Les vacances d'Adeline - 2

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Proposée le 21/12/2010 par Jul75

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Attention, présence d'inceste dans ce récit !


Commencer par le chapitre 1.

A travers la fenêtre, les premiers rayons de soleil font leur apparition et peu à peu ils pénètrent la chambre. Et s'ils font tous ce chemin c'est pour venir se poser sur les jambes nues d'Adline. Il semblerait même qu'elle les attende, car la couette s'est vue dégagée sur le coté et sa robe lui est remontée sur les hanches, dévoilant ainsi une partie de ses fesses, que les rayons semblent apprécier. Ses jambes luisent de concupiscence sous cette "lumière".
Couchée sur le ventre, une jambe pliée sur l'autre, le commencement d'une belle paire de fesses et son sexe rose que l'on peut deviner car Adeline ne porte pas de sous-vêtement pour dormir, ça lui caresse le sexe et l'oblige à se toucher. L'image d'une jeune femme irrésistible. Elle ouvre les yeux, le plus beau marron apparaît, et, en même temps, le réveil s'enclenche : Le son le plus tonitruant qui soit.
Ses pieds se posèrent avec élégance sur le sol tandis qu'elle tournait la tête pour admirer le lever du jour, si beau mais il le sera encore plus dans quelques heures.
Après la douche elle enfila un esthétique jean moulant, sous lequel un string blanc lui titille déjà les petites lèvres. Un simple soutien-gorge, blanc aussi, avec par-dessus un débardeur et un gilet pour éviter de choquer la famille de Rémy, même si elle la connait déjà elle préfère, au début, passer pour une fille bien sage, "je le suis d'ailleurs" pensa Adeline. Et c'est vrai qu'elle l'est. Issue d'une famille aisée, elle a été bien éduquée sur tous les plans, les études, les relations sociales, et même sur le plan sexuelle, "Merci maman" pensa-t'elle, presque avec insolence. Mais ce n'est pas pour autant qu'elle est une "coincée" quand il s'agit de sexe.
Quelques minutes plus tard, après avoir prit sa valise dans sa chambre, elle descendit et rejoignit la cuisine.
- Te voilà enfin ! Lança sa mère, pas très fervente depuis quelques jours, ajouta-t'elle.
- Arrête, je suis juste excité à l'idée de partir c'est tout ! Répliqua Adeline.
- Ne me parle pas sur ce ton !
- Où est Eric ? Demanda Adeline, négligeant les paroles de sa mère.
- Il est encore au lit, alors va le chercher !
Eric c'est le frère ainé, peut-être la personne la plus proche d' Adeline.
"Pour une fois, c'est moi qui vais le réveiller !" Pensa-t'elle.
Elle entra dans la chambre du frère sans faire un bruit, un grand verre d'eau plein en main, elle va se venger, aujourd'hui c'est à son tour. Ca y est, elle n'a plus qu'à retourner le verre et le tour est joué.
Ses yeux roulent sur le corps de son frère et s'arrête sur le pénis qu'elle devine sous le caleçon, elle sait que les garçons ont tendance à être en érection au réveil mais, là, elle en est hypnotisée. La verge de son frère elle l'a déjà vue, elle en a de vagues souvenirs, c'était il y a longtemps. Ce à quoi elle n'avait pas pensé c'était que son frère, comme tous les garçons, avait aussi un sexe et qu'il s'en servait.
Des pensées érotiques et vilaines envahissaient l'esprit d'Adeline, elle tente de se résonner en se disant que c'est interdit et qu'elle peut aller ailleurs, mais, malheureusement, toute chose interdite est aguichante.
Adeline veut voir, juste voir, ou du moins c'est ce qu'elle se dit pour innocenter sa conduite et sa pensée.
Elle s'agenouilla et se met à regarder cette verge qui l'a tant fascinée. Elle pose son verre d'eau, presque inconsciemment, et pose ses deux mains sur le lit. Avec prudence, sa main gauche glisse sur le drap blanc, et plus elle s'approche et plus Adeline a du mal à respirer.
Enfin, du bout de ses doigts fins elle atteint le caleçon, sa respiration s'est arrêtée. Du bout des doigts elle découvre le pénis qui se cache derrière ce tissu si fin. Le désir est grand, le sexe consentant et l'occasion est belle. Ses doigts, les uns après les autres, enroulent le sexe du garçon, le pouce venant conclure cette manipulation.
Elle l'a dans les mains. Un frisson d'excitation parcourt son corps. Elle a déjà empoigné d'autres sexes mais celui-ci, si interdit, est le plus exaltant. Et quand elle sentit son vagin prêt à se déverser elle empoigna avec vigueur le pénis, par réflexe ou par envie, peu importe, elle apprécie ce qu'elle a entre les mains.
Elle le sent se durcir, et son coeur s'est arrêté de battre tandis qu'elle tournait la tête en direction de celle de son frère, Eric. Il la regarde, et son regard en dit long.
La tentation. Eric est confus. Partagé entre l'envie et l'interdit, Eric n'est pas maitre de soi et il veut que ça continue. En réalité, il aimerait que ce soit elle qui arrête, une façon pour lui de se dégager de ses responsabilités.
La main droite d'Adeline est déjà entre ses jambes tandis que de sa gauche elle continue à tenir le pénis de son grand frère. Il ne réagit pas et elle ne voit pas en lui le désir de la voir continuer, ou peut-être
est-ce la peur qui lui fait croire qu'il n'en a pas envie. Oui, Adeline a peur et la peur est un facteur d'excitation en sexe.
Elle se retourne à nouveau vers le pénis du garçon et réalise une courte et lente masturbation, tandis que sa caresse entre ses jambes s'active, malgré le jean elle éprouve quelque chose et son string, subissant les caresses lui aussi, s'excite et lui titille la vulve. Ca s'humidifie.
Elle arrête tout. Et de ses deux mains, en baissant la tête, elle libère la verge prisonnière en soulevant le caleçon et en le ramenant un peu plus bas sur les jambes. Une touffe de poils apparait avec en son centre le sexe le plus désiré. Certes il n'a rien d'exceptionnel mais il est tous de même le Sexe se dit-elle en levant les yeux.
Elle l'empoigne sans hésiter, le contact avec cette peau est fabuleux, Adeline ne peut plus revenir en arrière dans son choix car elle ne veut plus, elle chasse de son esprit toute pensée qui ne reléve pas de la luxure, ainsi s'offre-t'elle, elle se soumet.
Elle le masturbe si bien que le pénis gagne en importance, elle n'avait jamais eu un sexe grandissant dans les mains car à chaque fois le sexe qui lui faisait face était déjà à fond. Là c'est différent, elle le sent grossir et elle aime cette sensation étrange et voluptueuse. Elle relève la tête et en plus de la sentir elle peut la voir. Le toucher. La vue. Et le gout...
Elle tend la tête, et doucement le pénis du garçon disparait, englouti par la bouche d'Adeline.
Eric lache un gémissement. Ces lèvres, cette salive et cette langue, tout appartient à sa soeur et elle le lui offre. Cette poitrine pesante qui repose sur le bord du lit, la forme de ses fesses légèrement relevée, ces belles jambes que milles langues pourraient lécher sans jamais s'en lasser, et cette bouche qui lui fait le membre.
Il se redresse et glisse sa main dans les cheveux châtains d'Adeline. Alors que je jusque là elle semblait un peu gênée et timide, cette main dans ses cheveux la remercie, elle plait à son frère et elle accélère la cadence, il n'y a plus de limites alors elle lui prend les testicules dans les mains et le lui masse tout en continuant de lui tendre la plus belle fellation.
Et quand une main, sur son sein droit, elle sentit, un orgasme l'a prit. Elle lâche un râle de plaisir en conservant le pénis dans la bouche. Une autre main vient se glisser sur ses fesses, elle contourne le bassin pour aller lui déboutonner les boutons du jean. Jamais elle n'y aurait cru, la main de son frère s'aventurant entre ses jambes...
- Adeline, Eric, vous venez ?
C'était la mère qui hurlait depuis la cuisine.
Adeline s'interrompit quelques secondes, c'est Eric qui lui poussa la tête pour l'inciter à continuer.
- J'ai envie de toi ! Lui chuchote t-il.
Adeline continue de lui sucer le sexe et fait comme si elle n'avait rien entendu.
Il se retire et va ouvrir la porte.
- On arrive, deux minutes, putain ! Crie t-il, insolemment, en refermant la porte à clé.
Ayant pris l'initiative de s'assoir pour continuer plus simplement, Eric la poussa et s'allongea sur elle.
- Deux minutes ! Lui murmure t-il.
A l'armoire il va prendre un préservatif caché dans une chaussette et commence à l'enfiler.
Adeline a peur, c'est interdit. C'est allé trop loin. Elle ne le repousse pourtant pas.
S'allongeant sur elle, son pénis s'enfonce en elle. Adeline semble inconsciente mais quand les gémissements de son frère se font de plus en plus fort dans son oreille, elle se rend compte que son corps apprécie, son vagin oui en tous cas.
Eric est un garçon qui s'est toujours opposé aux grandes lignes de l'éducation que lui donnent ses parents, il ne voulait pas et ne veut pas d'une vie toute faite. Il voulait avoir sa propre expérience de la vie, être comme tous les autres. Toujours réussir ne lui plaisait pas et lui donnait une l'image d'un type snob qui n'arrivait plus à supporter.
Adeline sait tous ça. Mais l'insolence, la bêtise, l'immoralité... Tous ces éléments peuvent-ils pousser un frère à coucher avec sa propre soeur ?
"Peut-être est-ce de l'amour ?" songea Adeline, son frère apprécie et elle aussi, ou du moins elle n'en sait rien.
- Je t'aime Eric ! Chuchota-t'elle entre deux gémissements.
Elle l'a dit sans trop savoir ce qu'elle disait, c'est sorti comme ça, elle pensa à voix haute.
- Jtaime aussi tite soeur ! Lui dit-il dans le creux de l'oreille.
Et comme si les paroles d'Adeline furent une preuve de consentement, Eric se mit à lui faire sauvagement l'amour. Maintenant, il lui fait l'amour comme si c'était une simple fille, dans les gestes mais pas dans les mots et la pensée. Eric ne contrôle pas son corps, ses compulsions, mais est toujours maitre de son esprit, il sait ce qu'il fait et, physiquement, il adore mais, sur le le plan mental, il a encore du mal à s'y faire.
Les mains d'Adline, crispées, se sont posées sur les épaules d'Eric, et il semblerait que ses ongles lui trancerpercent la peau. Elle reléve les jambes qu'elle pose sur les fesses de son frère. Ses mains glissent sur son cou, c'est ainsi qu'Adeline se retrouva suspendu à son frère tel un singe à une branche.
Le sexe ardent poursuivant ses va-et-vient à une vitesse sidérante, Adeline ne peut se contenir et lâche un râle jouissif, tandis que la semence chaude remplissait le condom.
Elle peut sentir l'étui qui protégé le sexe d'Eric se remplir, c'est agréable, et ça le serait encore plus si c'était son ventre qui se remplissait.
Cette sensation, pourtant, ne dure que quelques instants. Adeline ne s'en est pas rendue compte mais Eric s'est retiré. Il vise la corbeille pour jeter le préservatif mais se dit que sa mère doit contrôler, alors en attendant il le met sous le lit.
- Aller, bouge, elle va se poser des questions ! Lance-t'il à Adeline en remontant son pantalon.
Adeline n'entend rien pourtant, encore partagée entre ce qu'elle vient de faire et le plaisir ressenti.
Eric l'a tire par le coude.
- Dégage, putain !
Une minute après, elle se retrouve dans sa chambre.
Son débardeur et sa fine veste sentent la sueur, et elle a peur à l'idée de savoir que ça puisse être un indice de ce qui s'est passé. Quant à son jean c'est pire, il est la preuve idéale. "Tout dans la valise" pense-t'elle, mais elle est en bas. En bas ? Descendre et croiser Eric, comme si de rien n'était ?
Elle jette ses vêtements sous le lit, elle reviendra les chercher après. Elle enfile encore un débardeur, change de veste, et un jean similaire. Elle sait que sa mère remarquera. Elle descend à la cuisine.
- Qu'as-tu fais de l'autre veste ? Demanda la mère.
Adeline prétexta qu'elle avait trop chaud avec l'autre. Elle s'assit et gardait la tête baissée tandis qu'elle prenait son petit-déjeuner.
- Qu'est-ce donc ces manières, redresse toi. Est-ce de la sorte que l'on se nourrit ? Attaque sa mère.
Relevant la tête, son regard croise celui d'Eric, simple et ne semblant rien cacher. Il ne s'est rien passé, voilà ce qu'il disait.
Sa mère commença un discours, rappelant les règles de bonne conduite que devra suivre sa fille au camping. Et tandis qu'elle se perdait en palabres, Adeline l'écoutait et la peur lui fit croire que sa mère avait découvert ce qu'elle avait fait. "Non, elle fait ça tous les matins !" Se répétait Adeline pour se soulager.
Et pensant à cela, elle se remémore les détails de ce coït, malgré elle. Le verre de jus qu'elle buvait était une analogie au remplissage que subissait le préservatif. Elle détourna le regard, comme pour ne pas voir cette image, et elle vit, dans une assiette, des fruits dont une banane...
Ce sexe dans la bouche. Son corps vient de s'en rappeler, lui aussi, et, harmonieusement, le string se joint à cela en se glissant entre les deux lèvres d'Adeline. Son visage se crispe à l'instant même.
Elle se relève comme si de rien n'était et prétexte qu'il est temps de partir.
- Ton père devrait t'appeler dans une heure ou deux ! Lui dit sa mère.
Vinrent les embrassades, une scène encore plus triste que des adieux. Ils n'allaient être séparés que deux semaines après tout.
Adeline prit sa valise et quitta la maison.