Une soirée au chalet

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Proposée le 3/01/2011 par soed18

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Nous sommes au chaud dans un chalet de montagne, la cheminée et les quelques bougies ne suffisent pas à rendre la pièce éclairée. Le repas est bon et nous avons trop bu de vin. Alors que le dessert n'est pas fini, tu te lèves et me regardes avec tes yeux coquins. Sensuellement tu t'effeuilles devant moi, mes yeux profitent d'un spectacle inédit. Les faibles et irrégulières lumières accentuent tes courbes par un jeu d'ombres. Sensuellement tu te dénudes pour devenir l'objet de mes désirs. Après quelques minutes d'ondulations lascives te voilà vêtue d'une simple lingerie que je découvre avec stupeur. Ces tissus soulignent avec un goût exquis ta beauté, ta sexualité et développent tout mon imaginaire.
Alors que mon désir ne cesse de croître, tu t'approches de moi en te déhanchant nonchalamment, lentement tu montes sur la table pour t'asseoir sur la table, les jambes offrantes, face à moi. Mon corps est déjà aux aguets, je cherche à t'embrasser les cuisses mais tu me repousses aussitôt. Tes mains entament le parcours long et progressif de ton corps.
Voilà que l'être de mes désirs est devant moi, comme une proie fière de l'être. Prête à être consumée, qui aime attirer les désirs et qui souhaite me faire languir. Mais je dois t'attendre, c'est à la proie de décider quand elle sera prise.
Pendant que ta main droite frôle tes hanches, l'index de ta main gauche disparaît entre tes lèvres pulpeuses, tu lèches ce doigt de façon si sensuelle que je rêverais de dévorer ta bouche de ma langue. Ta main libre remonte pour faire descendre une bretelle, ton épaule est nue, appelant tout mon corps à venir l'embrasser. Puis tu tires chaque bonnet afin de me dévoiler tes seins durs et tendus. Tu libères ton doigt afin de caresser tes jolies auréoles, elles brillent par ta douce et brulante salive que ton doigt répand. Ton doigt repart explorer le fond de ta bouche, la douceur de ta langue, puis tu repars à l'assaut de tes tétons. Tu réitères ces caresses humides jusqu'à ce que tes auréoles brillent entièrement, jusqu'à ce que tes seins n'en puissent plus. Alors tu saisis chaque pointe entre l'index et le pouce pour la faire délicatement rouler. Le spectacle me saisit, ma gorge est sèche et mon corps frissonne.
Ce plaisir ne te suffit pas, tu en veux plus. Tes mains descendent alors le long de tes flancs comme deux barques qui suivent le courant, laissant le bout de tes doigts en contact avec ta peau. Le courant s'arrête à tes cuisses pour virer vers l'intérieur. Cette partie si douce, si sensible, si blanche, si pure. Tu rougis, est-ce de plaisir ou par timidité je ne saurais le dire. Ta respiration se fait plus profonde, nous savons où tu veux en venir. Tes doigts quittent ta peau pour monter sur ta lingerie, tu effleures très légèrement ta fleur, tu fermes les yeux et respires profondément. Tes doigts se font de plus en plus précis, sont de plus en plus entreprenants aussi. On devine alors les somptueuses courbes de ton sexe, trois doigts appuient plus fortement sur cette zone, tu trembles et respires fort. Ta main quitte brusquement ton entre-jambe pour être dévorée par ta bouche, je découvres alors avec stupeur que ta culotte est tachée de ton plaisir. Cela amplifie au centuple mon excitation. Puis ta main revient explorer ton pubis par-dessus cette belle lingerie mais au bout de quelques instants ta main glisse furtivement sous le tissu pour reprendre aussitôt son mouvement. Je peux imaginer sans aucune peine tes doigts presser les lèvres turgescentes et humides de ta fleur. J'aime ce plaisir que tu te procures, que tu nous procures. Tu t'attardes sur le haut de tes lèvres, tes mouvements sont moins amples mais plus rapides, ton ventre se contracte puis soudain, tes doigts plongent plus bas. Je ne peux plus deviner la forme de tes doigts sous ta lingerie, mais je peux imaginer le parcours profond de ces doigts explorateurs. Ton autre main retire ton soutien gorge puis ôte progressivement ta culotte puis me la jette au visage. Elle est trempée ! J'aime cette odeur de miel que je désire temps. J'admire tes doigts qui plongent et reviennent à chaque fois un peu plus humides. C'est excitant de te voir ainsi. Toi aussi tu es excitée car tu trembles de plus en plus fort, ta respiration se transforme en gémissement, tu ne tiens plus assise, ton ventre se contracte, tu gémis, non tu hurles maintenant, tu bloques ta respiration, tes gestes sont saccadés, tu hurles ton plaisir et tu jouis. Je ne peux m'empêcher de sourire en te voyant si belle, si chaude, si lascive et si conquise.
Tu m'embrasses alors passionnément, ta langue est fougueuse, ta bouche entreprenante, tu me dévores littéralement. Tes lèvres quittent les miennes pour être remplacées par tes doigts, tu me fais sucer méticuleusement chacun de tes doigts encore trempés par ton plaisir, c'est doux, c'est chaud, c'est bon'
Tu saisis alors un peu de mousse au chocolat que tu étales sur mon cou, tu te jettes alors littéralement sur mon cou, qui subit avec plaisir tes assauts. Ta langue dévore ma nuque puis remonte pour mon plus grand supplice au lobe de mon oreille. Pendant ce temps, un de tes doigts repars plonger dans la mousse au chocolat, tu te redresses et me fait sucer ce doigt au chocolat. Une fois ce doigt méticuleusement lavé, tu attrapes la bouteille de champagne pour m'en faire boire, puis après quelques gorgées tu te fais boire aussi. Une fois ta soif satisfaite, tu ne lâches pas la bouteille. Tu la plaques contre ta poitrine, le contraste de température fait tendre tes tétons comme jamais.
Tu t'accoudes, puis renverses très délicatement la bouteille afin qu'un très petit ruisseau coule le long de ton ventre. La gravité fait le reste, le liquide descend entre tes seins, contourne ton nombril pour aboutir sur ta fleur. Puisque tes cuisses sont toujours écartées je peux admirer ce liquide plonger dans tes profondeurs avant de ressortir goutte à goutte. Comme cette vision est excitante et troublante. Mais je ne peux en profiter bien longtemps car tu m'offres un bien plus grand plaisir, tu saisis mes cheveux pour tirer mon visage jusqu'à ton sexe. Je goûte alors à ce jus si nouveau pour moi. Un savant mélange entre le liquide froid, pétillant et sucré du champagne avec la chaleur onctueuse de ton nectar. C'est bon et je n'en perds pas la moindre goutte. Dès que le ruisseau s'assèche tu renverses quelque peu la bouteille et mon bonheur continue. Je suis ivre, ivre de champagne, ivre de ton sexe, ivre de ton nectar et ivre de plaisir. De longues minutes passent avant que la bouteille ne soit vide, je finis par dévorer ton tendre bouton jusqu'à ce que tes hurlements me satisfassent.
Après quelques minutes d'attente lascive, tu te lèves pour te diriger sur le tapis disposé devant l'âtre de la cheminée. Ton regard ne peut dissimiler tes intentions, je me lève à mon tour et te rejoints, tu me déshabilles et finis par t'allonger sur le ventre les jambes légèrement repliées. Ton désir est clair et c'est avec une grande émotion que je me place derrière toi. Tu m'accueilles avec aisance en toi, tu es brulante et il ne te faut que quelques secondes pour que mes lents assauts aient raison de toi. Tu jouis comme tu le fais si bien. Alors je continue à te consumer, toujours lentement mais profondément. Mon plaisir est bref aussi, je suis trop excité, heureusement tu jouis une dernière fois en même temps que moi. Nos corps sont à l'unisson, je m'agrippe à tes hanches pour jouir et t'offrir toute ma semence. Je reste en toi et nous nous endormons, toi encore chaude et moi encore dur?