La balade sur les falaises d'Etretat

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Proposée le 4/01/2011 par evasion971

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On se baladait autour des falaises d'Etretat afin de goûter aux charmes de ce site naturel grandiose et de respirer des saveurs marines. Depuis la plage d'Etretat, bordée d'une digue-promenade on pouvait apercevoir la falaise d'aval et son Aiguille. Nous avons emprunté des escaliers de cent quatre-vingt marches, taillés dans la roche crayeuse de la falaise afin d'atteindre le sommet. Une fois arrivée tout en haut, nous avons été séduits par la magie de ce lieu unique : admirer une vue panoramique sur Etretat et la falaise d'Amont, découvrir l'Aiguille creuse située à proximité de la Porte d'Aval, et contempler également la falaise de la Manneporte dont l'arche était très imposante. Au pied des falaises coiffées d'un gazon verdoyant, on pouvait observer la plage de galets grisâtres où les vagues roulaient sur les fins galets, l'écume blanche semblait danser par le flux et le reflux des vagues. Quelques embarcations traditionnelles alanguies sur les galets étaient alignés en attendant la marée. Au bord de la falaise, le précipice était vertigineux. La mer semblait s'étendre à l'infini. Le ciel était bleu azur, le soleil éclatant. Les rayons de soleil pénétraient nos corps et nous enveloppaient de sa chaleur. Je me tournai vers elle et la regardai. Elle était belle. Elle lâcha et écrasa la cigarette qu'elle portait à ses lèvres. D'un coup, elle me fixa et me dit :

« Je suis heureuse ! C'est que du bonheur d'être avec toi ! »

Et, ajouta d'un battement de cils : « Je vais mettre toute mon ardeur à te montrer mon amour. »

C'était le signal, j'avais immédiatement compris ce à quoi elle pensait et il valait mieux pour moi qu'elle ne restât pas sage. Elle s'agenouilla sur l'herbe et débraguetta mon pantalon sous tension. Elle caressa mon sous-vêtement bombé par l'érection. Puis, elle glissa sa douce main coquine dans mon caleçon et sortit mon membre emprisonné. Elle goûta la chose par des baisers gourmands et des caresses audacieuses. J'ai vu alors ses lèvres douces toucher mon gland, sa langue mouillée, enrouler mon sexe, sa bouche chaude et accueillante, stimuler l'objet de son désir. La sueur perlait à son front lisse, ses yeux brillaient d'un étrange éclat, elle avait le regard lubrique, son visage s'illuminait, sa bouche s'humidifiait. Je m'accrochais à sa tête pour lui caresser les cheveux et la lui faisait bouger au rythme que j'aimais. Avec une sensualité heureuse et sans culpabilité, ses caresses infinies, je sentais grandir en moi ma virilité. Elle lubrifiait sur toute la longueur de mon pénis. Elle se délectait de ma verge tel un cône de crème glacé. Entre ses lèvres, je percevais, la chaleur du désir, de la passion et de la luxure de ma partenaire. Ma colonne de chair était caressée, pressée, serrée, remuée, malaxée, tordue, avalée, sucée ; son regard était chargé d'avidité. Je la voyais se gaver de tout ce que je lui donnais. Elle était très gourmande cet après-midi.

Et moi, embrasé par la divinité et catapulté vers les étoiles, je montais. La jouissance, ce passage a mi-chemin entre la Naissance, la Vie et la Mort ; le Ciel, la Mer et la Terre ; le Paradis, le Purgatoire et l'Enfer. J'avais un sentiment de toute-puissance, de sensations inégalables debout sur la falaise. Je fus quelques instants pénétré de cette pleine lumière drapant la falaise d'un voile rouge-orangée.
Elle se releva, me sourit avec ses lèvres barbouillées de mon nectar crémeux. Je crois qu'elle a tout avalé. Cette déesse a eu l'air d'avoir pris beaucoup de plaisir. Je refermai mon pantalon et m'assis près d'elle. Elle extirpa une cigarette de son paquet, et la posa délicatement à ses lèvres charnues. Elle claqua son briquet, une flamme jaune et bleue jaillit. Elle ralluma une cigarette et m'envoya un sourire diabolique d'où s'échappa une bouffée. Je lui roulai une pelle et sentais le goût légèrement salé et un peu suret de ma semence.