Chez Irène (2)

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Proposée le 9/02/2011 par sergio06

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Le lendemain André a du mal à se concentrer sur son travail, repensant à tout ce qui lui est arrivé la veille et a hâte que la journée se termine.
Il n'aime vraiment pas ce travail et a hâte de le quitter. Heureusement demain c'est samedi.
La cloche sonne, il se précipite à la douche, repensant aux propos de Sonia concernant son sexe. Comme d'habitude il ne peut s'empêcher de regarder ceux de ses compagnons de travail. Il est vrai que les hommes qui sont autour de lui sont tous nettement moins bien lotis. Il avait un doute mais maintenant qu'il a fait jouir une femme, après tout ce qu'elle lui a dit à propos de son sexe, il, se sent vraiment un homme et le monde lui appartient.
Il marche vite le long du trottoir, ses pensées toutes à ce qui va se passer tout à l'heure. Il devine qu'il a encore beaucoup de choses à apprendre et il est très excité.
Il entre dans la cour, ses yeux se portent sur la porte des toilettes. Celle ci est grande ouverte, bon en tous cas elle ne s'y trouve pas se dit-il, se remémorant la veille.
Arrivé dans sa chambre il se déshabille entièrement puis met un short et un maillot de corps. La journée a été belle et il fait encore très bon dehors.
Il entre dans la salle qui sert à tout, cuisine, salle de séjour, cuisine etc' Une fois de plus il fait la grimace à la vue de cet ensemble sans charme.
André n'ose pas aller chez Sonia, bien qu'il en meurt d'envie. Il ouvre la porte et sort dans la cour, ne sachant que faire. Il finit par s'asseoir sur la marche d'entée.
Il entend avec soulagement la porte de l'appartement de Sonia s'ouvrir et ne se retourne pas, lui laissant l'initiative.
Deux mains, venues de derrière se posent sur ses yeux. Par jeu il demande :
- Qui c'est ?
Il l'entend rire doucement.
- Pourquoi t'es pas venu me voir ?
Il se sent un peu idiot, il devrait vraiment se montrer plus hardi.
- J'ai pas osé, je ne voulais pas t'embêter. Je préfère que ce soit toi qui me dise de venir. Tu n'es pas obligée tu sais.
Sonia apprécie la réponse du jeune homme.
- C'est bien, tu as raison. Viens maintenant.
Elle se relève et en fait autant. Il se retourne et constate qu'elle est habillée d'un chemisier à fleurs très fin et d'une jupe assez ample qui lui arrive juste aux genoux. Il la regarde, ses yeux s'attardent sur la poitrine libre de tout soutien gorge. Il se demande si elle porte une culotte, parie que non et rien que cette pensée lui donne envie de la prendre. Il sent son sexe grossir. Amusée, elle demande :
- Alors, je te plais ?
Il bafouille une réponse inaudible et, comme elle fait demi-tour, la suit chez elle. Il profite qu'elle a le dos tourné pour replacer son sexe dans une position plus confortable.
Il entre à sa suite et s'assoit sur le canapé tandis qu'elle se dirige vers le frigo.
- Que veux tu boire ?
Il opte pour une bière. Elle la débouche et la pose devant lui. Elle se sert un verre et vient s'asseoir à coté de lui, tout contre lui en fait.
Ils boivent en silence, André se demande s'il ne devrait pas prendre l'initiative mais il n'ose pas. Lâchement il attend. Elle repose son verre et, passant son bras autour du cou d'andré, elle l'attire vers elle et l'embrasse sur la bouche. Une langue s'insinue entre les lèvres du garçon tandis que la main libre se pose sur sa bite tendue.
Tandis qu'elle l'embrasse savamment, elle caresse très doucement le sexe bandé. André est fou de désir, sa main droite vient se poser sur le sein gauche de Sonia. Il sent nettement le bout dur dans sa paume à travers le léger tissu. Il malaxe le nichon qu'il sent durcir entre ses doigts malhabiles. Leur baiser dure longtemps, André est aux anges cette femme embrasse superbement bien. A nouveau il se dit qu'elle doit avoir une sacrée expérience.
Enfin elle libère la bouche de son jeune amant. Ecartant son visage, elle le regarde en souriant, heureuse. Il lui rend son sourire. Sonia promène toujours sa main sur le sexe, exerçant une caresse très légère qui le rend fou de désir. Elle demande doucement :
- Tu aimes ?
André respire fort, il se dit que si elle continue, elle va le faire jouir.
- Oui, c'est super, mais je suis serré, et je sens que je vais jouir si tu continue.
Son sourire salace s'accentue.
- Fais voir, montre la moi.
André dénoue la ceinture de son short sous lequel il ne porte rien. Le léger vêtement s'ouvre, dévoilant la queue bandée sous les yeux brillants de Sonia. Elle pose à nouveau la main dessus, serre ses doigts autour de la tige.
- Qu'elle est belle.
Le short la gène.
- Mets toi debout.
Il s'exécute, le vêtement descend sur les chevilles. Il se débarasse de son maillot et reste debout, nu devant elle. Elle reprend le chibre en main et le branle très lentement. Instinctivement, il se rapproche d'elle. Elle introduit le sexe dans sa bouche. André grogne de satisfaction. Toute la journée il a pensé à cette caresse fabuleuse. Il fléchit légèrement les jambes pour l'aider. Se rendant compte que sa position est inconfortable elle le libère et se lève à son tour.
- Viens, allons dans ma chambre, on y sera beaucoup mieux.
Et elle l'entraîne dans son sillage. A peine arrivée, elle se déshabille entièrement, ce qui est vite fait, elle ne porte rien ni sous son corsage, ni sous sa jupe.
- Allonge toi, je vais m'occuper de toi.
Il s'allonge, elle s'assoit près de lui, se penche en se maintenant appuyée sur son avant bras gauche. De sa main droite elle se met à caresser la zone sensible sur le bas ventre autour du pénis. Prenant bien garde de ne jamais entrer en contact avec la bite tendue qu'elle voit vibrer. Elle caresse la peau, descendant sur l'intérieur des cuisses. André a ouvert en grand le compas de ses jambes, permettant à Sonia de descendre un peu sous les couilles.
- Tu as pensé à moi aujourd'hui ?
D'une voix tendue, rauque, il répond :
- Oui, j'ai pensé à toi toute la journée. Je pensais à toi et je bandais.
- C'est vrai ? Moi aussi.
- Moi aussi quoi ? Tu bandais ?
- Moi aussi j'ai pensé à toi, et je bandais. Je mouillais. Et tu sais ce que j'ai fait en pensant à toi ?
Elle le regarde avec son sourire vicieux, salace.
- Non, dis-moi !
- Et bien je suis allée au cabinet, et je me suis branlée en pensant à toi, à ta belle bite, à ce qui nous est arrivé hier.
André est bouleversé par ce que dit Sonia. Il bande terriblement. Elle ne touche jamais son sexe mais il sent qu'il va jouir, se déverser, il sent la jouissance venir. Son sang bouillonne dans ses veines.
- J'ai envie, regarde ma bite. Je vais jouir je le sens, touche la ! Branle moi ! Suce moi, mais ne me laisse pas comme ça ! Je t'en prie !
Il halète, Sonia n'a pas le c'ur de continuer sa caresse sadique. Elle se penche, approche ses lèvres du méat violet de congestion, ses doigts se posent sur le membre turgescent, s'enroulent autour et elle se met à le branler doucement.
Des râles de bonheur s'échappent de la gorge d'André.
- Oui ! Oui ! Ah oui ! Prends la dans ta bouche ! Fais comme hier ! Je t'en prie ! Ah oui !
Sonia a pris le membre dans sa bouche vorace tout en continuant à le branler.
André ne peut résister plus longtemps, la jouissance survient, soudaine, brutale.
- Oui ! Oui, ça y est ! Je jouis ! Oui ! Ouiii ! Ahhhhh !
Sonia le branle à toute vitesse. Elle reçoit dans sa bouche les grosses giclées de sperme.
André se vide en râlant de plaisir. Enfin il s'apaise tandis que sa partenaire continue de le sucer, avalant le jus épais à mesure qui continue de se déverser dans sa bouche.
La bite ramollie ne libère plus rien, elle la lâche et vient auprès du visage de celui qu'elle a fait jouir.
- Tu as aimé ?
- Oui ! Ah que c'était bon !
- Dis moi tu as du beaucoup bander en effet, tu as laché une quantité incroyable de sperme.
Disant cela elle l'embrasse sur la bouche, lui faisant gouter son jus. Il ne se dérobe pas cette fois et lui rend son baiser. Elle s'écarte, et les yeux brillants :
- Moi aussi j'ai envie qu'on me suce. Regarde comme je suis mouillée.
Et se mettant sur le coté, elle écarte sa jambe droite, exhibant son sexe. Ses grandes lèvres épaisses sont ouvertes. A l'intérieur il peut apercevoir une mouille épaisse. Elle pose trois doigts de sa main droite, ramène sa main poissée et lui dit :
- Tiens regarde, je mouille comme une fontaine.
Et tout en le regardant, elle passe ses doigts trempés sur sa langue, buvant son jus. André est fasciné par le vice de cette femme. Voulant se montrer à la hauteur, il lui demande :
- Fais moi gouter.
Elle n'en attendait pas tant. Ravie elle repasse une fois de plus ses doigts sur sa moule écartée et approchant sa main des lèvres de son jeune amant :
- Tiens, goûte mon chéri.
Il suce les doigts trempés, les introduisant dans sa bouche. Elle demande, la voix rauque :
- Alors ? Tu aimes ?
- Oui, c'est bon, ça m'excite.
- Alors viens te régaler à la source mon petit salaud.
Sonia s'allonge à demi à coté d'André, mettant un gros oreiller derrière sa tête. Elle écarte largement ses jambes en remontant les talons vers ses fesses. La position est d'une impudeur totale. Le jeune homme se relève.
- Viens ici, viens me brouter le minou, viens te régaler de mon jus que tu aimes tant.
Il vient se placer devant le sexe béant de Sonia. L'intérieur du vagin est bien apparent. Comme dans un rêve il s'approche plus près. Une odeur forte se dégage de l'endroit, mais au lieu de le rebuter, cette odeur l'enivre. Il s'allonge doucement sur le lit. Sa bouche est à présent tout près de la chatte poilue. Il se régale de ce spectacle incroyable. Sonia est excitée au possible. Elle a toujours aimé s'exhiber, mais le faire devant un garçon qui hier encore était puceau la met en transes. Elle respire de plus en plus fort, comme si le regard alluciné de son jeune amant suffisait à la faire jouir. Il y a bien longtemps qu'elle n'a pas ressenti une telle impression.
- Tu aimes regarder ma chatte ?
André continue à fixer le sexe ouvert. Il a comme l'impression que celui ci vit. Les muqueuses internes du vagin se contractent à un rythme régulier. Cette vision le rend fou. Enfin il répond.
- C'est beau ! Comme c'est beau !
Sonia se retrouve comme André lorsqu'elle lui caressait le bas ventre sans toucher sa bite. Elle n'en peut plus d'attendre. D'une voix de plus en plus rauque, elle lui ordonne :
- Vas-y ! Vas-y, suce moi ! Fous ta langue dans ma chatte. Vas-y !
Les dernières paroles ont été prononcées sur un ton de commandement. Elle est depuis longtemps frustrée de cette caresse par son mari et elle est au bord de la crise de nerfs.
Enfin la langue d'André vient enfin se poser sur son sexe. Elle crie de bonheur malgré l'inexpérience de son jeune amant.
- Oui ! Oui, monte un peu ! Voilà ! Comme ça ! Plus molle ta langue ! Oui !
Et Sonia le guide. Il essaie de suivre ses désirs, apparemment avec succès car il entend les cris qui montent nettement en intensité.
- Oui, continue comme ça ! Oui c'est bon ! Ah oui ! Ah mon chéri, comme tu me fais du bien ! Ahhhh !
La main de Sonia descend et vient de poser sur son clitoris bandé tandis qu'André lui titille l'intérieur de sa chatte. Elle respire de plus en plus fort, sa tête va de droite à gauche sur l'oreiller. André sent que la jouissance est proche. Une mouille abondante se déverse du con ouvert, lui barbouillant le visage. Il adore le gout, l'odeur de ce jus qui n'arrête pas de couler. Une véritable fontaine en effet.
Les cris montent encore. Jamais il n'aurait cru entendre une femme crier de cette façon.
- Oui ! Oui salaud ! Bouffe moi la chatte ! Plus vite ! Plus vite ta langue ! Oui ! Oui encore ! Ahhhh !
Et elle jouit comme une folle sous la langue d'André qui a de plus en plus de mal à respirer, la belle lui appliquant le visage sur son sexe de toutes ses forces. Il continue néanmoins d'essayer de satisfaire celle qui lui a procuré tant de bonheur.
Les cris de jouissance s'estompent, puis cessent. Sonia relâche enfin la pression sur la tête de son amant.
André s'écarte, reprenant son souffle, tout en continuant de regarder ce sexe qui continue de palpiter. Le spectacle est magnifique pour lui, il pense qu'il ne s'en lassera jamais.
Sonia ouvre les yeux et regarde André. Les yeux cernés et à moitié fermés, elle découvre celui qui l'a fait si bien jouir en train d'admirer son sexe comme un croyant face à une apparition divine. Elle le laisse faire, heureuse d'avoir trouvé un garçon apparemment aussi vicieux qu'elle, tout au moins apte à le devenir.
Il lève la tête vers elle et voit qu'elle l'observe tendrement. Elle sourit lorsqu'elle découvre le bas de son visage, jusqu'ici caché à sa vue. Ses joues, sa bouche ainsi que son menton sont maculés de mouille.
Elle lui tend les bras, il s'approche. Elle l'embrasse puis, s'écartant :
- Merci, mon petit chéri, tu m'as fait jouir comme une folle. Il y a bien longtemps que je n'avais pas joui de cette façon.
- C'était bon ?
- Regarde ton visage, tu auras la réponse.
Il se tourne sur le coté, dans la grande glace posée au mur il voit son visage maculé. Ils rient tous les deux.
- Je vais te nettoyer.
Et de sa langue habile elle le débarasse de sa mouille. Elle demande :
- Alors ça ne t'a pas trop dégouté toute cette liqueur qui sort de mon trou ?
- Non, au contraire, j'aime !
- Vraiment ? Ou tu dis cela pour me faire plaisir ?
- Je te jure que c'est vrai. Je crois que je pourrai te sucer des heures.
- Tant mieux car j'adore cette caresse, tu t'en es rendu compte ?
De nouveau ils rient. Elle le prend dans ses bras et il s'allonge à ses cotés, heureux.
Elle s'aperçoit que sa queue est de nouveau bien bandée.
- J'ai envie de faire l'amour maintenant, viens me mettre ta belle queue et fais moi jouir encore.
André n'attendait que ça. Il se met aussitôt entre les cuisses de Sonia et la pénètre brutalement.
-Oui ! Ah oui ! Vas-y doucement d'abord. Ah que c'est bon !
La queue glisse dans le fourreau bien lubrifié. Rapidement des gémissements sortent de la gorge de la fille.
- Ah comme c'est bon ! Dis moi, c'est bon pour toi ?
André est fou de bonheur.
- Oui ! Ah oui ! Comme c'est bon ! Oui !
Les gémissements de Sonia montent de plus en plus. André se rend mieux compte maintenant de la montée du plaisir féminin et change de cadence de temps en temps, alternant les rythmes.
- Oui ! Oui, tu fais bien ! Oui vas-y ! Ah comme tu me baises bien ! Ah oui ! Ah oui ! Continue ! Continue ! Ah oui ! Ah je viens ! Je viens ! Ahhhh !
André jouit juste après elle et leurs cris se mélangent. Leur jouissance dure longtemps, enfin ils s'apaisent et ils restent immobiles. André sent nettement les contractions spasmodiques autour de son sexe qui continuent encore bien après que Sonia ne se soit calmée.
Elle bouge enfin. Elle lui fait un rapide baiser puis :
- Bon je vais nous faire à manger maintenant, il faut reprendre des forces.
Elle se lève, la main en conque sur son sexe trempé et rempli de sperme. La même scène que la veille se répète et André assiste à nouveau à la scène de lavage de chatte. Fasciné, il n'en perd pas une miette sous le regard vicieux de Sonia, exhibitioniste dans l'ame. Elle lui lave rapidement la bite puis ils se rhabillent. Sonia prépare le dîner.
Après un repas agréable, ils font tous les deux la vaisselle et retournent au lit sans se concerter.
Ils se caressent mutuellement, André faisant des progrès rapides.
Sonia le fait s'allonger et vient se mettre sur le corps d'André en position de soixante neuf.
André la suce longtemps, tandis qu'elle de son coté ne s'occupe pas trop de la bite tendue, se contentant de l'effleurer de ses lèvres, voulant qu'il se consacre entièrement à sa chatte.
Elle jouit trois fois, déversant une quantité incroyable de mouille dont son jeune amant se régale avant de le sucer à fond, et se vide enfin dans sa bouche de salope.
Elle vient le récompenser d'un baiser profond, sa bouche pleine de jus lui rendant un peu de sa semence.
Ils se lèvent ensuite, André réalisant qu'il est bientôt minuit, l'heure ou sa mère est susceptible de rentrer. Sur un dernier baiser il la quitte.
- A demain Sonia.
- A demain, mais demain c'est samedi.
La déception se lit sur le visage du garçon. En effet Jacques sera là, pas question de faire l'amour, ni même de se parler, il pourrait avoir des soupçons. Elle l'embrasse tendrement puis :
- On se rattrapera lundi, je te le promets.
Et ils se quittent enfin.





Le lendemain André se lève tard. Sa mère finit son petit déjeuner, il remarque qu'elle a les yeux cernés. Elle n'a pas dû se coucher de bonne heure cette nuit pense-t'il. Elle lui prépare son café et reste un peu à discuter avec lui.
Il se lève, fait une toilette de chat et annonce à sa mère qu'il va faire un tour. Il ouvre la grand porte qui donne sur la rue, tourne à gauche, se dirigeant vers la maison voisine.
Il aperçoit aussitôt Bernard assis sur le pas de sa porte. Celui-ci est plus agé qu'André. Il a vingt deux ans et est un peu la gloire locale.
Il est rentré d'Algérie il y a quinze jours seulement après être resté dix huit mois dans le bled sans rentrer en France et a repris son travail de maçon la semaine dernière. André ne l'a pas vu depuis le week end dernier.
Ils se serrent la main et discutent de tout et de rien. La conversation vient très vite sur les filles. Bernard a une réputation de chaud lapin et de dragueur impénitent. André aime bien discuter avec lui.
Le père de Bernard travaille à la mine, soit du poste du matin ou de l'après midi. Hors du travail sa grande passion est de se rendre à son jardin comme la plupart des mineurs d'ailleurs, pour ne pas dire tous. Ceux ci ont tous une parcelle de jardin qui leur est allouée par la direction des mines pour un prix dérisoire. Ces jardins sont regroupés par dizaines sur des lopins de terre et les hommes se rencontrent ainsi pour discuter en plus du plaisir de jardiner.
Il y est d'autant plus souvent que sa femme est décédée l'année dernière d'un cancer. La s'ur de Bernard, Lucie, vingt cinq ans et divorcée en a profité pour revenir à la maison et c'est elle qui s'occupe des taches ménagères.
André aime beaucoup Lucie. Il la regarde toujours en douce et la trouve très belle. Il l'avait perdue de vue pendant les deux années de son mariage et depuis qu'elle est revenue, plus belle qu'avant, elle hante souvent ses fantasmes. Elle avait une réputation de fille chaude.
Lucie, fatiguée de recevoir des baffes, non justifiées au début, s'était dit, fort logiquement que tant qu'a avoir une réputation de femme légère, autant en profiter.
C'est ainsi qu'elle se mit à avoir de plus en plus d'amants. Naturellement cela ne pouvait durer éternellement et elle trouva le prétexte de sa mère malade pour quitter le domicile conjugal et la soigner. Après la mort de celle ci, elle décida de rester et ils divorcèrent.
Tandis qu'ils discutent sur le pas de la porte, Lucie sort, un panier à la main.
Elle lui dit bonjour en lui souriant gentiment et s'éloigne faire des courses. André la suit des yeux, la comparant mentalement à Sonia. Bernard qui a suivi le regard d'André le chambre gentiment.
- Dis donc, on dirait qu'elle te fait de l'effet ma frangine !
André revient sur terre, rougit, bafouille, renforçant Bernard dans l'idée qu'André en pince pour Lucie.
Bernard est un homme à femmes. Son séjour en Algérie l'a transformé. Mais pas pour les raisons qu'il invoque : Le bled, le danger, les combats etc'
Il aime à dire qu'il a baroudé, qu'il en a bavé pendant ses dix huit mois dans le djebel, mais la réalité est tout autre.
Dès son arrivée à Alger, Bernard a été dirigé vers un service logistique et il s'est retrouvé chauffeur d'un colonel.
Cet officier était tout sauf un emmerdeur. A part amener celui ci à son bureau le matin et le ramener le soir il n'avait pas grand chose à faire, sinon astiquer la voiture et faire des menues emplettes en ville.
Dans le grand batiment qui servait de quartier général il y avait pas mal de petit personnel, civil et militaire. Ils étaient un petit groupe de chauffeurs qui glandaient toute la journée comme Bernard.
Parmi ce groupe, il y avait un parisien avec qui il avait rapidement sympathisé. Celui ci, Bernard l'avait appris très vite, était un garçon qui vivait des femmes. Il n'avait jamais travaillé de sa vie et n'en avait pas l'intention.
Jean Luc, c'était son prénom, avait une fille qui était entraineuse dans un bar du quartier chaud d'Alger.
Jean Luc l'invitat un soir à l'accompagner. Bernard accepta avec joie.
Jean Luc était dans ce bar comme chez lui. Bernard apprit plus tard qu'il rendait pas mal de services à la patronne, une ancienne pute devenue mère maquerelle.
Jean Luc et Bernard se retrouvèrent dans un petit salon plus intime que le bar bondé et bruyant.
Aicha, la copine de Jean Luc, vint le rejoindre et ils s'installèrent tous les deux sur un divan tandis que Bernard se mit sur un autre qui lui faisait face. Entre les deux se trouvait une table basse.
Sans s'occuper de lui ils se mirent à s'embrasser et se caresser partout. Bernard qui venait directement de sa petite ville les regardait, plutôt gêné. Certes Bernard avait fréquenté des filles avant son départ et il en avait troussé quelques unes comme on dit ici, mais ça s'était passé dans le noir, et surtout sans spectateur. D'être le témoin du couple le mettait mal à l'aise, tout en l'excitant.
Jean Luc demanda à Aicha d'aller chercher une de ses copines pour son ami. Remettant un peu d'ordre dans sa tenue, elle disparut et revint très vite avec une consoeur.
Celle ci qui se prénommait Mounia vint s'asseoir à coté de Bernard et, collée tout contre lui, l'embrassa sur la bouche.
Bernard n'avait jamais été embrassé de cette façon, sauvage et sensuelle. Excité par la fille, il se mit à la peloter tout en continuant de regarder du coin de l'oeil ce que faisait Jean Luc.
Aicha avait la poitrine à l'air, son corsage trainait par terre. Ses seins magnifiques, gros et bien formés avec des bouts énormes et foncés étaient offerts aux yeux exhorbités de Bernard. Il sentit son sexe faire un bond dans son slip. Il commença à se débattre avec le corsage de Mounia. Elle l'aida et mit à l'air des nichons qui n'avaient rien à envier à ceux d'Aicha. Il les prit en mains sans ménagement et commença à les pétrir, déclenchant les rires égrillards de la fille qui bombait le torse sous la caresse brutale, ce à quoi elle était habituée. Les militaires qui composaient pratiquement toute la clientèle, venaient ici souvent sevrés depuis de longues semaines avant de pouvoir s'offrir une fille et ils n'étaient pas spécialement délicats, la maigre solde de l'armée ne permettant pas des folies tous les jours.
Bernard torturait plus qu'il ne caressait les bouts gros et longs de la fille. Celle ci l'arreta lui mit la main sur la braguette et sentit le sexe en érection. Elle se mit à enlever les boutons du pantalon. André faillit lui dire d'arrêter quand son regard se dirigea vers le couple en face de lui.
Jean Luc avait le pantalon sur les chevilles tandis que Aicha était en train de le sucer. La fille s'appliquait conscencieusement, montant et descendant sur le membre tendu. Bernard ne put s'empêcher de comparer sa bite à la sienne. Jean Luc était ce qu'on appelle un type bien monté. Même s'il ne pouvait pas tout apercevoir, ce qu'il voyait était éloquent. Aicha lui triturait les couilles en même temps. Des couilles énormes, à la mesure de la bite.
Tandis qu'il se rinçait l'oeil, Mounia avait sorti sa bite et se mit à le sucer.
C'était la première fois qu'on lui faisait une fellation et il trouva la caresse merveilleuse. Jean Luc regardait vers eux et sourit à Bernard.
- Alors elle te suce bien ?
Bernard qui respirait fort lui répondit :
- Oui ! Oh oui elle suce bien !
- Elle aussi, c'est la meilleure pipeuse de ce bordel. Hé, arrête toi !
Et relevant la tête d'Aicha, il la fit s'asseoir sur ses cuisses. La fille obtempéra et, tout en levant une jambe elle introduisit la grosse bite que Bernard voyait enfin entièrement.
Elle était encore plus grosse qu'il avait imaginé. Ebahi, il la vit entrer dans le sexe ouvert de la fille. Elle s'empala avec un grognement de satisfaction et resta un moment ainsi sans bouger. Une partie de la queue était encore visible, la chatte d'Aicha ne pouvant manifestement pas tout prendre. Jean Luc embrassait la fille tout en lui caressant les grosses fesses bien rebondies.
Peu à peu le gros postérieur se mit à monter et descendre sur la bite tendue. Bernard ne pouvait détacher son regard du spectacle et Jean Luc s'en aperçut.
- Tu aimes regarder baiser non ?
André, confus, bégaya :
- Heu, oui, c'est vrai. Enfin c'est la première fois que je vois quelqu'un baiser.
- Ne t'excuse pas, rince toi l'oeil et fais en autant.
La fille bougeait de plus en plus vite maintenant. Bernard voyait la grosse bite luisante de mouille. Aicha était en train de prendre son pied. Il l'entendait râler de bonheur à chaque fois qu'elle s'empalait sur le gros chibre. Elle redescendait de plus en plus brutalement à présent. Elle se mit à crier et sa tête en arrière, elle jouit sous le regard de Bernard. Celui ci n'en revenait pas de voir une pute jouir avec un client.
Elle s'apaisa puis Jean Luc dut lui dire quelque chose à l'oreille et elle se leva, libérant le chibre qui sembla encore plus gros qu'avant à Bernard. Se mettant à genoux devant lui, elle se mit à le sucer à nouveau.
A présent Jean Luc respirait de plus en plus fort. Bernard ne voyait plus la bite, il ne voyait plus que la tête de la fille qui montait et descendait.
- Ah oui ! Vas-y salope, continue comme ça ! Oui ! Oui plus vite ! Plus vite ! Ahhhh !
Et il se déverse dans la bouche qui continuait de pomper. Bernard n'en revenait pas. Il se croyait à la coule, mais il n'aurait jamis pensé qu'une fille pouvait avaler le foutre d'un type.
Jean Luc continuait à se déverser bruyamment dans la bouche de la fille.
Enfin il lui dit d'arrêter. Aicha se releva et vint s'asseoir à coté de lui, attendant son bon vouloir.
Après plusieurs grandes respirations, celui ci dit :
- C'est bien, tu m'as bien sucé ma petite salope.
Aicha sourit, apparemment très heureuse du compliment. Sa bouche était impeccable, pas de traces de sperme, elle avait vraiment tout avalé et elle lui en était reconnaissante de lui avoir inondé la bouche en plus.
Bernard sentait lui aussi le plaisir l'envahir. Imitant Jean Luc, il releva la tête de Mounia qui comprit tout de suite. Elle se leva pour s'empaler sur sa queue. Sa bite disparut entièrement dans la chatte de la fille. Il se dit pour se rassurer que le sexe de Mounia était plus profond que celui d'Aicha.
La fille se mit à monter et descendre sur le vit tendu. C'était au tour de Jean-luc de regarder.
Bernard essaya de se retenir mais il ne put resister lontemps. Avec des râles de bonheur il se vida dans le sexe de la fille.
Mounia, en bonne profesionnelle, attendit que la jouissance se termine pour arrêter et se lever.
La bite molle et toute imprégnée de sperme retomba sur ses cuisses. André avait presque honte à présent. Jean Luc, goguenard, le regardait, sa bite toujours monstrueuse même au repos.
- Alors c'était bien ?
Bernard ne savait pas quoi dire. Il n'était pas puceau, mais c'était la première fois qu'il faisait l'amour de cette façon, et la première fois surtout qu'il se donnait en spectacle.
Jean Luc était bien conscient de l'inexpérience de son Bernard mais il appréciait l'ami qu'il s'était trouvé.
Jean Luc partit environ six mois après, son service terminé, mais entre temps il entreprit de faire l'éducation de Bernard
Avant de partir, Jean Luc lui expliqua la combine qui lui permettait de venir dans le bar, boire et baiser gratis.
Les bars du quartier chaud étaient souvent en litige avec l'armée lors de bagarres ou autres histoires de soldat qui avait attrapé la chtouille avec une fille. C'est là que Jean Luc intervenait. En effet Jean Luc était chauffeur dans le service de sécurité qui traitait toutes les affaires de bagarres ou autres genre d'histoires. Tout le courrier arrivant dans le service était trié par lui.
Dès qu'un problème se présentait, il détournait le courrier et arrangeait l'affaire. Il était ami avec son équivalent du service infirmerie pour les problèmes de chtouille et tous les deux travaillaient en parfaite coopération.
Ils eurent ainsi l'occasion de sauver des situations embarrassantes pour les propriétaires de bar, comme la fermeture pour plusieurs semaines ou plusieurs mois par exemple et les récompensèrent tous de la même façon : A boire et les filles à volonté.
Ainsi, pendant les douze mois qui suivirent, tout se déroula comme sur des roulettes. Bernard continua de fréquenter assiduement les bars qui avaient eu ou risquaient d'avoir des problèmes où il baisait toutes les putes qu'il voulait sans dépenser un sou.
Voilà donc la vie du frère de Bernard pendant le service militaire.
Il lui fallait beaucoup d'imagination pour relater ses faits d'armes dans le bled, mais heureusement dans la petite ville il n'avait pas de collègues qui avaient été en Algérie, il lui était donc facile de mentir sans se trahir.

Bernard continue à deviser avec André lorsque Lucie revient, ployant sous le cabas à provisions chargé. Elle lui sourit de nouveau et rentre dans la maison.
Bernard a de nouveau remarqué le regard ainsi que l'excitation d'André lorsque son regard a croisé celui de sa s'ur. Il fait de nouveau remarquer :
- Je te jure, tu as la cote avec Lucie.
André ne sait quoi répondre mais il est flatté. Ils devisent encore quelques instants puis André décide de rentrer chez lui. Bernard lui dit au moment de se séparer :
- Viens cet après midi, pas trop tôt, vers trois heures.
André promet de venir et s'éclipse enfin. Il rentre chez lui, continuant de penser à Lucie.
C'est vrai qu'elle lui fait de l'effet. Jusqu'à présent il n'a jamais trop osé lui parler mais maintenant, se sentant sur de lui, un homme, il se promet d'essayer de la voir plus souvent. Après tout elle est libre en en plus son frère n'a pas l'air de vouloir lui mettre des batons dans les roues, bien au contraire.
Il rentre chez lui, déjeune en compagnie de Sonia et Jacques qui à son habitude mange sans dire un mot et quitte la table pour aller bricoler.
André fait de même, ne voulant pas donner de soupçons à son frère et va dans sa chambre et se met à lire un magazine.
Il a beau essayer de se concentrer, il n'arrive pas à lire. Ses pensées s'entrechoquent.
Trop de choses sont arrivées depuis avant hier et il n'arrive pas à réaliser pleinement les changements que cela implique dans son comportement. Il repense aux moments passés et à ce que Sonia lui a fait découvrir. Il bande comme un cerf en y repensant.
Ses pensées se tournent sur Lucie. Est-elle comme Sonia ? Aussi chaude, aussi vicieuse ?
Il regarde l'heure, il est presque trois heures. Il décide de ne pas se branler malgré son envie et s'habille pour se rendre chez Jean Luc tout en se demandant si sa soeur sera là également.