La remontée des âges... (part 1)

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Proposée le 24/01/2011 par gerbie3

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Sexe "quasi" incestueux avec de jeunes protagonistes, merci de ne pas lire si vous n'appréciez pas ce genre de récit.


Bonjour à mes lecteurs :)
je voudrais simplement vous signaler que j'écris aussi sous le pseudonyme de gerbie.

J'ai eu 17 ans il y a une semaine et comme tous les mecs de mon âge, les filles ça m'intéresse plus que tout autre chose; j'ai du mal à ma retenir de ne pas fantasmer sur tout ce qui bouge, c'est vous dire !...

je suis indien d'origine mais j'ai été adopté à l'âge de 18 mois par des parents blancs.
Si je précise ça c'est pour que vous imaginiez mieux les scènes qui vont suivrent : Je les tire de ma mémoire alors j'espère que vous trouverez les détails hauts en couleurs.

Comme tous les indiens, j'ai eu droit à une puberté précoce et j'ai commencé très vite à mater et à surprendre les filles autour de moi par la taille de mon pénis...
La première image qui me revient en tête c'est qu'un jour petit à la piscine, j'avais oublié mon maillot et que celui qu'on m'avait prêté n'abritait pas mes bijoux de famille si bien que toutes mes maitresses avaient regardé avec insistance mon pénis commencer doucement à durcir tandis qu'une d'elle m'attachait la ficelle de mon maillot...

Mais, nous nous éloignons du sujet qui nous occupe : Etant adopté je n'ai jamais crains le lien du sang et c'est peut etre pour ça que mes cousines m'ont toujours fasciné !
Si vous saviez combien elles sont belles ; Elles avaient alors 15, 16 et 17 ans lors de notre fameux séjour à la mer avec la famille entière et je n'avais alors jamais vu plus jolies filles que ce soit à l'école ou autre part...

Camille étant la plus jeune, je la considérais presque comme une soeur et ça me surprit drôlement lorsque je découvrit qu'une nympho assoiffée occupait son corps.

Alors que je comptais prendre une douche en revenant de la plage, j'entendis des petits gémissements et des souffles étouffés montant de ma chambre. La maison étant sensée être vide à cette heure, je me décidai à vérifier la source de ses bruits étranges et enivrants.
pieds nus, je m'approchai à pas de loups toujours en maillot mais torse nu, de la porte de ma chambre. je jetai alors un regard à l'intérieur et ce que je vis me stupéfia : Camille, ma plus jeune cousine était en train de se caresser, sa petite toison dépassant de son bikini alors que sa main effectuait un va-et-vient léger et souple, allongée sur mon lit. J'entre aperçus même une de ce que j'appelais "les lèvres de dieu".
Ce spectacle me fascina d'autant plus que la jeune fille avait sorti un de ses jeunes seins de son haut et le malaxait doucement ou en titillait la pointe avec deux doigts pour pincer, serrer, taquiner le mamelon à peine sorti de l'enfance.
Un instant je pris peur et restai pétrifié avant de comprendre que la jeune fille soupirait et gémissait en prononçant mon prénom...
"Oooooghhhh... Doucement... Mets la là... MmmH aaahhhg... Charliiiie..."
Le plus étrange c'est qu'elle avait pris un de mes caleçon pour le sentir et se le passer sur le corps.

je sentis alors une de mes mains glisser doucement dans mon maillot large, en tirer le bord par dessus mon sexe encore un peu mou.
Sentir mes couilles et ma queue à l'air me vivifia et me fit sentir un nouvel homme.
je commencai alors à me décaloter doucement afin de sortir mon gland luisant de sa bogue de peau douce. Alors vint le va et vient doux et langoureux.

J'avais à peine commencé à soupirer que ma cousine émit un gémissement plus fort : Ce qui me surprit et je cessai de respirer. elle était allongée sur mon lit et commençait à s'essuyer l'antre avec le caleçon. Je prit alors la fuite. Autant vous dire que ma douche fût plus longue que prévu et que ma descendance glissa dans le syphon...

Quand vint l'heure du Dîner, je descendis encore tout émoustillé du spectacle qui s'était offert perversement à ma vue pour assister, en famille au grill donné par mon père dans le jardin. Je remarquai que mes cousines me mataient chacune à leur tour d'une manière étrange, leurs yeux brillants légèrement...

La soirée se déroula sans encombre et il fallut aller se coucher, ce que je fis sans trainer car une bonne branlette m'attendait encore.
En passant près de la porte d'une des salles de bains, j'entendis la conversation entre Camille et Charlotte (ma cousine âgée de 16 ans).

- Cha, tu ne trouve pas Charlie canon ?
- Oh si, il est bien foutu en plus, t'as vu son... engin ?
- Sa queue ? ouais elle a l'air bien grosse...
- Camille ! Tu es trop jeune pour dire ça aussi cruement !
- Rien à foutre, j'aimerais beaucoup juste voir à quoi elle ressemble...
- Moi aussi mais ce n'est pas une raison dire ça comme ça !
- Roooh ! Mais c'est bon ! On est entre soeurs, tu va pas commencer...!
- ... J'aimerais bien savoir combien elle fait... Debout...
- T'es une cochonne Cha !
- Tu t'es entendue !?
- Faudrait que je trouve de nouvelles shoes... Les miennes sont niquées...!

j'en avais assez entendu pour me combler d'aise et d'un étrange sentiment de picotement au niveau de mon sexe et de mon ventre... Je retournai dans ma chambre et prit une décision louche mais plutôt sympathique du point de vue d'un mec : Je voulais aller les mater pendant qu'elles dormaient...

Il devait être 3-4h du matin quand j'entrepris de me faufiler tel un chat à travers les couloirs de la maison... Je pouvais toujours prétendre aller aux toilettes mais réveiller des gens restait un risque... Et ça rendait le truc encore plus excitant !
Camille dormant dans une chambre différente de ses soeurs, il me fût aisé de m'y rendre et de tourner la poignée sans buit...

J'entendis alors un bruit familier : Le bruit d'une main qui frotte sous le tissus.
Moi-même en T-shirt caleçon à cause de la chaleur, je trouvai ma cousine en culotte et soutien-gorge malgré le drap blanc qui recouvrait partiellement ses atouts.
Elle gémissait encore mais plus fort de d'habitude et le mouvement n'était plus aussi léger : Je remarquai avec extase qu'elle s'était enfoncé un doigt dans la chatte tandis que l'autre main malaxait ses seins pointant de désir.
je sentis une érection fulgurante s'emparer de moi tandis que ma cousine se livrait aux démons de la nuit. Ses soupirs et gémissements se faisaient plus insistant tandis qu'elle semblait se répéter une scène dans laquelle je la pénétrai.
Elle écartait les pants de sa culottes et se caressait le mont de vénus avec envie.
puis elle descendait vers ses lèvres et passait deux doigts dans la fente les séparants.
j'entendais les doigts pataugeant dans un liquide visqueux et odorants : La cyprine de ma cousine !

Alors qu'elle arrivait près de son anus, elle sortait alors un doigts et l'introduisant en murmurant "Pas trop fort, pas trop vite Charlie... Ouiiiiiii comme caaaa aaaaahhgg."
Et elle commençait un va et vient incessant...
Soudain, alors qu'elle se pinçait le clitoris, elle arcqueboutta son dos et poussa ses doigts en avant pour bien enfoncer ses doigts dans la chatte lumiante... Un cri déchira le silence et elle resta un moment figée puis retomba comme une masse dans son lit en soupirant de plaisir.

Je restai pantois et silencieux autant que possible, m'efforçant de calmer ma respiration, accélérée par la vue de ce jardin secret d'une jeune fille enfin dévoilé...
Quand sa respiration devint plus calme et plus régulière, je me relevai, prêt à assouvir mes fantasmes.
C'est alors, que me vint une idée des plus saugrenues mais qui avait fait ses preuves pour les personnes à court de lubrifiant.
Je courrai silencieusement à la cuisine et en ramenai un ingrédient qui pourrait peut-être me servir : du beurre.

Toujours bandant, je m'avançai vers la tête de ma cousine endormie et avec des gestes doux et précis, j'entrepris de sortir ma tige de son caleçon américain et décidais de l'enlever carrément. Je décalottai ma queue avec fougue et m'approchais de sa tête. je décidai de me branler avec douceur puis de plus en plus fort à quelques centimètre du visage et de la bouche de Camille...

je me surpris à être des plus excité du monde et m'efforcer de calmer mon bonheur de savoir que cette jeune fille se doigtait en pensant à moi.
Tout en me branlant, je constatai qu'en s'endormant, la jeune fille avait fait tomber le draps qui ne recouvrait plus maintenant que le lit seul. Ce fût comme si elle était offerte à moi !
Je tournai alors autour de son lit pour la voir sur plusieurs angles et commençai à sentir venir le jus sucré-salé, je commençai alors à me branler plus fort, négligeant les bruits de gorge et des râles que je poussai. Puis vint l'éjaculation; torride, des torrents de sperme chaud et gluant à souhait semblaient suspendu un instant dans les airs avant de retomber sur le ventre, la poitrine et la culotte de Camille...
Foudroyé par l'orgasme qui parcourait mon échine, je ne compris pas tout de suite qu'il valait mieux filer ou en tout cas me cacher pour être sûr : C'est ce que je fis... Elle ne s'était même pas réveillée.

Toujours aussi excité, je finis par rebander très vite comme un porc grâce à ma main droite qui branlait avec force ma queue rigide de plaisir, faisant sortir mon gland luisant plein de sperme mousseux. je me penchai alors et prit avec douceur les jambes de Camille et les écartai lentement. Je vis apparaitre sa vulve jeune et belle, attirante et encore légèrement mouillée. J'écrartai lentement les bords de sa culotte puis, de mon nez, je hûmai le doux parfum de sa cyprine puis j'ouvrit ma bouche et en sortir ma longue langue qui s'enfonça sans remords dans la chatte salée.

Alors elle se réveilla en sursaut puis me reconnaissant elle faillit crier : J'empêchai celà d'une main sur sa bouche en continuant de lécher ses lèvres et son vagin.
Elle commença alors à sourire puis à gémir de plus en plus fort :
- Mmmmh tu fais ça bien ! T'es un salaud !
- Laisse toi faire, je t'ai entendu et vu cette aprem' !
- Mmmh cochoooon ! Ouiii! làààà! Hhhhummm.

J'enfonçai deux doigts dans sa chatte dont je léchai le clitoris avec langueur, rapidité et dextérité... Son petit corps juvénile ne résista pas bien longtemps aux assauts de ma langue et je sentit ma bouche se remplir doucement, petit à petit d'une liquide chaud et amer...

Etourdie par son orgasme, elle ne se rendit, je pense, pas compte que j'avais déjà approché ma queue de son vagin et que ses jambes étaient posées sur mes épaules...
Doucement, je la pénétrai, décidé à aller jusqu'au fond... Elle gémit de douleur et de plaisir...
"Ouiiiii huuuuuuuuugh"

je commençai à la pilonner avec douceur puis de plus en plus vite.
A présent couché sur elle, je l'embrassai et lui mordillai l'oreille tandis qu'elle criait de toute son âme au plaisir du monde!
La calant de mes bras je changeai rapidement de position et elle jouit 2 fois avant que ne vienne mon premier orgasme.
Je pense qu'elle sentit mon foutre frotter contre les paroi de son vagin car elle s'exclama "Oh putain ouiiiii! Jouis en moiiiii !"

je me couchai alors pour reprendre haleine.
Elle reprit plus vite du poil de la bête que moi car bientot elle s'attela à manier ma bite un peu endolorie en jouant, la triturant et la piçant ce qui, entre ses mains adolescentes me mit une trique d'enfer...

- Je savais qu'elle était énorme ! attends que mes soeurs l'apprennent !
- Nan il ne faut pas Cam', si tes soeurs l'apprennent je suis mort !
- T'es fou ?! Avec une queue pareille je dois le crier sur le toit !
- Ferme la ! on va se faire défoncer !

Je tentai alors de la retourner en tenant une main sur sa bouche elle se laissa faire toute émoustillée à la pensée de ce que j'allais faire : Je la mis en levrette et préparai mon dard... D'une main je saisis le beurre que je tartinai sur mon phalus gorgé avant de l'introduire violemment dans son petit trou tout serré : Elle hurla littéralement de plaisir dans ma main et je la sodomisais jusqu'à ce que mon jus blanc lave son cul de l'intérieur... Elle s'ébroua dans une cri de joie...

- Quand mes soeurs apprendront que tu m'as déchirée, elles te sauteront dessus !
- J'attends de voir ça...