Un joyeux cinquième anniversaire

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Proposée le 19/12/2010 par steveRogers

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Cette histoire est ma troisième, mais contrairement au deux autres, elle est totalement inventée. J'aimerais bien que vous laissiez vos commentaires, après l'avoir lu, pour me dire ce que vous en pensez ! Merci et bonne lecture !

Je regardai ma montre, pour savoir combien de temps il me restait avant que ma femme ne revienne de travailler. « Merde, il me reste seulement cinq minutes, et j'ai encore plein de choses à faire ! », me suis-je dit en voyant qu'il était 18h00. Je m'explique : Ces derniers mois, ma femme Amélie et moi avons connus quelques petits problèmes de couple, pas du genre infidélité, mais plutôt du genre sautes d'humeur et boudage pour des niaiseries. Alors, comme aujourd'hui cela fait cinq ans que nous sommes mariés, j'ai décidé de lui préparer une petite soirée en amoureux. Premièrement, j'avais mis préparé la table, en lui mettant une nappe rouge, des roses au milieu et quelques chandelles éparpillées. Aussi, j'avais préparé le poulet, qui était en fin de cuisson. En fond, on pouvait entendre une petite musique calme et relaxante. Il ne me manquait plus que sortir le poulet, le mettre dans les assiettes, pour que le souper soit prêt lorsqu'elle arriverait, et me changer. Au même moment que je réfléchissais si j'allais me changer tout de suite ou j'attendais le poulet, celui-ci fut prêt et la sonnerie du four sonna. Je le sortis et allai chercher les assiettes pour le mettre dedans. Au moment où je mis les assiettes sur la table, j'entendis Amélie arriver dans l'entrée. Alors, je me suis dépêché pour aller dans notre chambre pour me changer, à peine eux-je le temps de me déshabiller que j'entendis ma femme entrer.
- Coucou, je suis là !, l'entendis-je dire. Hum, ça sent bon ! Qu'est-ce que tu as fait pour souper, mon amour ?.
Tout en parlant, elle avait enlevé son manteau et ses souliers, et elle se dirigeait vers la chambre pour se changer. Alors, qu'elle avançait dans le couloir, je m'aperçus que je ne m'étais même pas habillé, et que j'étais encore nu. Je n'eux que le temps d'enfiler un boxer qu'Amélie entra dans la chambre.
- Euh, chérie, que fais-tu tout nu ?, me demanda-t-elle en me voyant presque nu.
Voulant changer le sujet de conversation, et la tourner à mon avantage, je fis semblant de m'offusquer :
- Ouin, on voit bien que cela te trouble de me voir tout nu ! Ça fait quoi, un mois que l'on n'a pas dormi nu et que l'on n'a pas baisé ?
Aussitôt mes paroles dites que je les regrettais déjà, moi qui ne voulais pas gâcher la soirée de nos cinq ans. En entendant mes paroles, elle dit :
- Ce n'est pas ma faute si on n'a pas baisé depuis deux mois ! C'est de la tienne ! C'est quand même toi qui as des problèmes d'érection !
- Le problème ce n'est pas que je n'ai pas d'érection, c'est que tu n'es pas capable de bien m'exciter !, répondis-je.
- Je vais te montrer que je suis capable de bien t'exciter !, me dit-elle, en s'avançant vers moi.
Rendu en face de moi, elle mit sa main en arrière de ma tête et approcha m'embrassa à pleine bouche. Un baiser tel qu'elle ne m'en avait jamais donné, un baiser où se trouvaient toute la passion et l'amour refoulé durant deux mois. Le genre de baiser auquel on ne peut pas s'empêcher de sentir notre désir monter. À l'instant même où Amélie fit pénétrer sa langue dans ma bouche, j'eus une érection. Avec son autre main, elle alla directement où mon sexe et commença à le caresser. Avant même que j'aie eu le temps d'essayer de la toucher, elle s'arrêta, s'éloigna un peu de moi et me dit, avec un sourire :
- Tu vois que je suis capable de bien t'exciter quand je le veux !
- Oui, en effet, je le vois bien !
- Bon, on va manger ? J'ai faim moi !, me dit-elle en se dirigeant vers la porte.
- Quoi, c'est tout ? Tu me laisses comme ça ?
- Et bien oui, tu l'as bien cherché !
- D'accord, mais… Euhm… Tu ne te changes pas, avant d'aller souper ? dis-je, avec une idée en arrière de la tête.
Elle me lança un regard qui voulait dire : « Tu penses vraiment que je ne te vois pas venir ? ». Elle se reprocha de moi et me dit :
- N'y pense même pas !
C'est à ce moment que j'ai agi, je lui ai attrapé le bras et j'ai collé Amélie contre moi. Avant même qu'elle ait le temps de répliquer, je l'ai sauvagement embrassé. Ma main gauche dans ses cheveux et ma main droite sur sa cuisse. Tout en continuant à l'embrasser, je levai sa cuisse, pour qu'elle sente mon érection, qui avait repris forme, sur sa chatte. Lorsque j'ai arrêté de l'embrasser, Amélie me regarda et me dit :
- N'essaie même pas de m'en donner envie, ça ne marchera pas !
Mais, la voix qu'elle avait en disant cela me fit penser qu'elle commença à en avoir un peu envie. Alors, prenant cela pour défi, je descendis ma main gauche, qui était toujours dans ses cheveux, sur ses seins et je commençai à les caresser tendrement, et pendant que je lui caressais la poitrine, je me remis à l'embrasser, mais plus tendrement cette fois. Je nous ai fait pivoter lentement, pour que le lit se situe derrière nous et je la fis se coucher sur le lit. Ma main, qui était sur sa cuisse, remonta un peu, pour aller caresser le sexe de ma bien-aimée. Au moment où je commençais à la caresser, Amélie dit :
- Mark… Arrête… Non… Il faut aller soup…
Avant qu'elle ait terminé sa phrase, je vins l'embrasser sensuellement. Pendant que je l'embrassais, ma main, qui caressait son sexe, déboutonna le pantalon et se glissa en dessous, pour aller sur sa culotte, qui était humide. C'est à ce moment qu'Amélie arrêta de résister et recommença à me caresser la queue. Voyant que ses défenses étaient tombées, j'arrêtai de l'embrasser, afin de lui enlever son pantalon. Lorsqu'il fut retiré, j'allai embrasser ses cuisses, pour remonter un peu plus haut, jusqu'à sa chatte humide. Tout en l'embrassant, je lui caressais la chatte. Alors, j'eus une envie soudaine de la lécher, pour faire jouir ma belle. Je lui ai donc retiré sa culotte, pour avoir sous les yeux une chatte parfaitement rasée, et je dois l'avoué, cette vue ma fortement excitée ! Alors, sans plus attendre, j'ai tout de suite été la lécher. Je faisais de mouvement de haut en bas avec ma langue, tout en caressant le clitoris avec mon pousse. Pendant que la léchais, Amélie se cambrait et me disait d'arrêter pour lui faire l'amour. Sans l'écouter, je continuais mes coups de langue, de plus en plus rapide, et j'allai même jusqu'à insérer un doigt dans sa chatte mouillé. Au moment où elle me dit qu'elle allait jouir, je continuai de plus belle, jusqu'à ce que je sente son corps avoir des petits spasmes. Alors qu'elle jouissait, je me suis arrêté. D'habitude, lorsque je lui faisais un cunni comme celui-ci j'arrêtais lorsqu'elle jouissait, mais là j'avais vraiment envie de lui faire l'amour. Alors, je me suis redressé par-dessus elle et j'ai commencé à l'embrasser, tout en comptant quelques secondes, avant de recommencer à la toucher. Lorsque je mis ma main sur sa chatte, surprise, elle m'a dit :
- Qu'est-ce que tu fais ? J'ai été comblé…
- Toi oui, mais pas moi…
- Alors, dans ce cas…, me répondit-elle, en allant sur moi.
Amélie commença à m'embrasser sur le torse, pour descendre jusqu'à ma bite. En cinq ans de mariage, elle n'avait jamais osé faire de fellation… Alors, je me demandais ce qu'elle faisait. Elle m'enleva mes boxers, prit mon sexe en main et commença à me branler. À ma surprise, elle approcha sa bouche de mon sexe et lui donna un léger coup de langue. Ce coup de langue me fit frissonner et je ne pus m'empêcher de lui demander de recommencer. Elle continua de me branler, tout en me donnant quelques coups de langue. Après un certain temps, elle s'arrêta, pour venir s'asseoir sur moi. Alors, elle commença à se caresser la chatte avec ma queue. Elle me regarda dans les yeux, et tout à coup elle s'empala sur ma bite, en poussant un râle de plaisir. Elle commença des mouvements de bassin tout en se penchant vers moi. Lorsque son visage ne fut plus qu'à quelque centimètre du mien, elle me dit :
- C'est si bon de t'avoir en moi !
En effet, c'était si bon d'être en elle. Et je lui ai répondu que c'était trop bon que de lui faire l'amour. Je sentais le plaisir monter de plus en plus, alors qu'Amélie augmentait la vitesse de ses mouvements.
- Hum, c'est bon ! lui ai-je dit. Continue, tu vas me faire jouir !
- Oui… Moi… Aussi, je vais… Jouiiiir !, me répondit-elle à bout de souffle.
Alors, j'ai décidé de prendre le contrôle, en nous renversant sur le côté, pour que je me trouve par-dessus elle. J'ai commencé mes va-et-vient, et plus je la voyais qui allait jouir, une seconde fois, plus j'accélérais. Au moment où elle me dit :
- OUIIII !! C'EST BON !! OUIIIIIII !
Je sus qu'elle avait joui, et ne pouvant plus me retenir plus longtemps, je me déversai en elle, dans un râle de plaisir. Je me suis penché pour l'embrasser et elle m'a dit :
- C'était… WOW ! Trop bon ! Ouf, je suis épuisée !
- Pas trop, j'espère, lui ais-je répondu. Parce qu'il faut aller souper… Et peut-être que tu en auras encore comme dessert…
- Oui, j'aimerais vraiment !, me dit-elle en me serrant contre elle.
- Au fait, joyeux cinquième anniversaire !
- Merci, toi aussi !, me répondit-elle en m'embrassant.