête roule sur le visage d'André qui ne bouge toujours pas. Elle relève la tête péniblement, demande :
- Tu sens la bite de mon frère ?
- Oui. Oui je la sens. Je la sens dans toi, je sens ses couilles aussi qui sont posées sur les miennes.
- Tu l'entends Bernard ? Il sent ta bite dans moi !
- Oui, moi aussi je sens sa queue, et j'aime bien le contact de ses couilles et de sa bite sous moi. Et toi tu sens ma bite ? Je t'encule ! Je suis ton frère et je t'encule salope !
- Oui ! Oui je suis une salope ! Je suis votre salope ! Baisez moi ! Enculez moi ! Ahhh !
Bernard commence des mouvements de va et vient. André sent distinctement à travers la fine peau qui sépare l'anus du vagin la queue de son copain. Sylvie, libérée du poids de son frère se met à bouger elle aussi, André en fait autant, bien que ce soit lui qui a le moins besoin de remuer.
Sylvie entre aussitôt dans un véritable délire érotique. Les yeux fermés, les traits déformés par le plaisir d'être pénétrée par deux sexes bien raides la rend folle. André a les yeux fixés sur elle, emerveillé par la capacité de jouir de cette fille. Très vite elle se met à crier, une première jouissance la submerge. S'écroulant sur le corps d'André, elle exprime sauvagement son bonheur, le mord dans le cou. André ressent la douleur mais n'y prête pas attention, tout occupé à suivre la cadence de son copain. Les couilles de celui ci viennent frotter sur son sexe et cela ajoute encore à l'excitation. Sylvie se relève, respirant avec difficulté et se remet à remuer, allant au devant de la bite qui l'encule, pour juste après s'empaler sur la grosse queue de son baiseur favori.
- Ah oui ! Ah que c'est bon ! Oui ! Ah oui baisez moi fort ! Baisez moi encore !
Bernard se met à haleter tout en accélérant la cadence.
- Tiens ! Tiens salope ! Prends ! Dis-nous si c'est bon ! Dis-nous que tu vas jouir !
Sylvie gémit de plus en plus fort, le plaisir est de nouveau tout proche.
- Oui ! Oui c'est bon ! J'ai déjà joui mais je sens que je vais venir encore ! Ah oui ! Oui !
Les deux jeunes hommes accélèrent leur cadence. André sent qu'il ne va pas tarder à se vider. Sylvie s'en aperçoit et lui demande d'une voix mourante :
- Tu vas jouir dis ? Dis moi que tu vas jouir ! Je sens que tu viens, je sens que ta queue grossit encore, ah qu'elle est bonne !
- Oui ! Oui je vais jouir, je n'en peux plus, c'est trop bon ! Ah oui ! Oui ! Ouiii ! Tiens ! Prends ! Ahhhhh !
Et André se vide, inondant de son sperme la chatte déjà dégoulinante de mouille qui lui inonde les couilles.
Bernard se vide à son tour dans le cul de sa s'ur qu'il pistonne sans ménagement.
- Tiens ! Tiens prends salope ! Encore ! Encore ! Ahhhh !
Sylvie, sous ce déluge de foutre qui lui inonde le cul et la chatte se met à gueuler pour de bon, jouissant à nouveau. Mettant son visage dans le creux de l'épaule d'André elle essaye d'étouffer ses cris en le mordant à nouveau.
André serre les dents, mais supporte la douleur, tout à sa jouissance, sa queue continue de répandre son jus dans le vagin de la salope.
Tous les trois restent ainsi sans bouger quelque temps, savourant cet instant après l'amour. Les respirations haletantes se calment doucement.
Bernard se redresse le premier. Il libère le cul de Sylvie et pose les pieds à terre. Sylvie, soulagée du poids de son frère se redresse. Son visage est ravagé par le plaisir ressenti, les yeux cernés de mauve et à demi fermés, ses gestes sont lents et elle semble abrutie de fatigue.
Tout d'un coup elle regarde André, ouvre la bouche :
- Merde ! Je t'ai mordu ! Ah mon dieu !
André porte la main à son cou, il ressent une petite douleur en effet.
Il se lève et va se regarder dans une glace. Une belle marque bleutée apparaît nettement sur sa peau.
- Viens, je vais te mettre quelque chose dessus.
Il la suit dans la salle de bains et fouillant, ramène un tube de crème.
- Ne bouge pas, ça va te soulager, surtout ça va un peu cacher la marque. Je suis désolée !
André la rassure, il n'a pas mal. Il est même plutôt fier d'être mordu, ça prouve qu'elle a bien joui. Il lui dit.
- C'est la première fois que ça m'arrive ! Il faut croire que je savais plus ce que je faisais. Mais quel pied ! Incroyable !
Pendant que Sylvie lui passe doucement la pommade, il lui caresse les fesses. Sa peau est très douce, élastique. Elle arrête son massage, s'écarte de lui en lui souriant.
- Attends, mon père ne devrait pas tarder à rentrer, il vaut mieux être sage.
C'est vrai, l'heure a tourné, tous les trois se rhabillent et vont s'installer dans le salon tout en sirotant une bière.
Le père rentre au moment ou ils finissent leur boisson.
André reste encore un moment puis leur dit au revoir. Sylvie qui l'accompagne dehors lui fait promettre de venir demain.
- Mon père est de l'après-midi demain. Viens dès que tu rentres du travail.
André promet et s'en va, un peu soucieux. Il se demande comment il va faire pour échapper à Sonia.
Oui, décidément il préfère Sylvie. Moins dangereux que de coucher avec sa belle s'ur. Et puis elle lui plait mieux. Sans compter qu'a trois c'est mieux qu'a deux se dit-il.
Arrivé chez lui il se regarde à nouveau dans la glace, l'hématome est impressionnant. Surtout difficile de tricher, on voit clairement qu'il s'agit d'une morsure.
Il met une chemise qui lui cache la marque et attend l'heure du souper.
Le repas se passe comme d'habitude, de façon sinistre et André se depêche de terminer avant de dire bonsoir et d'aller dans sa chambre.
Allongé sur le lit, il réfléchit. Beaucoup de choses se sont passées cette semaine. Trop peut-être.
D'abord Sonia qui l'a déniaisé. Puis Sylvie, enfin sa mère.
Il repense à l'instant ou il l'a découverte en train de le regarder et train de se branler. Il ne sait pas pourquoi mais à cet instant un désir fabuleux l'a submergé. Jamais il n'avait ressenti une telle jouissance en se branlant. Il n'a pas quitté un seul instant le visage de sa mère tandis qu'il se répandait à grandes giclées sur le miroir et il y a clairement vu la montée du désir. Il ne peut se tromper, ce n'était pas de la réprobation, ni encore moins du dégout, non, c'était du plaisir, il en est certain.
D'ailleurs, quand il l'a suivie dans sa chambre où elle s'était réfugiée, il l'a nettement entendu jouir. C'était des petits cris brefs, mais qui ne trompent pas. Elle s'est branlée après l'avoir vu se branler et jouir. Elle a vu jouir son fils et cela l'a excitée. Ensuite elle s'est arrangée pour lui dire au revoir en se sauvant presque, ne se sentant pas capable d'affronter son regard.
Cela ouvre des horizons nouveaux pour André. Il repense à un détail qu'il avait oublié. Un jour, il y a plusieurs années, il se trouvait dans la salle commune, tandis que sa mère faisait sa toilette dans la pièce qui sert à la fois de cuisine et de salle de bains. Un miroir est placé au dessus de l'évier et c'est ainsi qu'on fait sa toilette.
La porte de la cuisine n'était pas fermée à fond, simplement poussée et il s'était produit un courant d'air. La porte de la cuisine s'était alors ouverte brutalement et il avait découvert la poitrine de sa mère.
C'était la première fois qu'il voyait une poitrine de femme. Il devait avoir quatorze ans à l'époque mais il s'en souvenait comme si c'était hier.
Elle se trouvait de face par rapport à lui, l'évier étant juste à coté de la porte. Il l'avait regardée avec des yeux ronds. Sa mère n'avait pas bronchée, continuant de se maquiller les paupières, les deux bras à demi levés, montrant les poils blonds abondants qu'elle avait sous les aisselles.
Il se souvenait des beaux nichons, bien plantés, gros avec des bouts épais assez clairs.
Reposant son maquillage, elle avait enfin posé son regard sur lui, lui avait souri gentiment et avait doucement refermé la porte. Cela avait été longtemps une scène qu'il revoyait quand il se branlait. En plus il s'était aperçu que cette vision lui procurait les meilleures jouissances.
Les nichons de sa mère sont incontestablement les plus beaux qu'il ait vu.
Sonia a une belle poitrine, mais moins volumineuse. Sylvie a aussi une belle poitrine, mais pas aussi belle que sa mère.
Il se rend compte qu'il bande de belle façon. Il retire son pantalon et, empoignant son sexe il se branle doucement, continuant de repenser à cette scène, revoyant le plus petit détail.
Il aimerait bien revoir les seins de sa mère.
Il se lève, va se mettre en face du grand miroir, s'assoyant sur le lit. Instinctivement il jette un regard vers la porte ou il s'est fait surprendre ce matin. A cette évocation, sa bite déjà superbement bandée, se redresse encore plus. Il revoit le regard posé sur lui, sur sa bite et la jouissance arrive très vite. Comme ce matin il arrose abondamment le même endroit. De ses deux mains il se vide jusqu'à la dernière goutte, le visage halluciné de sa mère toujours présent dans son esprit.
Satisfait, il nettoie les dégâts et se couche, essayant de trouver le sommeil