Sensuelles vacances I

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Proposée le 29/12/2010 par Salvatore

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Les retrouvailles.




Personnages :
Monique : 52 ans, mère de Germaine.
Germaine : 34 ans, fille de Monique, épouse de Julien et mère de Michel.
Julien : 40 ans époux de Germaine, père de Michel et gendre de Monique.
Michel : 15 ans fils de Julien et Germaine.



Samedi 01 août

Les aiguilles de l'horloge de la salle à manger semblaient figées. Jamais Monique n'avait trouvé le temps si long. Allant et venant tel un fauve en cage dans cette demeure qui lui semblait soudainement immense, ses pas la ramenaient inexorablement devant la porte fenêtre donnant sur le perron de la villa. La rue desservant le cottage demeurait désespérément vide. Alors que pour la centième fois, elle se dirigeait en direction de son poste de guet, la sonnerie du téléphone la fit sursauter. Le c'ur battant, elle décrocha le combiné, espérant avoir des nouvelles de ceux qu'elle attendait.
- Allo Monique, c'est Lucienne. Ils sont arrivés ?
- Non pas encore? Pourvu qu'il ne leurs soient rien arrivés'
- Mais non, que vas-tu penser? Ils ont dû trouver du monde sur la route? Paris n'est pas à coté? Je suis sure qu'ils ne vont pas tarder maintenant? Tu m'appelles lorsqu'ils seront arrivés.
- D'accord. Tu es gentille?
- C'est tout à fait normal que je m'inquiète pour toi? Tu me manques déjà? Tu crois que tu ne pourras pas venir me voir, lorsque tes enfants seront là? Tes baisers me manquent?
- Moi aussi, tu me manques tu sais' Tu me donnes tellement de plaisir ma chérie? Moi aussi j'ai hâte de me retrouver dans tes bras'
Un coup de klaxon fit sursauter Monique.
- Les voilà, s'exclama-t-elle dans le combiné à l'attention de son amie? Je te quitte. Je t'embrasse tendrement?
- Moi aussi je t'embrasse? J'embrasse surtout ta merveilleuse minette?
- Oh oui? J'aime quand tu me broutes le minou' Moi aussi, je pose mes lèvres sur petit colibri? A bientôt?
Raccrochant vivement le combiné, l'esprit quelque peu perturbé par sa conversation téléphonique, Monique s'empressa de se rendre sur le perron pour accueillir les nouveaux venus.
De la « Mégane » garée devant la maison, elle vit avec émotion sa fille en sortir, s'élancer dans sa direction, gravir en courant les cinq marches du perron, pour se jeter dans ses bras.
- Oh Maman, comme je suis heureuse?
- Pas tant que moi, réussit à bégayer Monique, des sanglots dans la voix? Enfin tu es là?
Tendrement enlacée la mère et la fille se laissèrent emporter par l'émotion. Leur tête posées sur l'épaule de l'autre, elles laissèrent les larmes couler sur leurs joues.
Germaine était née et avait grandi dans cette somptueuse villa nichée dans un quartier résidentiel de Martigues, à quelques centaines de mètres de la plage. Mais pour cause professionnelle, elle avait dû s'expatrier à Paris où elle avait fait sa vie. Elle y avait rencontré Julien, qu'elle avait épousé. De cette union un garçon leur était né, Michel, qui aujourd'hui attaquait sa quinzième année.
Or trois ans auparavant le malheur était venu frapper la famille ; victime d'une crise cardiaque, Marcel le mari de Monique et père de Germaine avait succombé à l'âge de cinquante-huit ans. Pour Germaine le décès de son père qu'elle adorait avait été un choc terrible. Prenant alors conscience de la fragilité de la vie, elle avait, avec l'accord de son mari, décidé que dorénavant ils passeraient leurs congés d'été près de sa mère, afin de lui offrir ce maximum de tendresse qu'elle était en droit d'attendre. Avocate à la Cour, spécialisée en droit de famille, Germaine passait énormément de temps dans les tribunaux, au détriment de sa vie familiale. Et le fait de venir se ressourcer auprès de sa mère, dans la maison où elle avait tant de souvenirs heureux, ne pourrait que lui apporter un apaisement salutaire.
- Hé bien et moi on m'ignore ! On n'est pas contente de voir son gendre adoré !
Les valises à la main, Julien suivit de son fils aussi chargé que lui, tenta de mettre un peu de gaîté dans ces retrouvailles émues.
Abandonnant l'épaule de sa fille, Monique les yeux pleins de larmes, enlaça tendrement Julien avec lequel elle avait toujours eut une relation pleine de tendresse.
- Mon cher Julien, vous savez combien je vous aime. Je suis contente de vous accueillir? Vous verrez comme je vais vous gâter?
Monique ignorait à ce moment combien ses paroles étaient prophétiques. Découvrant Michel jusque-là caché par son père et qui la regardait avec tendresse, Monique s'empressa de l'attirer contre elle.
- Tu es là aussi mon chéri, murmura-t-elle en passant une main caressante dans la chevelure de l'adolescent? Comme tu as grandi !... Te voilà devenu un homme maintenant?
A quinze ans, grâce aux différents sports pratiqués, Michel avait acquis un corps particulièrement développé, ce qui le vieillissait légèrement... D'une taille au-dessus de la moyenne ; un mètre soixante-dix, les cheveux châtains tirant sur le blond, légèrement ondulés et portés mi longs, attiraient le regard des filles et même quelque fois de leurs mères. Le visage ovale, comme son père, les yeux bleu ciel cerclés d'une couronne plus foncée de sa mère, un regard d'une extrême douceur sous des sourcils bien dessinés, un nez droit et mince et une bouche aux lèvres minces qui dénotait chez l'adolescent un caractère déterminé.
Chassant l'émotion qui l'avait gagné lors de ces retrouvailles, Monique retrouva ses obligations d'hôtesse.
- Vous pouvez monter vos valises dans vos chambres, puis vous viendrez boire un coup, signifia-t-elle à l'attention de Julien' J'ai mis quelques bouteilles de rosé au frais pour votre arrivée? Celui que vous aimez mon cher gendre?
- Vous êtes un amour, belle-maman. Je me dépêche de déposer nos valises et j'arrive? Tu me suis Michel !


Lorsqu'il descendit des chambres situées au premier étage de la maison, suivit de son fils, Julien trouva sa femme et sa belle-mère installées côte à côte sur le divan, placé au centre du large salon. Entre le sofa où avaient pris place les deux femmes et les deux fauteuils de cuir, vides, se trouvait une table basse aux pieds forgés. Sur le plateau de marbre blanc étaient posés quatre verres, une bouteille de rosé et un tire-bouchon en cep de vigne.
- Ah, Julien, nous vous attendions pour ouvrir la bouteille? Vous avez vu elle vient de la cave de St Julien les Martigues, je l'ai choisi spécialement pour vous.
- En effet j'ai vu' Vous me gâtez belle-maman !
- C'est bien normal, vous savez bien que vous êtes mon gendre préféré.
- Pourquoi, tu en as d'autre ? S'exclama Germaine amusée.
- Bien sûr que non, c'est bien pour cela que ton mari est mon préféré?
- Vous êtes un amour belle-maman. C'est vous que j'aurai dû épouser?
Après avoir retiré délicatement le bouchon de la bouteille, Julien remplit les quatre verres qu'il fit passer en commençant par sa belle-mère.
- Alors à la vôtre belle-maman !
- A la vôtre Julien et à la tienne ma chérie.
Leur verre à la main, Germaine et sa mère reprirent leur discussion, oubliant la présence de Julien et de Michel ; elles avaient tant de chose à se raconter.
Tout en sirotant son rosé, Julien contempla plus particulièrement Monique. Depuis son arrivée quelque chose chez sa belle-mère le préoccupait. Il y avait quelque chose de changé chez elle, sans qu'il ne puisse vraiment définir quoi ! Écoutant d'une oreille distraite la conversation des deux femmes, il focalisa son regard sur la mère de sa femme, agacé de ne pas trouver ce qui le tracassait depuis son arrivée. A observer sa belle-mère, il dût admettre qu'à cinquante-deux ans, cette dernière était encore une belle femme ; elle avait gardé une silhouette avenante, que bien des femmes plus jeune qu'elle, lui aurait enviée. Ainsi assise côte à côte, la mère et la fille offraient un portrait de famille idéal. Les deux femmes possédaient le même visage rond aux pommettes saillantes, dues certainement à un gène d'un ancêtre asiatique. Les mêmes yeux allongés en amande confirmaient ce type de race. Si Monique possédait des yeux de couleur noisette, Germaine par contre avait hérité des yeux bleus de son père, des yeux bleu clair tirant sur le vert-violet suivant l'humeur du moment. Coté chevelure, si Germaine possédait une longue crinière blonde qui lui tombait sur les épaules, sa mère avait opté pour une coupe plus courte ; blonde également mais avec quelques mèches blanches artistiquement placées. Le même petit nez retroussé donnait aux deux femmes le même air malicieux, ce qui faisait leur charme. Monique ne pouvait renier sa fille, c'était son portrait craché avec quelques années de moins. Même leurs sourires étaient identiques, la même façon de dévoiler entièrement leurs dentitions, qu'elles avaient petites et parfaitement alignées, comme deux rangées de perles nacrées. Germaine possédait peut-être des lèvres plus charnues que celles de sa mère. Des lèvres faites pour les baiser et certaines caresses buccales, dont elle était passée experte au fil des années.
A cette pensée, Julien ne put s'empêcher de se poser la question de savoir si Monique, du temps de sa jeunesse avait été une amoureuse aussi passionnée que sa fille. La jeune fille naïve et innocente qu'il avait épousée quinze ans plus tôt, du fait qu'elle s'était retrouvée enceinte, s'était au fil des années transformée en une amoureuse des plus passionnées. Elle qui dans les premiers mois de leur mariage se contentait de subir les désirs de son mari, les acceptant d'ailleurs de bon gré, se montrait aujourd'hui insatiable lors de leurs ébats. A tel point qu'aujourd'hui Julien avait bien du mal à satisfaire sensuellement sa volcanique épouse. Leurs ébats amoureux devenaient très vite des joutes sexuelles où Germaine se faisait un honneur à lui vider littéralement les couilles, ne cessant le combat que lorsqu'il était à cours de munitions.? Monique se conduisait-elle pareillement avec son mari ?
Julien en était à se poser ces questions grivoises au sujet du comportement amoureux de sa belle-mère, lorsque soudain cette dernière se pencha pour déposer son verre sur la table de salon. Comme elle se réinstallait confortablement contre le dossier du canapé, Julien eut soudainement la réponse à ses questions. Dans le mouvement qu'effectua Monique, le léger corsage, dont elle était vêtue se gonfla outrageusement au niveau de la poitrine. Deux bosses rondes et bien distinctes déformèrent le fin tissu. Tout devint alors extrêmement clair pour Julien. Déjà à leur arrivée, alors qu'il suivait sa belle-mère à l'intérieur de la villa, son regard avait été attiré par les hanches évasées de cette dernière, particulièrement mise en valeur par une jupe extrêmement serrée.
A la mort de son mari, survenu trois ans auparavant, Monique complètement déstabilisée par l'intense douleur ressentie, avait immédiatement pris le deuil. Elle ne revêtit plus que d'affreux vêtements sans formes qui la faisaient ressembler à un fantôme. Germaine avait bien essayé de conseiller sa mère sur cette coutume passée de mode, sans obtenir le moindre résultat. Monique s'entêta à s'habiller de la sorte, allant même jusqu'à porter une voilette chaque fois qu'elle se rendait au cimetière. Lors de leur dernière visite, qui remontait aux fêtes de Noël, sa belle-mère autant qu'il s'en souvenait, était encore vêtue de noir et elle les avait accompagnée ainsi vêtue à la messe de minuit?
Et soudain Julien venait de se rendre compte qu'aujourd'hui Monique était vêtue à la dernière mode, limite même sexy. Ayant enfin résolu le problème qui le perturbait depuis son arrivée, Julien entreprit alors de détailler plus particulièrement sa belle-mère. Quelques détails qui lui avaient échappé jusqu'à présent lui apparurent soudainement. D'abord sa coiffure : Les mèches blanches artistiquement disposée étaient sans aucun doute l'?uvre d'un coiffeur habile. Le fard d'un rose pâle qui colorait les paupières était nouveau et donnait au regard de Monique une expression des plus mystérieuse, ingénue et perverse en même temps. Son rouge à lèvres avait aussi changé, il était plus rouge, plus brillant, plus agressif. Si bien que lorsque Monique faisait la moue, ce qui lui arrivait souvent lors de la discussion, ses lèvres ressemblaient un fruit rouge que l'on avait envie de mordre.
Ecoutant d'une oreille distraite la conversation des deux femmes, Julien continua son examen sur la personne de sa belle-mère. Après le visage qui lui avait livré ses secrets, son regard descendit jusqu'aux renflements éloquents qui déformaient le devant du léger corsage, sur lesquels il se concentra. Son épouse Germaine possédait des seins étonnamment ronds et encore fermes, qu'il avait pris l'habitude de comparer à deux petits melons. Est-ce qu'elle tenait cette particularité de sa mère ? A quoi pouvait bien ressembleraient les seins de Monique ? Subitement Julien se prit à fantasmer sur le corps de sa belle-mère ; chose qui ne lui était jamais arrivé depuis qu'il avait fait sa connaissance ; depuis qu'il était entré dans la famille, quinze ans auparavant.
Comme dans un songe érotique, Julien se désintéressant du bavardage des deux femmes, s'enferma dans une bulle faite de pensées érotiques. Il tenta d'imaginer sa belle-mère débarrassée de ses vêtements. Evoluant dans le salon dans le plus simple appareil, rien que pour lui, s'offrant sans aucune pudeur à ses regards. Certes, il était conscient que les deux bosses qui déformaient le fin chemisier devaient leurs volumes et leurs maintiens aux balconnets d'un soutien-gorge quelque peu renforcé. Il était évidant que Monique ne devait plus avoir les seins aussi fermes que ceux de sa fille. Mais cela n'était pas pour spécialement déplaire à Julien, car comme beaucoup d'hommes, il appréciait ces seins lourds qui tombaient légèrement tout en gardant une certaine fermeté, cela les rendaient encore plus sensuels à ses yeux. Avec l'âge, Monique avait certainement pris un peu de ventre, comme toute femme ayant dépassé la cinquantaine, mais sa jupe étroite qui dessinait avec précision ses formes rebondies ne le soulignait pas tellement, preuve qu'il ne devait pas être si important. Par contre ce que la jupe laissait deviner et dès son arrivé Julien l'avait remarqué, c'était la forme évasée des hanches et le rebondi de la croupe. De ce côté-là, Monique avait l'air d'avoir été particulièrement fournie par la nature, beaucoup plus que sa fille. Julien s'imagina combien ce devait être excitant de refermer ses doigts dans les chairs généreuses de ces hanches pulpeuses. Lors d'un accouplement dit en levrette, sentir son ventre venir frapper cette croupe épanouie, tendue par la position, devait apporter un summum de sensualité à l'acte sexuel. A cette pensée, une question vint automatiquement à l'esprit de Julien ! Est-ce que sa belle-mère avait accepté d'être prise de ce côté par son mari ? S'était-elle prêtée de bonne grâce à ce type de pénétration, ou son époux l'avait-elle forcé à accepter son membre dans l'orifice de ses fesses ? Sa fille n'avait quant à elle, montrer peu de résistance pour se laisser investir par son pal de chair, malgré la crainte que lui avait inspiré la longueur de sa virilité.
Mais ces nouvelles questions que son subconscient se posait au sujet des préférences sexuelles de sa belle-mère, amenèrent Julien à éprouver une forte impétueuse montée de désir, qui se répercuta aussitôt à son sexe. A l'intérieur de son slip son membre viril se gonfla, se dilata en une formidable érection. Alors de nouvelles images érotiques défilèrent dans son esprit perturbé par ce soudain désir. Comme dans un songe, il imagina sa belle-mère agenouillée devant son mari, maintenant ses fesses opulentes largement écartées, offrant ainsi l'orifice de ses intestins à son époux. Le désir de cette croupe appétissante se fit impérieux dans son esprit troublé ; pouvoir plonger son membre au plus secret de l'orifice anal de sa belle-mère devint soudain un besoin impératif pour Julien. Le fait de vouloir enculer sa belle-mère, la mère de sa femme, le bouleversa à tel point qu'il sentit sa verge palpiter dangereusement à l'intérieur de son slip.
- Julien'
- Chéri !...
Les voix jointes de son épouse et de sa belle-mère tirèrent brutalement Julien de ses songes érotiques.
- Eh bien chéri où étais-tu ? Maman voudrait bien que tu lui resserves à boire !...
- Excusez-moi belle-maman, un petit moment d'assoupissement. Voilà je vous sers immédiatement?
- Ce n'est pas grave, je comprends qu'après un tel voyage vous devez être fatigué? Mais ce n'est pas une raison pour laisser votre belle-mère mourir de soif, taquina Monique, inconsciente d'avoir été la raison des rêveries de son gendre?
Remplissant vivement les quatre verres, Julien tendit le sien à Germaine qui se trouvait le plus près de lui et dût se lever de son siège pour offrir le sien à Monique.
Observant son gendre faisant le service, Monique demeura soudain stupéfaire. A quelques centimètres de ses yeux, la braguette de son gendre s'ornait d'une incroyable protubérance. Malgré son étonnement, Monique sut immédiatement à quoi attribuer cette inconvenante excroissance. Julien était victime d'une magistrale érection. Ce fait parut tellement incroyable à Monique, qu'elle mit quelques secondes à reprendre ses esprits et à prendre le verre que son gendre lui tendait. D'après ce qu'elle en pouvait juger par l'énorme saillie qui déformait le devant du pantalon, Julien devait être particulièrement monté ; la nature ne l'avait pas oublié. Une question s'imposa alors à son esprit : Comment son gendre, si discret pouvait-il se trouver dans un tel état ? Comment se faisait-il qu'il puisse avoir une pareille érection à un moment pareil, alors que rien ne pouvait prédisposer à une pareille transformation physiologique ? Mais ce qui perturba aussi également Monique, fut la grosseur de cette proéminence incongrue. N'ayant connu qu'un seul homme dans sa vie, elle n'avait pour comparaison que le sexe de son mari, ce merveilleux membre qui lui avait toujours apporté tant de plaisir. Elle était consciente que tous les hommes étaient différents au niveau des organes sexuels, mais ce que lui laissait deviner l'extraordinaire boursouflure qui déformait le pantalon, à quelques centimètres de ses yeux, la stupéfiait. Elle eut une pensée pour sa fille : Comment Germaine avait-elle pu accepter un tel engin dans son ventre la première fois ?...
Alors que Julien se rasseyait, lui ôtant la vision de son sexe gonflé, Monique jeta un coup d'oeil en direction de sa fille ; celle-ci ne s'était pas aperçue du malaise érotique de son mari. Elle discutait tranquillement avec Michel qui feuilletait des revues people.


L'après-midi se passa ainsi en discussions et en fantasmes érotiques, pour Monique et pour Julien. Tout en essayant de suivre la conversation commencée avec sa fille, Monique ne cessa de songer sur ce qu'elle venait de découvrir ; la grosseur du sexe de son gendre la déconcertait. De son côté, Julien continuait de penser aux charmes cachés de sa belle-mère. Une seconde bouteille de rosée vint remplacer la première trop vite vidée, et qui ne tarda pas à suivre le chemin de la précédente. Le léger vin servi bien frais procura un certain relâchement chez les participants.
A dix-neuf heures cependant, Monique invita tout son monde à passer à table, non sans avoir auparavant servi les apéritifs. A cette occasion Julien accepta un pastis, alors que Monique et Germaine se servaient un Frontignan ; un vin cuit de la région, Michel, lui préféra un jus de fruit. Partant du principe qu'un homme marche avec deux jambes, Julien tint à remettre une tournée pour tout le monde ; ce qui fait que lorsqu'ils passèrent à table, les yeux des femmes brillaient étrangement, des fous rires même fusaient sans raison apparente ; preuve que l'alcool ingurgité par Monique et Germaine commençait à faire ses effets. Même Julien pourtant plus résistant se sentait d'humeur légère et n'hésitait pas émettre des propos légers vis-à-vis de sa belle-mère. Seul Michel avait conservé toute sa lucidité et regardait ses parents blaguer, avec amusement.
Le repas se passa ainsi dans une franche gaîté. En fin cordon bleu, Monique avait préparé en entrée des crevettes au pastis, puis une soupe de poutine à la Niçoise, suivit d'une omelette provençale et enfin des mendiants au rhum comme dessert. Le tout arrosé de ce petit rosée de St Julien les Martigues. Du fait de tout cet alcool associé au repas, l'euphorie des convives ne fit que s'aggraver. Les fous rires des deux femmes éclataient à maintes reprises sans raisons apparentes.
- Chérie, tu veux débarrasser pendant que je nous fais un café, décida soudain Monique en se levant de table.
Mais comme elle se levait de sa chaise pour se rendre à la cuisine, Monique vacilla et dut se cramponner à la table pour ne pas perdre l'équilibre :
- Oh ça tourne ! Se plaignit-elle? Je crois bien que j'ai un peu trop bu !...
- Laisse maman, je vais le faire se proposa Germaine. Repose-toi un moment ça va passer !
Mais comme sa mère, à peine debout Germaine vacilla à son tour :
- Je crois bien que moi aussi j'en ai un petit coup, s'exclama-t-elle en riant.
Sous le regard amusé de Julien et Michel, Monique tenta une nouvelle fois de se lever ; tentative qui s'avéra concluante. D'un pas mal assuré elle se dirigea en direction de la cuisine, suivie de sa fille pas plus stable. Alors que sa mère et sa grand-mère s'affairaient à la cuisine, Michel se leva de table à son tour :
- Je vais me coucher, annonça-t-il à l'attention de son père. Je suis un peu fatigué !
- Vas ! C'est vrai que la journée a été épuisante.
Après avoir embrassé son père, Michel se dirigea en direction de la cuisine.
- Bonsoir Mamie? Je vais me coucher, le voyage m'a fatigué !
- Vas mon chéri? Et demain reste couché aussi longtemps que tu le désires' Après tout tu es en vacances !
Pleine de tendresse pour son petit-fils, Monique le serra contre elle en y mettant une telle ferveur, que Michel sentit avec émoi la poitrine de sa grand-mère s'écraser contre son torse. Une fois que cette dernière l'eut lâché, Michel embrassa sa mère et se dirigea vers l'escalier qui menait aux chambres.
- N'oublie pas de te laver les dents, lui rappela sa mère alors qu'il gravissait les premières marches.
- C'est un homme maintenant, s'exclama Monique en suivant des yeux son petit-fils. Il a vraiment changé depuis l'année passée.
- En effet, reconnut Germaine songeuse.
Elle ne pouvait avouer à sa mère qu'elle avait surpris Michel, quelques jours plus tôt dans la salle d'eau, fort occupé à se procurer du plaisir. Assis sur le bidet, son pantalon de pyjama repoussé sur ses cuisses, l'adolescent se masturbait avec application. Trop attentionné à se procurer du plaisir, celui-ci ne l'avait pas vu et Germaine avait bien pris garde à ne pas se montrer. Elle s'était vivement reculée dans le couloir, étrangement troublée. Le membre viril que son fils tenait en main prouvait bien que ce dernier avait passé le cap de l'enfance et qu'il était entré dans son état homme. Raide et fièrement dressée, la jeune verge n'avait pas encore atteint ses mensurations définitives, mais promettait déjà de belles proportions. Il est vrai que Michel avait de qui tenir, son père avait particulièrement été gâté de ce côté-là. Depuis ce jour Germaine voyait son fils différemment et cela la perturbait énormément. A chaque fois que Michel venait se blottir dans ses bras, ce qu'il continuait à faire malgré ses quinze ans, la vision du jeune membre viril bandé lui traversait l'esprit. Ne pouvant avouer son trouble à qui que ce soit, Germaine gardait en elle cet émoi.


Arrivé à l'étage où se trouvaient les chambres et la salle de bains, Michel pénétra dans celle-ci. Depuis sa plus tendre enfance, sa mère lui avait inculqué les soins dentaires, l'obligeant à se laver les dents après chaque repas, jusqu'à ce que ça devienne par la suite une habitude. Aussi devant le lavabo, face au miroir qui le surplombait, Michel se brossa méticuleusement les dents, tout en laissant son regard errer sur les objets disposés sur la tablette de verre. L'un deux attira plus particulièrement son attention ; dans son étui de plastique, une brosse à dents électrique était posée à côté d'un verre. Mamie Monique était étonnamment moderne, songea-t-il.
Après s'être rincé la bouche et rangé sa brosse à dents, Michel s'apprêta à regagner sa chambre. Mais comme il allait atteindre la porte donnant sur le couloir, la corbeille à linges en osier attira son attention. Sa mère en possédait une identique chez eux, et pour l'avoir souvent fouillée, Michel savait les trésors que ces panières pouvaient receler. L'envie d'aller explorer cette corbeille le saisit. Epiant les bruits qui montaient du rez-de-chaussée, il sut aux rires qu'il percevait qu'il était tranquille pour un bon moment. Mais préférant tout de même prendre quelques précautions, il bloqua la serrure, condamnant l'ouverture de la porte. Alors soudainement terriblement excité par ce qu'il s'apprêtait à faire, il s'empressa de fouiller dans le coffre à linges. Ses doigts trouvèrent immédiatement ce qu'ils cherchaient : Un soutien-gorge blanc, aux balconnets imprimés d'innombrables petites fleurs roses et bordés d'une fine dentelle. Follement ému par sa découverte, Michel saisit les corbeilles de tissu dans ses mains, tentant d'imaginer à quoi pouvaient ressembler les seins qui se logeaient dans ces corbeilles. Vu les dimensions des balconnets, il songea troublé, que sa grand-mère devait posséder une poitrine de taille plus que raisonnable; comme ces femmes matures qu'il prenait plaisir à contempler sur les revues pornographiques qui circulaient au collège.
A quinze ans, Michel ne connaissait des femmes que ce qu'il en découvrait sur les magazines ou sur Internet, le soir seul dans sa chambre en surfant : soit sur les sites de photos, soit sur les sites d'histoires, tel que « histoire-erotique.org ». Recherches qui se terminaient invariablement par une béatitude voluptueuse lors d'une éjaculation libératrice, qui lui souillait les doigts.
A contempler le soutien-gorge, tout en imaginant les seins de sa grand-mère reposant dans les balconnets soyeux, Michel sentit son jeune membre se redresser inexorablement dans son slip. Percevant l'excitation le gagner, il porta sa main gauche à la braguette de son short, qui doucement se déformait. Incapable de résister à ses sens soudainement en émoi, il frotta de sa paume la bosse qui se formait, dans un lent va et vient de haut en bas. Tout en flattant doucement son sexe gonflé, Michel ferma les yeux, tentant de s'imaginer les seins de sa grand-mère, reposant dans les balconnets jumeaux. Mais ce furent les images de toutes ces femmes matures longuement contemplées sur le net qui défilèrent dans son esprit. Images qui ne tardèrent pas à exalter irrésistiblement ses sens, provoquant une formidable érection. Ne pouvant résister au désir qui lui vrillait les entrailles, Michel déboutonna son short qui tomba au sol, suivi aussitôt de son slip. Le bas-ventre dénudé, au bas duquel se dressait tel une hampe sa verge fièrement raidie, véritable glaive sexuel, Michel s'installa sur le bidet de faïence.
Reposant le soutien-gorge qui avait provoqué son érection, dans la panière d'où il l'avait pris, Michel farfouilla de nouveau parmi le linge entassé, recherchant une autre lingerie, plus excitante. Très vite ses doigts trouvèrent le sous-vêtement désiré : Une fine culotte noire. Serrant passionnément la lingerie entre ses doigts, Michel l'examina le c'ur battant. Le sous-vêtement féminin était constitué d'un tissu si fin qu'il en était pratiquement translucide, sauf au niveau de l'entrejambe où était cousue une bande plus dense. Sur le devant, au niveau du pubis, une rose rouge était brodée. Avec émotion, Michel porta l'entrejambe du slip à ses narines pour en humer le fumet qui pouvait s'en dégager.
Tout en continuant de se masturber d'une main entraînée à ce genre d'exercice, Michel se grisa du parfum épicé qui s'exhalait de l'entrejambe de la culotte. Les effluves humés, telles un vin capiteux, lui montaient au cerveau, accroissant un peu plus le désir qui l'habitait. Dans sa main, sa verge se gonflait par spasmes successifs et palpitait de plus en plus. Pris alors d'un désir pervers, Michel aspira l'entrejambe odorant, pour le sucer avec une réelle gourmandise, le pressant entre ses lèvres comme pour en extraire le suc qui aurait pu encore y rester. Cependant à s'exciter de la sorte, il sentit son membre se durcir dangereusement tandis que quelques gouttes d'un liquide translucide perlaient de son gland dilaté. Comprenant que la jouissance était proche, il cessa sa masturbation, pour soigneusement envelopper sa verge à l'aide de la culotte féminine. Alors seulement il reprit sa caresse, faisant coulisser la fine soie du slip le long de sa queue exacerbée. Sans le savoir, l'adolescent goûtait ainsi à un plaisir pratiquement assimilable à celui que lui aurait procuré l'intromission de son membre dans un sexe féminin. Le voluptueux frottement du soyeux tissu sur sa verge gonflée à l'extrême, le porta irrémédiablement aux portes de la jouissance. Percevant la montée du plaisir depuis ses couilles gonflées, jusqu'à son gland dilaté, Michel accéléra alors sa masturbation... Ce fut soudain ; tout son corps se crispa dans une tension presque douloureuse, suivit aussitôt par un plaisir intense qui se solda par une éjaculation impétueuse et abondante. Pendant tout le temps où son jeune sperme gicla de son gland tressautant, Michel flotta dans un espace intemporel. Etranger à tout ce qui l'entourait, il demeura un long moment comme tétanisé.
Longtemps Michel demeura comme pétrifié, la main refermée sur son membre apaisé. Lorsqu'enfin il reprit ses esprits, il ne put que constater les dégâts : Une large tache blanchâtre souillait le sous-vêtement de sa grand-mère, dans lequel il venait de décharger. Retirant délicatement la fine culotte polluée, de son membre maintenant ramolli, il la frotta longuement afin d'atténuer les traces de son éjaculation, avant de la replacer, humide tout au fond de la corbeille.
Momentanément apaisé sexuellement, Michel regagna sa chambre. Les rires de sa mère et de sa grand-mère venant du rez-de-chaussée l'informèrent que les adultes passaient une agréable soirée.


Après le café servi avec des gâteaux secs, Monique tint, malgré les protestations de sa fille, à déboucher une bouteille de crémant de Bourgogne.
- Tu ne penses pas que nous avons suffisamment bu, réagit Germaine pendant que Julien s'escrimait avec le bouchon de la bouteille.
- Ne soit pas rabat-joie ! J'avais mis cette bouteille au frais pour fêter votre arrivée !... Depuis le temps que je ne vous avais pas vu' Et puis les lits ne sont pas très loin, il nous suffira de monter un étage.
- Si nous en avons encore la force, plaisanta Germaine, avouant par là qu'elle renonçait défendre son point de vue.


Lorsque l'horloge de la salle égrena les onze coups de vingt-trois heures, la bouteille de crémant était vide et les yeux des deux femmes brillaient d'un éclat particulier.
- Bon je crois que nous avons assez bu, décréta soudain Germaine d'une voix balbutiante? Il est grand temps d'aller se coucher !
Personne ne protesta à cette invite, mais se lever de table ne fut pas chose facile pour Monique, qui vacilla dangereusement, au point que sa fille dut la prendre par la taille pour l'aider à se maintenir en équilibre.
- En effet, je crois bien que tu as raison, bégaya Monique à l'intention de sa fille? Je crois bien que j'en ai un coup dans le nez?
Tendrement enlacées, pouffant de rire sans raison aucune, la mère et la fille atteignirent l'escalier de bois menant à l'étage. Vu l'étroitesse des marches, Germaine fut contrainte de lâcher la taille de sa mère.
- Ça va aller maman ? S'inquiéta quand même Germaine.
- C'est bon ma chérie, ça va mieux.
- De toute façon je suis là pour venir au secours de ta mère, déclara Julien qui se trouvait en troisième position, derrière sa belle-mère.
- Merci, Julien' Tu vois ma chérie, je ne risque rien, ton mari est prêt à me secourir si cela s'avérait nécessaire?
- Cela sera un véritable plaisir de vous prendre dans mes bras, belle-maman !
- Tu entends chérie ?... Il y a bien longtemps qu'un bel homme ne m'a proposé de me prendre dans ses bras !...
Plaisantant, le trio attaqua la montée à l'étage Germaine en tête. Julien qui se trouvait à la queue de la file, ne put s'empêcher de fixer avec une certaine concupiscence le postérieur de sa belle-mère, placée deux marches devant lui. La jupe étroite moulait à la perfection les fesses adorablement arrondies. Avec ses hanches nettement évasées et sa croupe bien marquée, Monique dégageait un attrait sexuel certain. Un discret renflement apparaissait sous le tissu de la jupe, délimitant les contours de la culotte. Ce détail pourtant anodin suffit à exciter de nouveau Julien. Pour la deuxième fois de la journée il regarda Monique, non pas comme sa belle-mère, la mère de son épouse, mais comme une amante potentielle. Une de ces femmes matures, qui hantent les dancings l'après-midi, dans l'espoir qu'un jeune homme les amène dans un hôtel discret ; même si pour cela elles doivent monnayer leurs faveurs. Jamais jusqu'à aujourd'hui Julien n'avait considéré Monique autrement que comme sa belle-mère, avec tout le respect que cela entraînait. Mais ce qu'il avait découvert d'elle, depuis son arrivée, surtout sa nouvelle façon de s'habiller, l'avait étonnamment excité. Et là, la vision de cette croupe ballotant sensuellement à chaque marche gravie, ne pouvait que renforcer ce désir qu'il essayait vainement de refouler.
Mais souvent le destin nous offre des opportunités à laquelle on ne s'attendait pas. A cet instant, le destin avait décidé de venir en aide à Julien. Alors que Monique atteignait le haut de l'escalier, un vertige, dut certainement à la quantité d'alcool ingurgité, lui fit perdre l'équilibre. Nullement affolée par sa chute imminente, inconsciente du danger, elle se laissa aller en arrière en pouffant.
- Julien, je tombe ! S'exclama-t-elle dans un rire, persuadée que son gendre viendrait à son secours.
Se rendant compte de ce qui se passait, Julien réalisa immédiatement le péril que courait sa belle-mère s'il n'intervenait pas. Dans un geste de pur réflexe, il lança ses deux mains en avant afin de la retenir. Saisissant fermement la mère de sa femme, il la plaqua contre lui, manquant de perdre l'équilibre à son tour.
Se sentant retenue et sauvée de la chute irrémédiable, Monique toujours inconsciente du danger à laquelle elle avait échappé, demeura immobile dans les bras de son gendre.
- Hum, comme c'est bon d'avoir un homme robuste à ses côtés, ironisa-t-elle.
- Eh bien, maman !... Qu'est-ce que tu nous fais ? Plaisanta Germaine, aussi perturbée par l'alcool que sa mère.
- J'ai bien failli me casser la figure, répliqua Monique sur le même ton' Heureusement que ton mari était là pour me retenir? Sans lui je serais au bas des escaliers !... Merci Julien, heureusement que vous étiez là.
- Mais ce fut un véritable plaisir de vous venir en aide, tenta de plaisanter Julien.
Alors qu'elle allait se décider à reprendre son ascension, Monique prit soudain conscience de la situation. Elle se trouvait plaquée au corps de son gendre, celui-ci dans le mouvement qu'il avait accompli pour la retenir, l'avait ceinturé de ses deux bras. Mais dans le mouvement l'une des mains de Julien, la droite, avait saisi son sein droit et le pressait fermement. Se rendant compte de cet attouchement accidentel, Monique demeura immobile, ne sachant trop quelle attitude adopté : Devait-elle demandé à Julien de retirer sa main de son sein sur le ton de la plaisanterie ou attendre que ce dernier la libère de lui-même. Malgré sa légère ivresse dût à l'alcool ingurgité, Monique se rendait compte qu'elle devait libérer de cette étreinte par trop précise. Mais le fait de sentir une main masculine, même si celle-ci appartenait à son gendre, presser son sein, la ravissait étrangement. Il y avait si longtemps que sa poitrine n'avait été cajolée par une main masculine? Soudain alors qu'elle tentait de se libérer de cette attouchement incongru, elle sentit un quelque chose d'étonnamment dur venir lui se coller à ses fesses. Une soudaine bouffée de chaleur l'envahit toute tandis que sa gorge se nouait. Malgré l'euphorie qui lui obscurcissait l'esprit, elle réalisa immédiatement à quoi correspondait cette raideur. Son gendre était encore une fois sous l'effet d'une formidable érection, et ce qu'elle percevait contre sa croupe n'était autre que la dureté de son désir. Dans l'après-midi elle avait pu, à la bosse qui déformait sa braguette, juger de la taille du membre de son gendre, mais ce qu'elle percevait contre son postérieur dépassait tout ce qu'elle avait pu imaginer.
Loin d'être choquée par ce double attouchement, Monique en ressentit une énorme bouffée de désir. Depuis la disparition de son mari, aucune main masculine n'était venue se poser sur son corps, et encore moins une verge, bandée ou pas. Qu'importait si cette main qui pressait son sein, si cette queue qui lui meurtrissait la croupe, appartenait à son gendre. Le plaisir que lui apportaient ces palpations était trop fort pour qu'elle y renonce.

Lorsqu'il s'était rendu compte que sa main pressait le sein de sa belle-mère, Julien avait aussitôt ressenti une bouffée de désir. Seul le fait de la légère ivresse qu'il lui obscurcissait l'esprit pouvait expliquer cette attirance sexuelle pour la mère de son épouse ; une femme de douze ans son aînée. Jamais, jusqu'à présent il n'avait éprouvé le moindre désir, ni manqué de respect à sa belle-mère? Mais le fait de percevoir contre sa paume la forme et le volume de ce sein, procura à Julien un tel émoi, qu'aussitôt son sexe se redressa en se gonflant outrageusement. Loin de l'embarrasser, cette érection ne fit qu'accroitre sa folie sexuelle. Pris d'un désir pervers, il plaqua la formidable bosse que son membre gonflé créait, contre la croupe de Monique, tachant de l'insérer dans le sillon de ses fesses.

Victime des effets excitants de l'alcool, Monique ne songea pas à s'offusquer des libertés érotiques de son gendre ; au contraire, le contact de ce membre bandé contre sa croupe éveillait un insidieux désir au plus profond de sa féminité.
- Eh bien qu'est-ce que vous faîtes tous les deux ! S'impatienta Germaine du haut des escaliers, qu'elle avait atteint, non sans mal.
- Voilà, nous arrivons, réussit à répondre Monique, tirée brutalement de son euphorie sexuelle? Sans ton mari j'allais me retrouver les quatre fers en l'air? Merci Julien, murmura-t-elle à l'intention de son gendre?
- De rien belle-maman, tout le plaisir est pour moi !
- J'en suis certaine, minauda Monique en fixant son gendre d'un air malicieux? Croyez bien, Julien que votre plaisir était partagé?

Le trio atteignit enfin le palier. Fortement troublée par ces attouchements érotiques dont elle avait été victime, consentante, Monique se décida à regret à quitter le couple.
- Je vous laisse la salle d'eau, décréta-t-elle? J'irai quand vous aurez terminé.
- Il n'en est pas question, maman, protesta Germaine? Tu auras plus vite fait que nous et ainsi tu pourras te coucher plus rapidement? Tu en as bien besoin !...
- Bon, si tu penses que c'est mieux ainsi, je vous souhaite une bonne nuit à tous les deux.
La mère et la fille s'embrassèrent tendrement se souhaitant mutuellement une bonne nuit. Puis comme Germaine leur tournait le dos pour se diriger vers la chambre qui lui était attribuée, Monique et Julien se rapprochèrent l'un de l'autre pour se dire bonsoir à leur tour. Cependant n'ayant pas renoncé à ses attouchements vis-à-vis de sa belle-mère, Julien s'arrangea pour se placer entre celle-ci et sa femme, dans le cas où cette dernière viendrait à se retourner. Puis se penchant vers le visage que Monique lui tendait dans l'attente d'un baiser, il visa la commissure des lèvres de cette dernière pour y poser ses propres lèvres, dans un baiser plein de sensualité.

Surprise par ce baiser inattendu et par la perversité de son gendre, Monique demeura ébahie, incapable d'opposer la moindre résistance ; mais le désirait-elle vraiment ?... Un long frisson voluptueux lui parcourut le creux des reins lorsqu'elle sentit les mains de Julien, qui lui avaient saisi les hanches en une pression pleine de concupiscence, s'aventurer en direction de sa croupe. Certainement encouragé par sa passivité complice, Julien entreprit de lui pétrir les fesses de ses doigts, dans un malaxage plein de sensualité. Une nouvelle onde de plaisir lui irradia alors le creux des reins et le bas-ventre? Le fait de savoir qu'à quelques centimètres de son sexe en émoi se trouvait une verge en pleine érection, la dévora d'un désir impérieux. Seul un reste de décence l'empêcha de projeter son bas-ventre en avant, à la recherche de ce membre viril qu'elle savait être en état de la satisfaire ; le fantasme de sentir cette bite durcie lui meurtrir le pubis la fit vaciller sur ses jambes.
- Julien, tu viens' Laisse maman aller faire sa toilette !...
La voix de Germaine tira brutalement les deux complices de leurs jeux érotiques. Sur un dernier pincement, Julien libéra les fesses qu'il malaxait. Monique ne put étouffer un gémissement de regret suite à cet abandon.
- Dommage, lui souffla Julien à l'oreille, non sans déposer un léger baiser à même ses lèvres.


A suivre...