Sow Club - Le journal de Myriam : partie IV

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Proposée le 16/02/2011 par Eros-Ion

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Lire le chapitre 3.

Carnet de Myriam : 15 janvier
La nuit dernière a laissé des traces.
Le réveil est difficile et j'ai la peur chevillée au ventre. Charlotte est partie au petit matin et je me retrouve à gribouiller ces quelques lignes en tremblant. Les visages de Yann et Stéphane me reviennent en tête et j'ai envie de vomir.
Une douche, je prépare mon sac et file en cours pour tenter d'oublier ça. Aucune trace de mes agresseurs. A la sortie d'un cours de management, je surprends une conversation entre Antoine et Bérangère, deux élèves de ma promo :
« Tu as entendu pour Yann et Steph, demande Antoine ?
- Il paraît qu'ils se sont fait choper en pleine nuit avec un peu trop d'herbe, répond Bérangère. Je pensais qu'ils ne faisaient que fumer comme tout le monde.
- 250 grammes' c'est clairement du deal. Ils se sont fait virer directement et les flics sont passés. »
Je m'éloigne rapidement? Le Club a donc tenu parole. Les deux cons ne seront pas de retour de si tôt. Un poids s'enlève de mon estomac et je commence à comprendre un peu mieux la force du club : Etre capable de faire plonger deux élèves pour de la drogue en à peine huit heures, c'est du grand art.
A 14h, je rejoins ma chambre. Sur mon bureau se trouve un nouveau colis siglé du blason SC. Il est plus imposant que la dernière fois et la traditionnelle missive est posée dessus. Je pense à ma mésaventure d'hier soir, puis à Sophie? Je dois intégrer ce club. Je déchire l'enveloppe et lis :

Aspirante truie, voici les consignes pour danser la ronde deuxième, celle de l'acceptation :
1. Tu seras dans ta chambre à 20h
2. Tu seras nue
3. Tu auras les yeux bandés
4. Tu attendras tes préparatrices
5. Tu ne toucheras sous aucun prétexte au colis

SC


Rien de bien sorcier. Reste la curiosité face à cette boîte qui doit contenir de quoi me transformer une nouvelle fois en parfaite soumise. J'ai honte de l'avouer mais l'excitation monte.
Le reste de la journée passe vite entre un oral de prospective et un verre avec quelques copains. Le sujet de mes agresseurs n'est même plus évoqué dans la promo. Ils ont disparu.
A 20h, je suis dans ma chambre, lavée, maquillée comme jamais, nue et les yeux bandés. Assise sur une chaise, je m'allume un clope pour me calmer et surtout me donner de l'allure. La porte s'ouvre, se referme et le verrou tourne.
« Bonsoir aspirante truie, fait une nouvelle voix. Toujours ponctuelle. Lève-toi, mains sur la tête et écarte les cuisses. »
Je m'exécute. La voix m'est inconnue. Elle est un peu rocailleuse et un léger accent anglais tinte ses intonations. Chose étonnante, je ne sens qu'une seule présence. Elle passe derrière moi et fait courir un doigt de la base de cou jusqu'à la raie des fesses. Un léger frisson me parcourt.
« J'ai pour mission de te laver en profondeur, petite truie. Pour la ronde deuxième, tu dois être irréprochable. La sensation est étonnante mais si tu te détends ce sera agréable.
- Me laver en profondeur ?
- Shut the fuck up, reprend la voix. Il y a une bâche à tes pieds, mets toi à quatre pattes dessus. »
Elle me pousse fermement en avant et je tombe à genoux. Je sens le contact de la bâche plastifiée et m'avance dessus pour que mes mains et mes pieds soient dessus. Une main m'écarte le cul sans ménagement et deux doigts lubrifiés plongent dans mon anus. Je serre les dents. Après quelques secondes d'un va-et-vient soutenu, la voix reprend.
« Commençons, petite truie. En anglais on appelle ça 'enema'. Je ne connais pas le mot en français mais tu devrais vite trouver.
- Lavement, murmure-je, pas ç?
- J'ai dit : Tu la fermes, ordonne la voix alors qu'une claque monumentale s'abat sur mes fesses m'arrachant un cri de douleur. Il va vraiment falloir que tu sois obéissante ce soir, sinon tu iras au rattrapage petite truie. »
Elle s'éloigne quelques instants et j'entends juste quelques cliquetis métalliques et des froissements de plastique. Des sangles passent autour de mes cuisses, puis autour de mes poignets. Je sens qu'elles sont reliées entre elles et je suis donc complètement immobilisée. Deux doigts forcent ma bouche. Je suce par réflexe. Un léger goût de cannelle? Le frôlement de l'air m'indique que ma préparatrice est passée derrière moi. A nouveau deux doigts dans le cul. Je laisse échapper un petit glapissement. Trois doigts m'élargissent maintenant les sphincters puis se retirent. Je sens un gode pousser contre mon cul puis entrer en moi progressivement, sans douleur. Je dois avoir quinze centimètres de latex dans le bas-ventre. Soudain, un liquide tiède commence à s'écouler en moi, doucement. La surprise et la sensation me font me tortiller. Une nouvelle claque cingle mes fesses.
« Don't even think about it, bitch, souffle férocement la voix. J'ai Presque deux litres à te faire passer dans les boyaux alors sois sage. Compris ?
- Oui maîtresse, réponds-je mécaniquement alors que le débit s'accélère en moi »
Je sens le liquide m'envahir, mon ventre commence à se tendre. Ma préparatrice doit sentir la tension car elle commence à me caresser doucement en lâchant un « good girl » apaisant.
« Good, reprend-elle. Le premier litre est passé facilement on dirait !
- Je? Je? Je vais exploser, bafouille-je
- Pas tout de suite petite truie, pas encore. »
Je sens qu'elle tire un peu sur le plug, détache quelque-chose puis le repousse en refixant autre chose dessus. Je comprends qu'elle vient de mettre un autre réservoir de liquide. Le débit redémarre en moi. Le poids dans mes intestins se fait de plus en plus pesant, j'ai l'impression que je pourrais exploser. Il faut que? Que ça sorte. Je n'avais pas pensé une seule seconde à ça : Je vais devoir me vider. Au bout de deux minutes, le débit s'arrête, ma préparatrice fait à nouveau jouer le plug puis détache les sangles. Elle me relève et m'assoie sur la chaise. Je pousse un cri : Le plus s'est enfoncé en moi et le volume de liquide en moi est insoutenable. Sans ce 'bouchon' de fortune, mon cul se transformerait en cascade, emportant le liquide mais aussi mon amour propre et ma fierté, pour tant est qu'il m'en reste encore. Elle m'attache les mains à la chaise puis me défait le bandeau sur les yeux. Des cheveux décolorés, un piercing dans le coin du nez, des yeux d'un vert translucide et une peau d'un blanc irréel sont face à moi.
« Fine, je m'appelle Maureen, commence ma préparatrice alors que j'ai envie d'hurler sous l'effet des litres qui se baladent en moi. Je suis Erasmus et fait partie du Sow Club de la London School of Economics. Laetitia m'a gentiment proposé de participer à la ronde de ce soir. Cool, isn't it ?
- Laisse? Laisse moi me lever, couine-je.
- Keep it easy sweetheart, murmure Maureen en me caressant le ventre nu et tendu par le lavement. Il faut attendre cinq minutes. Tu sais, c'est très bon pour la santé ? En plus le liquide est parfumé : cannelle, agrumes' Ton cul sentira le Christmas Tea !
- Je? Je n'en peux plus, je vais exploser !
- Let's have a deal, soupire l'anglaise en remontant sa jupe pour révéler son sexe nu. Make me come and I'll let you go ! Deal ? »
Je hoche la tête. Elle S'avance vers moi et me colle son sexe sur la bouche en commençant à se masturber. Je sens que le traitement qu'elle vient de m'infliger l'a excitée au plus au point : Sa chatte ruisselle. Je lèche le mieux possible pour oublier mes entrailles et mon cul qui commence à pousser le plug hors de moi. Elle m'enfonce le visage en elle puis bascule en arrière. Un jet de cyprine m'asperge le visage. Je n'avais jamais vu ça. Elle rit puis me lèche doucement les lèvres, les joues et enfin les paupières.
« Good deal, rit-elle en me détachant les poignets. Maintenant va te vider, lave toi, maquille toi et sois face à moi dans 10 minutes. »
Je me précipite dans la douche. A l'instant même où je pose un pied dans le bac, le plug sort de moi et tout le liquide jaillit de mon cul. Je pousse un cri qui mêle soulagement, douleur et honte. Les derniers spasmes agitent mes sphincters alors que je tombe à genoux dans la douche. Le parfum de Christmas tea s'élève. Je me lave rapidement, un peu de blush, du fard à paupière, du mascara, un coup de brosse et en moins de cinq minutes, je suis devant Maureen.
« Not bad, petite truie, sourit l'anglaise. »
Elle me gratifie d'une petite claque sur les fesses avant de sortir le reste des ustensiles du colis : Un collier, des sangles pours les chevilles et les poignets, une chaîne pour relier le tout, des pinces à tétons et une espèce de muselière en cuir. En me fixant cette dernière autour de la bouche, je comprends la particularité du système : Un espèce de tube force ma bouche à rester constamment ouverte et un clapet peut être ouvert ou fermer afin d'avoir une vue imprenable sur ma gorge. Ainsi harnachée, mes mouvements sont très limités. Maureen fait glisser un long manteau autour de mes épaules.
« Let's go, sweetheart. La ronde deuxième va te plaire, j'en suis sûre ! »

Carnet de Myriam : 15 janvier (II) : La ronde deuxième
Lorsque j'arrive dans la salle, c'est le choc. Mêlés à la vingtaine de membres du Sow Club, je vois une quinzaine de mecs. Certains me sont familiers : Eric, le président du bureau des Arts est un troisième année qui fait fantasmer pas mal d'étudiantes. Il est en pleine discussion avec Laetitia. Marc, deuxième année, président du club d'escalade ; Aymeric, troisième année, connu pour être l'un des meilleurs élèves de l'école. L'effroi me saisit lorsque j'aperçois Thibaut, l'un de mes copains de première année. C'est le seul de ma promo qui est présent.
Tous les étudiants masculins portent le même blaser avec un blason : Communale. Seul Thibault a un signe distinctif. Sous le blason, se trouve une bande blanche où est inscrit « Prospect ». Il est donc dans la même situation que moi, en cours d'admission.
La trentaine de convives s'affaire autour d'un buffet couvert de bouteilles de vin, alcools divers et de quelques amuse-gueules. Personne ne semble prêter attention à Maureen et moi alors que ma préparatrice m'entraine vers le centre de la salle. Lorsque nous arrivons au centre, le silence se fait. Laetitia et Eric prennent placent au fond de la salle sur le « trône » de la reine des Truies alors que le reste de l'assemblée se répartit sur les côtés.
« Bienvenus à tous pour la ronde deuxième de notre nouvelle recrue : Truie Myriam, lance Laetitia d'une voix forte et assurée ! Ce soir, vous le savez tous, nous allons apprendre à notre aspirante à recevoir, à profiter. Comme la tradition le veut, les membres de la Communale sont présents pour cette ronde, poursuit Laetitia sous un tonnerre d'applaudissements. Vous connaissez tous les règles : L'aspirante sera à la place d'honneur et vous pourrez lui rendre hommage durant toute la soirée. Elle devra accepter de recevoir vos dons. Si elle refuse, la ronde s'achève ainsi que ses espoirs d'admission. Je compte sur chacun et chacune d'entre vous pour honorer notre aspirante ! »
Une clameur s'élève de l'assemblée et je suis prise d'une incommensurable terreur. Je n'ai pas le temps de penser que Maureen m'ôte le manteau, révélant ainsi mon corps nu et entravé par les chaînes. Avec le masque qui m'ouvre la bouche, je commence à baver. Je suis tétanisé.
Trois garçons de la Communale partent alors vers la porte d'entrée. Thibault est parmi eux. J'entends un roulement lourd et tourne la tête : Un piédestal de cinq mètres de diamètre est poussé juste derrière moi. Sur cette espèce de scène est fixée une structure en métal formant un U à l'envers d'environ deux mètres de large. Les garçons s'écartent et je m'aperçois que Thibault n'ose pas me regarder. Maureen me fait monter sur la plateforme et enlève la chaîne que retenait les sangles de mes poignets et de mes chevilles. Elle me force à m'accroupir dos à la structure puis m'écarte les bras et refixe chacun de mes poignets à un des coins supérieurs du U. Je suis obligée de me tenir sur la pointe des pieds pour ne pas pendre à la structure. L'anglaise se met alors face à moi et m'écarte violemment les genoux. Elle les sangle puis les attache aux montants de la structure. Je suis complètement ouverte et offerte sur scène. Impossible de bouger, je fais partie du mobilier. Maureen se redresse face à moi puis ouvre le clapet de mon masque.
« Tu vas être parfaite, sweetheart, me sourit-elle. Ferme les yeux et profite. »
A ma grande surprise, la soirée reprend son cours comme si je n'étais pas là. C'est à peine si on me regarde. Au bout de dix minutes, Marc s'approche avec deux verres de champagne à la main
« Tu dois commencer à avoir soif, dit-il avec un sourire franc ?
- huuu, bave-je
- Tiens c'est pour toi. »
Il se penche doucement vers moi et commence à verser doucement le contenu de la flute dans ma bouche. J'avale comme je peux et me sens complètement transie par la honte. Il reste une minute à côté de moi à me verser la boisson au fond de la gorge en faisant attention à ce que je ne m'étouffe pas. Une fois la coupe finie, il me caresse la poitrine puis s'éloigne.
Je comprends seulement à ce moment que Marc a ouvert le bal' Les invités et les filles du Club commencent à venir autour du piédestal et me caressent. Tout est doux : Certains viennent me passer la main dans les cheveux, d'autres me caressent les seins, les cuisses, le dos, les épaules. D'autres m'apportent à boire. Je sens d'ailleurs que j'ingurgite beaucoup d'alcool. Au bout d'une petite heure à ce régime, mon corps frétille sous les caresses et devient hypersensible. L'effet est amplifié par les cinq ou six coupes de champagne que l'on m'a fait boire.
La première heure passée, n'était qu'un tour de chauffe. Petit à petit, les caresses se font plus insistantes : On tire sur la chaîne qui relie les pinces mordant mes tétons, des doigts entrent en moi? L'alcool, les caresses et la situation surréaliste font que je perds peu à peu le contrôle de moi : Je tends mon cul lorsqu'une main s'en approche, j'avale goulument les boissons que l'on m'apporte, mon bassin commence à onduler de manière plus que suggestive. La honte est dépassée, je n'ai plus aucune maîtrise.
Alors que ma tête commence doucement à tourner, je vois Sophie approcher. La griserie laisse la place à la peur. Elle se met face à moi, une bouteille de vodka en main puis mime ma position en riant.
« Alors petite pute, glapit-elle, on est à l'aise ? Tu as l'air un peu coincée et je me suis dit qu'une bouteille te ferait un peu de bien. »
Elle se relève en gloussant méchamment et me verse une rasade d'alcool dans la bouche. J'étouffe, suffoque et tousse. Après la quinte de toux, j'ouvre les yeux et vois Sophie couverte de la gorgée que je viens de recracher involontairement. Une gifle me cingle le visage. Sophie prend une gorgée de vodka et me la crache sur le corps en tirant un coup sec sur les pinces tétons. Je crie. Elle sourit?
« Où avais-je la tête, rit-elle, je venais t'apporter une bouteille, pas te faire boire ! »
Elle passe derrière moi en laissant la bouteille glacée courir sur mon corps. Elle fait courir le verre le long de mon dos puis m'enfonce le goulot dans le cul. Elle redresse la bouteille pour la caler entre le sol et moi. Sans préparation, la bouteille me déchire et je sens que je glisse dessus. Le goulot est entièrement en moi et le corps de la bouteille pousse. Sophie repasse devant moi, passe sa langue au travers du trou du masque et m'embrasse avec un clin d'oeil. Elle s'en va en riant.
Quelques minutes plus tard, Laetitia et Eric s'approchent. Elle se plante devant moi alors qu'il se positionne dans mon dos. Il enlève la bouteille de mon cul alors que Laetitia détache mon masque et le pose à côté de moi. Un flot de bave se répand sur moi. La honte va avec. Laetitia se penche et l'embrasse à pleine bouche alors que je sens sa main glisser sur mon sexe. Eric m'embrasse les épaules, le dos, les bras, les aisselles. Il me caresse les fesses en glissant de temps à autres un doigt dans mon anus ouvert.
« Tu peux, dit Laetitia à Eric dans un souffle »
J'entends son blaser se poser derrière moi et un froissement de tissu. Face à moi, Laetitia, continue à m'embrasser, à me caresser les seins et à parcourir mon sexe et mon clitoris avec une agilité troublante. Eric est nu derrière moi et se colle à mon dos. Je sens son sexe entre mes cuisses. La main de Laetitia le saisit et le guide dans ma chatte. Alors qu'il commence à me pénétrer, Laetitia remonte sa main et me caresse le clitoris. Je pars en cinq secondes. Je n'ai pu retenir un râle de plaisir.
« Bien, souffle la présidente, tu commences à accepter de recevoir. Mais ce n'est que le début. »
Après une dizaine de minutes de ce régime, je jouis à nouveau. Eric sort de moi. Il vient devant moi et me tend sa queue. Je la prends en bouche sans la moindre hésitation. Il jouit à son tour dans ma gorge puis me tend une coupe de champagne que je bois d'une traite. Il se redresse et annonce :
« Le bal est ouvert ! »
L'heure qui suit est? confuse. Chacun de mes orifices est pris par des doigts, des sexes, divers objets. Je suce, je lèche, je jouis, je crie. Mon cul sert de support à une bougie pendant quelques instants, on me fait encore boire. Mon corps ne m'appartient plus, je ne sais plus ce que je fais, ce qu'on me fait, qui le fait? je reçois.
Couverte d'alcool, de cyprine, de sperme, de bave et autres fluides, je suis détachée du pilori par Maureen qui m'embrasse. Je la serre dans mes bras et l'embrasse goulument alors qu'elle me passe une serviette sur le corps pour me nettoyer. Je ne sens plus mes jambes, je n'ai plus de force dans les bras et j'ai l'impression que mon c'ur va lâcher. Ma préparatrice me descend du piédestal qui est enlevé du centre de la pièce et remplacé par une espèce de tube transparent d'environ 60 centimètres de haut et de deux mètres de diamètre. Il est remplit d'eau et de glaçons. Toute l'assemblée forme un cercle autour de la baignoire. Encore à moitié inconsciente, je laisse Maureen me m'allonger sur une couverture. Quatre garçons de la Communale saisissent nous rejoignent et prennent chacun un coin. Ils me soulèvent, inerte puis me portent au-dessus du tube. Ils descendent doucement la couverture alors que Maureen pose sa main sur mon ventre. Je sens l'eau glacée entrée en contact avec le tissu puis avec mon corps. Les Communards lâchent mon support et dans un cri, je me retrouve plongée dans les glaçons. La main de Maureen me plaque dans la baignoire. Elle relâche la pression et je me redresse comme une furie, complètement dessaoulée. Je suis à genoux dans les glaçons, de l'eau jusqu'à la ceinture. Toute l'assemblée baisse la tête.
« Tu viens de passer la ronde deuxième, sourit Laetitia, bravo à toi d'avoir su tant recevoir. »
Je suis incapable de savoir ce qu'il s'est passé après. La tension et le stress qui m'avaient tenue jusque là se sont évaporés et je me suis réveillée le lendemain, dans mon lit, emmitouflée dans de grosses couvertures.

Carnet de Myriam : 16 et 17 janvier
Week-end famille. Mes parents m'ont trouvé changée?