le mécano black...

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 5/11/2010 par mariepat17

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Quelques temps plus tard, Marie Hélène du faire réviser sa voiture. Habituellement c'était Patrick qui s'en occupait, mais il n'avait pas beaucoup de temps en ce moment, à cause de nombreux déplacements professionnels, et elle choisit le premier garagiste qui se trouvait sur sa route. Elle laissa les cléfs à un jeune mécano qui lui précisa que la voiture serait prète dans la soirée, mais que le magasin devant fermer à 17 heures, il faudrait qu'elle entre par la porte de l'arrière-cour...

Elle téléphona à son mari pour le prévenir, et, après son travail, se rendit à l'atelier pour récupérer son véhicule.
Une seule lampe brillait aux fenètres du garage, et elle dut passer par derrière comme on le lui avait expliqué le matin. Elle frappa à la porte, et lorsque la porte s'ouvrit, elle se figea : L'homme qui se tenait dans l'entrebaillement de la porte n'était autre que le superbe noir qui l'avait baisée deux ans plus tot, au cours d'une soirée plutot mouvementée. Ce fut lui qui parla le premier, sentant confusemment le trouble qui envahissait la jeune femme, et il la pria d'entrer en la gratifiant d'un sourire étincellant. Marie Hélène le suivit dans l'atelier en tremblant un peu. Cet homme lui avait donné un plaisir immense, et voila qu'elle le retrouvait ainsi, sans rien de prémédité, alors que qu'elle avait depuis rencontré Patrick et vivait avec lui un nouvel amour qui lui convenait tres bien.
L'homme lui expliqua ce qu'il avait fait à la voiture, et la conduisit dans le bureau pour lui remettre la facture. Marie Hélène remplit le chèque, et après l'avoir déposé sur la table, du repasser devant lui pour sortir de la pièce. Au passage, elle frola le noir qui se tenait dans l'ouverture, et il en profita pour passer une main sur la croupe tendue de la jeune femme. Elle frémit, mais se dirigea vers sa voiture comme si de rien n'était...
Avant qu'elle n'atteigne la portière, l'homme lui avait emprisonné les seins dans ses mains immenses, et pressait contre ses fesses une barre dure et chaude. Il lui embrassa le cou, tout en défaisant les boutons de son chemisier. Il saisit alors ses seins chauds et fermes et ses doigts firent rouler doucement les pointes tendues et gonflées. Marie Hélène n'osait plus bouger. Sa main partit en reconnaissance derrière elle et se referma sur la queue superbe de son tourmenteur, qu'il avait pris la peine d'extraire de son bleu de travail. Elle sentait battre dans sa main le sang qui gonflait le membre de l'homme, ses doigts n'arrivaient pas à se resserer sur la tige énorme, conforme à son souvenir, et elle fut prise d'un frisson violent. Il la retourna, et écartant les pans de son chemisier, prit possession de ses seins à pleines mains, tout en mordant doucement ses lèvres. Marie Hélène, troublée par cet attouchement viril, lui rendit son baiser et sa main commença à aller et venir le long de la formidable queue noire, se disant qu'elle faisait certainement une bétise, mais ne pouvant pas résister aux pulsions de son corps. Il sentait l'eau de cologne à bon marché, et les senteurs acres de l'huile de vidange et de cambouis du garage se mélaient pour former une sorte de parfum aux accents terriblement excitants. Elle sentait sa chatte s'humidifier de désir, son ventre lui faisait mal, et elle essayait de ne pas penser à son époux, qui devait l'attendre à la maison...

Le colosse noir la saisit à la taille, et l'assit sur le capot d'une voiture; il remontat la jupe, et ses lèvres se posèrent sur le sexe brulant à travers le slip de dentelle noire qui ne protégeait pas grand-chose de l'intimité de sa victime. D'une main, il fit sauter ce dernier rempart, et sa langue commença un ballet ennivrant sur les lèvres de la jeune femme. Il mordait, titillait, suçait, aspirait le sexe offert, remontait lentement de la pointe de sa langue le long de cette fente pleine de senteurs qui lui faisaient tourner la tète, pour plonger dans le calice délicat de cette fleur d'amour. Marie Hélène était prête à défaillir sous les assauts répétés de cette bouche experte, ses hanches se soulevaient à la rencontre de la caresse, cherchant à la faire pénétrer encore plus profondément, les jambes ouvertes, elle n'offrait aucune résistance à l'homme qui en profitait pour malaxer ses fesses, et glisser soudainement un doigt dans l'ouverture de ses reins. De se sentir ainsi investie provoqua à Marie Hélène une vague de jouissance qui naquit dans ses reins, pour faire frissonner tout son être et un cri jaillit de sa gorge pour saluer le plaisir qui montait.

De son coté, Patrick commençait à trouver le temps long. Peut-ètre la voiture n'était-elle pas prète, mais Marie Hélène n'avait pas téléphoné. Après une brève hésitation, il prit sa voiture et se rendit au garage. Il verrait bien !

Il arriva devant l'atelier quelques minutes plus tard, mais tout semblait fermé. Il allait faire demi-tour lorsqu'il aperçut la lumière qui brillait sur l'arrière du batiment. Il se dirigea vers la porte, qui s'ouvrit sans bruit, et chercha quelqu'un, lorsqu'il entendit un soupir semblant venir du fond du garage. Il se dirigea dans cette direction et soudain, il tomba en arret devant une scène à peine croyable : un colosse noir était en train de baiser une femme sur un capot de voiture. De sa position, il voyait les fesses du noir qui s'agitaient entre les jambes relevées d'une jeune femme, dont il ne voyait que les mains qui s'agrippaient au dos de l'homme qui la labourait. Puis, comme dans un rève, il réalisa que cette femme était la sienne, il reconnaissait les chaussures et le bord de la jupe, et les cris qu'elle poussait ne laissaient aucun doute sur le bien que lui faisait la queue qui la baisait. D'abord révolté, il s'approcha, puis s'arréta. Le spectacle était fascinant : le noir défonçait Marie Hélène tout en lui suçant les seins, et elle se caressait d'une main en branlant de l'autre la tige énorme qui s'enfonçait dans sa chatte. Patrick resta sur place, et sans faire aucun bruit, il sortit sa queue et commença à se masturber.

Il voyait la colonne d'ébenne s'enfoncer dans le sexe de sa femme avec la régularité d'un métronome, et chaque poussée de l'homme déclenchait un cri de plaisir chez la jeune femme qui montait ses hanches à la rencontre du pieu de chair qui la crucifiait. Puis l'homme noir la prit dans ses bras, et la soulevant, il se redressa, plaqua ses mains énormes sous les fesses bronzées et soyeuses, et commença à la soulever pour la laisser retomber s'empaler sur sa queue. Marie Hélène s'accrocha aux épaules de son tourmenteur, et chaque pénétration la fit vibrer de plus en plus fort. Ses seins étaient meurtris par les lèvres de son amant, sa chatte brulante dégoulinait de plaisir, et ses cris devinrent vite plus rapprochés et plus violents. L'homme noir accéléra encore sa possession, sa queue glissa de plus en plus vite dans la chatte de Marie Hélène, qui, soudain, hurla en se rejetant en arrière. Elle serait tombée si son amant ne l'avait tenue fermement. Lui-meme fut pris de tremblements et projeta avec violence sa semence dans le sexe qui l'acceuillait, ce qui provoqua un nouveau spasme de plaisir chez sa partenaire.

Patrick était pétrifié par ce spectacle. Sa queue était tendue à lui faire mal, mais il n'osait toujours pas se manifester, hésitant entre la colère pour l'infidélité de sa femme, et l'excitation que la scène lui faisait ressentir. Caché derrière une montagne de pneus usés, il ne quittait pas des yeux sa femme, nue dans les bras du colosse noir. Marie Hélène se redressa, et repoussant l'homme contre la voiture, elle s'agenouilla, et l'aida à enlever complètement son bleu d'atelier. Les muscles du noir luisaient sous le néon du plafond, et son sexe énorme se dressait vers le ciel. La jeune femme approcha ses lèvres, sa langue commença à lécher les bourses velues, remonta sur la tige, et sa bouche engloutit le membre puissant.

Ses lèvres allaient et venaient sur le membre tendu, et Marie Hélène ne parvenait à sucer que la moitié de la verge noire, luisante de salive, et souvent elle abandonnait le gland pourpre pour promener sa langue le long de la colonne raide et massive. Patrick se masturbait plus violemment encore, tétanisé par ce qu'il voyait. Sa queue lui faisait mal tant elle était tendue et gonflée de sève, et voir sa femme sucer ce noir pour lui inconnu, tout en se caressant la chatte d'une main, lui provoquait des poussées d'adrénaline monumentales. Soudain le garagiste se tendit, et sa queue projeta sa semence sur les seins de la jeune femme. Il rugit de bonheur tout en se branlant au-dessus de la poitrine soyeuse de Marie Hélène, et laissa le plaisir faire son oeuvre. Dans le mème temps, Patrick jouit à son tour, et arrosa copieusement les pneus derrière lesquels il se cachait de son foutre chaud et gluant.
Marie Hélène s'était rajustée, et elle discutait avec son amant, mais d'ou il se tenait, Patrick ne pouvait rien entendre de leur conversation, aussi se dépécha-t-il de rejoindre sa voiture et il s'installa au volant, attendant pour mettre le moteur en route de voir sortir son épouse. Celle-ci ne tarda pas, il entendit le bruit du moteur de la voiture, et resta devant elle afin d'ètre sur qu'elle le verrait. Marie Hélène freina brusquement en voyant son mari, et, ne sachant trop quoi faire, elle attendit. Patrick sortit de son véhicule, et s'approcha d'elle. "Tu es là depuis longtemps ?" demanda-t-elle, rougissante... "Depuis assez longtemps pour t'avoir vue très occupée, mon Amour" répondit-il en souriant, puis il proposa de rentrer à la maison, et ils partirent ensemble vers leur demeure.