Léa mon jouet sexuel partie 2

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Proposée le 09/11/2010 par Zoltan

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Après le premier récit où j'ai retranscrit ma rencontre avec Léa, suivie de sa première exhibition. Voilà deux autres situations qui ont eu lieu après la petite partie sur notre balcon. Pour information, nous entretenons régulièrement des rapports intimes conjuguant amour, tendresse et caresse. Nos petits jeux pimentent nos vies, sans empiéter sur notre envie d'être deux.


Léa, dans la voiture



Le week-end qui suivit notre petite baise devant le petit groupe de jeunes, nous sommes allés chez les parents de Léa. Messieurs vous savez comme moi à quel point cela est pénible, on se retrouve face à des personnes et il faut faire attention à ce qu'il faut dire. Il faut faire semblant d'être intéressé par les petites fleurs que Madame a plantées dans le jardin, s'extasier devant deux poutres en bois que Monsieur à monté. Bref, faire le faux cul pour être bien vu. Pour finir, pas de sexe dans la maison familiale, pff un week-end en plus c'est moche... Stresser tout le long de la route, je savais que mon week-end était plombé. 200 bornes pour un sauté de veau et un gâteau au chocolat, ça vous motive vous ? Mais bon c'est pour faire plaisir à Léa, je fulmine intérieurement mais reste zen d'apparence. Je suis tendu et Léa le sent, assise sur le siège passager elle me demande si je vais bien. Je lui réponds que tout va pour le mieux, je suis juste un peu fatigué. Léa pose sa main sur ma cuisse et me caresse avec son pouce, puis reprend la lecture passionnante de son magazine féminin. Le trafic est fluide sur l'autoroute, nous devrions arriver à Mende très bientôt. Youpi... Léa a une envie de pipi subitement. Je lui dis qu'il n'y a plus d'aire d'autoroute avant plusieurs kilomètres. Elle gigote sur son siège, elle me dit qu'elle va se faire dessus. La cerise sur le gros gâteau moisi de mon week-end, je la regarde l'air desabusé. Tout à coup elle relève ses fesses du siège et fait glisser son jean's dégageant sa lune, stupéfait je reste con. Léa retire son pull à la hâte puis le pose sur ses cuisses, elle descend son pentalon jusqu'à ses chevilles suivie de son string en dentelle noir. Je lui demande ce qu'elle fait, Léa debouchonne la petite bouteille d'eau pratiquement vide. Elle place la bouteille en plastique sous son pull, Léa écarte les cuisses comme elle peut. Elle pousse un léger gémissement, j'entends la bouteille se remplir d'urine. Je mate ma femme du coin de l'oeil, je lui demande de retirer son pull pour que je la vois uriner. Léa retire un bout de son pull, le goulot de la bouteille enfoncé dans son vagin elle pisse sans retenue. C'est bizarre mais très exitant, Léa termine par quelques gouttes. Elle retire le goulot de son vagin, un petit bruit sourd se fait entendre. Léa rebouchonne la bouteille et la place sous son siège, elle me regarde avec le sourire et me dit "ah! ça soulage.". J'ai la queue toute raide, je lui demande de se caresser un peu. Elle me dit que dans la voiture et sur l'autoroute en plus ce n'est pas facile, je lui demande une seconde fois de se toucher. Léa caresse timidement ses lèvres humides d'urine, le son dû au frottement sur son intimité me rend fou. Elle joue avec son clitoris, frottant énergiquement celui-ci de ses doigts. Elle soupire, je lui demande de se doigter. Elle introduit son majeur profondément dans son vagin, elle fait des allers-retour rapides claquant la paume de sa main sur son mont de Vénus. Elle gémit à l'entrée de son deuxième doigt, je me dis qu'à ce stade elle doit être chaude. Léa retire complètement le pull de ses cuisses, elle s'affaisse sur son siège pour écarter d'avantage les jambes. Elle tape dans son vagin à un rythme d'enfer, elle prend son plaisir gémissant. Au bout de plusieurs minutes, je lui demande de retirer ses doigts que je remplace par les miens. Tout en conduisant je la doigte en gardant le même rythme, Léa mouille abondamment. Elle se tortille sur le siège de la voiture me demandant de continuer, elle jouit rageusement. Je tape le plus fortement possible, le contact de ma main sur ses lèvres toutes mouillées produit des sons bruyants. Je retire sèchement mes doigts, elle laisse échapper un cri. J'ai la main toute mouillée, Léa le souffle court, haletante, se redresse sur son siège. Elle me dit qu'il nous faudra monter plus souvent chez ses parents, je souris et me dit que sur ce coup la elle n'a pas tort. Léa remonte son string et son jean's, elle remet son pull et se recoiffe à l'aide du miroir de la visière. J'essuis ma main sur mon jean's, une auréole se dessine sur le tissu. Nous poursuivons notre route. Je ne sais pas si un automobiliste a vu ma femme ce faisant doigter, comme ces cochonnes rencontrées au moins une fois dans une vie. Moi quand je conduis, je ne regarde pas dans l'habitacle des autres. Le doute subsiste néanmoins...
Voilà pour la petite histoire, cela est plutôt une anecdote mais bon c'est une situation tellement inattendue pour moi. Il y aura d'autres séries concernant la voiture, car nous y avons beaucoup joué à l'intérieur et à l'extérieur par la suite.

Léa, sa première contrainte



Les premières dominations à proprement parler, ont eu lieu lors de notre deuxième année de vie commune. C'est pour vous dires tout le travail effectué pour arriver à cela, le temps nécessaire afin de bâtir un climat de confiance. Léa se prête volontiers à présent à toute relation sortant de l'ordinaire, nos quelques petites exhibitions ont contribué à cela. Je reviendrai sur ces petites anecdotes un peu plus tard, pour le moment j'ai envis de vous raconter sa toute première contrainte. Un nouveau palier de franchi dans notre couple, un niveau qui nous a ouvert des portes pour des mises en situations plus perverses. Je discute souvent avec ma femme concernant nos petits jeux, me souciant de son bien-être et de son plaisir. Elle me dit que ces petites choses stimulent ses envies, de ne pas m'inquiéter pour son plaisir intime. Elle me dit également que si elle est encore avec moi, c'est grâce justement à ces choses que nous faisons, sortant de la routine, qui l'épanouissent aujourd'hui. Comme quoi, une jeune femme de 25 ans à l'époque aussi banale que les autres peut finalement devenir une soumise très perverse. Bon, je la commence ou je la commence pas cette histoire !
Veuillez m'excuser, je m'egard trop souvent. J'aime tellement ma femme que je pourrais vous en parler pendant des heures. Il était une fois... Je plaisante...
L'un de mes nombreux fantasmes était de soumettre Léa, nous avions quitté notre petit F1 pour venir emménager dans à un F3 avec deux chambres. Léa a toujours eu l'esprit pratique, cette chambre supplémentaire servira pour des amis et pourquoi pas à notre bébé si cela doit se faire. L'avantage de cet appartement, c'est son petit jardin privatif. Situés en rez-de-chaussée nous avons une petite palissade qui nous garantit la tranquillité, certes le jardin est petit 20m2 environ mais c'est super pour faire des grillades entre amis. Moi je me voyais déjà prendre Léa dans toutes les pièces lors de la visite, une réaction masculine sans doute. L'appart est immense par rapport au nôtre, 70m2 contre 30m2 ça nous change. Bien agencé en plus, bref je ne vais pas vous faire une parodie de la pub "du conseiller Century 21". Je ne sais pas pour vous, mais faire l'amour à sa femme dans un nouvel appart c'est comme lui faire l'amour pour la première fois. En tout cas c'est mon ressenti, je m'égard. Au cours du troisième week-end de notre emménagement, j'ai eu envie d'assouvir mon fantasme depuis que je suis avec elle. La soumettre, la mettre dans des situations humiliantes. Je ne sais pas comment Léa réagira face à ça, c'est beaucoup plus pervers que nos jeux habituels. Léa papillonne dans l'appartement, encore sous le charme de celui-ci. Pièce par pièce, elle va et vient faisant des aménagements plus ou moins probables. Un truc de femme ça, c'est agaçant messieurs je sais. Je la regarde assis sur le canapé, plus précisément ses fesses bien moulés dans son jean's. Je veux la soumettre mais comment, pourtant des idées j'en ai eus mais là rien de rien. C'est curieux le fait d'avoir de nombreuses idées, puis le jour où nous voulons les utiliser il n'y a plus rien... Je réfléchis, toutes mes idées sont nuls. Quand soudain t'ac coup... Euh... Quand tout à coup (c'est mieux), j'ai eu le déclic tant attendu. Je me lève pour rejoindre Léa dans la chambre, elle m'entend arriver et sans me voir me demande mon avis sur le nouvel emplacement de notre lit. Je la vois penchée en avant lissant le couvre lit, offrant ainsi à mes yeux son petit cul qui me donne envie. La sodomie est une pratique que Léa autorise de temps en temps, elle me donne ce droit pour mon plaisir. Elle n'apprécie pas vraiment cette forme de pénétration, quand on aime il faut savoir faire des concessions voilà ce qu'elle m'a dit un jour. Je m'avance et prends place juste à côté d'elle, Léa continue de lisser le lit. Je pose ma main directement sur son entrejambe, plaçant par ce fait mon majeur sur sa fente. Je lui caresse le vagin à travers son jean's, sans changer de position, Léa me dit que ce n'est pas le moment. Je remonte mon doigt le long de sa raie puis redescends, j'active mes caresses insistant sur ses lèvres. Elle me dit que j'exagère et me fait la remarque que nous avions fait l'amour il y a deux jours, je lui rétorque que là ce sera différent. Elle se redresse et me fait face, mes yeux dans les siens je lui dis que pour cette fois je vais la ravager. Léa les yeux ronds reste sans voix, je lui demande sèchement de se mettre entièrement nue. Perturbée par mon attitude je pense, Léa me regarde sans rien faire. Je lui lance un regard les sourcils légèrement froncés, je lui dis une seconde fois de se mettre à poil maintenant. Elle ouvre la bouche, je lui coupe son droit à la parole en lui disant de se taire avant qu'elle ait pu sortir un son. Léa est troublée je le vois bien, c'est la première fois que je lui parle ainsi. Elle porte ses mains de chaque côté de son T-Shirt blanc, je lui dis sur un ton aussi sec de s'activer un peu. Son regard est interrogateur, j'ai envis de la prendre dans mes bras pour lui dire que ce n'est qu'un jeu mais il faut qu'elle se soumette. Léa retire son T-Shirt et le laisse tomber sur le sol, elle dégrafe son soutien gorge en satin blanc et le retire. Ses seins se balancent, ses mamelons bien roses pointent vers moi. Elle enleve ses tennis blanches avec la pointe de ses pieds, déboutonne son jean's le faisant glisser péniblement le long de ses jambes. Une fois le pantalon sur le côté, Léa retire ses chaussettes suivies de son string blanc. Ses vêtements sur le sol je la regarde longuement sans un mot, elle reste là un peu perdue par le fait de mon silence. Léa ouvre la bouche, un son sort de celle-ci mais je lui ordonne de se taire, nue face à moi elle reste muette. Je caresse son corps du regard, ses tétons pointent légèrement, le triangle bien lisse la vulve pendante j'ai envie d'elle. Je lui ordonne de ne pas bouger, je vais dans la penderie et en ressors un foulard opaque. Je prends soin de bien le plier, je me place derrière Léa et je lui bande les yeux. Je reprends ma place face à elle, je lui dis que je ne veux entendre aucun mot de sa part. Je lui dis également que toute résistance sera prohibée, "Je parle et tu obéis sans un mot.", dis-je. Léa hoche la tête, je lui prends la main et la guide vers la salle à manger. Au beau milieu de la pièce je lui demande de ne pas bouger, je me rends dans la cuisine et prend un petit glaçon dans le congélateur. Léa n'a pas bougé, elle est la nue les bras pendants. Je lui demande d'ouvrir la bouche et de sortir sa langue, elle s'exécute. Je lui demande de lécher ce que je vais lui mettre sur celle-ci. Je dépose le glaçon fondant entre mes doigts, Léa sursaute lorsque la froideur du petit cube arrive sur sa langue chaude et humide. Elle lèche celui-ci timidement, je retire le glaçon et le place sur son teton. Elle recule sous l'effet du froid, je caresse ses mamelons avec le petit carré dégoulinant. Une fois ses tétons glacés, je lui suce les mamelons, je redescends sur sa vulve. Le glaçon devenu beaucoup plus petit entre mes doigts, je lui dis que je vais lui introduire celui-ci dans son vagin. Je lui ordonne de garder en elle jusqu'à sa fonte totale, je pénètre le petit cube dans son vagin. Léa se mord les lèvres, elle croise ses jambes pour conserver le glaçon en elle. Léa gesticule sur ses jambes, ses lamentations m'excitent. Je lui fais savoir que dès lors que le glaçon sera fondu, elle devra écarter les cuisses pour rejeter le liquide. Léa écarte subitement les jambes, l'eau gicle sur le sol formant une petite flaque entre ses pieds. Un soupir de soulagement sort de sa bouche, je lui mange les lèvres toutes glacées. Elle soupire à nouveau au contact de la chaleur de ma langue, je me relève et lui caresse la joue en lui disant que c'est bien (elle sourit). Je lui reprends la main, puis je la fais s'asseoir sur le rebord du canapé. Assise les cuisses ouvertes, la chatte bien dégagée, je lui caresse les lèvres encore froides. Je parcoure son vagin caressant son clitoris, nos langues s'entremellent tendrement. Je me rends une nouvelle fois dans la cuisine. Je prends le pot de pâte à tartiner et revient dans la salle à manger, je dévisse le couvercle. Le parfum du chocolat se fait sentir, le pot et encore plein. Je plonge mon gland bien dur dans la pâte, celui-ci est rapidement recouvert de chocolat. Je pose le pot au sol et ordonne à Léa de lécher comme pour le glaçon, elle se doute pour le chocolat mais ne sait pas pour mon gland. Elle tire la langue, je n'avais encore jamais vu ma femme ainsi. Elle adopte une position certes suggérée, mais les cuisses ouvertes tirant la langue attendant son supplice c'est très jouissif. Léa agite la langue, je place mon glang sur celle-ci. Une rasade de chocolat sur la langue, Léa n'a pas encore pris conscience qu'elle vient de me lécher le bout du gland. Au second coup de langue Léa s'arrête, voilà elle vient de comprendre. Les mains posées sur ses cuisses, elle me lèche comme elle lécherait une glace qui fond trop vite. Léa prend goût à mon petit jeu, ce qu'elle ignore encore c'est que cette fois elle va en prendre comme jamais. Je lui demande toujours avec ce ton sec, d'ouvrir la bouche bien grande. Je lui fais un rappel au passage sur la règle du jeu, aucune résistance que ce soit. Elle hoche la tête. La bouche béante, Léa attend sous son air de salope en vue de sa position provocante. J'introduis ma queue dans sa bouche, le gland légèrement chocolaté. Léa étreint ma verge de ses lèvres, je lui dis sèchement d'ouvrir la bouche. Elle relâche rapidement son étreinte, je place mes mains de chaque côté de sa tête et pénètre profondément sa bouche. Léa toussote, je poursuis ma pénétration. Elle se lamente, une gorge profonde en guise de préliminaire c'est tellement rare que ça décuple mon plaisir. Je racle le fond de sa gorge avec mon gland, j'entame un va-et-vient léger pour commencer. Le son que produit ma queue dans sa gorge m'exite d'avantage, j'accélère le rythme ce qui amplifie le bruit. Je me retire, Léa tousse, elle est prise de haut-le-coeur. Une fois qu'elle reprend ses esprits, je lui pilonne à nouveau la gorge. Ce bruit à chaque pénétration me stimule, je lui mets deux grands coups de queue successifs bien profondément. Je me retire à nouveau pour lui permettre de respirer, Léa met du temps à se remettre. Les yeux bandés elle reprend finalement son souffle, elle ouvre à nouveau sa bouche. Je reste surpris, voir dans l'état où elle se trouve après chaque pénétration elle ouvre tout de même la bouche. Je me replace face à elle et lui défonce la gorge cette fois-ci, la pénétration est violente et bruyante. Je me retire, je me dis intérieurement que ma femme est une grosse cochonne en fait. Elle ouvre une nouvelle fois la bouche, je lui dis qu'elle peut la refermer. Léa essuie la bave aux coins de ses lèvres, je m'avance puis l'embrasse tendrement. Je lui demande de se lever, je la retourne puis la penche en avant. Les jambes écartées et bien tendues, elle pose ses mains sur le canapé. Léa attend la pénétration vaginale, je lui demande de poser sa tête sur le canapé et de mettre ses mains derrière le dos. Léa fléchit les jambes, la queue en main j'entre sèchement dans son anus. Léa pousse un hurlement, un mélange de surprise et de douleur. Je sais qu'elle n'apprécie pas la sodomie, cela m'excite de la contraindre ainsi. Elle secoue la tête de droite à gauche, je lui fais remarquer que son cul sera l'unique préoccupation de mon plaisir. Léa pousse des cris à chaque coup de rein, je décide alors de lui mettre des grands coups. Ses cris résonnent dans la pièce, elle me demande d'arrêter. Je lui ordonne de se taire, je continue de lui mettre des grands coups ravageurs dans le cul. Elle hurle cette fois, je poursuis encore quelques vas-et-viens puissant puis me retire. Léa se laisse tomber sur le canapé, je suis satisfait de voir Léa ainsi soumise. Je lui demande sèchement de se lever, elle s'exécute doucement. Je prends sa main et me dirige avec elle dans les toilettes, je remarque qu'elle boitille un peu (je souris). J'ouvre la porte des W. C, je demande à Léa de se mettre à quatre pattes sur le sol. Je la positionne, la tête pratiquement dans la cuvette. Je la chevauche et enfourne à nouveau son cul, les cris de Léa sont décuplés par la resonnance de la cuvette. Je lui défonce littéralement l'anus, elle crie encore et encore. Je lui agrippe les cheveux, je lui mets mes doigts dans la bouche. Les mots m'échappent je lui dis "T'aime ça salope." Léa bafouille, je l'autorise à parler. Elle me répond entre deux cris "Oui j'aime ça continue...", je me dis que pour une femme qui n'aime pas la sodomie, sa réponse est bizarre. Je me dis que je lui poserai une nouvelle fois cette question plus tard. Ma femme est chienne, depuis le temps que j'en rêve je profite. Je la pilonne comme ce n'est pas permis, l’écho de ses cris résonne dans tout l'appartement. Les claquements violents et bruyants de mon corps sur ses fesses me stimulent, frappant de ce fait de plus belle dans son anus. La pénétration est plongeante, ainsi faite bien profonde. Léa gémit, crie et hurle dans la cuvette, je frappe de plus en plus vite. Je me retire enfin de son corps, je dis à Léa qu'elle peut enlever son bandeau. Je la regarde dans les yeux, elle agenouillée sur le sol, moi debout devant elle la queue bien raide. Je me branle devant son visage, nos regards l'un dans l'autre. Je sens la pression qui arrive, je me retiens le plus longtemps possible pour lui gicler violament sur le visage. Léa ouvre la bouche sans que je lui demande, ses yeux toujours dans les miens. La giclée est violente, je lui envoie mon sperme un peu partout. Léa prend ma queue et se la place dans la bouche, je gicle encore trois fois dans celle-ci. Léa ouvre sa bouche et montre mon sperme, il y en a beaucoup cette fois. Elle déglutit longuement en me regardant toujours dans les yeux, elle ouvre une nouvelle fois la bouche. Léa me sourit puis reprend ma queue dans sa bouche, elle me suce jusqu'à ce que mon sexe ramollisse. Je lui demande si elle a aimé, vu qu'elle n'est pas trop sodomie et soumission. Sa réponse m'a littéralement mis sur le cul, elle me répond (mot pour mot), "Depuis le temps que j'attends que tu me soumettes, j'ai pris du plaisir comme jamais mon chéri..." Depuis ce jours-là, croyez-moi que je l'ai bien soumise et humiliée.
Je t'aime mon amour...

à suivre