Adam et... Adam dans le jardin d'Eden

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Proposée le 17/02/2011 par enkor e enkor

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L'été dernier, un petit camping dans le Béarn...

Un soir, je vois arriver et s'installer, juste en face de ma tente, un jeune gars en vélo, avec un matériel des plus réduits. Le soir, une pluie d'orage se met à tomber et je le vois assez mal embarqué pour pouvoir dîner au sec. Alors, je vais le voir et l'invite à venir partager mon repas sous mon igloo qui est légèrement plus spacieux. Il accepte volontiers.

Tout en mangeant, on se raconte un peu nos vacances qui se ressemblent étrangement. Tous les deux nous voyageons seuls, en vélo, le nez au vent, avec une vague idée de la destination finale. Bref, l'aventure. C'est vrai qu'au fil de la discussion, je le trouve de plus en plus sympathique et, ma foi, assez beau, ce qui ne gâche rien. Grand, brun, les cheveux frisés, une silhouette assez fine, il a toutes les caractéristiques d'un garçon du Sud. On se quitte à la tombée de la nuit en se promettant le lendemain de faire un bout de route ensemble.

Comme convenu, le lendemain, nous voilà parti au gré des routes et des chemins. C'est incroyable d'être à ce point sur la même longueur d'ondes. On a le même point de vue sur la manière de flâner, de prendre son temps, de rouler très très cool. Bref, beaucoup de choses nous rapprochent. Je dois reconnaitre qu'en plus, je me sens de plus en plus attiré physiquement par lui et, à certains regards, j'ai l'impression que ça pourrait bien être réciproque. A l'étape du soir, en camping sauvage, on fait un feu et la soirée se prolonge sous les étoiles à discuter. Bien évidemment, quand deux jeunes se rencontrent, il est inévitable que la conversation arrive assez vite sur le sexe. C'est ainsi qu'il me confie très simplement qu'il se sent plus attiré par les garçons que par les filles, même s'il a déjà eu des expériences hétéros. Je lui confie que je suis dans le même cas que lui, ce qui, indéniablement, nous rapproche...

Il me parle alors d'un projet qui lui tient à coeur. Il connait, dans les environs, un endroit idyllique pour faire du camping sauvage. Il aimerait me le faire connaitre. Pas de problèmes ! Comme sa toile prend l'eau, je lui ai offert l'hospitalité dans mon igloo. La nuit fut calme et reposante. Le matin, je me réveille le premier et, du coup, je peux le contempler à loisir entrain de dormir encore. Comme il a fait chaud, il a dormi au dessus de son duvet, vêtu d'un seul boxer noir. Il dort paisiblement, totalement abandonné. C'est vrai qu'il a un corps superbe, une peau mate, le torse recouvert d'une jolie toison brune bouclée qui file jusqu'au slip, des abdos bien dessinés. D'après la bosse qui gonfle son boxer, il a l'air de bander dans son sommeil. Il a vraiment un corps très attirant. A-t il senti que je le regardais ? Il ouvre les yeux, me sourit et plante son regard dans le mien, sans mot dire. Au bout d'un long silence, il me demande :

- Veux-tu que je te fasse un massage ?
- Pourquoi pas...
- Tu vas voir, c'est idéal pour commencer la journée.

Il me fait allonger sur le ventre et entreprend de me masser avec beaucoup de douceur et de savoir-faire. C'est très relaxant. Il descend progressivement le long du dos et arrive aux fesses. Il fait glisser mon boxer et entreprend de me masser les fesses. Je sens mon sexe se durcir sous mon ventre. Puis il passe aux jambes. Puis il me demande de me retourner sur le dos. Bien évidemment, il ne peut pas ne pas remarquer ma bite bien dressée sur mon ventre... Ca le fait sourire légèrement. Il n'en continue pas moins, en grand professionnel, son massage. Mais, inexorablement, ses mains se rapprochent de la zone névralgique. Comment va-t-il s'en tirer ? Le plus délicatement du monde, il approche son visage et, du bout de sa langue humide, parcourt mes bourses, ma tige, remontant vers le gland. Je dois dire que cette caresse m'a complètement électrisé. Arrivé au gland tout humide, il me titille longuement le frein du prépuce... Délicieux ! Il connait les bons coins ! puis il prend délicatement en bouche mon gland. je sens salangue, la succion de ses lèvres... Affolant ! Il continue plus profondément comme s'il voulait engloutir tout mon membre. Je sens que je perds le contrôle, mes mains s'affolent et cherchent à le caresser. J'atteins son boxer et commence à lui caresser la bite tendue à travers le tissu. Il se déplace alors légèrement pour approcher son bas-ventre de mon visage, en position de 69. J'entrebaille son boxer et je plonge dans sa touffe brune particulièrement fournie, d'où émerge une belle bite brune bien épaisse. je lui caresse les couilles pendant qu'il s'excite de plus en plus sur ma bite en feu. Je me tends comme un arc, voulant offrir mon sexe à sa bouche dévorante. Je promène sa bite dégoulinante de désir sur mon visage, m'enivrant de son odeur intime. N'y tenant plus, j'avale goulûment son gland et je commence à le pomper. Je le sens se cabrer de plaisir. Dieu que sa touffe est fournie et bouclée, on a du mal à y retrouver ses couilles. Je les enserre toutes les deux, en coquille et branle sa tige du bout de mes doigts, tout en agaçant son gland de coups de langue. Il change alors de position pour se plaquer contre moi de tout son corps et m'embrasse furieusement. On dirait qu'il veut s'incruster en moi. Lui aussi a l'air de perdre le contrôle de ses sens. A nouveau, il me chevauche et vient offrir son sexe dressé à ma bouche. Il ondule du bassin et appuie sur ma tête pour que je le suce complètement. Plusieurs fois je le sens sur le point d'exploser dans ma bouche mais il essaie de se contrôler au maximum pour faire durer encore et encore la montée du plaisir. Cette fois, on dirait qu'il a décidé de s'occuper de ma bite sérieusement. Il me branle, me pompe, me suce de plus en plus frénétiquement. Je sens monter des ondes dans tout mon corps et j'explose dans sa bouche de longs jets brûlants, par saccades libératrices. Je me tortille en tous sens, incapable de me contrôler tant que je ne me suis pas vidé complètement. Il recrache doucement mon sperme chaud et m'enduit la bite, les couilles et la toison avec dans une caresse pleine de tendresse. Je suis apaisé, libéré de toute cette tension sexuelle exarcerbée. Mais je sais bien que je ne peux pas le laisser dans cet état car lui est encore sous pression. Alors, moi aussi j'entreprends de le faire jouir tout son saoûl. J'y mets toute ma fougue. Je le lèche, le caresse, le griffe, le mordille, le suce, le pompe, l'aspire, le branle, jusqu'au délire libérateur. Bientôt, il éjacule trois longs jets puissants de sperme chaud dans ma main et le long de mon bras, le corps parcouru par un immense frisson. je lui enduis le visage avec sa semence chaude. Il a l'air de beaucoup apprécier. Collés l'un à l'autre, nous sombrons quelques temps dans une douce torpeur réparatrice. Bien plus tard, nous émergeons de la tente et nous allons nous laver dans le petit torrent qui passe juste à côté. Une belle journée s'annonce !

Comme convenu, on décide donc de se rendre dans son "paradis de Robinson Crusoë". Il est situé dans une haute vallée des Pyrénées. On passe donc une partie de la journée à pédaler, puis à faire quelques courses et on finit par pousser nos vélos pendant deux bonnes heures car le terrain devient trop impraticable. En fin d'après midi, on découvre notre paradis. Une haute vallée légèrement pentue, avec une herbe bien verte, parcourue par un petit torrent, avec quelques chevaux sauvages par ci par là et... Totalement déserte. Etrange sensation de liberté et d'oppression à la fois. Oppressé par cette solitude, ce silence. On verra bien... On plante la tente non loin du ruisseau, on pourra au moins se laver ! On rassemble du bois mort en prévision du feu de ce soir et on part un peu explorer notre Eden. La vallée est effectivement superbe, foisonnante de fleurs et de papillons. Les chevaux sauvages n'ont pas l'air de l'être tant que ça car, curieux, ils s'approchent de nous. Quant à espérer les monter, c'est une autre affaire.

Depuis ce matin et notre étreinte, j'ai toujours envie de le toucher, de l'embrasser, de le caresser. Lui aussi, d'ailleurs. Alors, on passe le reste de l'après midi à se frôler, à chahuter, à rire. A un moment, on se met en slips de bain et on va chahuter dans le torrent bien frais. Il est magnifique ainsi dans le soleil, ruisselant d'eau, chahutant comme un gamin. D'un seul coup, d'un seul, j'ai terriblement envie de lui à le voir ainsi dans son petit slip de bain rouge, ruisselant d'eau et de soleil. Je me jette littéralement sur lui et nous roulons dans le petit torrent, collés l'un à l'autre. L'eau fraiche n'a pas raison de nos ardeurs car nos bites continuent à bien se gonfler dans nos slips de bain. Tout en l'embrassant goulûment, je fourrage dans son slip, malaxant ses fesses dures, caressant sa bite dressée. Je la sors de son slip et la glisse sous le mien, tout contre la mienne. J'empoigne nos deux tiges et je les branle doucement ensemble. Trop bon ! La caresse de l'eau sur nos corps surajoute à notre excitation. J'ai envie de le pénétrer de toute ma bite. Alors, je le mets sur le ventre, allongé dans l'eau sur un lit de petits cailloux, je fais glisser légèrement son slip de bain et j'entreprends de lui caresser la rondelle du bout de ma langue. Il a l'air d'apprécier énormément car il me tend son cul avec gourmandise tout en se tortillant. Je le dilate avec un doigt qui passe facilement et je commence à lui caresser l'intérieur du ventre en tournant. Assez vite, je passe un deuxième doigt puis je présente mon gland et pousse doucement. Il cambre les fesses pour faciliter la pénétration. ca y est, mon gland est passé, il a gémi de plaisir en se contractant autour de mon dard. Régulièrement, il se remet à plat dans l'eau pour inonder nos deux corps d'eau vive. Délicieux ! Doucement, lentement, je progresse dans ses entrailles tout en lui caressant la bite et les couilles restées enserrées dans son slip. Maintenant, je suis complètement en lui et je le sens parfaitement bien autour de ma bite. C'est chaud, c'est bon.

"J'adore me faire défoncer, tu peux pas savoir...", me souffle-t-il à l'oreille.

Bien-sûr, ça m'excite encore plus de l'entendre dire ça et j'entreprends de le limer régulièrement de toute la longueur de ma bite. Il me crie "Encore, encore...!" et je l'entends râler doucement. J'accélère la cadence de mes va-et-vient. Maintenant, cramponné à son bassin, je le pilonne furieusement, mes couilles venant claquer contre son périnée à chaque fois que je le pénètre à fond. Je le sens se tortiller de plaisir de plus en plus, il accopmpagne parfaitement bien de son bassin mon pilonnage, je le vois plonger sa tête dans l'eau, m'asperger d'eau avec ses mains, il se laisse envahir totalement par son propre plaisir. Je sens des ondes qui commencent à me parcourir en partant du bas-ventre et je sens que je vais bientôt jouir. "Je vais jouir !!!", je lui crie. A la dernière seconde, je me retire et je viens inonder son dos de deux longs jets de foutre brûlant. Nous retombons dans le lit du torrent, haletants. C'est clair que baiser ainsi en pleine nature, dans le lit d'un petit torrent, ça surajoute vachement à l'excitation ! Quel pied ! Je croyais que j'allais avoir droit à la réciproque mais il me dit que rien ne presse, que la journée et la nuit seront longues encore...

Alors, on continue notre balade, tout en nous séchant au soleil. revenus au campement, on commence à faire du feu pour cuire notre repas. La nuit nous surprendra ainsi, allongés au bord du feu, ma tête sur son ventre, tout près de sa bite que je presse de ma tête de temps en temps, à discuter à perdre haleine sous la voûte étoilée... Magique !! La nuit résonnera longtemps de nos gémissements et de nos cris de plaisir et de jouissance. Sa soif de jouissance semble sans limites. Il veut me faire jouir par tous les bouts. Je me souviendrai longtemps de sa façon totalement hors contrôle dont il me pénétra et l'infinie jouissance à laquelle il nous amena tous les deux. Après s'être pris, sucé, repris à plusieurs reprises, on était totalement fourbu. On décida d'aller se laver au petit torrent. Nus sous la lune, j'entrepris de le savonner entièrement en le caressant voluptueusement puis de le rincer à l'aide de deux bouteilles d'eau que je remplissais plusieurs fois dans le torrent. Il fit de même pour moi. On s'endormit, lovés l'un contre l'autre, repus de sexe et on dormit jusqu'au milieu de la matinée. C'est la chaleur du soleil qui montait déjà qui nous réveilla.

C'est ainsi que se passèrent ces trois jours enchanteurs. Entre une orgie de caresses, de tendresse, de sexe mais aussi de longues séances de bronzage intégral, de siestes, de discussions à n'en plus finir autour du feu la nuit. Un après midi, j'entrepris même de lui tailler artistiquement sa touffe que je trouvais trop fournie... Quelle rigolade ! Pas un seul être humain à l'horizon pendant ces trois jours. On se serait vraiment cru revenu au temps d'Adam et... d'Adam !

Ces trois jours, avec ses joies simples, fondamentales, vitales resteront, j'en suis sûr, un des plus beau souvenirs de toute ma vie...