La découverte du sexe (3)

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Proposée le 26/01/2011 par sergio06

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Lire le chapitre 2

Nadine rentre chez elle, ils se mettent à table. Durant tout le déjeuner elle ne peut s'empêcher de lorgner du coté de son frère, les paroles de son amie lui reviennent sans cesse à l'esprit.
Le temps lui semble une éternité.
Vers 14h30, elle voit son frère partir vers le bois, le sang lui cogne à la tête, l'idée de ce qu'elle va faire, va découvrir la rend folle de désir.
Elle monte à sa chambre, ouvre son armoire, inspecte l'intérieur tout en se déshabillant.
Elle enlève tout, se retrouve à poil, s'admire devant la grande glace qui recouvre tout un devant de porte.
Elle soupèse ses seins, sa poitrine que son amie a si bien caressé tout à l'heure ? Rien qu'à ce souvenir elle se sent couler.
Ses tétons pointent superbement. Rassurée par ce que lui a dit Eliane, elle se trouve belle, excitante. Elle se souvient des paroles de son amie « André est fou de tes nichons, il se branle en y pensant »
Elle s'ébroue, choisit un corsage grenat, ample et le revêt. L'absence de soutien gorge ne se voit pas trop et elle apprécie le mouvement de ses seins libres. L'impression est nouvelle, et très agréable. Elle choisit une jupe noire assez large la met et se regarde d'un air critique. Le contact de la robe sur ses fesses nues l'excite.
C'est bien la première fois qu'elle va sortir ainsi dans la rue et son sang circule plus vite dans ses veines. Elle n'en revient pas de son audace.
Un passage dans la salle de bains pour un dernier coup de peigne et elle sort.
Elle a l'impression que les passants s'aperçoivent de sa nudité sous ses vêtements et elle découvre que cela l'excite beaucoup. Elle réalise que quelque chose est en train de changer inexorablement en elle, quelque chose qu'elle ne peut contrôler.
Elle arrive à l'entrée du bois. Regardant si personne ne la voit, elle se rapproche du coin où doivent être les deux amants. Elle redouble de précautions pour ne pas faire de bruit.
Elle est toute proche, seule une frondaison de broussaille épaisse la sépare de l'endroit.
Elle tend l'oreille, le sang battant aux tempes.
D'abord elle n'entend rien, seul le sang qui bat à ses tempes résonne dans sa tête.
Elle s'approche encore, comme des murmures d'abord, puis elle entend comme un plainte.
Elle reconnaît enfin des rales, des rales de bonheur. S'approchant encore elle arrive à l'endroit repéré ce midi où elle pourra voir tout ce qui se passe.
Eliane est nue, allongée sur le dos. C'est elle qu'elle entendait râler.
Ses mains crispées sur sa poitrine qu'elle etreint, André est en train de lui brouter le minou.
Nadine se trouve à deux mètres à peine derrière la tête de son amie. La tête de celle ci ballotte de droite à gauche sur l'herbe. André se trouve en face, allongé sur le ventre, la tête s'agitant entre les jambes écartées et relevées. André est nu lui aussi, mais elle ne voit que ses fesses potelées.
- Ah oui ! C'est trop bon ! Viens ! Viens maintenant ! J'ai besoin de ta queue ! Viens !
Et, l'agrippant par les cheveux, elle le tire vers elle.
André se redresse et se met à genoux.
Nadine étouffe un cri. Sa copine ne lui a pas menti. Le sexe qu'elle découvre est incroyable. Elle avait pensé que Eliane exagérait mais non, pas du tout. C'est une véritable bite d'âne qu'elle voit. Elle compare mentalement avec le baudet qui pature chez un voisin et dont toutes les filles regardent en ricanant nerveusement le vit énorme qui pend sous son ventre lorsqu'il est en forme.
André agrippe sa bite monstrueuse et, s'abaissant, il la rentre d'un coup dans le con offert. Un véritable cri se fait entendre.
- Ouiiii ! Ah qu'elle est bonne ! Ah oui ! Vas-y ! Baise moi ! Baise moi fort ! Ouiiii !
André la pénètre à grands coups de reins, observant sur le visage de son amante la montée du plaisir.
Les cris se font de plus en plus fort, la jouissance est toute proche.
- Oui ! Oui ! plus fort ! Ah oui ! Oui je vais jouir ! Je vais jouir mon chéri ! Oui, oui, ah oui ! Ouiiiii !
Et elle explose en hurlant presque sous les assauts répétés d'André.
Celui-ci continue à la pistonner de plus en plus lentement, s'arrête quand la fille semble être calmée.
Se couchant sur elle il lui embrasse la bouche et le cou à coups de petits baisers tandis que la fille, passant ses bras autour du corps de son jeune amant, tente de reprendre son souffle.
Eliane rouvre les yeux, sourit à André lui dit :
- Tu m'as fait jouir de façon incroyable ! Ah que c'était bon ! Et toi, t'as pas joui ? T'es loin, ou tout près de jouir ?
Les paroles sont parfaitement audibles par Nadine qui est folle de désir. Depuis longtemps elle a passé une main sous sa jupe, la deuxième est glissée dans son corsage dégraffé.
- Je crois que je ne suis pas loin ma chérie.
- Viens, je vais te sucer.
André se redresse, sort son chibre de la chatte trempée et reste à genoux devant Eliane qui se redresse. Elle se met à genoux également et empoignant la bite luisante de mouille, elle le prend dans sa bouche.
Eliane s'est légèrement décalée, pour que son amie puisse profiter pleinement du spectacle. Lentement sa bouche descend, amenant le gland au fond de sa gorge jusqu'à s'étrangler. De sa main droite, elle malaxe doucement les couilles, la gauche passe derrière les fesses vient chatouiller l'anus de son amant. André grogne de satisfaction, crispant sa main sur la tête de la belle suceuse.
Elle entame un lent et doux va et vient, André grimace de plaisir sosu la fabuleuse caresse.
- Ah oui ! Ah comme tu me suces bien ! Ah la salope ! Oui ! Ah vas-y ! Je vais bientot jouir !
Ah oui ! Tu sens ma bite qui gonfle ? Oui ! Ah ouiiii ! Ah je viens ! Je viens ! Tiens ! Tiens ! Prends ! Ahhhh ! ! ! !
Et André se déverse dans la bouche accueillante.
Nadine n'en peut plus. Le spectacle l'a rendue folle, ne se contrôle plus. Ses jambes emprisonnent sa main trempée. Elle jouit en se mordant les lèvres pour ne pas crier tout en ne perdant pas une miette de ce qu'elle voit.
Eliane libère la queue qui retombe en se dégonflant lentement. Levant la tête, elle quête le regard d'André. Celui-ci se baisse, sa bouche vient au contact de celle qui l'a si bien sucé.
Nadine ne voit que la bite qui continue de retomber mollement. Elle est encore à l'horizontale et est toujours d'une taille incroyable.
Les deux amants s'allongent côte à côte, leurs têtes du coté de la belle voyeuse. Ils se font des calins, se parlent doucement, récupérant des instants merveilleux qu'ils viennent de vivre.
André caresse doucement le sein à sa portée.
Eliane se laisse faire. Au bout d'un moment elle dit :
- Ils sont petits tu ne trouves pas ? J'aimerai bien qu'ils soient plus gros.
André ne répond tout de suite, lui aussi est d'accord, mais il ne veut pas vexer la fille.
- Pourquoi tu dis ça ? Moi je trouve qu'ils sont très beaux.
- C'est vrai ? Moi j'aimerai bien quand même qu'ils soient plus gros.
Elle ajoute, l'air détaché :
- Comme ceux de ta s'ur par exemple. Qu'est-ce que tu en en penses ?
André hésite à peine :
- C'est vrai que Nadine a des super seins.
Il réfléchit, ajoute :
- Comme j'aimerai les toucher ! Ils me font bander tu peux pas savoir !
Eliane est aux anges. Elle l'a amené là ou elle voulait.
- Oui je sais. Tu m'as déjà dit que tu te branles en y pensant.
- Exact ! Je m'imagine en train de les toucher et je jouis.
Eliane continue à sourire de son sourire le plus vicieux. Elle demande :
- C'est tout ? Tu ne penses pas à autre chose ? A la baiser par exemple ?
- Si bien sur ! Mais c'est ma s'ur.
- Et c'est le fait que ce soit ta s'ur qui t'empêche de la baiser ?
- Non, pas du tout, moi ça ne me generait pas, mais c'est elle.
- Qui te dit qu'elle refuserait ?
André se tourne vers elle. Il demande :
- Tu crois qu'elle accepterait ?
Il réfléchit, ajoute :
- C'est ta meilleure amie, elle t'a fait des confidences ?
Eliane continue de le regarder, amusée.
- C'est sur que si elle voulait, ce serait formidable. Dis, tu peux voir ? Tu peux lui demander en douce ? Moi je n'ose pas, j'ai peur qu'elle fasse un scandale.
Eliane tarde un peu à répondre. Elle sait que Nadine a entendu et se demande ce qu'elle en pense.
- Je te promets. En attendant j'aimerai bien que l'on s'occupe un peu de moi.
André l'embrasse et elle répond à son baiser. Leur désir revient, André est excité à l'idée qu'il pourrait baiser sa s'ur, Eliane à l'idée de savoir que son amie est fixée maintenant.
A toi de décider maintenant se dit-elle.
Bientôt les deux amants se retrouvent tête-bêche, André allongé dessous Eliane qui s'est arrangée pour se retrouver la figure du coté de l'endroit où se trouve Nadine.
Assise sur le cul sur la figure d'André qui lui bouffe l'anus, elle fait face à son amie. D'abord elle ne la voit pas mais lui fait signe de venir.
Enfin elle l'aperçoit et l'appelle de la main. Nadine fait des signes de dénégation désespérés et elle insiste.
Pendant ce temps, André qui s'étonne qu'elle ne s'occupe pas de lui, la rappelle à l'ordre.
- Suce-moi, tu vois pas que j'en meurs d'envie.
C'est vrai que la bite à nouveau tendue demande qu'on s'occupe d'elle.
Eliane commence par branler le gros membre tout en regardant vers le fourré. Elle procède de façon à exciter son amie au maximum. Enfin elle se penche et gobe le sexe qu'elle continue de branler tout en faisant rouler les couilles.
Les deux amants continuent leur 69.
Nadine est au supplice. Elle est partagée entre son désir d'y aller et une peur du pas à franchir.
Elle coule littérallement, ses cuisses sont trempées par le jus qui s'écoule de son sexe.
Eliane se redresse, abandonnant sa succion, tout en continuant de branler le sexe tendu. Elle adresse une demande muette de nouveau vers son amie, se demandant si elle ne devrait pas aller la chercher.
Nadine, les yeux exhorbités, fixe son regard sur le vit énorme, qui paraît encore plus gros de par sa position.
Soudain, sans l'avoir vraiment décidé, comme si une main invisible la guidait elle se redresse, Eliane la voit faire le tour du fourré et se diriger vers eux. Folle de joie elle l'encourage avec un grand sourire et lui tend la main.
André ne peut rien voir de par sa position, la figure dans le cul de la belle.
Nadine vient s'agenouiller devant Eliane, la queue de son frére entre eux.
Eliane lui prend le poignet et lui pose la main sur la grosse bite. Nadine ne bouge pas, son amie pose la main sur la sienne et la force à branler André.
Lâchant la main de son amie qui branle André, elle ouvre complètement le corsage échancré. La belle poitrine apparaît aux yeux d'Eliane. Prenant les bouts érigés entre ses doigts, elle les triture doucement mais de façon ferme. Elle entend la respiration hachée de son amie.
Eliane se penche à nouveau, faisant signe à Nadine de faire de même.
Eliane suce doucement la bite tendue quelques instants puis, la lâchant de nouveau, fait signe à son amie de sucer à son tour.
Nadine hésite, André, frustré, demande à Eliane de le sucer. Nadine se penche et applique sa bouche sur la bite de son frère. Comme elle l'a vue faire, elle imite son amie, descendant et montant sur le membre énorme qui lui déforme la bouche.
André grogne de satisfaction.
- Oui ! Oui c'est bon ! Vas plus vite ! Oui ! Ah que c'est bon ! Ah je vais jouir ! Ahhhh !
Pour la première fois de sa vie, Nadine voit le sperme jaillir et atterrir sur son visage, sa bouche.
Décontenancée, elle lâche la bite qui continue de gicler, bite aussitôt empoignée par Eliane qui le suce à nouveau.
André a fini de se vider. Heureux, remercie Eliane.
- Ouf ! Quel pied ! Ah oui tu m'as bien sucée !
Personne ne répond. Voilà le moment de vérité arrivé.
Se retournant, elle se met sur le coté, dévoilant Nadine, le visage taché par le sperme, toujours à genoux, le buste dénudé et exposant au regard d'André sa fabuleuse poitrine.
- C'est elle qu'il faut remercier. C'est elle qui t'a sucé. Regarde ce que tu lui a mis !
André est sidéré. Il se redresse, s'appuyant sur ses bras et regarde sa s'ur, bouche ouverte, sans voix.
Eliane éclate d'un rire nerveux en les voyant. André réagit enfin.
- C'est toi Nadine qui m'a?, heu', sucé ?
Nadine acquiesce en hochant la tête. André se relève, se met à genoux devant sa soeur et l'embrasse sur la figure, léchant son sperme. Très vite ses mains viennent se poser sur les seins fabuleux qui le font rêver depuis un bon bout de temps. Il en bave presque de désir. Enfin il dit :
- Fabuleux ! Quelle poitrine !
Ses caresses se font plus précises. Il couche sa s'ur, sa bouche vient se coller sur un téton durci tandis qu'il continue de malaxer l'autre. Eliane passe une main sous la jupe de son amie, son sexe est un vrai marécage. Nadine soulève ses fesses et l'aide à descendre sa jupe.
Le sexe trempé attire la bouche d'Eliane. Ecartant les jambes, elle vient coller ses lèvres sur l'endroit odorant. Le bouton est dressé comme une vraie petite bite.
On entend les grognements de plaisir de Nadine.
André se relève, voit sa s'ur en train de brouter le minou. Il s'assoit à coté de Nadine, la queue est de nouveau bandée. Il demande :
- Branle moi ! J'en ai envie depuis longtemps tu peux pas savoir.
La bite se trouve à quelques centimètres de son visage. Vu la position elle paraît encore plus énorme. Sa main se pose sur le vit qu'elle sent vibrer d'émotion.
André est fou de joie, ses yeux vont de son sexe branlé par sa s'ur à la poitrine fabuleuse dont il a tant rêvé. Les seins sont largement écartés, entrainés par leur poids. Les bouts sont longs, bruns et très allongés. En fait ils semblent bander. Il pose une main tremblante d'émoi sur le sein à sa portée.
- Ah bon dieu qu'ils sont beaux !
Il les caresse, les malaxe plutôt tant il est excité. Il les trouve durs. La fille râle de bonheur sous la double caresse de son amie qui lui broute le minou et de son frère qui lui triture les seins.
- Ah oui ! Oui c'est bon ! Ah oui ! Elle tourne la tête vers André qui la regarde aussi.
- Alors petite s'ur, c'est bon ? Dis moi ! Tu aimes ?
Sa respiration est de plus en plus saccadée. Elle parvient à répondre :
- Oui ! Ah oui c'est bon ! Suce moi les bouts, je t'en prie ! J'adore !
André se penche, sa bouche vient happer le téton à sa portée. Les gémissements de la fille augmentent.
- Ah oui ! Oui comme ça ! Mords-les ! Ah oui ! Oui j'adore !
La tête de la fille s'agite de droite à gauche. Elle serre la bite durcie dans sa main et la branle de plus en plus fort. André sent que sa s'ur va bientôt jouir et il veut voir son visage. Il se redresse, admirant le masque de désir inscrit sur le visage de sa s'ur.
Soudain elle se met à crier, la jouissance est là.
- Oui ! Ah oui ! Oui je vais jouir ! Je viens ! Je viens ! Ahhhh ! Tiens ! Tiens ! Ahhhhh !
Et elle déverse un flot de mouille dans la bouche d'Eliane qui se régale.
André voit Nadine se tordre de plaisir tandis qu'il sent la main qui l'étreint se crisper violemment sur sa queue. Il a du mal à se retenir mais y parvient néanmoins.
Enfin Nadine s'apaise. Elle ouvre les yeux tandis que Eliane qui s'est redressée et André la regardent, heureux du plaisir qu'il lui ont donné.
Nadine sourit, sa poitrine continuant à se soulever à toute allure. Elle regarde la bite tendue et demande :
- Viens ! Viens me la mettre ! Je veux la sentir dans ma chatte.
André ne demande que ça. Il vient se placer entre les jambes de sa s'ur, tandis que Nadine se met derrière la tête de son amie. Lui soulevant la tête, elle vient mettre ses jambes dessous et la repose dessus.
- Tiens, comme ça tu vas pouvoir te régaler du spectacle pendant qu'il va te baiser.
André présente sa queue à l'orée du sexe largement ouvert et, après s'être assuré qu'elle voit bien, la pénêtre.
Nadine se met à gueuler de souffrance.
André s'arrête, attend qu'elle se calme. Il se sent serré dans une gangue moelleuse. Nadine a l'air d'être assez serrée.
La fille se calme. Regardant toujours, elle dit.
- Bon dieu qu'elle est grosse ! Vas doucement s'il te plait !
André acquiesce, s'enfonce lentement. Nadine se plaint doucement, la douleur est toujours présente. Très vite il vient buter au fond du vagin. Il attend Eliane qui dit :
- Respire fort, ça va passer. Tu n'es plus vierge maintenant.
Nadine respire très fort. Eliane lui caresse les nichons pour la décontracter. André se retire doucement, sort presque sa queue.
Celle ci est pleine de sang et de mouille. Doucement il replonge dans le fourreau serré. Au bout de quelques secondes Nadine se met à râler de plaisir. Il va de plus en plus vite.
Nadine sent le plaisir l'envahir. Jamais elle aurait cru que cela pouvait être aussi intense. Même si la douleur est encore présente, le plaisir de la queue en elle la rend folle de plaisir.
- Ah oui ! Ah que c'est bon ! Que c'est bon ! Ah que?
Elle ne peut finir, la jouissance la submerge, la prend au dépourvu. Elle se tord sur le sol, son amie a du mal à la tenir.
- Ouiiii ! Ouiiiii ! Ouiiiii ! Ahhhhh !
Elle retombe, inerte.
André, surpris par la soudaineté et la violence de la jouissance, se met à jouir lui aussi.
- Oui ! Je jouis ! Tiens ! Tiens ! Ahhhh !
Et il s'arrête enfin, apaisé sur le corps de sa s'ur. Nadine a les yeux fermés, les narines pincées. Elle respire très vite.
Enfin elle ouvre les yeux, sourit à André et Nadine.
- Alors ? Tu vois que c'était pas la mer à boire ? Quel pied t'as pris !
Et regardant l'entre-jambes souillé de son amie, elle dit à André :
- Retire toi qu'on voit les dégats.
Il se retire, sa bite flasque retombe sur ses cuisses quand il s'agenouille, les souillant du sang de sa s'ur. Les cuisses de Nadine sont maculées de sang elle aussi, mélangé au sperme et à la mouille.
Nadine ne peut s'empêcher de dire :
- Et bien dis donc ! Il va falloir nettoyer tout ça !
Ils la nettoient tant bien que mal, avec de l'herbe d'abord, puis utilisent leurs mouchoirs. Enfin, même si elle a besoin d'une bonne douche, le plus gros est parti et elle ne risque plus de tacher sa robe.
Nadine se relève en grimaçant, elle sent une douleur dans le bas ventre qui la lance. Eliane la rassure.
- T'en fais pas, demain il n'y paraitra plus.
Ils se disent au revoir, frère et s'ur prenant rendez-vous pour le lendemain rentrent ensemble.
Ils devisent gaiement, André promettant des instants inoubliables à Nadine.
- Ce soir tu viens dans ma chambre ?
Nadine le regarde, puis un peu soucieuse :
- Mais tu n'as pas peur que les parents s'en aperçoivent ?
Il la rassure, leurs chambres se trouvent de l'autre côté de la chambre des parents.
- Et puis on fera pas de bruit.
Nadine se laisse convaincre.
Arrivés chez eux, Nadine s'empresse d'aller prendre une douche. André essaie bien de l'y rejoindre, mais elle l'en dissuade, la mère ne devrait pas tarder à rentrer.

Ils mangent tous les quatre, André a hâte que le repas se termine car il a des projets pour le soir. Maintenant qu'il a une amante à la maison il ne va pas s'en priver. Ses yeux brillants se reportent souvent sur sa s'ur, sur sa poitrine qu'il devine et sur laquelle il a tant fantasmé et dont le rêve s'est enfin réalisé, la toucher, la caresser.
Nadine n'est pas en reste, son regard lourd en dit long sur ce qu'elle pense.
La mère se demande ce qui se passe, les jeunes gens ne parlent presque pas. Ils se calment, mangent en évitant de se regarder, ne voulant pas se trahir.
André lance un grand bonsoir à tout le monde et monte le premier. A peine dans sa chambre il se déshabille entièrement, s'admirant complaisamment dans le miroir de la grande armoire qui fait face au lit.
Il met de la musique et s'allonge, les mains derrière la tête, repensant aux évènements de la journée.
Il a le temps car sa s'ur doit aider sa mère à desservir et faire la vaisselle.
Au bout d'un petit moment, il entend son père monter puis Nadine et sa mère. Il entend la porte de Nadine se refermer sur elle
Impatient il attend le moment où elle va venir.
Enfin il voit la porte de sa chambre s'ouvrir lentement. Seule un petite lumière de chevet est allumée et il la voit entrer, refermer la porte sans bruit. Elle est en robe de chambre.
S'approchant du lit, elle dénoue la ceinture de celle-ci et d'un mouvement des épaules, fait glisser le vêtement par terre.
Elle reste debout ainsi, comme attendant un ordre. André se régale du corps de sa s'ur. Dans la demi pénombre de la pièce le corps est mis en valeur à cause des ombres sur le corps.
Il admire les seins qui paraissent encore plus énormes de par leur position dominante par rapport à lui, toujours allongé sur le dos, puis son regard descend sur le ventre bombé et le large triangle de poils noirs qui disparaît entre les cuisses un peu fortes mais bien proportionnées.
Il tend le bras, la main ouverte vers Nadine qui la prend. L'attirant vers lui, elle pose un genou sur le lit, puis un deuxième.
André met une main derrière sa nuque et attire la fille vers lui. Un long baiser les unit pendant un long moment.
André a pris le sein qui pend à sa portée dans une main et le caresse. Nadine s'appuie d'une main sur la poitrine d'André.
Nadine s'allonge tout à fait, sa main descend et vient encercler la queue dressée, la branle lentement.
André apprécie, une main se pose sur les belles fesses de Nadine, apprécie leur dureté et leur galbe. Ils ses caressent ainsi un petit moment ? Nadine redresse la tête.
- Tu sais j'ai mal, je ne sais pas si on va pouvoir faire l'amour ce soir.
André sourit.
- Tant pis, on va faire autrement. Tu sais ce que tu as commencé cet après midi, quand je croyais que c'était ta copine qui me suçait. Mais cette fois je vais te regarder le faire.
Nadine sourit, se met à genoux entre les jambes de son frère. Prenant la queue dans sa main, elle s'incline et embouche le vit tendu.
André est aux anges, il l'encourage.
- Oui, oui comme ça. Plus lentement.
La fille s'applique, écoutant les conseils d'André.
- Oui, c'est bien comme ça ! Oui, change de rythme.
Il lui demande de lui caresser les couilles, de le branler. Il admire ses fesses jointes et bien en relief de par la position accroupie.
- T'as un cul du tonnerre tu sais ! Je crois qu'après je vais m'en occuper.
Nadine sous le compliment accentue la cambrure, geste qui n'échappe pas à André. Le désir monte très vite, sa respiration se fait de plus en plus rapide.
- Ah c'est bon ! Ah oui ! Prépare toi, je sens que je vais bientôt te remplir la bouche. Ah oui ! Ah oui que ta bouche est bonne !
Nadine accélère la cadence, elle sent le chibre grossir encore tandis que les pulsations augmentent nettement. André gémit de satisfaction, cette fois il ne peut plus se retenir.
- Oui ! Oui ! Branle moi plus vite, plus vite je vais jouir ! Je viens ! Oui ! Oui ! Ahhhh ! Tiens ! Tiens ! Ahhhhhh !
Et il libère de grandes giclées dans la bouche de Nadine qui essaye d'avaler sans s'étrangler, tandis que la jouissance d'André continue
- Ah ouiiii ! Oui ! Ah que c'est bon ! Ahhhhh ! Ahhhhh !
Enfin il s'apaise, sa poitrine se soulève à toute vitesse, envahi d'une douce langueur.
Nadine relève la tête, regarde la bite qui libère toujours un peu de sperme tout en continuant de le branler. Elle se met à genoux, plonge ses yeux dans ceux d'André.
Celui-ci se redresse, tend les bras vers sa s'ur qui s'y blottit. André prend la figure de sa s'ur, ses lèvres viennent se souder sur celles qui lui on donné tant de bonheur. Un long baiser les unit, le sperme encore présent dans la bouche de la fille se mélange avec la salive d'André.
Ils se désunissent, se regardent, les yeux brillants en se souriant.
Nadine veut savoir si elle l'a bien contenté.
- C'était comment ? T'as aimé ?
André la rassure.
- C'était super ! Vraiment ! D'ailleurs tu t'en es bien rendu compte non ?
Ils s'embrassent à nouveau. André met la main entre les jambes de Nadine. La motte est trempée. Ses doigts caressent, s'incrustent dans la raie culière. Nadine se met à respirer de plus en plus fort, tandis que ses doigts se crispent dans le dos de son frère. Il la fait pivoter et allonger.
Immédiatement Nadine ouvre en grand le compas de ses jambes sans aucune fausse pudeur.
André s'allonge entre les jambes écartées, il approche son visage de la vulve dont les grandes lèvres sont largement ouvertes. Une odeur forte de femelle en chaleur se dégage du puits d'amour.
Il aperçoit le bouton érigé. Il semble à André que celui-ci est de bonne taille.
Enfin sa bouche se pose sur la chatte, ce qui fait pousser un gémissement de plaisir à Nadine.
- Ah ! Ah oui, suce moi ! C'est bon !
Les gémissements s'amplifient, André relève la tête, au grand désappointement de Nadine qui redresse la tête.
- Pourquoi tu t'arrêtes ? C'était si bon !
André montre du doigt la direction de la chambre des parents.
- Je sais, mets un oreiller sur ta bouche.
Nadine se mord les lèvres, elle ne s'était pas rendu compte du bruit qu'elle faisait. Elle prend un oreiller à côté d'elle et se l'applique sur la figure.
Rassuré, André reprend sa caresse. Le plaisir monte très vite. Il entend les gémissements de plaisir, heureusement étouffés par l'oreiller.
Enfin elle jouit, lui donnant de grands coups de talon dans le dos. Une mouille abondante coule et il se régale de ce nectar.
Au bout d'un moment Nadine enlève l'oreiller de sa figure, André se relève et, rampant sur le corps apaisé de son amante, vient lui embrasser les lèvres.
Quand ils se désunissent, ils se regardent heureux, les yeux brillants.
Allongés sur le côté et se faisant face, ils se caressent doucement, découvrant leurs corps
André que la séance de léchage a excité bande à nouveau. Nadine s'extasie devant ce phénomène.
- T'es jamais fatigué toi !
- Non, mais il faut dire que tu m'excites.
André est fou des nichons de sa s'ur.
Nadine lui rapporte les propos de sa copine qui lui a raconté qu'il pensait beaucoup à eux quand il se branlait.
- C'est vrai, tu peux pas savoir le nombre de fois où j'ai déchargé en pensant à tes nichons !
Nadine heureuse du compliment le remercie d'un baiser. Elle aussi sent le plaisir monter en elle de nouveau. Leur souffle se fait court. André s'allonge complètement sur le dos et invite sa s'ur à se coucher sur lui en position inverse.
Elle s'éxecute. André a de nouveau la chatte odorante et luisante de mouille tout près des yeux. Ses mains caressent les fesses bien rebondies tandis qu'il admire le spectacle.
- C'est vrai que tu as un cul formidable.
Nadine demande :
- C'est vrai ? Qu'est-ce que tu aimes ?
On entend à peine leurs voix.
- J'aime tout, ta chatte est comme gonflée, en relief. J'aime tes poils, qu'est ce tu as comme poils !
C'est vrai ils remontent dans la raie culière et ressortent en haut des fesses.
- En plus tu mouilles de façon incroyable. Je sens que je vais me régaler encore.
Cela dit, il plonge le nez dans la raie et se met à lui brouter la chatte, déclenchant un grognement de satisfaction de la fille qui elle a déjà pris le membre imposant dans sa bouche goulue.
Les langues s'affairent, sucent, lèchent. Les gémissements de plaisir montent.
André caresse le petit trou de la fille et, au bout d'un moment, il enfonce la première phalange de son index. Un grognement plus fort encourage André qui se met à lui branler le cul.
Nadine a l'air d'apprécier et, comme elle n'est pas égoiste, fait de même.
André aime lui aussi et lui fait comprendre par un gémissement de plaisir.
Ils se caressent ainsi un long moment ? C'est Nadine qui la première atteint le plaisir.
Les gémissements, heureusement couverts par le sexe qu'elle suce sont de plus en plus forts.
André accélère sa caresse et elle se libère, crachant un flot de mouille dans la bouche du garçon qui se régale une fois de plus.
Nadine s'apaise, reprend la succion qu'elle avait interrompu un moment, le plaisir étant trop fort.
André relève la tête, sa langue va se poser sur la petite rosace qui a l'air très sensible.
De ses doigts, il écarte le plus qu'il peut le petit trou et il introduit une langue dure dans le puits merdeux.
Aussitôt la fille se met à ruer, gesticuler, montrant son intense satisfaction.
André, qui ne croyait pas déclencher un tel plaisir fait aller sa langue dans l'orifice.
La fille est de nouveau près de la jouissance, André également.
Les caresses durent encore un petit moment, chacun essayant de retarder la jouissance, tant le plaisir est intense mais bientôt ils ne peuvent plus se retenir.
Nadine se libère en premier puis André remplit à nouveau la bouche de sa s'ur.
Diminuant l'intensité de leurs caresses, ils s'arrêtent enfin, Nadine s'affale sur le corps de son frère, récupérant. André caresse doucement le beau cul qu'il continue d'admirer.
Nadine se redresse enfin, pivote et vient embrasser André sur les lèvres. Leurs humeurs se mélangent, prolongeant leur plaisir.
Enfin ils se désunissent. Ils continuent de se peloter un peu, chacun voulant remercier l'autre du plaisir ressenti puis ils décident de dormir.
Ayant revêtu sa robe de chambre, Nadine embrasse son frère en lui souhaitant une bonne nuit et quitte discrètement la chambre de son frère.