La découverte du sexe

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Proposée le 18/01/2011 par sergio06

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Dans une petite ville du Nord de la France, dans la chaleur de ce mois d'Aôut, André se promène à l'orée du bois qui se trouve non loin de chez lui, les mains dans les poches.
Il a dix huit ans, lycéen et donc en vacances. Son meilleur ami, Alain, ainsi que la plupart de ses copains, sont partis dans leur famille ou en vacances, à la mer ou ailleurs. Lui est resté et il triste et un peu perdu.
Il habite avec sa mère et sa s'ur de 17 ans, Nadine.
André est puceau, mais depuis quelque temps sa sexualité le travaille de plus en plus. Avant il se branlait le soir avant de s'endormir, à présent il ne peut plus attendre jusque là, il est obligé de s'isoler également dans la journée pour se branler.
Il met ça sur le compte du désoeuvrement, n'ayant rien d'autre à quoi penser. En ce moment sa bite est de nouveau dressée. Il est vrai qu'il la caresse de la main gauche, la poche de celle ci étant décousue. Pas par hasard, il l'a décousue lui-même et se caresse d'une manière qu'il espère discrète. Il ne porte pas de slip pour rendre la chose plus facile. Un tee shirt long et libre tombant bas sur son short cache la protubérance et le mouvement de ses doigts.
Il arrive dans un endroit qui forme une espèce de petite clairière qu'il connaît bien. Avant d'y pénétrer, il s'arrête, regarde autour de lui et, s'assurant que personne ne le voit, il s'engage résoluement dans l'épais taillis qui la camoufle.
Il y a de l'herbe épaisse, il défait la ceinture de son short, le laisse tomber sur ses baskets.
Il pose sa culotte par terre au pied d'un arbre et s'assoit dessus.
Il s'adosse, remonte son tee shirt, dévoilant une bite impressionnante, dressée pratiquement à la verticale.
Il la regarde avec un sourire de satisfaction aux lèvres. C'est vrai qu'il a lieu d'être satisfait. Sa queue est énorme, il l'a mesurée et elle fait vingt cinq centimètres en érection, d'une grosseur de plus de six centimètres à la base, diminuant peu à peu au bout. Le gland, complètement décalotté en ce moment est gros comme une prune et de même couleur à cause de l'excitation.
Ses doigts se posent sur sa bite, et doucement il commence à se branler. Il se force à faire durer le plaisir tout en respirant de plus en plus fort. Au bout d'un moment il sent que la jouissance approche. Il essaye de ralentir, de prolonger le bonheur intense qu'il sent monter en lui, mais comme à chaque fois le désir est le plus fort. A présent il se branle à deux mains, le souffle court, les yeux fixés sur le dard turgescent qui continue d'enfler sous le désir.
Il râle de bonheur, tout en accélérant sa cadence. Un jet puissant jaillit et va atterrir à plus de trois mètres dans le fourré en face après une gracieuse parabole dans les airs. Il continue de s'activer tandis qu'un deuxième jet va atterrir presque aussi loin. Encore deux ou trois giclées qui vont atterrir sur l'herbe de plus en plus près de lui et enfin les dernières gouttes maculent ses doigts.
Il se caresse encore un petit moment, pressant sa bite pour en extraire les dernières gouttes qui souillent ses doigts crispés sur la tige qu'il sent ramollir doucement, puis enfin, comme à regret il libère le membre qui s'incurve mollement vers le bas.
André continue de regarder son sexe qui a repris une taille presque normale, reposant sur les grosses couilles maintenant vides. Il se frotte les mains par terre pour se débarrasser du sperme puis, enfin se lève en empoignant son short.
Debout, il se met à pisser, un jet mordoré mouille l'herbe.
Il secoue sa bite, la pressant de haut en bas, remet sa culotte après l'avoir débarassée des herbes.
Regardant à droite et à gauche, pour s'assurer qu'il n'y a personne, il sort du fourré et s'avance dans la foret, sans but précis.
Il a à peine quitté l'endroit ou il se trouvait que le fourré sur un côté de la clairière se met à bouger. Une tête blonde émerge doucement, puis une fille apparaît.
Eliane, c'est son nom, est agée de dix sept ans. Elle est la fille du garde forestier et habite non loin de là, avec son père et sa mère dans une maison isolée, sur la route qui traverse le bois de part en part.
Elle venait en sens contraire d'André, et s'est cachée quand elle a entendu du bruit, assistant sans l'avoir voulu à tout le spectacle depuis le début de la branlette jusqu'à l'éjaculation et la séance de pisse en prime.
Eliane est encore sous le choc de ce qu'elle vient de voir. Ce n'est plus une oie blanche depuis quelque temps mais elle n'avait encore jamais vu ça, un sexe énorme dont elle ne savait même pas que ça pouvait exister et cela l'a mise dans un état indescriptible.
Eliane connaît bien André, sa mère est une ancienne copine d'école de la mère du garçon et elle-même a comme meilleure amie Nadine, la s'ur d'André.
D'ailleurs, ici dans cette petite ville tout le monde se connaît plus ou moins.
Apaisé, André continue de se promener sans but précis, se demandant ce qu'il pourrait bien faire, quand soudain il se retrouve nez à nez avec Eliane. Celle ci semble aussi surprise que lui et surtout heureuse de le voir.
Ils s'embrassent sur les joues.
Ils marchent ensemble, côte à côte, discutant de tout et de rien, chacun plongé dans ses pensées.
Eliane a toujours devant les yeux le spectacle de la formidable bite. Quant à André il se demande comment s'y prendre pour l'amener dans un coin désert.
Il lui semble que la fille s'intéresse à lui depuis quelque temps mais il n'a jamais osé l'entreprendre, un refus l'aurait mis dans une position embêtante puisque celle-ci vient régulièrement à la maison voir sa soeur.
Sans s'en rendre compte, André se laisse guider par la fille qui semble connaître le bois comme sa poche.
Bientôt ils se retrouvent dans un coin tranquille. Il y a de l'herbe par terre et l'endroit paraît bien isolé. Eliane demande :
- On s'assoie ici ? Tu veux bien ?
André acquiesce avec joie. Il se dit qu'elle va au devant de ses désirs.
Ils se retrouvent assis côte à côte et, se regardant, ils se sourient.
Sans savoir qui a fait le premier pas, ils se retrouvent les lèvres soudées. André l'incline vers le sol, elle ne fait aucune difficulté, passant ses bras autour du corps d'André.
Allongés, André pose sa main droite sur le sein gauche de la fille, commence à le peloter. Il sent sous sa paume une dureté qu'il ne soupçonnait pas. En même temps le nichon est élastique et il le malaxe plutôt maladroitement et surtout brutalement.
Très vite sa main impatiente s'introduit sous le léger corsage, puis sous le bonnet du soutien gorge entrant enfin en contact avec la peau souple et agréable au toucher.
Gêné par les vêtements, il se débat avec, tirant le corsage vers le haut. Il bande de nouveau et son sexe est coincé dans une position peu agréable. Il bouge un peu et le replace dans une meilleure position.
La fille s'est aperçue du manège. Sa main vient se poser sur la grosse bosse du short. Elle descend puis remonte le long de la protubérance. Ses doigts serrent à présent la hampe majestueuse.
Libérant sa bouche, elle se met un peu en arrière, regarde André dans les yeux puis :
- C'est pas vrai !
André ne sait que répondre. Souriant niaisement il demande :
- Quoi ?
Elle détourne son regard qui vient se poser sur le short déformé. Les yeux brillants reviennent sur ceux d'André.
- T'es drôlement bien monté dis donc !
Et, un sourire vicieux au fond des yeux :
- Tu veux bien me la montrer ?
Devant l'hésitation du garçon, ébahi par une telle hardiesse, elle s'assoit et défait l'attache du short. Le tee shirt gène Eliane, elle le remonte et écarte les pans du short, la bite énorme apparaît aux yeux de la fille.
Bien qu'elle l'ait aperçue, de l'endroit ou elle se trouvait, elle ne pouvait pas voir exactement l'ampleur de la bite. Maintenant elle se rend compte du volume avec les yeux, la main et elle est abasourdie par la découverte.
Elle essaie de baisser complètement le short, André l'aide enfin. Se tortillant, il l'abaisse sur ses cuisses. Le tee shirt retombe, cachant le membre. La fille s'énerve.
- Enlève-le !
Il s'exécute.
- Enlève le short aussi, je veux la voir complètement !
André continue à suivre ses directives. Il est tout nu à présent, assis en face de la fille qui regarde entre ses jambes, les yeux exhorbités.
- Mon dieu qu'elle est belle ! C'est pas vrai !
André s'incline en arrière en s'appuyant sur ses bras et, les jambes légèrement remontées et largement écartées, il se laisse complaisamment admirer. La bite, dressée vers le ciel est agitée de soubresauts, démontrant une intense excitation.
Eliane pose à nouveau la main dessus, doucement, comme intimidée par un tel chibre. Ses doigts entourent la hampe mais sans parvenir à en faire complètement le tour. Insidieusement sa main descend jusqu'à arriver en bout de course. La bite est complètement décallotée.
Elle reste ainsi un petit moment, admirant la peau rougeâtre et la grosse veine sous le frein puis sa main remonte. A nouveau elle redescend, André respire plus fort, la bouche ouverte, ses yeux rivés sur son membre qui se fait doucement branler.
C'est la première fois que quelqu'un le branle et la sensation est fabuleuse. Eliane demande à mi-voix :
- Tu aimes ?
André la regarde, ses yeux sont à demi fermés, sa respiration s'est encore accélérée.
- Oui ! Ah oui, continue comme ça c'est bon !
Eliane demande encore :
- Dis-moi, on te l'a déjà fait ? Ou c'est la première fois ?
André hésite un peu, comprend qu'il ne peut pas tricher. Doucement il acquiesce d'un mouvement de tête.
- Tu es puceau alors ?
André rougit un peu plus et avoue d'une petite voix, honteux :
- Oui.
Eliane est aux anges. C'est son premier puceau, et en plus quel puceau ! Monté comme un âne et doux comme un agneau ! Elle ne pouvait espérer mieux. Excitée et folle de joie elle dit :
- T'as pas à avoir honte tu sais ! Et puis, je vais m'en occuper moi de ton pucelage, tu veux bien ?
André est on ne peut plus d'accord. La branlette que la fille continue de lui faire tout en parlant le rend fou. Il pousse des petits soupirs de contentement, sa poitrine se soulève de plus en plus fort.
Eliane s'est assise en tailleur devant lui, ses cuisses sont exposées au regard d'André mais il ne peut voir ce qu'il y a sous la jupe.
Eliane s'est aperçu de ses regards vers son entre-jambes. Avec un sourire vicieux, elle demande doucement :
- Tu veux voir ?
André ne répond pas mais ses yeux parlent pour lui. De sa main libre Eliane remonte doucement sa robe tout en soulevant une fesse après l'autre.
Sous le regard exhorbité d'André apparaît une toison épaisse brune et bouclée.
Elle ne porte pas de culotte. André pousse un gémissement de plaisir à la vue de ce spectacle.
Eliane passe sa main sur son sexe velu. Elle demande :
- Tu aimes mon petit chat ? Regarde bien.
Disant cela, elle écarte les jambes tout en relevant ses genoux, la main branlant toujours la grosse bite qu'elle sent vibrer de plus en plus fort.
Elle a enlevé sa main de sa chatte, exposant ainsi à la vue d'André un sexe déjà largement ouvert.
Les grandes lèvres sont très proéminentes et bien écartées de par la position des jambes.
André a les yeux qui lui sortent littérallement de la tête. Eliane est excitée aussi. Excitée par la bite qu'elle sent au bord de l'explosion et par l'excitation d'André qui voit pour la première fois un sexe de femme. Elle se retient de ne pas se branler, se concentrant au maximum sur le plaisir d'André. Elle demande encore :
- Tu aimes voir ma chatte ? Tu l'aimes ?
Sa voix tremblante de désir, trahit son excitation.
André a le visage déformé par le plaisir qu'il sent monter. Il respire de plus en plus vite en poussant des gémissements de plaisir de plus en plus fort. Il articule enfin :
- Oui ! Ah oui ! Oui elle est belle ta chatte ! Ecarte plus les jambes, je veux mieux voir.
Eliane est en équilibre instable. Elle pose sa main gauche derrière la nuque du jeune homme et, s'y agrippant, elle arrondit le dos, poussant sa chatte en avant, l'exposant encore plus à la vue d'André.
Il peut voir à présent les grandes lèvres se rejoindrent plus bas dans la raie culière. Le spectacle est trop beau, trop fort. Il n'en peut plus, sa bite durcit et semble grossir encore entre les doigts de la fille qui sent que l'éjaculation est proche.
- Oui ! Oui ! Vas-y, jouis ! Jouis avec ma main ! Viens !
André crie un grand coup et il se vide.
- Ahhhh ! Ah oui ! Oui ! Tiens ! Tiens ! Ahhhh !
André se met à décharger à grandes giclées. La première jaillit verticalement, passe entre leurs visages et retombe derrière la fille, la deuxième atterrit sur le visage d'Eliane ainsi que la troisième. Les dernières atterrissent enfin sur la poitrine et les jambes de la fille.
Eliane est bluffée par l'importance de la décharge. L'ayant vu se vider il y a moins d'une heure elle n'aurait jamais cru qu'il déchargerait autant.
Elle continue à branler la tige qui se dégonfle un peu, pressant fort pour faire sortir les dernières gouttes du liquide laiteux.
André reprend sa respiration, Eliane le regarde dans les yeux, heureuse de l'avoir fait jouir, et aussi d'être la première à le faire jouir.
Ils se sourient. Eliane arrête la branlette, libère le membre comme à regret. Celui-ci est à moitié dégonflé et se retrouve à l'horizontale. Doucement il continue de fléchir sous le regard d'Eliane et d'André qui admirent la tige qui se replie sur elle même. Ils ne disent rien jusqu'à ce que le membre vienne reposer sur les couilles imposantes et à nouveau vides tandis que le gland épais repose sur l'herbe épaisse.
Eliane reporte son regard sur le visage d'André. Elle est très excitée, et sent que sa chatte coule doucement dans la raie. Elle aussi a très envie de jouir.
- Alors comment c'était ? T'as aimé ma petite branlette ?
André finit de reprendre sa respiration. Soulagé, il sent superbement bien et heureux.
- C'était?, c'était super ! Super je te jure. Ah oui que c'était bon !
Eliane défait les boutons de son corsage qu'elle porte toujours. Elle s'aperçoit qu'il est taché.
- Zut, tu m'as bien arrosé dis donc !
Elle se débarasse de son corsage, se retrouve en soutien gorge. Les seins sont comprimés et les gros bouts ressortent en relief à travers. Avec un sourire vicieux, Eliane porte ses mains dans le dos, se bat quelques secondes avec les attaches, les yeux au fond des yeux d'André qui attend avec impatience.
Enfin elle ramène les pans du soutien gorge devant elle et se débarasse du léger vêtement.
André admire les deux gros globes qui se balancent doucement devant lui.
André a les yeux de nouveau hors de la tête. C'est la première fois qu'il peut admirer une poitrine de femme. Elle le laisse admirer ses seins qu'elle fait rouler en donnant des coups de torse à droite et à gauche.
A bout d'un moment, devant son silence, elle demande :
- Alors ? Comment tu les trouves ?
- Heu', c'est beau ! Ils sont magnifiques vraiment.
Eliane a posé ses mains sur ses seins, les caresse doucement, faisant au passage rouler ses tétons entre le pouce et l'index. André assiste à cette caresse sans rien dire, se régale de ce spectacle.
Eliane est de plus en plus excitée à présent. Les yeux mi-clos, elle gémit doucement tout en observant la réaction d'André. Elle continue encore un peu, demande :
- Tu veux me les caresser ?
Disant cela elle libère ses seins, pose sa main gauche derrière elle pour maintenir son équilibre, tandis que sa main droite vient se poser à plat entre ses jambes largement écartées.
André pose ses mains sur les gros nichons durs et moelleux à la fois. Il les caresse de son mieux, imitant ce qu'elle faisait. Il pince les bouts durs et bandés.
- Oui ! Pince les comme ça ! Pas trop fort ! Oui comme ça, c'est bon !
Pendant ce temps, La main d'Eliane monte et descend sur sa motte trempée. Des soupirs de satisfaction sortent de ses lèvres à demi ouvertes. Les yeux mi-clos observent la montée du désir chez le jeune homme.
La bite est en train de se tendre à nouveau, a déjà dépassé l'horizontale et est en train de se dresser vers le ciel. Cela ajoute encore à l'excitation de la fille.
- Ah oui ! Ah que c'est bon ! Ah je coule, je coule André ! Je coule regarde.
Le désir d'Eliane monte et elle commence à entrer dans un délire érotique. Ecartant sa main, elle s'écroule presque en arrière, retenue par son bras gauche, les jambes écartées au maximum.
Elle expose ainsi sa chatte trempée à la vue d'André qui est à nouveau fou de désir devant cette vicieuse.
En effet la raie du cul est trempée. Une mouille épaisse coule et colle les poils drus sur ses fesses.
- Regarde bien ! Regarde, regarde bien ! J'aime qu'on me regarde !
André ne fait que ça, regarder.
Eliane a repris sa masturbation. Sa respiration est rauque et de plus en plus forte. André, appuyé sur ses avant bras a la figure juste au-dessus du sexe de la fille. Il peut sentir les effluves fortes qui s'en dégagent. Eliane est tout près de la jouissance à présent.
- Je viens ! Je viens ! Oui ! Ouiii ! Ahhhh !
Et en criant, elle se masturbe de plus en plus fort sous les yeux d'André fou de désir.
Le rythme de la masturbation diminue doucement tandis que les cris se calment. Enfin elle s'arrête, écarte ses mains, laissant sa chatte exposée grande ouverte. André voit palpiter le sexe sous ses yeux et c'est un spectacle unique.
La fille ouvre les yeux, regarde en souriant le visage d'André qui se trouve a à peine vingt centimètres de son sexe. Totalement impudique, elle demande :
- Alors tu t'es bien régalé ? A me voir me branler je veux dire.
Il ne sait que répondre, regarde toujours, fasciné.
Eliane sourit encore plus. Elle attend la suite.
Doucement, timidement, André avance sa main et la pose sur le sexe trempé. Il déplace ses doigts sur la motte, les poils. De nouveau Eliane s'est mise à caresser ses nichons. Ceux ci, malgré la position allongée de la fille restent bien droits.
Le manège dure quelque temps puis, Eliane chez qui le désir monte, se redresse, s'appuie sur les genoux et contemple le manège du garçon. Elle décide de hâter les choses.
- Allonge toi sur le dos.
Il s'exécute immédiatement. Elle reste encore un moment à admirer le sexe tendu qui repose sur le ventre plat, dissimulant le nombril.
Elle rampe à genoux et vient s'assoir sur les cuisses musclées. André, les mains croisées derrière la tête regarde, attendant la suite avec impatience tout en admirant le corps de la fille. Elle le regarde lui demande :
- Tu es bien ?
- Oui, très bien.
Elle accentue son sourire, lui dit doucement :
- Je vais maintenant m'occuper de ton pucelage. Laisse toi faire.
Il ne demande que cela, l'excitation est à son comble et sa queue se redresse par petits mouvements puis retombe sur son ventre.
Eliane passe la main sous la bite qu'elle sent vibrer, l'attire vers elle.
Elle essaie de la redresser vers elle, de la mettre en position verticale mais elle se rend compte que cela ne va pas être possible tellement il bande dur. Admirative elle lui dit :
- Comme tu bandes bien ! Je n'arrive même pas à la redresser vers moi.
Elle s'avance encore, vient poser sa vulve ouverte sur la hampe. S'aidant de son bras gauche, elle pose sa main par terre tandis que la droite tient toujours la bite raidie, elle vient frotter son sexe ouvert sur la tige magnifique. Elle s'abaisse encore, son bouton bandé frotte lui aussi sur la bite.
André est aux anges, la sensation est formidable. Eliane sent le désir monter de plus en plus fort en elle. Elle creuse les reins le plus qu'elle peut, les gros nichons se mettent à bouger au dessus d'André qui ne sait plus quoi regarder, son sexe et le sexe de la fille collés l'un à l'autre, les nichons qui se promènent juste au dessus de lui.
Enfin il avance les mains, se saisit des deux mamelles, les caresse tout en pinçant les bouts tendus par le désir de la fille.
- Oui ! Oui caresse moi les nichons ! Ah que c'est bon ! Ahhh !
Eliane arrête son mouvement de va et vient au dessus de la tige. Elle s'assoit de nouveau sur les cuisses, déclenchant chez André un mouvement de déception. Elle s'en aperçoit, lui dit :
- Maintenant je vais te faire l'amour, je vais faire de toi un homme. Tu veux ?
- Oui ! Oui ! Vas-y !
Se mettant à genoux, elle se redresse, soulève sa jambe droite et, tout en maintenant la bite dans sa main droite, elle la présent à l'orée de sa chatte. André a les yeux hors de la tête tellement le désir est fort. L'instant qu'il attendait depuis longtemps, celui dont il n'arrêtait pas de rêver arrivait enfin !
Eliane s'abaisse doucement, le méat vient forcer l'entrée du sexe de la fille. Eliane respire fort, elle meurt d'envie de l'avoir au fond de sa chatte. Se mordant les lèvres sous l'effet du désir et aussi à cause de la taille du membre, elle se l'introduit enfin dans sa chatte parfaitement lubrifiée.
André voit son gland disparaître dans le con.
Eliane lâche alors la bite qui a trouvé son chemin. Posant ses deux mains de chaque côté du corps de son jeune amant, elle reste ainsi, tourne son regard noyé de désir vers André.
- Regarde ! Regarde, je vais te faire l'amour, je vais me l'enfoncer à fond ta grosse bite ! Regarde mon salaud !
La respiration de la fille est hachée, la bouche ouverte, elle est folle de désir. Lentement, tout regardant la tige, elle descend dessus. La bite s'enfonce peu à peu dans le con bien lubrifié, Eliane fait un peu la grimace.
- Bon dieu qu'elle est grosse ! Ah oui ! Ah qu'elle est bonne ! Ah oui tu m'éclates la chatte !
André est fou de joie. La sensation est merveilleuse. Il sent son chibre comprimé qui s'enfonce et la sensation est merveilleuse. Très vite la bite abute au fond du vagin.
Eliane redresse la tête, regarde André de ses yeux mourants de plaisir.
- Oui ! Oui elle est au fond Ah qu'elle est bonne ! C'est bon pour toi ?
- Oui ! Oui c'est bon ! C'est merveilleux !
Eliane change de position. Vicieuse, elle se met a croupetons, afin qu'André puisse bien voir la bite rentrer et sortir de sa vulve. Posant ses mains sur les épaules de son amant, elle lui dit :
- Regarde ! Elle dépasse encore, au mois dix centimètres, c'est incroyable ! Ah mon dieu !
Alors Eliane commence un mouvement de retrait, la bite luisante de mouille ressurgit du vagin déformé par la taille du monstre qui la pénètre. Le gland est presque visible lorsqu'elle replonge dessus, la faisant disparaître partiellement de nouveau. Cette fois ci elle va un peu plus vite et elle accélère le mouvement.
Leurs gémissements de plaisir s'amplifient, les nichons fabuleux dansent de plus en plus vite. André est fou de joie, de plaisir. Ses yeux sont fixés sur son sexe qui pénètre celui de la fille.
Eliane, le visage déformé par le plaisir intense crie pour de bon. La sensation est trop forte. Bien qu'expérimentée, elle n'a jamais ressenti autant de plaisir.
- Ah que c'est bon ! Ah que ta queue est bonne ! Ah oui ! Ah mon dieu je vais jouir ! Je vais jouir !
André sent lui aussi qu'il ne va pas tarder à se vider, la sensation est trop bonne, trop forte.
Eliane monte et descend à toute vitesse à présent tout en râlant de bonheur, la respiration courte, les traits déformés.
- Ouiii ! Ah ouiii ! Ahhh ! Ah ça y est ! Oui ! Oui ! Ahhhh !
Et adoptant une cadence folle, elle se met à jouir en gueulant. André qui n'en peut plus et bien incapable de se contrôler se met à jouir lui aussi. Pour la première fois de sa vie il ne peut voir l'importance de ses grandes giclèes.
- Ahhhh ! Ah ouiiii ! Ah oui ! Tiens ! Tiens pour toi salope ! Ahhhh !
Eliane en a fini avec sa jouissance quand elle ressent les giclées importantes dans son trou bien comblé par le chibre qui semble prêt à exploser.
- Oui ! Oui ! Vide toi en moi, salaud ! Ah comme je te sens bien ! Ah mon dieu ! Ahhhhh !
Et Eliane s'écroule sur le corps de son amant qui termine sa jouissance en soufflant comme un phoque.
Pendant quelque temps ils restent ainsi, récupérant leur souffle. André caresse le dos et les fesses de la fille qui apprécie. Au bout d'un moment elle dit :
- T'es incroyable tu sais ! En moins de deux heures tu as joui trois fois.
André, d'abord interloqué, lui rétorque :
- Pourquoi trois fois ?
Eliane réalise qu'elle s'est trahie. Se redressant, elle regarde son jeune amant en souriant de façon vicieuse et répond :
- Parce que je t'ai vu tout à l'heure.
Et devant son air ébahi, elle ajoute :
- Oui je t'ai vu te branler tout à l'heure, tout à fait accidentellement je dois dire.
Elle ajoute :
- Cela aurait pu être le contraire d'ailleurs. Je cherchais un coin tranquille pour faire la même chose que toi figure-toi ! A peine arrivée, je commençais à peine à me caresser que j'entends du bruit et que je te vois arriver.
Et elle éclate d'un rire nerveux.
André est bluffé. Lui qui croyait avoir pris l'initiative, il se rend compte que c'est elle qui mène les débats depuis le début. Cette fille semble avoir un sacré tempérament. Lui qui croyait la connaître, qui hésitait à l'aborder ! Il éclate de rire à son tour et demande :
- Et toi, qu'as tu fait tandis que tu me regardais comme une vicieuse.
Elle se mord la lèvre inférieure d'un air coquin, répond :
- Devine ? J'ai fait la même chose. C'était super et j'ai joui comme jamais en me branlant.
André lui avoue qu'elle l'a bluffé, ça fait longtemps qu'il la désirait mais qu'il n'osait pas, croyant qu'elle était pucelle et sérieuse.
- Moi qui te croyais sérieuse !
Elle rit à cette déclaration.
- Mais je l'étais il n'y a pas longtemps.
André voudrait en savoir plus. Il insiste.
- Mais comment peux tu être si?, si ?.
- Si salope ?
Et elle éclate de rire à nouveau.
André, honteux rétorque :
- Non, c'est pas ce que je voulais dire, je?
Eliane souriante le coupe à nouveau.
- Ne t'inquiètes pas ! J'aime faire l'amour et je revendique le titre de salope. Bon, qu'est ce que tu veux savoir au juste ?
- Heu, j'aimerai bien savoir comment ça s'est passé pour toi la première fois. J'aimerai bien connaître tes expériences, j'aimerai tout apprendre, tout savoir quoi !
Elle le regarde puis :
- Toi je crois que t'es un sacré vicieux.
Encouragé, il répond du tac au tac :
- Et alors ? C'est mal ?
- Oh non alors ! Au contraire !
Elle lui embrasse les lèvres puis, d'un air mutin elle lui demande doucement :
- Tu veux que je te raconte tout, c'est ça qui te ferait plaisir ?
- Oui
Un nouveau baiser appuyé puis, doucement, comme dans un murmure plein de sous entendus :
- D'accord. Je vais tout te dire. Mais attends un peu je sens que ça coule.
Elle se relève un peu, met sa main en conque sur son sexe ou le sperme dégouline.
Elle s'écarte d'André, se met à croupetons devant lui tout en écartant les jambes au maximum.
Le garçon se met sur le coté et admire le spectacle. Le sperme s'écoule par à-coups en longs filets blanchâtres. Eliane le regarde de temps en temps, le vice au fond des yeux.
Au bout d'un moment, plus rien ne sort de la chatte largement ouverte aux yeux d'André. Soudain elle se met à pisser. Un jet mordoré, dru sort en faisant comme un sifflement et arrose l'herbe à vingt centimètres d'André.
La miction dure longtemps, enfin elle s'arrête. Une fois de plus, André est bluffé par l'impudeur du geste. Prenant un mouchoir qu'elle avait préparé dans sa main, elle s'essuie la chatte.
S'approchant d'André, il lui nettoie la bite gluante de mouille et de sperme.
Souriante, elle vient s'allonger sur le corps de son amant, s'installe confortablement puis dit :
- Bon je commence.
Et Eliane se met à raconter.
Il y a quelque temps, au début de l'été, elle a découvert que sa mère avait un amant. C'était un employé forestier et elle s'était aperçue que celui-ci venait depuis quelques jours chez elle quand son père se trouvait dans les bois. Malgré leurs précautions, elle avait fini par repérer le manège.
Le jour suivant cette découverte, elle a fait semblant de quitter la maison comme à son habitude mais, après en avoir fait le tour, est revenue et s'est cachée dans une dépendance de la cour.
Le type est venu presque aussitôt et ils sont montés dans la chambre. Elle a attendu un moment puis, passant par la porte de derrière qu'elle avait pris soin de laisser entre baillée, elle est montée sans faire de bruit après avoir enlevé ses chaussures.
A peine arrivée en haut de l'escalier elle a commencé à entendre des gémissements qui n'étaient pas de douleur.
A côté de la chambre il y a un débarras qui communique également avec celle ci par une porte aujourd'hui condamnée. Se penchant, elle a collé son oeil au trou de serrure (elle avait repéré la veille que c'était la meilleure façon de tout voir ce qui se passait dans la chambre)
Ce qu'elle vit l'a excitée de suite. La porte en question se trouve sur le coté du lit, et à moins de deux mètres de celui-ci.
L'ouvrier forestier était en train de baiser sa mère. Celle-ci se trouvait sur le dos, sa tête se tournait de droite à gauche sous l'effet du plaisir. Eliane voyait la bite qui entrait et sortait du sexe avec un bruit de succion. Ils ne tardèrent pas à jouir en poussant des cris. Ensuite il s'est retiré, se sont mis à discuter tout en se pelotant. L'homme se trouvait de son côté, allongé sur le dos et elle pouvait voit la bite flasque reposant sur les couilles. Puis sa mère s'est relevée et mise à sucer la bite de l'homme qui la regardait faire, tout en lui caressant les nichons qui pendaient de par la position.
La queue n'a pas tardé à se redresser à nouveau.
Après un long moment sa mère s'est empalée dessus avec un grand soupir de bonheur.
- Elle montait et descendait, ses seins sautaient, le type les pelotait et elle criait de plus en plus fort.
Ils ont joui de nouveau, et le type s'est affalé sur ma mère en criant.
André a écouté d'un air intéressé. Il demande :
- Et toi, que faisais tu pendant tout le temps que tu regardais ?
Elle le regarde et dit ingénument :
- Je me suis branlée tout le temps. J'ai du jouir deux ou trois fois. Je serrais les dents, j'avais peur qu'ils m'entendent.
- Et ensuite ?
- Ensuite le gars s'est rhabillé, ils se sont mis d'accord pour l'heure du rendez-vous du lendemain et il est reparti. Le lendemain j'étais là également.
- Il y a combien de temps que ça dure ?
- Depuis plus d'un mois, mais ça avait du commencer avant je suppose.
André voudrait quand même en savoir plus, il demande :
- Mais c'est ce type qui t'a dépucelé ?
- Non, ça c'est une autre histoire. Attends la suite.
Elle semble réfléchir puis, l'air avec son air le plus vicieux :
- Tu te doutes bien qu'à force de voir ça tous les jours, de voir ma mère à moitié folle de plaisir, j'avais moi aussi envie d'y goûter. Je suis donc allée traîner là où des coupeurs de bois travaillent.
J'avais repéré l'amant de ma mère mais, bien sur, je voulais choisir quelqu'un d'autre.
Je passais mes journées à les surveiller, à tourner autour.
Un jour je me trouvais aux alentours, bien cachée dans un fourré épais quand j'ai vu un des hommes se diriger vers moi. J'ai d'abord cru qu'il m'avait vu, et je me demandais ce que j'allais pouvoir dire, mais non il avait simplement envie de pisser.
Il a sorti sa bite et s'est mis à pisser devant le massif derrière lequel j'étais cachée, accroupie. Le massif était dense en haut à cause du feuillage feuillage, mais les branches étaient plus clairsemées en bas. Donc il ne pouvait me voir. Le jet éclaboussait les branches et des gouttes passaient au travers et venaient atterrir à mes pieds.
J'avais peur qu'il me voie, mais en même temps j'aurai voulu qu'il me découvre tellement j'étais excitée.
J'admirais la bite. Bien qu'étant au repos, je la trouvais grosse, plus grosse que celle de l'amant de ma mère. J'aurais voulu que ça ne s'arrête jamais.
Il a secoué son sexe longtemps pour évacuer les dernières gouttes, l'a serrée dans sa main en faisant coulisser la peau. Je sentais qu'il aimait se toucher la queue.
J'ai même cru un moment qu'il avait détecté ma présence et qu'il voulait me faire profiter du spectacle le plus longtemps possible. Mais non, il l'a remise dans sa culotte et il est reparti.
Je suis retournée chez moi, courant presque. Là je suis montée dans ma chambre et je me suis branlée comme une folle en revoyant le spectacle dans ma tête.
L'après midi je suis retourné au même endroit. Enfin presque. Je me suis assise sur un arbre mort juste à coté du massif où j'avais surpris l'homme à pisser et je lisais un livre que j'avais pris soin d'amener, ou plutôt je faisais semblant.
Au bout d'un temps qui m'a semblé interminable, le type est revenu. Je l'ai entendu arriver et je faisais semblant de lire quand il m'a découverte. Comme j'étais placée il ne pouvait me voir qu'au dernier moment et il avait déjà presque sorti sa quéquette. Il est resté immobile quand il m'a vu, la main sur la braguette, étonné, ne sachant que faire.
Je lui ai dit bonjour en souriant et il m'a répondu en me demandant ce que je faisais là.
Je lui ai répondu que je lisais, mais j'ai bien vu qu'il n'était pas convaincu. Il a du comprendre à mon air effronté que j'attendais quelque chose, surtout que j'avais les yeux rivés sur la bite que j'entrevoyais.
Alors, tout en continuant à me fixer, il s'est rapproché, il s'est mis à environ un mètre de moi et il a fini de la sortir. Il l'a décallotée entièrement en tirant à fond sur la peau et j'ai vu le gland qui m'a semblé énorme apparaître, très rouge.
Il a commencé à pisser et je ne pouvais détacher mon regard de la queue qui se vidait juste à côté de moi et qui grossissait à vue d'oeil en se redressant.
J'avais une envie folle de la prendre dans ma main. Comme s'il l'avait senti, il s'est rapproché encore, et il est venu tout contre moi, à me toucher. D'une voix douce, il m'a dit :
- Vas-y, prends la dans ta main.
Il semblait que je n'attendais que ça. Comme dans un rêve ma main s'est posée sur la queue. Comme dans un rêve, je sentais le frémissement de la pisse. Puis ça s'est arrêté. Il a alors posé sa main sur la mienne et a commencé à imprimer un lent mouvement de va et vient.
Je sentais la bite augmenter de volume et durcir sous mes doigts. C'était fabuleux. La queue était complètement bandée, dressée vers le ciel et me semblait vraiment énorme. Il m'a alors demandé de relever ma jupe.
J'avais une culotte, il m'a demandé de l'enlever. Je l'ai lâché pour faire ce qu'il m'avait demandé. Il a dit de continuer tout en l'enlevant.
J'ai fait ce qu'il m'a dit tout en me contorsionnant. Il m'a alors demandé de m'allonger sur l'arbre. Là il m'a caressé un moment puis il est venu sur moi et m'a pénétrée d'un seul coup.
J'ai eu très mal, j'ai crié et il s'est arrêté. Il s'est retiré presque entièrement et il a alors compris que j'étais pucelle.
Il a hésité un peu puis, au bout d'un moment il s'est enfoncé à fond, doucement.
Je devais faire la grimace et il a tenu à me rassurer.
- Ne t'inquiètes pas, ça va bientôt être meilleur.
Puis il s'est mis à me baiser lentement. La douleur a peu à peu disparue et j'ai commencé à ressentir un grand bonheur.
Je râlais, mais il me disait de me taire. J'ai mis ma main devant la bouche et j'ai joui. C'est venu d'un seul coup et c'était bon.
Il était tout près de jouir quand il s'est retiré. La bite était toute pleine de sang et s'est mis à se branler. Très vite il a déchargé. Je voyais son sperme gicler et se répandre par terre.
Il m'a souri, a sorti un mouchoir de sa poche, s'est essuyé et m'a quitté en me disant de revenir le lendemain.
Je me suis essuyée comme je pouvais, puis j'ai jeté mon slip dans un coin et je suis rentré chez moi.
Le lendemain je suis retournée au même endroit, en m'arrangeant pour qu'il me voie. Il est venu me rejoindre aussitôt.
Comme la première fois il s'est collé tout contre moi et s'est mis à pisser. Sans qu'il ait besoin de me le dire je lui ai pris la bite dans ma main, il m'a remercié d'un sourire complice.
Il devait attendre mon arrivée car il avait une grosse envie, on aurait dit que ça n'allait jamais s'arrêter.
Je la sentais grossir et vibrer sous le jet de la pisse.
Il me caressait les fesses. Très vite il m'a demandé d'enlever ma culotte. Cette fois je n'ai pas laché la queue et je me suis débarassée de ma culotte au plus vite.
Il a tendu la main et je luia ai donnée. La prenant, il l'a portée à son nez, l'a respirée fort et longtemps. La pisse s'est arrêtée et il bandait très fort.
Il s'est assis sur l'arbre à califourchon sur l'arbre et m'a demandé de me mettre en face de lui. Il m'a alors demandé de le sucer. Je l'ai mis dans ma bouche, mais je ne savais pas bien m'y prendre. Il m'a alors pris la main, a mis mon index dans sa bouche et m'a fait voir comment il fallait faire, le faisant coulisser entre ses lèvres, enroulant sa langue autour de mon doigt, mimant la succion d'un bite.
Je me suis appliqué tandis que lui avait passé ses mains sous mon corsage, me pinçait les bouts des nichons.
Peu à peu il s'est mis à respirer fort et puis les contractions de sa queue se sont accentuées tandis que celle-ci grossissait et il s'est déversé dans ma bouche. Il avait posé sa main derrière la tête pour que je ne me retire pas.
- Vas-y, suce ! Suce salope ! Et avale tout !
Le jus m'arrivait par saccades et je m'appliquais à avaler sans m'étrangler tandis qu'il gémissait de bonheur.
- Ah oui ! Ahhhh !
Puis il m'a lâchée, m'a relevée et il m'embrassé sur la bouche, sa langue pénétrant très loin dans mon palais encore plein de sperme.
Enfin il s'est écarté, m'a dit que je l'avais sucé comme une pro et m'a demandé de m'allonger sur l'arbre.
Il m'a sucée à son tour. J'avais une furieuse envie de jouir et la caresse m'a amenée très vite à la jouissance.
Puis il s'est relevé, m'a embrassé et m'a donné rendez-vous pour le lendemain. Il a précisé :
- Ne mets pas de culotte, d'accord ?
Le lendemain je suis bien sur retournée au même endroit et sans culotte comme il me l'avait demandé. C'était la première fois que je me promenais dehors ainsi et j'avais l'impression que tout le monde s'en rendait compte. En même temps ça m'excitait un max et je courrais presque pour aller retrouver mon amant.
Cette fois il m'a demandé de lui sortir la bite. J'ai fait ce qu'il me demandait, me battant avec les boutons. Sa queue était déjà à moitié bandée et j'avais du mal à la sortir. Pendant ce temps il avait passé ses mains sous mon corsage et il me pelotait les seins. Puis il a relevé ma jupe et il a vu que je n'avais pas de culotte. Il a souri.
Il s'est mis un peu de côté et il m'a demandé de le décalotter. J'ai tiré sur la peau tandis que je la sentais durcir de plus en plus. Soudain il s'est mis à pisser, le jet faisant vibrer son sexe déjà bien tendu. Le jet allait loin dans les fourrés et je ne pouvais détacher mes yeux.
Quand la pisse s'est arrêtée il s'est assis sur l'arbre et a demandé de le sucer.
Mais je lui avais préparé une surprise.
A son grand étonnement, je me suis un peu reculée, et me suis accroupie en lui faisant face, prenant soin de bien relever ma jupe.
Puisqu'il aimait ça, se vider devant moi, j'ai pensé qu'il aimerait me regarder faire la même chose. J'avais une grosse envie, je m'étais retenue de pisser toute la matinée et je me suis vidée moi aussi devant lui, écartant les jambes le plus que je pouvais.
Il me regardait le sexe avec des yeux fous et j'étais super excitée. Tout en me vidant la vessie, je sentais la mouille qui commençait à couler de mon sexe.
Quand j'ai eu fini, il m'a dit de m'allonger sur l'arbre et il a commencé à me bouffer la chatte. Très vite j'ai joui, les mains devant ma bouche pour ne pas alerter les autres ouvriers. Il a continué de me bouffer le con encore quelques instants puis il s'est relevé et m'a attiré vers lui. Il s'est installé à califourchon sur l'arbre couché et il m'a guidé pour que je m'empale sur lui. Il me tenait sous les fesses et il me faisait monter et descendre sur sa bite dure. Il avait glissé un doigt dans mon cul et la sensation était incroyable. Très vite je me suis mise à jouir. J'avais la tête engoncée dans son épaule, je m'accrochais autour de son cou pour ne pas tomber et je le mordais pour étouffer mes cris. Il m'a laissé récupérer, me caressant toujours les fesses, puis je l'ai embrassé sur la bouche. Il était tout près de jouir et il m'a demandé de le sucer.
Je me suis levé, la bite était trempée par mon jus et je l'ai nettoyée avec ma langue avant de le branler avec ma bouche. Comme la veille il s'est vidé en grognant de plaisir.
On s'est embrassés pendant longtemps puis je suis partie, lui donnant rendez-vous pour le lendemain.
Eliane, regarde André, surveillant sa réaction. Celui ci est excité par le récit détaillé de la belle.
Elle demande :
- Tu penses que je suis une salope ? Que penses-tu de moi ?
Comme si soudain elle réalisait que son récit pouvait paraître inconvenant.
Il la rassure :
- Non, pas du tout ! Je t'admire au contraire, et puis tu m'excites un max avec ton récit, continue je t'en prie.
- C'est fini. Cela a duré environ une semaine puis il est parti dans un autre secteur et je ne l'ai plus jamais revu.
Eliane a fini son récit. André est estomaqué. Il la regarde, sonné par le récit de la fille.
L'histoire dépasse toutes les histoires de cul qu'il a pu lire dans les bouquins spécialisés. Il bande à nouveau comme un cerf.
Eliane pose la main sur la belle bite, la masse doucement.
- On dirait que ça t'a fait de l'effet dis donc !
- Si ça m'a fait de l'effet ! T'en as de bonnes toi ! Au fait, fais moi voir toi !
Disant cela il se met à genoux, et glisse sa main dans le con de la fille. Il est trempé, dégouline littérallement de mouille. Il promène la main les yeux dans ceux mourants de la fille.
Ils halètent, les yeux dans les yeux.
- Tu aimes ?
Elle respire de plus en plus fort, parvient à répondre :
- Oui ! Oh oui ! Et pour toi c'est bon ?
André est aux anges.
- Tourne toi vers moi, je vais te prendre en levrette !
Elle n'hésite pas, pivote sur elle-même. Le beau cul de la fille est devant lui. Sans hésiter, prenant sa bite dans une main, il vient la présenter à l'orée de la chatte.
Forçant, il se retrouve vite empalé dans le con trempé. La fille pousse un cri de bonheur tandis qu'il s'enfonce le plus loin qu'il peut.
Eliane a posé la tête par terre et gémit de bonheur.
André la laboure de grands coups de reins puissants. Eliane se met à crier de plus en plus fort à présent.
- Ahhh ! Ah oui ! Oui comme c'est bon ! Comme c'est bon, continue ! Continue ne t'arrête pas ! Ah oui ! Ah oui ! Ouiiii !
Et elle se met à jouir en criant sa jouissance. André continue encore un peu, surpris de la rapidité de jouir de la fille. Il s'arrête quand la fille est un peu calmée, restant planté au plus profond du trou déformé par la taille de son chibre.
Eliane se redresse, relève la tête.
- T'as pas joui ?
- Non.
Disant cela il se retire, s'assoit sur ses talons, la bite frétillante humide de mouille.
Eliane se retourne complètement, s'assoit sur le sol, les yeux à demi fermés par le plaisir ressenti. Elle comprend immédiatement le désir d'André qui la regarde d'un air brillant.
Se mettant à genoux, elle prend le chibre en main tout collant de sa mouille.
André se redresse un peu pour être à sa hauteur.
Ouvrant la bouche le plus qu'elle peut, elle l'avale, André pousse des grognements de plaisir.
- Oui ! Oui, suce moi bien ma salope ! Suce moi à fond !
André caresse la tête de la fille, le cou.
Eliane suce vraiment très bien et il sent le désir monter en lui.
- Oui ! Ah c'est bon ! C'est bon ! Ah oui ! Ouiii ! Ahhhh !
Il se répand en râlant dans la bouche de la fille qui continue à le sucer jusqu'à la dernière goutte. Enfin la bite arrête de se libérer et Eliane redresse la tête, la bouche barbouillée de sperme.
André l'attire vers lui et ils s'embrassent passionnément.
Eliane s'est bien gardée d'avaler tout le jus libéré par la queue et sa bouche en est pleine. Longtemps le sperme passe de bouche en bouche jusqu'à ce qu'enfin il soit complètement dilué par leur salive.
Ils ses désunissent alors et se regardant, ils éclatent de rire, un rire heureux de jeunes qui on bien joui et ont bien fait jouir leur partenaire.
Ils se rhabillent enfin et se disent au revoir, prenant rendez-vous pour le lendemain.