Le joyeux festin

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 6/11/2010 par nastylover

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Ce soir-là, Marie revenait de chez son amant avec qui le sexe a été plus qu'extraordinaire, je la fis jouir par pénétration et ma langue experte lui procura un orgasme, qui fit trembler tout son corps. Elle avait encore la vision de mon sperme chaud sur ces doux petits seins en tête quand elle décida d'aller danser ce soir-là.

Marie portait pour la soirée, comme elle revenait d'une soirée mouvementée avec son maître Patrick, une jupe carreautée noir et grise aux mi-cuisses et une jolie camisole qui laissais voir la craque de ces petits seins bien fermes et dévoilait sa jolie brassière en dentelle noire. Quand elle a ce petit look d'écolière salope, elle sait qu'elle est très aguichante et cette sensation rendait sa chatte chaude et savoureuse.

En chemin vers son bar préféré, elle ne put s'empêcher de laisser ses doigts glisser sur la peau de pêche de sa vulve encore mouillée et chaude. En arrivant à destination, sa petite culotte était déjà détrempée à l'idée de danser et de faire monter le désir chez des mâles inconnus. Son sexe avait coulé jusque sur la banquette de sa voiture et l'odeur voluptueuse de celui-ci avait envahi toute la voiture. Elle décida donc de ne pas porter sa petite culotte pour laisser sa chatte respirer l'air frais.

Une fois à l'intérieur, Marie se laissa transporter par la musique et elle dansa en bougeant bien ces hanches et en échangeant des regards sensuels avec les inconnus qui croisaient le sien. Certains hommes poussaient leurs chances jusqu'à effleurer ses fesses et même ses petits seins qui étaient en érection. Un de ces mâles attira son attention, il était grand et athlétique, mais pas trop, comme elle les aimait. Il dansait à ses côtés en partageant des regards affamés. Il avait le talent du danseur qui savait la faire chavirer, de voir un corps bouger, ainsi, elle s'imaginait déjà assise sur lui avec sa chatte, qui enroberait son sexe dur et fort. Ils dansèrent tous les deux, la chatte de Marie palpitait déjà et en effleurant la bosse dans le pantalon du jeune homme elle sentit qu'elle n'était pas la seule à avoir envie de partager du bon temps. Un tel sentiment donnait l'impression à Marie d'être une véritable salope, une petite cochonne de la pire espèce.

Après quelques mots échangés et les présentations faites, elle apprit qu'il s'appelait Maxime et qu'il habitait à quelques pas de là. Quelques instants plus tard et elle était en chemin pour l'appartement de Maxime, où elle savait qu'elle prendrait son pied, mais jamais comme elle le prendra dans les lignes qui suivent. En chemin, elle ne put résister à l'embrasser et à flatter la bosse dans son pantalon, imaginant une belle queue qu'elle pourrait sucer comme une débauchée de la pire espèce.

En arrivant dans l'appartement de Maxime, elle tomba face à face avec son coloc Éric, un autre beau jeune homme qui, ne s'attendant pas à voir Maxime revenir avec une demoiselle portait seulement un boxer serrer d'où on pouvait deviner une belle queue bien large et son torse nu laissais voir son corps bien musclé.

Marie alla s'asseoir entre les 2 garçons sur le grand sofa, qui allait bientôt devenir un majestueux terrain de jeux pour la salope. Elle commença à embrasser Maxime à grande bouche. Après quelques minutes, elle sentit la main de Maxime sur sa cuisse et déjà le doux nectar commençait à couler de sa petite fleur. Les cuisses de Marie s'ouvraient un peu plus tandis que la main de Maxime montait doucement le long de celle-ci. Elle sentit soudain une autre main, qui n'était pas, celle de Maxime sur ses seins bien fermes et le simple toucher fit dresser ces mamelons et la rendit toute excitée, cette main était celle de Éric. Elle se retourna pour l'embrasser à son tour. Elle remarqua aussitôt sa queue qui était sortie de son boxer, une belle queue large et bien rasé comme celle de son maître. Elle ne put résister à loucher pour bien la regarder et s'imaginer les pires saloperies avec une si belle queue.

Les doigts de Maxime flattaient la chatte de Marie avec doigté et précision, Marie gémissait et sa chatte était mouillée et dégoûtante de plaisir. Autant de plaisir et la vue d'une queue bien dure fut suffisant pour que Marie se penche et commence à lécher le bout du gland d'Éric, elle cracha dessus pour bien le mouiller et le masturba de sa main experte, pendant que Maxime pénétrait 2 doigts dans son sexe chaud et accueillant. Une fois la queue bien mouillé et les gémissements d'Éric bien constants elle empoigna la base de son sexe et le fit glisser entre ses lèvres pour le prendre au complet dans sa bouche.

Au même moment Maxime se mit à genou devant elle avec sa tête entre ses cuisses humides, il commença par laisser sa langue effleurer les grandes lèvres de Marie pour ensuite laisser sa langue entrer au c'ur de ses petites lèvres et inséra sa langue doucement à l'intérieur de sa vulve pour déguster le nectar savoureux. Le sentiment de se faire lécher en dégustant une belle queue lui donnait des papillons dans le ventre et dans sa chatte. Elle ne pouvait arrêter de sucer Éric, elle aimait tant sentir cette queue dans sa bouche, sentir qu'elle le faisait gémir et quelle gémissait elle aussi au contact de la langue de Maxime.

Éric inséra doucement un doigt dans l'anus bien lubrifié de Marie qui ne dit rien, il décida alors de lui pénétrer l'anus avec vigueur et sentit la petite bouche de Marie suivre le rythme sur sa queue. Cette sensation, couplée aux deux doigts de Maxime dans sa chatte et à langue qui embrassait son clitoris avait tôt fait, de là faire jouir ardemment. Sa petite chatte coula de plaisir pendant qu'elle suçait la belle queue d'Éric encore plus fort et avec encore plus de conviction. Le sexe d'Éric grossissait et tremblait dans sa bouche. Soudainement, elle sentit le sperme chaud et onctueux lui couler dans la bouche. Comme la petite pute qu'elle se sentait, elle avala tout avec délectation. Le sentiment qui l'envahissait était celui de pouvoir enfin libérer sa vraie nature, se doutant bien que bientôt elle soit baisser par ces deux mâles qui lui faisaient tant de bien. Elle aimait tant être une petite salope qu'elle ne pouvait espérer plus belle soirée. Maxime se déshabilla, laissant découvrir son membre viril et circoncis qui donnait faim à la petite salope, elle voulait tant le déguster et comme Éric le sentir exploser en elle. Pour pouvoir goûter chaque jet de son sperme chaud.

Sa chatte voulait tant une belle queue qu'elle s'embarqua sur celle d'Éric qui était encore bien dure et prête à l'enfourcher. Maxime se place devant Marie et lui donna son sexe pour se délecter, elle le suçait de plus en plus fort à chaque impulsion du sexe d'Éric dans sa petite minette bien serré. Éric sentait les parois du sexe de Marie se resserrer et se contracter sur sa queue, une telle excitation le rendait fou. Il la baissait de plus en plus fort, et Marie comme une ignoble salope se laissait baiser fort et intensément. Se voyant dans un miroir près du mur, assise sur une queue avec les mains viriles d'Éric qui lui agrippaient les seins avec vigueur et sa petite bouche affamée qui prenait une belle queue en dégoulinant et en faisant des gloutonnements pervers, faisaient monter l'excitation en elle. Tout en se faisant bourrer, elle masturbait la belle queue de Maxime, qui gémissait de plus en plus fort.

Éric remit un doigt dans l'anus de Marie qui se laissa encore une fois pénétrer sans chigner, donna une envie folle à Éric de sodomiser la jeune nymphe. Profitant du fait qu'Éric enleva son doigt, Marie entra deux des siens dans son cul bien chaud, en continuant de sucer Maxime avec délectation. Éric sortit sa queue de la douce et chaude chatte pour la pénétrer dans son petit cul. « La petite garce allait en prendre pour son plaisir », se disait-il.

Maxime retira sa queue bien mouillée de la bouche de Marie pour la pénétrer dans sa petite vulve. Ainsi remplie, Marie voyait un rêve se réaliser, son rêve de salope et de petite cochonne sans tabou se réalisait devant elle. Quelques minutes de ce manège et déjà elle sentait sa chatte se contracter autour de Maxime. Une intense envie d'uriner la surprit soudain, elle savait ce qui se préparait dans son bas-ventre. Son corps tout entier se mit à vibrer et à donner des coups. Soudainement, elle sentit quelque chose de liquide couler abondamment de son sexe, elle venait d'éjaculer sur les deux mâles, qui n'arrêtaient pas de la pénétrer. Elle aimait tant la sensation qu'elle se laissait encore et encore pénétrer, chaque coup de queue dans son sexe et dans son cul la faisait remonter en excitation, elle revint encore et plus fort elle coula encore sur les sexes bien durs de ces deux étalons.

Une fois ainsi rassasiée, elle n'en pouvait plus de se faire défoncer elle s'agenouilla alors entre Éric et Maxime et de chacune de ces mains encore tremblantes elle les masturba, insérant chacune des verges dans sa bouche à tour de rôle. Le mélange des deux sexes qui goûtaient sa chatte et son cul la rendait folle. Elle comprenait qu'elle était un objet sexuel et qu'elle venait de se faire baisser pour sa chair et non pour son âme, et elle aimait ça au plus profond d'elle-même.

Maxime fut le premier à éjaculer sur le visage de Marie qui lécha chaque goûte de l'épais sperme de Maxime qui reposait sur ces lèvres et sur le bout de son gland. Elle sentait le sperme couler sur son menton et descendre entre ces seins bien durs et sur ces mamelons excités. Elle se massa les seins avec le sperme de Maxime satisfaite de l'avoir fait jouir aussi fort. Tout en se massant, elle continua de sucer la queue déjà familière d'Éric, elle mit cette belle queue entre ces seins souillés de sperme et la verge bien dure glissa sans difficulté, pour éjecter en quelques coups une énorme quantité de sperme qui éclaboussa le menton déjà humide et sale, le sperme coula sur ces seins et sur son ventre.

Marie se sentait si bien dans cette position, accroupie avec du sperme encore chaud sur son visage, ses seins et son ventre, sa petite chatte qui tremblait encore et son anus qui se contractait de bonheur. Elle était souillée de la sueur des deux bêtes qui venaient de l'abuser et de leurs spermes dans sa bouche et sur son corps. Marie s'essuya tant bien que mal et s'habilla en vitesse. Une certaine honte s'emparait d'elle, mais elle était tout de même satisfaite de sa performance. Son maître allait être fier de sa petite garce.

Sur le chemin du retour, elle appela son maître pour lui demander si elle pouvait venir prendre une douche chez lui et lui raconter une de ses aventures sexuelles récentes. Une fois lavée, elle s'assoit à mes côtés pour me raconter comment les deux bêtes l'avaient baisé. L'idée de voir ma salope se faire prendre sans lendemain, comme une petite pute me donna envie de la prendre moi aussi, mais comprenant que c'est orifices avais besoin de repos, je me levai devant elle et lui offris ma queue en récompense de sa performance avec ces deux hommes. Elle me suça sans relâche jusqu'à ce que mon sperme qu'elle connaissait si bien lui explose dans la gorge et lui coule sur le bord des lèvres. Sans dire un mot, elle m'embrassa et s'en alla. Nous étions tous deux satisfaits de la petite salope qu'elle était et de la petite soumise bien obéissante qu'elle devient.