Priss au bal des pompiers

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Proposée le 10/11/2010 par prissme

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Ce soir d'été du 14 juillet mes amies et moi décidions d'aller fêter cela au mythique bal des pompiers. J'enfilais une petite robe de satin rose pâle, qui épousait parfaitement les courbes de mon corps, suffisamment décolletée pour laisser voir ma poitrine, et pas trop longue afin de rester très sexy.
Nous entrâmes dans la caserne de notre ville, bondée de monde, une majorité de femmes qui se déhanchaient sur les musiques envoutantes des années 80. Transportées, mes trois amies et moi rejoignîmes la foule et dansâmes des heures. Quelques pompiers entreprirent sur scène un show enflammé sur « Hot Stuff » ce qui nous mit toutes en furie, ils s'effeuillaient petit à petit tels de vrais Pros'
A la fin de ce striptease d'anthologie, le DJ nous lança l'heure Zook, je me trémoussais avec mes amies au centre de la piste entourées par des centaines de femmes quand je sentis un homme me rejoindre dans ma danse, celui-ci se mit derrière moi et prit la cadence de mes hanches, se colla à moi, je sentais une douce et agréable sensation grâce à l'effleurement du satin sur mes fesses, et une vive sensation de chaleur procurée par les frottements que ce jeune homme entreprenait. Nous dansâmes ainsi une bonne heure au moins, puis il susurra au creux de mon oreille « On va dans un endroit plus tranquille pour mieux faire connaissance ? » j'acquiesçai de la tête, il me prit par la main je le suivais sans me soucier de mes amies.
« Ici on sera mieux ! » me dit-il, il m'avait conduis jusque dans une petite salle où se trouvait un sofa, une table et quelques chaises. Nous discutions tous les deux assis sur le sofa quand il posa sa main sur mon genoux me regardant dans les yeux, se pencha pour m'embrasser, effleura doucement mes lèvres, glissa doucement sa langue dans ma bouche afin de chercher la mienne, une fois trouvée il la caressait délicatement, accélérait les mouvements, nos respirations devinrent plus suaves, mon c'ur s'accélérait, une vague d'excitation m'emportait, je pris sa main la fis remonter le long de ma cuisse afin que de ses doigts il sente la sensation que son doux et langoureux baiser me procurait.
De son majeur il frottait doucement la dentelle de mon string, l'écarta et y glissa le doigt, il faisait rouler mon clitoris sous celui-ci, je sentais mon clitoris gonflé d'excitation, il caressa alors de ce même doigt mes lèvres gorgées de plaisir, humides de cette sensation plus qu'agréable, il enfonça son doigt dans mon intimité et entreprit un doux va et vient. Tout en m'embrassant dans le cou, il fit glisser les bretelles de ma robe afin de laisser mes seins libres, il se pencha et prit alors mon téton durcit d'excitation en bouche, il le caressait de sa langue. Cette sensation, alliée à celle de son doigt dans mon intimité, était plus qu'intense, la vague d'excitation était encore plus forte.
Je glissai mes mains sur son pantalon, caressai lentement la bosse formée à l'intérieur de celui-ci, le déboutonnai en tirant sur son boxer moulant, je laissais son membre long et dur s'échapper, je me penchais l'obligeant à arrêter de lécher mes seins puis couvris de baisers son gland, lécha ce membre de haut en bas afin de le lubrifier pour qu'il glisse au contact de ma bouche, je le pris en bouche enchainant les vas-et-vient et jouant de ma langue sur la collerette de son gland. Je le sortis de ma bouche, me redressai tout en continuant à le branler et lui dis à l'oreille « J'ai envie que tu sois sauvage. ». Il me regardait à la fois étonné et excité par ce que je venais de lui avouer. Il me prit alors par les cheveux, appuyant sur ma tête, glissa sa rigidité dans ma bouche et l'enfonça profondément dans ma gorge, j'étouffais presque mais ça m'excitait, tout en me guidant avec sa main il m'obligeait à le sucer de plus en plus rapidement. Il tira sur mes cheveux de façon à ce que je me redresse, se leva, se pencha sur moi puis m'attrapa par les hanches, me souleva et posa mes fesses au bord de la table. Il écarta mes cuisses ôta mon string trempé de citrine, s'enfonça en moi, accélérant les mouvements de son bassin, cela restait trop gentil à mon goût. Je lui demandai alors « Baise moi plus fort, dis moi des cochonneries ! », il me sourit et me dis « Ah oui, t'as envie que je te prennes plus fort petite salope ? » tout en accentuant ses coups de reins qui se faisaient rapides et brutaux. Il avait compris ce que je demandais. Cette ardeur me remplissait de plaisir, cette sensation de ne plus être la petite fille sage et de devenir la salope que je n'osais être.
Ses mouvements secs et brutaux procuraient en moi un tel plaisir que je ne pus retenir les gémissements d'un orgasme qui me prenait le bas du ventre et remontait le long de mon corps en un frisson de plaisir. Je ne gémissait plus, je criais ! « Oh oui baises moi, fais de moi ta chienne ! », « Oh oui petite salope, tu aimes quand je te baise. », son membre se gonfla dans mon intimité, je sentais ses contractions, il fermait les yeux, ouvrit la bouche et lâcha un long et fort râle de plaisir.