Chez Irène (3)

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Proposée le 14/02/2011 par sergio06

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Lire le chapitre 2.

Inceste, ne poursuivez pas la lecture si cela vous choque svp.



Bernard est rentré chez lui dès qu'André a tourné le dos.
Son père est en train de lire le journal dans la grande pièce qui sert de salon et de salle à manger et il ne lève même pas les yeux quand Bernard entre dans la pièce.
Celui-ci lui demande :
- Tu vas au jardin cet après midi ?
Son père semble étonné par la question.
- Oui, bien sur, pourquoi ? Tu veux venir ?
- Non, c'était juste pour savoir.
Haussant les épaules, le père se replonge dans la lecture, renonçant à essayer de comprendre tandis que Bernard se dirige vers la cuisine. Sa s'ur est en train de préparer le repas. Elle l'entend, se retourne et lui fait un sourire complice.
De l'endroit où est son père, il ne peut pas voir ce qui se passe dans la cuisine. Arrivé derrière Lucie qui nettoie des légumes sous l'eau du robinet, il lui met carrément les mains aux fesses tout en l'embrassant dans le cou. Lucie tourne la tête vers lui et lui fait les gros yeux, montrant d'un signe de tête l'endroit ou se trouve leur père. Bernard rit et lui murmure à l'oreille :
- Ne t'inquiètes pas, il apprend le journal par coeur.
Et il lui embrasse la bouche avant de la lacher. Il prend une bière dans le frigidaire et retourne dans le salon.
Il s'assoit et sirote sa boisson, pensif.
Quand Bernard est revenu d'Algérie, il a appris que sa mère était morte en même temps qu'il a découvert que sa s'ur, divorcée était revenue à la maison.
Les premiers jours avaient été durs, non pas au sujet de la mort de sa mère, mais de la vie ici qui lui semblait tout à coup bien terne.
Là bas, il avait tout ce qu'il voulait, nourriture à profusion, soleil, et surtout les filles délurées qu'il baisait à volonté. En plus il ne faisait pratiquement rien à part astiquer la voiture alors qu'ici il fallait faire ce travail de maçon qui ne lui plaisait qu'à moitié.
Il repensait avec nostalgie aux soirées avec les putes qui faisaient tout ce qu'il désirait.
Il était devenu très vicieux, tout lui étant permis, sans limite aucune. Ici il lui faut retourner à la vie normale, grise, sans aucune gaité.
Au deuxième jour il se mit à regarder Lucie d'un autre oeil. Il connaissait la réputation de celle-ci et savait surtout qu'elle était justifiée.
Plusieurs fois, avant de partir au service militaire, il l'avait surprise en compagnie d'hommes beaucoup plus agés qu'elle, près de la rivière où tous les amoureux ou ceux qui avaient envie de tirer un coup vite fait se rendaient.
La première fois il avait seize ans quand il l'avait surprise sans le vouloir. Il s'était rendu pour essayer de mater des couples dans un endroit bien tranquille. En arrivant il n'y avait personne et il se mit à attendre. Tout à coup il eut la surprise de voir arriver Lucie en compagnie d'un homme qu'il connaissait, beaucoup plus âgé, marié, et qui avait une sérieuse réputation d'homme à femmes.
A cette époque elle n'était pas encore mariée mais était tout de même fiancé avec celui qui devait devenir son mari.
Le couple s'allongea sur l'herbe sous un saule pleureur. André était de l'autre coté de la berge, bien caché sous l'épaisse frondaison et exactement en face du couple.
C'était l'été, Lucie était simplement habillée d'une robe légère à fleurs. L'homme se colla contre elle et commença à la caresser. Très vite Bernard put admirer les seins de sa s'ur. Il se doutait qu'ils étaient beaux car il louchait dessus depuis longtemps déjà, mais là il les découvrait nus et il était admiratif devant leur beauté.
Même dans la position qui était la sienne, couchée sur les dos, ils pointaient vers le ciel. L'homme les embrassait, les caressait et cela avait l'air de beaucoup plaire à Lucie. Il se trouvait à moins de cinq mètres d'eux, la rivière n'étant pas très large à cet endroit et il voyait parfaitement le visage ravi de Lucie qui se pamait sous les caresses.
La bouche de l'homme suçait un téton tandis que sa main se glissait sous la robe. Celle ci fut vite retroussée et la culotte blanche apparut sous les yeux exhorbités de Bernard. Il avait sorti sa bite et se branlait doucement, excité par le spectacle. La main de l'homme disparut dans la culotte et on la voyait s'activer. La tête de Lucie roulait sur l'herbe de droite à gauche.
Bientôt le vêtement se retrouva sur ses cuisses puis fut carrément enlevé.
Bernard était en face de l'ouverture des jambes. Une toison noire apparut entre les jambes repliées et largement écartées. L'homme la branla un bon moment, il l'entendait râler de bonheur à présent.
L'homme la libéra, descendit son pantalon et la pénétra d'un coup. Il voyait les jambes de sa s'ur s'enrouler dans le dos de l'homme. Il la baisa à grands coups puis resta planté en elle après un ultime coup de reins ou il put entendre sa s'ur jouir bruyamment.
Il jouit abondamment au même moment, répandant sa semence sur l'herbe tendre.
Le couple se rhabilla rapidement puis s'en alla. Il fit de même et rentra chez lui.
Ce n'était pas la première fois qu'il voyait un couple faire l'amour à cet endroit mais c'était bien la première fois qu'il voyait sa s'ur baiser.
Il eut l'occasion de la revoir plusieurs fois, avec des hommes différents. Il la revit même quelques mois après son mariage et son mari méritait largement sa réputation de cocu.
En Algérie, la fréquentation de Jean Luc qui utilisait les femmes comme du consommable lui avait changé la mentalité. Il pensait désormais que celles-ci étaient là pour servir les hommes, sans toutefois les mépriser comme son ami.
Le troisième jour après son retour, n'y tenant plus, il lui demanda négligemment s'il elle voulait venir se promener avec lui. D'abord surprise, elle accepta avec joie.
Ils se retrouvèrent très vite près de la rivière. Ils marchèrent le long de la berge sans croiser personne. Ce n'était pas l'époque des vacances scolaires et en plus c'était en milieu de semaine, ils ne croisèrent donc personne.
Ils se retrouvèrent à l'endroit ou il avait vu Lucie faire l'amour. Il se demanda si elle repensait à toutes les fois ou elle s'était faite culbuter à cet endroit et cette pensée l'enflamma.
L'emplacement n'avait pas changé, l'herbe était bien sèche. Il lui proposa de se reposer et elle accepta. Elle s'assit, ses bras autour de ses genoux repliés, songeuse.
Il s'écarta un peu, ouvrit sa braguette et se mit à pisser. Faisant comme si de rien n'était, il se mit légèrement de coté, au lieu de se tourner complètement. Il regardait ailleurs, comme absent, lui laissant le loisir de regarder sa bite à moitié gonflée par l'idée de ce qu'il allait faire.
Il ne la voyait pas mais il était sur qu'elle regardait.
En effet celle-ci avait machinalement tourné son regard pour voir ce que faisait son frère. Elle vit une bonne partie de la bite de Bernard et ne put en dégager son regard. La miction arrivait à sa fin, il tourna la tête vers elle et vit son regard brillant fixé sur son sexe.
Il le secoua pour se débarrasser des dernières gouttes, toujours sous le regard attentif de sa s'ur puis le remit dans sa culotte.
La regardant, il vint s'asseoir tout près d'elle. Celle-ci regardait son frère, les yeux troubles.
Il s'assit tout près d'elle, tout en continuant à la fixer dans les yeux. Elle soutenait son regard et ses yeux à demi fermés brillaient. D'autorité, sans dire un mot, il lui mit un bras autour du cou et l'embrassa sur les lèvres. Elle ne se débattit pas, lui rendit son baiser. La main libre de Bernard vint étreindre le sein à sa portée. Il le découvrit d'une dureté incroyable. Il sentait le bout bandé dans la paume de sa main.
Il l'entraina sur le sol et se mit à déboutonner son corsage. Il se débattait maladroitement avec les et elle vint bien vite à son secours. Se redressant, elle défit son vêtement, enleva son soutien gorge et se rallongea, sans gêne aucune. Bernard admira les seins dressés qu'il voyait enfin de près, puis les suça l'un après l'autre. Lucie lui caressait la tête, roucoulant de bonheur sous la caresse.
Il bandait très fort et sa bite était coincée, lui faisant mal. Il lacha Lucie, se mit sur le dos et se dégrafa. Il enleva son pantalon, son slip et se tourna vers elle.
La bite tendue vibrait, animée d'un désir fou. Elle l'empoigna et se mit à la branler doucement tout en le regardant d'un air vicieux qu'il ne lui connaissait pas. Il se mit à respirer fort et s'allongea. Aussitôt Lucie se pencha et se mit à le sucer de belle manière. Bernard qui aimait particulièrement cette caresse apprècia la technique de sa s'ur. Il la laissa faire un moment puis luit dit d'arrêter. Elle suçait trop bien et il était particulièrement excité par l'idée de la baiser.
Elle s'allongea et il s'introduit en elle d'un grand coup de reins. Elle poussa un petit cri de satisfaction et ils baisèrent comme des bêtes, elle sans doute aussi excitée que lui de faire l'amour avec son frère.
Ils ne tardèrent pas à jouir ensemble. Après un bref repos, ils se rhabillèrent et rentrèrent à la maison.
Le père était au travail. Sans se consulter, ils se dirigèrent vers la chambre de Lucie et se déshabillèrent. Bernard s'allongea de tout son long sur le lit et demanda à Lucie de venir sur lui en position de soixante neuf.
Il avait enfin devant lui la chatte poilue de Lucie, une chatte qui avait accompagnée bien des branlettes en rêve. Elle avait une vraie toison de sapeur qui débordait largement sur l'intérieur des cuisses. Bernard adorait cette caresse après l'amour. Sucer tout en étant sucé lui redonnait envie très vite. Posant sa langue sur la chatte ouverte, toute encore imprégnée de sperme et de mouille, il se mit à lui faire un cunnilingus qui la rendit folle. Elle jouit très fort et plusieurs fois avant qu'elle lui demande d'arrêter.
Elle vint s'empaler sur lui comme il le lui demandait et elle le chevaucha longtemps avant de le faire jouir et de s'écrouler à son tour après une dernière jouissance.
Il la laissa récupérer tout en lui caressant les fesses qu'elle avait assez généreuses sans être trop grosses. Un beau cul de salope se dit-il.
Elle releva enfin la tête et lui sourit. Elle lui demanda :
- Il y a longtemps que tu avais envie de faire l'amour avec moi ?
Bernard sourit, repensant à ce fameux jour ou il la surprit pour la première fois.
Elle lui demanda pourquoi il souriait ainsi, il lui expliqua et elle s'exclama :
- Ah le salaud ! Ah si j'avais su cela !
- Qu'aurais-tu fait ?
Elle éclate de rire puis d'un air salace :
- Et bien, on aurait baisé ensemble depuis longtemps.
Il est bluffé par le vice de la fille. Lui qui croyait lui en mettre plein la vue, qui voulait l'étonner, elle lui disait tout de go qu'elle s'était retenue de baiser avec lui parce qu'elle avait peur de le choquer.
Depuis, tous les jours ils font l'amour. Difficile de dire qui est le plus vicieux, mais toutes les positions sont bonnes. Lucie ne recule devant rien. Elle aime avaler le foutre tout comme elle ne rechigne pas à se faire sodomiser.
Lucie arrive dans le salon, met le couvert. Il l'aide, pas pour lui rendre service, mais pour qu'ils mangent le plus tôt possible et qu'ils aient la voie libre, sachant que le père partira aussitôt ensuite pour se rendre à son jardin. Lucie n'est pas dupe et lui fait un clin d'oeil canaille.
Le repas se termine à peine que le père se lève et s'en va sans dire un mot comme à son habitude.
Bernard regarde l'heure, il est presque quatorze heures. Il aide sa s'ur à faire la vaisselle et très vite ils se retrouvent au lit.
Frère et s'ur complètement nus s'enlacent. Ils se caressent, laissant monter le désir. Bernard bande de belle manière, la main qui branle Lucie est trempée par la mouille.
Lui qui avait l'habitude de baiser des putes est emerveillé par la quantité de jus qui sort du vagin de sa s'ur. Ce n'est rien de dire qu'elle est chaude, en fait c'est une véritable fontaine. A peine il la touche, elle mouille.
Lucie est à présent bien excitée, elle respire fort et désire être baisée. Elle lui dit.
- Viens maintenant, je veux ta queue en moi. Viens !
Bernard attendait cet instant pour lui exposer son plan qu'il a muri.
- Attends, je voudrai te dire quelque chose avant.
Elle s'énerve, insiste.
- Après, viens, je t'en prie !
Et c'est elle qui, l'enjambant vient sur lui et prenant la queue dans une main s'empale sur le vit dressé en poussant un grand Ahhhh ! de satisfaction.
Aussitôt elle se met à monter et descendre sur la tige brulante. Bernard l'accompagne, veillant à lui donner le plus de plaisir possible. Elle gémit de plus en plus fort, elle sent déjà la jouissance monter. Il lui pince les tétons qu'il fait rouler entre ses doigts car il sait qu'elle adore cette caresse dans cette position.
- Oui, ah oui ! Ah que c'est bon ! Ah je sens que je viens ! Oui ! Oui ! Ahhhh !
Et, accélérant le mouvement elle s'empale de plus en plus brutalement sur la bite tendue.
Enfin elle s'écroule sur lui, essayant de reprendre sa respiration. Il lui caresse le bas des reins, insinuant ses doigts dans la raie culière humide de transpiration.
Enfin elle émerge, relève la tête et dit :
- Tu n'as pas joui.
- Non. Tourne toi, je vais te prendre en levrette.
Elle se met à genoux, offrant sa croupe, la cambrant au maximum car elle sait qu'il adore ça. D'un grand coup, il introduit sa bite luisante de mouille. Elle pousse un cri de plaisir et se met à ronronner. S'appuyant sur ses coudes, la tête pendante, elle regarde les couilles venir cogner contre son fessier.
- Ah oui ! Oui, je vois tes couilles ! Vas-y, plus fort ! Encore !
Il se retient un maximum mais, les propos obscènes de la fille, la vue du cul magnifique le rendent fou. Il ne peut plus tenir, il sent qu'il vient.
- Oui, oui, ça y est ! Je viens ! Ah oui ! Oui ! Tiens ! Tiens salope ! Ahhhh !
Et il se vide dans le con accueillant tandis que la fille jouit de nouveau.
- Ah oui ! Oui je te sens ! Je sens ton sperme qui m'inonde ! Ahhhh !
Elle s'affale sur le lit, accompagnée par Bernard qui reste fiché en elle.
Ils restent ainsi sans rien dire le temps de récupérer puis elle lui demande d'une voix mourante :
- Ouf ! C'était super ! Que c'est bon de faire l'amour.
Puis, après un moment elle demande :
- Au fait, tu peux me dire ce que tu avais de si urgent à me dire ?
Bernard se lance. Il demande ce qu'elle pense d'André.
- Notre voisin ? Ma foi je l'aime bien. Il est gentil, mais je crois qu'il est très timide.
- Timide, sans doute, mais tu as vu comme il te dévore des yeux ?
- Oui, c'est vrai je l'ai remarqué. Mais pourquoi tu me parles de lui maintenant ?
- Et bien parce que je l'ai invité à venir cet après midi.
Lucie ne voit pas ou il veut en venir.
- Je l'ai invité pour que tu lui fasses l'amour, je suis sur qu'il est puceau.
Elle le regarde, abasourdie par cette déclaration brutale.
- Tu aurais quand même pu m'en parler avant tu crois pas ?
- C'est vrai, mais j'ai voulu t'en faire la surprise, et puis j'étais sur que tu serais d'accord. Je me trompe ?
Elle réfléchit, lui sourit, puis demande :
- Tu es sur qu'il est puceau ? Comment le sais-tu d'abord ?
- J'en suis persuadé, je l'ai sondé il y a quelques jours.
Bernard dit la vérité, mais c'était la semaine dernière et bien sur il n'est pas au courant des derniers évènements.
Elle demande, un sourire vicieux aux lèvres :
- Et toi dans tout ça, tu fais quoi ?
Avec le même sourire, il répond :
- Moi ? Je regarde bien sur ! J'ai beaucoup aimé voir te faire baiser et j'ai envie de recommencer.
Pendant qu'elle le traite de vicieux, il sourit à l'idée de voir sa s'ur baiser devant lui, repensant aux parties fines en Algérie. Mais il ne peut lui dire la vérité, ce serait perdre la face et perdre son statut de baroudeur.
Elle continue à réfléchir, puis dit, un sourire salace sur les lèvres, excitée par l'idée de dépuceler un garçon devant son frère :
- Ok, je veux bien.
Il l'embrasse dans le cou, la remerciant ainsi. Ils se lèvent, Lucie fait un brin de toilette et se rhabille. Au moment de mettre une culotte, elle se ravise, la range. Elle ne met pas de soutien gorge non plus, se contentant d'enfiler sa robe légère.
Ils sont à peine installés dans le divan que la sonnette retentit.
Il se lève et va ouvrir, c'est bien André.
Avisant Lucie, il répond à son sourire. Bernard demande ce qu'il veut boire.
- Une bière.
Pendant qu'il se dirige vers la cuisine, elle l'invite en souriant à venir s'asseoir auprès d'elle, à sa droite. Il s'éxecute, visiblement intimidé. Elle lui dit :
- On est voisins et on ne se voit presque jamais, c'est curieux non ?
- Heu oui, c'est vrai.
Elle le regarde, c'est vrai qu'il est pas mal. Il est bien bati, aussi grand que son frère. Minaudant elle lui dit :
- Moi je crois que tu me fuis, que tu ne veux pas me voir.
- Non ! Non, pas du tout, pourquoi tu dis ça ?
La brutalité de la réponse la fait sourire. C'est vrai qu'il en pince pour elle, son frère avait raison. Elle sent l'excitation la gagner. Elle répond doucement, avec son sourire le plus engageant :
- Je ne sais pas, juste une idée comme ça. Peut être que tu ne m'aimes pas tout simplement.
- Mais non je t'assure !
La réponse est trop brusque une fois de plus, révélant à Lucie l'émoi du jeune homme.
Entre temps, Bernard revient, avec les bières, les distribue et va s'asseoir de l'autre coté de Lucie, ce qui force celle ci à se pousser et à venir se coller tout contre André, le canapé étant fait pour deux personnes. Celui ci sent la chaleur de sa cuisse sur la sienne et son excitation augmente d'un cran. Lucie accentue la pression de sa jambe contre celle d'André. Il n'ose bouger et pour prendre une contenance, il boit un grand coup au goulot.
Les autres font pareil. Elle repose sa bière sur la petite table devant eux et, comme si de rien n'était, pose sa main droite sur le haut de la cuisse d'André d'une manière qui semble tout à fait naturelle. La main ne touche pas le sexe mais presque et il sent une envie irrésistible monter en lui. Sa bite se trouve encore plus à l'étroit. La chaleur de la paume est clairement perceptible à travers le tissu du pantalon. Il sent même les doigts bouger insensiblement.
André est à peine dépucelé, mais même s'il manque d'expérience, il n'est pas idiot. L'invitation un peu surprenante, le fait de le faire asseoir sur le même canapé alors que les sièges ne manquent pas, le fait que Bernard semble ailleurs, regardant ostensiblement de l'autre coté lui fait très vite deviner l'espèce de machination dont il est l'objet.
Il tourne la tête vers Lucie, la regarde dans les yeux, lui sourit. Elle lui répond tout en accentuant la caresse sur sa cuisse. Les doigts remontent doucement. André bande terriblement. Son membre, coincé dans une mauvaise position le fait souffrir. Il sent que le bout des doigts se rapproche de la bosse qui tend son pantalon. Bientôt Lucie n'a plus de doute sur le désir du garçon.
Le bout de ses doigts bute sur une excroissance qu'elle juge de belle dimension. Doucement, sa main vient se poser sur sa bite. Ils se regardent. Dans les yeux de Lucie, il peut lire le même regard que celui de Sonia quand elle est excitée. Le sourire de la fille s'accentue, la main se fait caressante. Elle glisse sur la grosse tige qui l'étonne par son ampleur. Ses yeux deviennent encore plus brillants tandis qu'elle se mord la lèvre inférieure en une mimique admirative.
Elle enlève sa main, la passe dans le dos d'André, l'attire vers elle. Il se jette littérallement sur elle et ils s'embrassent à pleines lèvres. Il sent de nouveau une main, la gauche qui se pose sur son sexe. Il a de plus en plus mal. Sa bite coincée demande à se déployer.
Il n'y tient plus. De sa main droite il défait fébrilement les boutons de sa braguette, se bat avec eux. Lucie l'aide et bientôt la bite libérée sort de sa cache sous les yeux admiratifs de la fille qui a abandonné la bouche du jeune garçon. Il pousse un soupir de soulagement, tandis qu'elle s'exclame :
- Ah ben dis donc ! J'ai ai jamais vu une aussi grosse. Qu'elle est belle !
Et ses doigts entourent le braquemart tendu sous les yeux de Bernard qui regarde, envieux le membre imposant.
- Et ben dis donc, pour un puceau t'en as une bien belle !
André ouvre la bouche, mais se ravise, difficile d'avouer qu'il s'est déniaisé avec sa belle s'ur.
Lucie le branle doucement mais gêné par le pantalon, elle lui demande :
- Enlève le, ça gène. Et puis je veux la voir entièrement.
Il se lève se débarrasse de son pantalon et du slip, et s'apprête à se rasseoir. Elle le stoppe.
- Non, reste comme ça. Bon dieu qu'elle est grosse ! Et quelle longueur !
Et elle la reprend en main, la branlant de nouveau. André se dit qu'il aurait du se branler avant de venir. Cette situation avec cette fille l'excite au plus haut point. Il reste ainsi, sa bite admirée par Lucie et son frère qui n'en reviennent pas.
André sent le plaisir monter à toute vitesse. Sa respiration l'indique et Lucie s'en rend compte. Sadique, elle lui demande.
- On dirait que tu as beaucoup envie non ?
André respire de plus en plus vite, sa bite vibre de plus en plus dans la main qui le branle.
- Oui, oh oui ! C'est bon ! Oui !
La fille prend visiblement plaisir à branler la belle bite. Sa main coulisse le long de la belle hampe, décalottant à fond le gland et une bonne partie de la queue.
André soupire de plus en plus fort, montrant son excitation. La fille abandonne parfois son regard fiévreux posé sur la bite pour le rapporter sur le visage crispé du garçon. Celui-ci, les yeux à demi fermés semble près de la jouissance.
Elle demande d'une voix altérée par le désir :
- C'est bon ? Tu aimes ?
Il est évident qu'André aime la caresse. La bouche ouverte, les yeux à demi clos posés sur ce que fait la fille il sent qu'il va se vider.
- Oui ! Ah oui ! Ah que c'est bon ! Ahhh !
Elle se rend compte que le garçon va jouir. Elle se penche, tout en attirant vers elle la bite turgescente et l'introduit dans sa bouche.
Elle a du mal à l'introduire tant le diamètre est imposant. La bouche déformée par la taille du pénis, elle va et vient, l'enfonçant le plus qu'elle peut dans sa bouche. André ne peut plus se retenir à présent.
- Ah ! Ah c'est bon ! C'est bon ! Ah oui, je vais jouir ! Je vais jouir ! Ah ouiii ! Ahhhhh !
Et il se vide dans la bouche de Lucie qui le pompe, avalant la semence à fur et à mesure qu'elle jaillit dans sa bouche. Enfin elle relâche le membre qui dégonfle lentement, la bouche pleine de sperme.
Tous les trois regarde le membre s'incliner doucement, faisant une belle parabole. Le spectacle est magnifique d'érotisme.
Elle reporte son regard sur le visage du garçon :
- Tu as aimé ?
André est aux anges.
- Oui, c'était bon ! Super bon !
Tandis qu'ils conversent, ils entendent des gémissements de plaisir. André et Lucie se tournent vers Bernard. Celui ci est en train de se branler. Voyant les regards se tourner vers lui, il lui dit :
- Vas-y suce moi à mon tour, j'ai trop envie.
Elle sourit et se tournant, elle se met à le sucer. Il pousse un cri de satisfaction.
- Oui, vas-y ! Suce ! Suce moi bien salope ! Suce moi à fond !
Lucie s'applique. André se rassoit à coté de Lucie qui lui tourne les dos. Il se met à la caresser, commençant par les épaules puis, descendant le dos pour enfin attaquer les belles fesses rebondies.
La robe le gène. Lucie s'en rend compte, se lève à demi et l'aide à la remonter.
Le beau cul nu rebondi et libre de culotte apparaît aux yeux excités d'André. Aussitot il se met à le caresser. Lucie ouvre ses jambes, la raie culière pleine de poils apparait. La main vient caresser le sexe. Descendant, il le découvre trempé. Lucie grogne de contentement.
La main effectue un mouvement de va et vient qui l'amène au seuil de la jouissance. On l'entend grogner de plaisir tout en continuant de sucer son frère. Heureusement celui ci est tout près de jouir.
- Oui ! Oui continue salope ! Oui je viens ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Ahhhhh !
Et à son tour il se vide dans la bouche goulue de sa s'ur. A peine a t'elle libéré la tige qui ramollit qu'elle se met à jouir à son tour sous la caresse d'André.
- Ah oui, branle moi bien ! N'arrête pas ! N'arrête pas je t'en supplie ! Ah ouiiii ! Ahhhhh !
Elle jouit en gueulant de plaisir sous les yeux des deux garçons qui la regardent, la bite à l'air.
Celle d'André est de nouveau bandée. Le spectacle qu'il vient de vivre l'a mis dans un état indescriptible et il a encore envie de jouir.
Lucie rouvre les yeux, récupérant péniblement et découvre le phénomène.
- T'es pas vrai toi ! Tu viens juste de te vider et tu bandes à nouveau !
La bite finit de se redresser et semble prête à servir. Lucie n'y tient plus. Elle se lève et lui prenant la main elle l'amène vers sa chambre.
André la suit, admirant ses belles fesses. Arrivés dans la chambre, elle s'allonge sur le dos et lui dit :
- Viens ! Viens me baiser, j'en ai trop envie ! Viens !
Les derniers mots sont dits sur un ton de commandement. La vue de la belle bite dressée la rend folle.
André vient se mettre entre ses jambes et d'un grand coup de reins l'empale, venant buter au fond de son con tempé. Lucie, surprise par cet assaut brutal à lequel elle ne s'attendait pas, surtout de la part d'un puceau, pousse un grand cri de bonheur. Ses jambes viennent s'accrocher dans le dos du garçon qui se met à la pistonner de belle manière, pas à la manière d'un puceau en tous cas. Les cris de Lucie s'amplifient. Une nouvelle jouissance est toute proche. La fille est en plein délire.
- Oui ! Oui ! Ah comme tu me baises bien ! Ah comme t'es fort ! Encore ! Encore ! Ah oui !
Et elle jouit en hurlant presque. André n'en continue pas moins de la baiser à grands coups de bélier. Les cris diminuent à peine qu'ils reprennent déjà, annonçant une nouvelle jouissance. Sa tête roule dans tous les sens tandis qu'elle repart à nouveau.
- Ah oui ! Ah oui ! Oui ! Ouiiii ! Ahhhh !
Elle en est à sa troisième jouissance quand André lui aussi se vide, en plein rut devant cette femelle qui n'arrête pas de crier en jouissant.
Enfin il s'arrête de la pilonner, restant enfoncé dans le con qu'il sent toujours palpiter.
Un long moment s'écoule puis, refaisant surface après ces jouissances à répétition, elle embrasse André, puis :
- Tu vas pas me dire que tu étais puceau, c'est pas possible. Jamais on m'a baisé comme ça !
André sourit, heureux du compliment. Bernard, qui a suivi toute la scène est lui aussi estomaqué.
- Oui, je croyais que tu étais puceau, mais elle a raison, tu as déjà couché avec une fille.
André ne répond pas, un peu embêté. Il lui est difficile d'avouer qu'il a baisé sa belle s'ur. Mais, se dit-il, après tout, c'est quoi le plus grave ? Coucher avec la femme de son frère ou baiser sa s'ur ? Devant leurs regards interrogateurs, il s'incline et avoue la vérité.
Ebahis, ils lui demandent des détails, il leur donne et en rajoute même, plutôt fier de leur raconter à eux qui le prenaient pour un puceau.
Les deux jeunes gens n'en reviennent pas. Croyant dévergonder un jeune garçon, ils sont bluffés.
Lucie est enchantée, elle n'a jamais rencontré un homme aussi bien monté qu'André et ses jouissances n'ont jamais été aussi fortes.
André est à moitié allongé sur le lit, en travers et le dos appuyé contre le mur. Sa bite au repos repose sur sa cuisse, toujours impressionnante. Lucie ne peut s'empêcher d'y reporter son regard tout en discutant avec son frère. Quant à elle, adossée au montant du lit, sur le coté d'André, ses jambes repliées et largement écartées avec une totale impudeur, elle expose sa chatte poilue au regard des deux jeunes hommes, en train de déverser le sperme d'André. Elle ne semble pas se rendre compte de l'effet qu'elle produit. Bernard, debout devant le lit, a les yeux fixés sur l'entre jambes de sa s'ur, tout comme André d'ailleurs.
Les bites se redressent sous ce spectacle incroyable et la fille regarde avec interêt le phénomène. Tout à coup elle semble se rendre compte du jus qui sourd de son sexe béant. Elle baisse son regard.
- Regarde ce que tu m'as mis !
André ne regarde que ça. Lucie se penche, ouvre la porte de sa petite table de chevet et y prend une serviette. D'un geste naturel elle s'essuie le sexe, tente d'enlever le jus qui s'est répandu sur le drap, ne faisant qu'agrandir la tâche. Abandonnant, elle jette la serviette par terre. Elle reporte ses yeux sur les deux jeunes hommes et notamment sur la bite de son frère qui bande de belle façon. Sa bite, pointée vers le plafond est agitée de soubresauts. Il demande à sa s'ur de se tourner.
- Fais nous voir ton cul.
Sans hésiter une seconde elle se retourne avec un regard vicieux vers André. Celui-ci n'a pas encore bien vu cette partie de son anatomie et cela l'excite de s'exhiber. S'appuyant sur ses avant bras, elle se met en position de levrette. Les fesses sont bien rebondies et bien écartées par la position, la raie culière laisse apparaitre les poils. Les deux garçons se rincent l'oeil sans rien dire.
- Reste à genoux mais allonge ta poitrine sur le lit sur le lit qu'on voit bien ton cul.
André qui se trouve juste dans l'axe des fesses voit nettement l'abricot aux grosses lèvres entre ouvertes, entre ses jambes fermées. La main de son frère vient se poser sur les fesses et commence à les caresser. Il demande d'en faire autant à André. Le jeune garçon qui découvre le cul de celle qu'il vient de baiser s'exécute. La peau est douce, Lucie apprècie les caresses.
- Oui, continuez, j'aime bien qu'on me caresse le cul !
Et disant cela, elle écarte les jambes, demandant implicitement d'aller plus loin.
- Regarde cette salope comme elle écarte les fesses.
C'est vrai que le spectacle de ce cul offert à leurs yeux est d'une obscénité rare.
La main de Bernard s'insinue dans la raie ouverte. Lucie ronronne de plaisir. Une odeur caractéristique monte dans la pièce.
Bernard n'y tient plus. Se mettant à genoux entre les jambes de sa s'ur, il approche et prenant sa bite dans une main, il commence à la faire glisser dans la raie poilue et humide. Lucie gémit doucement.
- Oui ! Oui, mets la moi ! Viens je la veux !
Bernard s'introduit dans la chatte humide et s'enfonce brutalement, empalant sa s'ur d'un seul coup de reins.
- Ahhh ! Oui ! Oui, vas-y ! Ah que c'est bon !
Il a empoigné les fesses et la pistonne sans ménagements.
- Oui ! Ah comme c'est bon ! Plus fort ! Plus fort ! Ah oui !
La tête entre ses avants bras, elle regarde les couilles de son frère qui viennent cogner contre son cul.
- Ah oui ! Ah je vois tes couilles ! Je vois tes couilles. Ah oui ! Vas-y ! Oui ! Oui !
Elle râle de plus en plus fort sous l'éminence d'un plaisir qu'elle sent monter.
- Je vais jouir ! Oui, oui ! Ah oui ! Ah oui, ça vient ! Ouiiiii ! Ahhhhhh !
Elle se met à jouir en gueulant de plaisir. Son frère souffle de plus en plus fort, lui aussi n'en peut plus.
- Oui ! Oui ! Tiens, tiens ! Prends ! Prends ! Ahhhh !
Et il se vide bruyamment en donnant un dernier coup de reins.
Cramponné aux fesses, il reste empallé dans le con de sa s'ur qui halète toujours de plaisir.
André a admiré le spectacle. Sa bite de nouveau tendue témoigne de son excitation. Enfin Bernard se retire, sa bite retombe mollement entre ses jambes et il se remet debout. Ramassant la serviette par terre, il se fait une toilette rapide et la jette sur le cul de Lucie.
Celle ci ne bouge pas, restant dans la position obscène que son frère lui a fait adopter. Tournant la tête, un sourire vicieux aux lèvres elle voit André en train de se régaler du spectacle. Elle lui demande :
- Tu aimes regarder ?
André adore, il le lui dit.
- Alors tu es un vicieux comme Bernard.
Et elle ajoute aussitot :
- Mais c'est bien, j'aime les vicieux. Et puis, je crois que j'ai encore envie.
L'invite est on ne peut plus claire. Au moment où il se demande comment la prendre, elle lui dit :
- Je veux que tu me prennes en levrette toi aussi. Mais avant je veux la sucer un peu, j'adore sucer une belle bite.
Elle se tourne, prend la serviette qu'elle a déjà utilisé tout à l'heure et essuie le sperme qui coule de sa chatte. Prenant son temps, elle s'essuie lentement, les jambes largement écartées, jetant un coup d'oeil de temps en temps sur André qui regarde la scène, les yeux exorbités.
Elle se débarrasse à nouveau de la serviette et vient s'allonger devant lui. Pendant un long moment, elle regarde le membre qui vibre de désir, l'admirant.
- Qu'elle est belle ! C'est vrai qu'elle est énorme !
Elle la prend dans sa main, ses doigts en font à peine le tour. Doucement elle branle le sexe, tirant la peau à son maximum vers le bas à chaque fois. André respire fort, appréciant la caresse.
Lucie sort sa langue et celle ci vient doucement caresser la grosse veine bleue en relief. André pousse des soupirs de plaisir. Au bout d'un petit moment elle relève la tête et demande :
- Tu aimes ma langue ? Dis-moi, j'adore qu'on me dise quand c'est bon.
André est aux anges. La présence de Bernard qui regarde avidement la scène l'excite encore plus.
- Oui ! Oui, j'aime !
Contente de la réponse, elle ouvre sa bouche le plus qu'elle peut et le gros gland disparaît entre ses lèvres. Elle s'enfonce le gros pieu dans sa bouche, le ressort lentement, tout en enroulant sa langue sous le gland. André adore, il rale de bonheur sous la caresse savante.
- Oui ! Oui ! Ah que c'est bon ! Ah oui !
Lucie continue de le pomper tout en le branlant. Les cris d'André redoublent mais elle s'arrête.
Dépité il l'entend dire :
- Viens me baiser maintenant.
Et elle se remet à genoux sous le regard d'André.
Il vient se mettre derrière le beau cul cambré. Sa bite gonflée de désir vient au contact du sexe ouvert de la salope.
- Oui, oui ! Mets la moi ! J'ai trop envie !
Prenant sa bite en main, il force le con déjà bien ouvert dont il perçoit les effluves odorantes.
Il a du mal à entrer, mais d'un grand coup de reins, il s'enfonce dans la chatte, Lucie pousse un grand cri de satisfaction sous l'assaut.
- Oui ! Ah qu'elle est grosse ! Encore, enfonce toi à fond !
Et elle même donne un coup en arrière, s'empalant sur le braquemart. André sent le fond du vagin. Sa bite dépasse encore largement. Doucement il se retire, jusqu'à voir son gland violet de congestion et d'un seul coup, il s'empale à fond de nouveau. Cette brutalité semble exciter Lucie au maximum.
- Oui ! Ah oui ! Ah comme c'est fort ! Vas-y encore ! Baise moi fort comme ça ! Ahhh !
André ne demande que ça, puisqu'elle veut de la brutalité, elle va en avoir. Empoignant solidement les fesses, il la baise à grands coups de reins puissants qui la font se tordre de plaisir.
- Oui ! Oui ! Ah comme t'es fort ! Ah j'aime comme ça ! Oui, encore ! Encore !
Des bruits obscènes se font entendre. Lorqu'il s'enfonce d'un grand coup, des bruits comme des pets se font entendre, une mouille abondante est rejetée du con envahi par la grosse bite. Lorsqu'il se retire, un bruit de succion retentit. La scène est d'un érotisme rare. Lucie sent la jouissance arriver à toute vitesse.
- Oui ! Oui continue ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! N'arrête pas ! N'arrête pas ! Ahhhh !
Elle elle jouit en gueulant. André continue son action, mais ralentit un peu. Les cris diminuent un peu d'intensité mais la fille a du mal a reprendre sa respiration. André accélère à nouveau la cadence et les cris augmentent d'intensité. Très vite Lucie sent de nouveau la jouissance revenir.
- Oui, ah oui ! Oui je vais jouir encore ! Continue, tu vas me faire jouir encore ! Ah oui !
André ralentit un peu, puis augmente à nouveau, alternant au maximum. Cela rend folle Lucie.
- Oui ! Oui ! Ah comme tu me baises bien ! Ah oui ! Plus fort ! Plus fort ! Ahhhh !
Et elle se remet à crier son plaisir.
André sent lui aussi qu'il ne va plus tenir longtemps. Lucie sent la bite gonfler encore plus, elle devine qu'il va se vider.
- Oui ! Oui je jouis ! Ah oui ! Oui toi aussi ! Ah oui, vide toi en moi ! Remplis moi la chatte ! Ahhhh !
André se met à jouir bruyamment. Il perfore littérallement le con de la fille qui hurle, il ne sait plus si c'est de bonheur ou si elle a mal.
- Tiens ! Tiens ! Prends ! Ahhhh !
Enfin il s'arrête, restant planté dans le conduit trempé. Lucie s'allonge complètement, sonnée, abrutie par le plaisir. André l'accompagne, attendant qu'elle récupère.
Tournant le regard vers Bernard, il voit celui cit qui est en train de se branler, la bite tendue. Apparemment celui ci a apprécié le spectacle. Lucie tourne la tête, les yeux cernés de mauve elle le remercie d'un sourire épuisé, puis :
- Et ben dis donc ! Et dire que je te croyais complètement coincé !
André se retire doucement, sa bite souillée se repliant doucement. A son tour il prend la serviette souillée et l'essuie.
Elle se retourne, s'assoit péniblement, se retrouve face à la bite de Jean Luc qui s'est levé et est venu tout près d'elle . Mettant ses mains sur les hanches de son frère, elle l'attire à lui. Sa bouche s'ouvre.
- Oui, suce moi ! Suce moi salope !
Elle prend le membre entre ses lèvres, passe ses mains derrière les fesses, lui caressant l'anus. Elle sait que son frère adore cela.
- Ah oui ! Oui ! Oui ça y est ! Oui ! Oui, tiens ! Tiens prends ! Prends ! Ahhhh
Et il se vide dans la bouche accueillante tout en continuant de se branler. Il s'arrête, elle le suce encore un peu, avalant les dernières gouttes, puis relâche le membre, redevenu flasque.
Frère et soeur se regardent intensément, puis s'enlacent tout en s'embrassant sur la bouche. Un long, très long baiser les unit sous le regard d'André.
Ils se rassoient tous les trois sur le lit, Lucie a de nouveau repris sa position favorite, les jambes écartées, adossée au mur, la chatte libérant le foutre d'André sur le lit mais cette fois elle a pris soin de glisser la serviette sous ses fesses.
André ne peut quitter son regard sous le regard amusé et vicieux de la fille. Souriante elle ajoute même :
- Vas-y ! Rince toi l'oeil mon salaud ! Et puis tu l'as bien mérité !
Bernard lui aussi a du mal à détacher son regard du sexe ouvert et exposé de sa s'ur.
Nus, la conversation tourne vite vers le sexe. Lucie et Bernard sont tous deux très intéressés par Sonia, il finit par tout raconter de ses rapports avec Sonia ces derniers jours, de son initiation à ce qu'ils ont fait ensuite.
Ils entendent le bruit de la porte d'entrée. C'est sans doute le père qui rentre, ils se rhabillent tous les trois et se rendent dans la pièce principale.
C'était bien le père. Ils échangent quelques mots prennent une bière et sortent dans la cour pour continuer leur conversation en toute quiétude. Lucie offre à André de l'inviter pour le dîner. Il accepte, heureux d'échapper à la corvée de manger en compagnie de Jacques sans pouvoir vraiment communiquer avec Sonia.
Il retourne chez lui avertir Sonia. Celle-ci est en compagnie de son mari. Il se contente de l'informer et retourne chez ses amis.
Le dîner se passe de façon très agréable. Le père de ses amis n'est pas disert mais loin d'être désagréable. Depuis son veuvage il a tendance à exagérer sur le rouge et après avoir quasiment vidé la bouteille à lui tout seul, il va se coucher.
Les jeunes gens restent encore un peu à discuter puis se séparent, se donnant rendez vous pour le lendemain.